Charlotte A 19 Ans

Charlotte a 19 ans. Elle a mis une jolie robe pour rejoindre son petit ami a 50km de chez elle, enfin de chez ses parents.
Vers 18 heures, elle s’arrête prendre de l’essence et un goûter. Elle est en avance et n’a pas envie de prendre un de ses mauvais sandwich de station-service. Lorsqu’elle gare sa R5 orange devant ce relais routier, il n’y a que des camions de stationnés.
Devant l’entrée, le patron fume une cigarette. En voyant cette jeune fille se diriger vers son établissement, il l’interpelle.
- Mademoiselle, vous ne devriez pas venir ici. La fréquentation est exclusivement masculine et ce n’est pas un endroit pour une jolie fille comme vous.
Est-ce de la naïveté ou de l’inconscience, Charlotte persista à entrer.
- Bon, si vous insistez, je ne vais pas refuser une cliente mais je vais vous mettre à l’écart afin que vous ne soyez pas importunée.
Elle n’est pas passée inaperçu et en étant seule à l’écart, dans une deuxième salle du restaurant, elle pourrait être d’autant plus la proie de ces routiers, loin de leur famille et en manque d’affection. Partie d’une bonne intention, c’était finalement une bien mauvaise idée.
Il ne fut pas longtemps avant qu’une partie des routiers occupaient le patron tandis que trois autres rendirent visite à Charlotte.
Charlotte qui ne voyant jamais le mal nulle part, les accueilli avec un grand sourire. Ils posèrent leur bière sur la table et tandis que l’un s’installa sur la chaise de l’autre côté de la table, les deux autres s’assirent sur la banquette de part et d’autre de Charlotte. Ils la complimentaient sur son charme et sa tenue sexy. Elle voyait bien leur manège et pensait à une gentille drague qu’elle subissait régulièrement. Un des hommes, vida son verre d’eau dans une plante et rempli son verre avec chacune des trois bières. Ils trinquèrent et Charlotte ne se vit pas refuser de boire un peu avec eux.
Sans attendre un éventuel effet de l’alcool, ils lui parlèrent plus franchement de la fermeté de ses attributs de jeune fille.

Elle repoussa une main qui s’était posé sur sa cuisse dénudée mais de l‘autre côté, elle sentit une autre main sur son autre cuisse. Elle les refoula plusieurs fois sans parvenir à les décourager. C’est alors que l’un d’eux abandonna sa cuisse pour se poser sur un sein par-dessus la robe. Elle dû utiliser ses deux mains pour stopper leurs attouchements. L’homme bloqua la main de Charlotte sur sa cuisse en se mettant au-dessus d’elle. Celui qui tâtait un sein posa sa deuxième main sur la cuisse. Avec une seule main de libre, elle ne pouvait pas s’occupait des deux et fini par capituler. La sentant abandonner, il délaissa la cuisse pour l’embrasser dans le cou en passant sa main dans l’échancrure de la robe pour caresser le sein dénué de soutien-gorge. Elle se libéra de sa main emprisonnée pour laissait l’homme la caresser plus au haut sous la robe. Elle pensait aux caresses de son petit ami sans parvenir à remplacer son visage par celui des trois hommes. De son cou, l’homme déplaça ses baisers vers la bouche qu’elle ouvrit pour l’accueillir. Il en profita pour retirer les bretelles de la robe et découvrir sa poitrine tendue par l’excitation. Elle se laissa écarter les cuisses pour que la main se faufile sous la culotte. Elle ne pouvait plus cacher son trouble. Le troisième homme, repoussa la table et se positionna devant Charlotte. Comme elle ne prenait pas les devants, il libéra son sexe raide pour le présenter à la bouche de Charlotte. A la surprise des quatre protagonistes car même Charlotte fut surprise de son geste, elle attrapa le sexe et après l’avoir caressé, le mit dans sa bouche et le suça. Quelques minutes plus tard, elle se trouva allongée sur la banquette avec deux sexes à sucer. Le troisième, retira sa culotte et présenta son sexe devant le vagin offert. Elle le regarda et plia les genoux pour s’ouvrir en guise d’acceptation. L’homme la pénétra, qu’elle accueillit dans un râle de plaisir. Ils se succédèrent et se vidèrent en elle. Elle ressentit du plaisir avec les trois.
Jamais elle n’avait joui plusieurs fois à la suite comme çà.
Elle alla se rafraichir aux toilettes. Après ce qu’elle venait de vivre, elle se voyait mal face à son petit ami. Elle ne savait pas cacher ses émotions et ne pourrait pas lui mentir et il la quitterait. En plus, maintenant elle était en retard. Impossible de le joindre puisque les portables n’existaient pas alors, elle décida de ne pas y aller et de ne rien dire. Il pensera sûrement qu’elle avait renoncé à venir.
Quand elle est revenue, ils étaient toujours là. Elle s’installa et finit son verre avec les trois hommes. Tous les quatre quittèrent le relais-routier. Charlotte rougit en voyant les autres la regarder avec un air complice envers les trois hommes. Une fois dehors, un homme lui proposa de lui offrir un repas dans un vrai restaurant. Elle avait passé un bon moment qu’il l’avait mise en appétit. Au point où elle en était, pourquoi ne pas accepter leur invitation mais elle ne promit rien. Elle se retrouva sur la route avec deux camions devant et un derrière sa R5 orange. Lorsqu’elle mit son clignotant pour les suivre, se fut un concert de klaxonne des trois camions.
Le repas fut très agréable rempli de rire et de blague grivoise. Charlotte était bien loin de son petit ami. Sans se concerter, elle les suivi dans la chambre d’un des hommes. Elle retira à robe, s’agenouilla devant eux, dégrafa une à une leur ceinture, leur braguette et descendit pantalon et boxer pour libérer leur sexe bandé. Elle les suça chacun leur tour en prenant soin de les avaler le plus possible. Puis, ils l’allongèrent sur le lit et l’un d’eux lui fit un cunnilingus. C’était son premier et elle en jouit. Les trois hommes avaient entre les mains une gamine qui n’avait pas froid aux yeux et ils allaient en profiter. Elle fut pénétrée par le premier qui ne la ménageait pas. Plus il la défoncé, plus elle criait. Ils se succédèrent sans relâche et sans laisser sa jouissance retomber. Charlotte avait perdu à la fois ces repères mais aussi toute pudeur dans l’expression de son ressenti.
Elle se faisait sauter, sucer une queue, en branler une autre. Elle était amoureuse de ces 3 sexes. Elle se laissa retourner et mise à quatre pattes pour être prise en levrette. Elle n’arrivait pas à être rassasiée alors que cela faisait près d’une heure qu’ils se relayaient en elle. Elle sentit un doigt se frayait in chemin dans son petit trou et ne broncha pas. Elle était tellement excitée que son anus était déjà légèrement dilaté ce qui permit à l’homme d’y aventurer un deuxième doigt. Elle se sentait prête et avait envie d’un sexe entre ses fesses et le fit savoir. Entendre cette gamine réclamer d’être sodomisée, excita les hommes. Le premier, enduit l’orifice de cyprine et y alla en douceur. Charlotte mordait l’oreiller mais supporta la pénétration anale. Charlotte fait partie des femmes qui trouve du plaisir de cette pratique et même si elle est différente éprouve une sensation plus forte que lors d’une pénétration vaginale. Tous trois profitèrent de cet orifice pour le plus grand plaisir de Charlotte. Ils ont alors enchainé avec une double pénétration qui fut l’extase pour notre gamine.
Lorsque les hommes faisaient une pause, elle faisait son maximum pour leur redonner de la vigueur le plus rapidement possible. Elle en voulait, ils lui donnèrent jusqu’à épuisement. Elle s’endormie dans leurs bras. Au petit matin, deux d’entre eux étaient repartis dans leur chambre pour se doucher et récupérer leur affaire pour tailler la route. Le troisième après le café mais avant la douche profita de la bouche de Charlotte en se vidant dedans et la regarder se délecter du nectar en avalant.
Charlotte avait été au bout de son phantasme d’une nuit. Elle avait été délurée, dévergondé au-delà du raisonnable. Mais quel plaisir. Cette aventure aura une part importante dans sa vie sexuelle et surtout l’aida à assouvir ses envies sans barrière.

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