Charlotte

Cela commencé il y a six mois, et même si j'ai eu plusieurs fois l’occasion d’arrêter, je ne l'ai pas fait. Et je ne le ferai probablement jamais. Cela détruira probablement mon mariage lorsque mon mari finira par le découvrir. Peu importe les trésors de stratégie que je déploie pour essayer de lui cacher, ou combien de mensonges crédibles j’invente.
Il découvrira le pot aux roses. Je vais dér d'une manière ou d'une autre, et je pourrai numéroter mes abatis.

J'aime mon mari, j'aime le confort qu’il me procure, et je ne peux pas m’imaginer vivre avec quelqu'un d'autre.
Mais je vais finir par tout perdre. Je le sais, mais je ne peux pas m’arrêter.

Avec Tina, Suzy, Cathy et Elsa, nous avons passé nos quatre années d’université comme les cinq doigts de la main.
Inséparables, toujours prêtes à faire les 400 coups, nous avons brûlé notre jeunesse à tout goûter, à tout essayer ...

En entrant dans la vie active, nous avons ralentis un peu, ne nous réunissant que le vendredi ou le samedi soir, jamais les deux, pour boire et danser dans les clubs locaux et nous écraser comme des loques humaines le lendemain. 
Puis les liens ont commencé à se distendre, et l’une après l’autre, nous nous sommes mariées et nous nous sommes rangées. Nos soirées ensemble sont devenues de moins en moins fréquentes, et de moins en moins folles.

Lorsque Elsa m'a appelé, cela faisait plusieurs mois depuis notre dernier charivari. Elle m’a raconté qu’elle avait surpris son mari, dans le garage, en train de déflorer la gamine des voisins. Elle l’a mis à la porte, puis elle est allée tout raconter à la voisine, en lui suggérant qu’elle pouvait déposer plainte contre son mari, puisque la gamine est mineure. Mais la voisine a minoré l’incident, et Elsa a compris qu’avant de baiser la gamine, son mari avait niqué la mère.

"J'ai besoin de sortir et de me cuiter, Charlotte. J'ai appelé Tina, Suzy et Cathy pour savoir si nous pouvions nous réunir vendredi soir, et elles sont toutes OK pour ça.

Charlotte, tu n’as pas le droit de nous laisser tomber."

Je lui ai dit que je la rappellerai, puis je suis sortie dans le patio où Steve travaillait sur sa tondeuse à gazon.

"Chérie, as-tu des plans pour ce week-end ?"

"Non. Pourquoi ?"

"Elsa vient d'appeler, elle essaie de réunir la bande vendredi soir, pour une virée entre filles. Je lui ai dit que je demandais ton consentement avant de confirmer."

"Vas-y. Une soirée entre filles te fera le plus grand bien."

J'ai rappelé Elsa pour lui confirmer ma participation, et nous avons convenu de nous retrouver à notre abreuvoir habituel, ce vendredi, en début de soirée. Je suis arrivée la dernière au dancing, les quatre autres étaient déjà installées à une table près de la piste de danse. Nous avons exécuté notre «rituel», pierre, feuille, ciseaux, pour savoir laquelle d’entre nous devait rester sobre pour nous ramener en fin de soirée.

Seulement quatre d'entre nous participent, la perdante de la dernière fois est exemptée. C’est Suzy qui a perdu. 
Elle fait la fête avec nous, mais elle est limitée aux cocktails sans alcool. Celle qui est désignée doit nous ramener en sécurité en fin de beuverie, et nous retournons chercher nos voitures le lendemain.

J'avais à peine trempé les lèvres dans mon premier verre, que les gars ont commencé à défiler pour nous inviter à danser. Rien de nouveau. Chaque fille paye son premier verre. Après, les gars se battent pour nous offrir nos boissons, et on les rembourse en dansant avec eux.

Les loups essayent de séparer le troupeau de brebis égarées, en nous contant la romance du parking et de l’auto si confortable, mais ils peuvent toujours espérer, cela n’arrive jamais. Nous sommes là pour faire la fête, passer un bon moment, danser, mais nous ne sommes pas intéressées par la bagatelle. 

Bien sûr, nous sommes conscientes de devoir subir leurs mains baladeuses et le contact de leur érection, parce que c'est le prix à payer pour boire gratis, mais aucun d'entre eux ne pourra baiser l’une d’entre nous.


Nous sommes restées un moment ici, puis Suzy nous a conduits dans une boîte plus réputée. Nous avons trouvé une table vide et nous nous sommes installées. Nous n’avons pas eu le temps de commander nos boissons, que des gars se sont précipités pour nous inviter à danser.

Je me sentais déjà un peu pompette, autant à cause des boissons que de l'attention que j’avais reçue de mon cavalier, dans la première boîte. Gentil mais collant. Entreprenant même. Il m’avait plaquée contre lui, ma hanche contre la bosse de son pubis, afin que j’évalue correctement la taille de son désir. J’étais moulée contre lui, dolente et passive, afin d’obtenir de ce charmant jeune homme mon poids en boissons alcoolisées.

Certes, je ne le repoussais pas, mais je ne le taquinais pas non plus. Je le laissais s’échauffer, cela ne me concernait pas. Ses caresses rugueuses me donnait de la matière pour satisfaire mon mari en rentrant à la maison.
Dans la seconde boîte, le premier cavalier que j’ai accepté était sur le même modèle que le précédent.

Au bout de deux danses lascives, il me tenait chaud et j’avais soif, alors je lui ai demandé de me raccompagner. Arrivés à la table, trois tables avaient été rapprochées, et il y avait cinq gars assis autour des filles. Elsa connaissait deux des gars et elle les avait invités à nous rejoindre. Ils ont dit qu'ils aimeraient bien, mais ils étaient avec des amis, alors Elsa leur a dit de venir tous nous rejoindre. 

Mon cavalier m'a regardée, espérant une invitation, mais j'ai juste dit "Merci pour la danse" et je l’ai congédié.

Au cours de la prochaine heure, les gars se sont relayés pour faire danser les filles. Suzy était notre chauffeur sobre. 
Les gars avaient aussi leur chauffeur sobre, mais c’était toujours le même, car l'alcool le rendait malade. Comme il ne buvait pas, Suzy a été autorisée à boire. À aucun moment, personne d’entre nous n’a pensé qu'un pilote pour dix personnes, ça ne pourrait jamais marcher.


Au cours de la soirée, j’ai compris que Elsa connaissait deux des gars qui flirtaient avec nous. Ils travaillaient ensemble, et elle leur avait dit qu'elle sortait avec ses copines, ce soir-là. Les deux gars qu'elle connaissait ont rameuté leurs copains, et ils nous attendaient quand nous sommes arrivées.

Nous nous sommes relayées pour danser avec les gars, et la boisson coulait à flots. Elsa semblait avoir le béguin pour l'un des gars avec qui elle travaillait, et elle a passé la soirée collée à lui. Le dancing allait fermer, mais tout le monde était encore d'humeur "fêtarde". Alors David, le gars avec qui Elsa passait sa soirée, a dit qu'il connaissait une boîte qui restait ouverte généralement jusqu'aux petites heures du matin . Cathy a demandé ce qu'il voulait dire par "petites heures" et il a répondu la lumière du jour.

"Nous pouvons faire ça !" Tina et Suzy ont crié presque en même temps. Cathy et Elsa m'ont regardée, alors j'ai haussé les épaules et j'ai hoché la tête. C'est quand nous sommes sortis, qu’un seul chauffeur sobre pour neuf personnes éméchées, ça fait comme un problème. Suzy n'était plus en mesure de conduire. Charles était le moins enivré des gars, ou le plus solide, il a donc été désigné pour conduire l'une des voitures. Jean était le chauffeur sobre, il a conduit l’autre.

Elsa et moi nous sommes retrouvées dans la voiture conduite par Jean. Elsa était assise à l'avant entre Jean et David, et j'étais à l'arrière, coincée entre Serge et Henri. Nous n'étions même pas sortis du parking que Elsa s’est collée à David. Quand Serge a posé sa main sur mon genou, je l'ai repoussée. Mais Henri a passé son bras autour de mes épaules. Alors j’ai lâché la main de Serge pour me concentrer sur la main de Henri qui palpait mon sein.

Profitant du fait que j’étais occupée ailleurs, Serge inséra sa main entre mes jambes. À l'avant, Elsa et David s’embrassaient à pleine bouche. Occupée à me débattre entre Serge et Henri, j’ai quand même vu Elsa lâcher la bouche de David pour s’occuper de lui, plus bas.
En voyant les contorsions de David, j’ai compris qu’il dégrafait son pantalon pour laisser un libre accès à la bouche de Elsa.

Voyant Elsa occupée, le conducteur, Jean, s’est intéressé à ce qu’elle cachait sous sa jupe, et sa main est partie en exploration. L'angle du rétroviseur était tel que je pouvais distinguer Elsa suçant la bite de David, pendant que Jean lui pelotait les fesses. Occupée à combattre les mains baladeuses de Serge et de Henri, je commençais à me fatiguer.

J'avais beaucoup bu et j'étais un peu étourdie. J’avais beaucoup flirté et j’étais un peu émoustillée. Ce qui se passait à l’avant de l’auto m’incitait à me relaxer, mais je me souvenais que j'étais une femme mariée. Mais une faiblesse momentanée m’empêchait de combattre efficacement les deux paires de mains. Mon envie de rire et mes soupirs n’encourageaient pas mes deux soupirants à un peu de courtoisie.

J’avais beau leur dire "arrêtez ça, je ne peux pas" ou "allez les gars, soyez gentils", ils ignoraient mes supplications et leurs mains se faisaient de plus en plus audacieuses en pénétrant sous mes vêtements. Mes terminaisons nerveuses trop sensibles et trop sollicitées me trahissaient, j’essayais dans un dernier effort de me libérer, mais Henri a posé sa bouche sur la mienne pour me bâillonner.

Il a bloqué ma tête contre son épaule, son bras passait autour de moi pour peloter mon nichon. Sa main libre, sous mon menton, enserrait ma gorge, livrant ma bouche aux assauts de la sienne. Lèvres closes, je respirais par le nez.
Je le laissais faire, utilisant mes deux mains pour combattre celles de Serge, sous ma jupe, alors qu’il baissait ma culotte.

J'ai serré mes jambes l'une contre l'autre pour essayer de l'empêcher de passer, mais il a arrêté de tirer sur ma culotte, et ses doigts sont allés sur ma chatte. Je me tortillais en sentant ses doigt glisser sur moi, puis il a saisi mon clitoris. Mon clitoris est très sensible et dès qu'il l'a tripoté, mon corps a réagi comme il le fait toujours, une onde de désir a traversé mes reins et mes jambes se sont écartées automatiquement pour offrir un meilleur accès.

Et puis la pire chose qui pouvait m’arriver s'est produite. Utilisant l’espace que je lui avais accordé, Serge a inséré ses longs doigts en moi. Il a trouvé mon point G, et ma résistance s’est achevée. J’ai ouvert mes cuisses, docile, soumise à la caresse qui m’avait vaincue.

"Tu vois, j’avais raison. Cette salope est chaude comme la braise."

J’avançais mes hanches à la rencontre de cette main qui me faisais couler de plaisir. J’ai ouvert ma bouche, acceptant le baiser de Henri. Ils ont cessé de me maintenir, ils ont dégrafé leurs braguettes pour sortir leurs bites. J’ai accepté de poser mes mains dessus et de les caresser gentiment

Henri m'embrassait toujours, et ma langue a commencé à lutter avec la sienne. Les doigts de Serge m'ont fait gémir dans la bouche de Henri, j'avais les jambes écartées et je poussais ma chatte contre ses doigts.

Je n'ai pas entendu David demander à Jean de trouver un endroit discret, mais Jean a garé la voiture et les portes arrières se sont ouvertes. Sans retirer ses doigts, Serge, aidé par Henri, m'a installée à quatre pattes sur la banquette arrière. J'aurais pu me débattre, protester, mais à ce moment-là, j'étais au bord d'un orgasme car les doigts de Serge travaillaient mon point G efficacement. Lorsque j'ai senti la bite de Serge entrer en moi, j'ai poussé un cri d’excitation. 
Henri a saisi ma tête à deux mains pour abaisser ma bouche sur son érection. 

Toute ma morale, ma fidélité envers mon mari, mon éducation se sont envolées lorsque la bite de Serge a pénétré en moi. Toutes mes pensées étaient orientées vers ce sexe qui allait et venait dans mon vagin, nu, et qui électrisait toutes mes terminaisons nerveuses.Tremblante de désir, gémissante, je me suis livrée comme une salope, creusant mes reins, en m’étouffant sur la bite de Henri, projetée en avant par les puissants coups de reins de Serge.

Puis Henri a trouvé le moyen de défaire suffisamment de boutons de mon chemisier, de sortir mes nichons des bonnets de mon soutien-gorge, et de s’emparer de mes tétons. Mes tétons sont extrêmement sensibles et lorsqu’il a commencé à les triturer entre ses doigts, j’ai perdu complètement la notion des choses. Avec Serge me baisant en levrette et Henri agaçant mes mamelons, je suis devenue une bête de sexe, avalant goulûment la bite de Henri, obsédée par l’idée de lui administrer une gorge profonde, essayant de l’accueillir le plus profond possible.

À l’avant, Elsa subissait le même traitement que moi. David la baisait en levrette pendant qu'elle suçait la bite de Jean.
Mais toute à mon vertige, je ne captais rien de ce qui se passaient autour de moi, et je ne l’ai su que plus tard.

J’ai entendu Serge gémir : "Je ne vais plus tenir longtemps. Elle est tellement bonne."

Je l'ai senti se retirer et juter sur mes fesses. J’ai continuer de sucer Henri, mais une autre bite s’est emparée de ma chatte, sans demander la permission. Henri s’est exclamé : "Hé! Je suis le suivant !"

Mais Jean lui a rétorqué : "Tu pourras la baiser pendant que je conduis. J'ai besoin de me vider les couilles avant de reprendre le volant."

Je voulais enlever ma bouche de la bite de Henri pour leur crier "d’arrêter leur chamailleries, de se taire et de me baiser" mais Henri était sur le point de jouir et il me tenait la tête à deux mains. 

Jean était en moi, et il me fourrait rageusement, au moment où Henri se vidait dans ma bouche. Il est sorti de la voiture et David a pris sa place. Je n'étais pas surprise de retrouver le goût de Elsa sur sa bite. Au temps glorieux de la fac, l’équipe des cinq filles étaient connues pour leurs exploits, dans les chambres d’étudiants ou à l’arrière des voitures.

Les garçons avaient échangés leurs places auprès des filles. Pendant que Jean me baisait, et que je suçais la bite de David, Henri baisait Elsa et Serge se faisait sucer. Jean s’est vidé sur mes fesses, comme Serge, puis retourna s’installer derrière le volant.

Serge, dont Elsa avait ressuscité la bite, revint s’installer à côté de moi. David et Serge m’aidèrent à effec un demi-tour, Serge voulant se faire sucer et David voulait me baiser en levrette. Jean démarra et conduisit pendant que Elsa et Henri essayait de baiser en levrette, dans l'espace exigu du siège avant.

Serge a fini dans ma bouche, pendant que David, tel un contorsionniste, me baisait avec sa bite de cheval. Il était vraiment plus gros que les autres, et je pouvais bien le sentir après avoir reçu les attentions des autres. David m’a fait jouir plusieurs fois, mais arrivés à destination, j’étais si proche de l’orgasme que j’ai supplié David de me terminer, ce qui a bien fait rire Elsa.

David ne m'a pas écoutée, il s’est retiré, et il m'a aidé à marcher jusqu’à la maison. Une maison ? Quelle maison ? Et la boîte qui reste ouverte jusqu’aux premières lueurs de l’aube ? Surprise ? Il n'y avait ici que Suzy et trois gars.

Les deux autres, Cathy et Tina, ont rapidement compris ce qui se tramait et elles ont exigé d’être raccompagnées à leurs voitures. Suzy, plus naïve, a préféré suivre les deux gars. Quand ils sont arrivés à la maison, ils ont trouvé un troisième gars en train de regarder la télévision. Tous les quatre s’amusaient quand nous sommes arrivés à la maison. 

Depuis longtemps, je n'avais pas vu une fille se faire trois mecs, mais Suzy se rappelait son jeune temps, et je n'ai pas pu m'empêcher de l’admirer, en me demandant si j’en serais encore capable.

Je pleurnichais d'être délaissée en pleine extase quand David m'a extraite de la voiture, donc dès que nous sommes entrés dans la maison, David m'a traînée derrière lui dans une chambre. Il m'a poussé, toujours habillée, sur le lit, et m'a chevauchée. En me couchant sur le lit, j'ai vu qu'il était en effet plus grand que la moyenne, et s'il n'avait pas déjà été en moi, j'aurais douté que ma chatte puisse l’accepter. David s’est planté en moi et il m’a baisée énergiquement.
Henri nous a rejoint sur le lit et il a mis sa queue dans ma bouche.

Les évènements sont devenus plus agités par la suite. Au cours des heures suivantes, les hommes m'ont baisée, parfois deux à la fois, et j'ai eu tellement d'orgasmes que j'étais comme une poupée sexuelle. Une cruche hébétée, mais pas totalement inconsciente. J’ai sursauté quand l'un des gars a dit:

"Et son cul ? Personne ne lui a encore pris le cul !"

Non, ils ne pouvaient pas me faire ça ! Ils parlaient probablement d'Elsa. Il y a tellement longtemps que je n’ai plus fait d’anal. J’adorais ça, plus jeune. Mais depuis mon mariage, j’avais décidé d’avoir des principes. Et j’avais toujours interdit la voie rectale à mon homme. Je n’allais tout de même pas accepter d’être sodomisée par une bande d’ivrognes.

J'ai entendu "Ils ont ce qu’il faut dans l'autre pièce, ils l’ont utilisé sur la rousse (Suzy) je vais aller le chercher." 

À ce moment-là, je ne savais pas si Elsa acceptait l'anal, je ne l'avais pas entendue dire «non». J'étais à quatre pattes avec la bite d’un mec dans ma bouche, pendant qu'un autre me prenait en levrette.

J’ai entendu : "Tiens, voilà le truc !"

La bite a été retirée de ma chatte et j'ai senti quelque chose de froid toucher mon trou du cul. 
J'ai pensé « pas question !» et j'ai voulu retirer ma bouche de la bite qui me bâillonnait pour refuser.
Mais le mec que je suçais ne voulait pas que j'arrête, alors il a attrapé ma tête avec ses deux mains et m’a retenue sur sa bite. Mes protestations sont sorties comme "omff-omff". Impossible de me libérer et j'ai entendu une voix dire:

"Elle en veut. Je ne suis même pas encore entré en elle et elle devient folle."

Un doigt enduit de crème a pénétré dans mon cul, puis peut-être deux ou trois. Pendant qu'ils élargissaient mon petit trou, j'ai lutté maladroitement pour me dégager, ce qui a fait rire les gars :

"Regardez comme elle s’agite ! Cette petite pute en veut vraiment ! Regardez la façon dont elle remue ses fesses sous mes doigts. Elle essaie de prendre toute ma main en elle !"

Je me demandais pourquoi ils ne comprenaient pas que je refusais l’anal. Mes soubresauts et mes grognements inintelligibles auraient dû leur faire comprendre que je voulais dire quelque chose. En fait, le plus simple, c’était de mordre la bite qui me bâillonnait, mais cette pensée ne m'est venue que trop tard.

Les doigts se sont retirés et j'ai senti quelque chose de plus gros qu'un doigt forcer mon anus. En réalisant que j’allais y passer, j'ai essayé frénétiquement de me libérer, mais tout ce que j’ai obtenu, c’était:

"Merde, elle est vraiment excitée par l’anal, cette salope. Calme-toi, petite, je viens dans ton cul !"

J'ai senti un manche dur pousser contre l’entrée de mon trou du cul. Une douleur ? Beaucoup de douleur lorsque le gland est passé devant le muscle de mon sphincter anal. Je me sentais étirée, déchirée, envahie, pendant que celui que je suçais est venu dans ma bouche. Il a lâché ma tête et j’ai haleté et gémi en retrouvant cette sensation oubliée.

J’ai posé mon front sur le matelas, j’ai attrapé mes fesses avec mes mains, et je les ai écartées pour offrir une meilleure pénétration à celui qui me sodomisait. Le mec qui pillait mon cul a glissé sa main sous moi pour frotter ma chatte et triturer mon clitoris. Ce n’était plus la douleur qui me creusait les reins et me faisait agiter mes hanches en cadence.

L’inconfort a remplacé la douleur, puis les picotements du désir ont envahi mon ventre, et je suis déchaînée. J’étais redevenue la bête de sexe que j’étais dans ma jeunesse en sentant mon corps répondre aux sollicitations. La sensation de plénitude ressentie sous l’effet de cette bite qui allait et venait en moi. La main du baiseur qui m’enculait s’est agrippée à ma chevelure et il a claqué sa bite fort en moi. J’ai crié. Des cris approbateurs. Des cris d’encouragement à me baiser plus fort, plus vite, plus profond.

Moi aussi, j'ai répondu à la tentation de bouger mon cul plus vite en essayant de prendre plus de bite en moi. Mon baiseur s’est vidé en moi et j'ai senti ses jets de foutre m’inonder, vague après vague. Mon plaisir m’a terrassée. J'étais étonnée par la violence de l'orgasme et par la quantité de sperme qu’il était encore capable de produire.

Il s’est retiré, j’étais anéantie, le cul en l’air, la joue posée sur le matelas, essayant de reprendre mes esprits, lorsqu’une autre bite est entrée dans mon cul.

Un autre mec m’a attrapée par les cheveux pour soulever ma tête et fourrer sa bite dans ma bouche. Ils m’ont baisée ensemble, l’un dans mon cul, l’autre dans ma bouche. Puis, ils s’y sont mis à trois. J’étais un pantin désarticulé. Je gémissais et je grognais des encouragements aux mecs qui me baisaient. Cela ressemblait à un orgasme continu alors que tous les hommes m'utilisaient à tour de rôle comme une poupée sexuelle.

Puis le plaisir est devenu tellement fort, où alors c’est l’épuisement, mais je me suis évanouie. Je ne sais pas à quelle heure je me suis évanouie. Je ne sais pas ce qu’ils ont fait de moi, s’ils ont continué à me baiser, ou s’ils m’ont laissée tranquille. Tout ce que je sais, c’est qu’il faisait grand jour quand je me suis réveillée. Le soleil brillait haut dans le ciel.

Je me suis réveillée, allongée sur lit, poisseuse et gluante de sperme séché, avec mes orifices horriblement distendus.
À côté de moi, sur le lit, Elsa ronflait doucement. Assise, ou plutôt tassée dans un coin de la pièce, les bras serrant ses genoux contre sa poitrine, Suzy pleurait en reniflant doucement.

J'ai essayé de me lever, mais mon corps me faisait mal partout. J'ai secoué Elsa. Elle a reniflé bruyamment et elle a commencé à se réveiller. Nous nous sommes approchées de Suzy pour voir ce qui n'allait pas. Il a fallu un peu de temps à Suzy pour s’arrêter de pleurer et nous dire ce qui la tourmentait.

"Comment vais-je pouvoir me présenter devant mon mari ? Vous avez vu la tête que j’ai ? Comment vais-je pouvoir lui expliquer ce que j'ai fait cette nuit ?"

"Tu ne lui racontes pas ce que tu as fait !" dit Elsa. "Tu lui dis que tu avais trop bu et que tu es restée dormir chez moi plutôt que d'essayer de rentrer à la maison. Depuis que j'ai viré mon mari, personne ne pourra raconter la vérité au tien."

"Mais comment puis-je me présenter devant lui, lui faire face, et lui mentir effrontément ?"

"Tu dois juste ranger ce que tu as fait cette nuit au rayon des souvenirs et l’oublier, si tu peux. Ce n’est pas la première fois que tu vas lui mentir. Tu prends ton air angélique, tu le regardes bien dans les yeux avec ton regard de petite fille qui a peur de la fessée, tu te pends à son cou et tu es très gentille avec lui. Très, très gentille ! Tu te souviens de l’anniversaire d’Annie ? Et du nombre de gars qui te sont passés dessus cette nuit-là ? Tu t’en es sortie !"

"Ce n'était pas la même chose. Nous n'étions pas mariés à l’époque !"

"Mais tu avais l'intention de l'épouser, et tu lui as quand même caché tes exploits."

"Mais..."

"Pas de mais chérie. Si tu aimes ton mari et que tu veuilles le garder, mens-lui. Ce l’on ignore ne peut pas faire souffrir. Reste simple. Basique. On a fait la fête, tu étais bourrée, tu as passé la nuit chez moi. Le reste, oublie-le !"

Elsa se tourna vers moi et m’a demandé : "Et toi Charlotte ?"

"Pareil. J'ai passé la nuit sur ton canapé à cuver ma cuite !"

"Voilà, Suzy. Charlotte et moi, nous raconterons la même histoire."

Elsa rassurait toujours Suzy quand je suis partie à la recherche d’une salle de bain. Après m’être rafraîchie, je suis sortie et j'ai entendu des voix. Je me suis dirigée vers le son et j'ai trouvé David et Henri assis dans la cuisine, en train de boire un café. J'ai pointé du doigt les tasses et j'ai dit: 

"J'ai besoin de ça, et ensuite nous aurons avoir besoin d'une voiture avec chauffeur."

"Les tasses sont dans le placard à gauche, la crème est dans le réfrigérateur et le sucre est là-bas sur le comptoir."

En me versant une tasse de café, j'ai dit: "Je devrais vous haïr pour ce que vous m'avez fait subir la nuit dernière, mais sans que je comprenne pourquoi, je ne peux pas vous en tenir rigueur."

"Probablement parce que tu as aimé chaque instant" a dit Henri.

Je n'ai rien pu répondre à ce sujet. Effectivement, j’ai aimé chaque instant. David a ajouté:

"Et je parie que tu vas vouloir recommencer."

"Pas question, mec ! La seule chose que je veux faire, c’est de m'assurer que mon mari ne découvre jamais ma trahison. Je le connais, il me fera la peau avant de te courir après avec une arme à feu chargée !"

Avant que Henri ou David ne puisse répondre quoi que ce soit, Elsa est arrivée et a dit que nous devions partir pour que Suzy puisse rentrer chez elle. David nous a conduites à nos voitures. En nous disant adieu, David m'a tendu un morceau de papier avec un numéro de téléphone dessus. J'aurais dû le rembarrer et le lui jeter à la figure, mais je ne l'ai pas fait. Je l'ai glissé dans ma poche avec l'intention de le jeter à la poubelle à la première occasion.

Suzy, Elsa et moi sommes retournées chez Elsa. Pendant que Suzy se douchait, j'ai appelé mon mari (pour qu'il puisse voir que j'étais chez Elsa), je me suis excusée de ne pas l'avoir appelé, et je lui ai avoué m’être cuitée et avoir été trop malade pour penser à l’appeler. J’avais passé la nuit chez Elsa, j’allais prendre une douche, boire des litres de café, avant de rentrer à la maison.

Il m'a répondu que c’était ce qu’il avait imaginé, que je n’étais pas raisonnable, et que j’étais une «vilaine fille».
Suzy est sortie de la douche à ce moment-là, et j’ai pris sa place pendant qu’elle appelait son mari pour lui raconter la même histoire que moi.

Pendant que je me lavais, j'ai pensé à ce que j'allais devoir faire et dire pour empêcher mon mari d’utiliser mes orifices distendus. Ma chatte était tellement dilatée que je pouvais plonger la main dedans comme dans un sac à main. Et mon trou du cul était tout boursouflé.

Nous ne faisions jamais d'anal, normalement il ne devrait pas remarquer à quel point j'étais congestionnée. Mais les lèvres de ma chatte toutes tuméfiées ? Gonflées et rouge sang ? J’avais besoin d'un peu de temps pour que cela reprenne son air naturel. Mes règles étaient dans quelques jours. 

Je pourrais plaider un mal de tête lancinant pour aujourd’hui et prétendre que mes règles commençaient le lendemain.
Cela devrait suffire pour atténuer les traces du gang-bang, même et surtout les bleus qui fleurissaient un peu partout.
Je pourrais faire patienter mon mari avec des fellations pendant quelques jours. Pas besoin de nu intégral pour cela, et il attendra gentiment de pouvoir m’utiliser à nouveau.

Quand je suis arrivé à la maison, mon mari était en train de tondre la pelouse. Il a éteint la tondeuse et m'a demandé:

"Comment va ta tête ?"

"Il y a des gars là-dedans qui tapent sur des poubelles métalliques avec des barres de fer."

"Va prendre un comprimé et allonge-toi. Je vais arrêter de faire du bruit."

"Ça va aller. T’inquiète pas, j'ai beaucoup à faire aujourd'hui. J'ai ma lessive et ma maison à nettoyer. Si je souffre un peu, cela me rappellera d’arrêter mes conneries pour la prochaine fois."

Je suis entrée dans la maison, j'ai enfilé un survêtement, et je me suis mise au travail. Je chargeais la machine à laver en fouillant les poches, comme d’habitude. Dans la poche de ma jupe en jeans, j'ai trouvé le morceau de papier que David m'avait donné. Je me suis souvenue de ce que les gars m’avaient dit, ce matin :

"Probablement parce que tu as aimé chaque instant" 

C’est vrai que j’ai adoré chaque instant, un voile de nostalgie est passé devant mes yeux, j’ai soupiré et j’ai pensé à David :

"Et je parie que tu vas vouloir recommencer."

Non, ça, pas question. Je ne suis pas la salope qu’il imagine. J’ai perdu la tête, OK, j’ai fait des saloperies, OK, mais je suis une femme mariée, je veux garder mon mari et je ne recommencerai plus jamais. JAMAIS !

Même si j'aurais aimé le refaire, je savais que je ne pourrais pas. J'aimais mon mari, et je ne voulais rien faire qui puisse gâcher mon mariage. J'ai regardé avec nostalgie le morceau de papier avec le numéro de téléphone dessus, puis je l'ai froissé et je l'ai jeté à la poubelle.

Mon plan a fonctionné. J'ai simulé un mal de tête, menti sur mes règles, j’étais crédible avec la tête de déterrée que j’avais. J’ai satisfait mon mari avec des pipes jusqu'à la fin de mes règles, puis je lui ai donné le meilleur sexe qu'il ait jamais eu depuis notre mariage.

Je me demandais comment je pourrais l'amener à aborder le sujet du sexe anal. Je ne pourrais jamais refaire le trio que j'avais tant aimé, mais l'anal c’était quelque chose que je pouvais faire. J’en avais tellement envie, mais seulement si mon mari abordait le sujet. Je lui avais refusé à plusieurs reprises, et il avait cessé de demander. Je ne pouvais pas lui demander :

"Hé, au fait, j'ai décidé d’essayer l'anal ! Ça te dirait de m’enculer ?"

Non, cela devait venir de lui, sinon, il trouverait ça louche.

Deux mois se sont écoulées, mais le souvenir de mon gang-bang ne s'est pas estompé. En fait, chaque fois que mon mari me fait l'amour, ou quand je parle avec Elsa, le souvenir revient me mordre le cœur. Elle s'est excusée une douzaine de fois de m'avoir mis dans cette situation. Mais jamais je ne lui ai avoué à quel point j'avais aimé ce qui s'était passé.

Selon Elsa, Suzy aussi avait réussi à berner de manière convaincante son mari. Cela m'a ôté un poids, car si Suzy avait craqué, nul doute que son mari aurait appelé le mien.

Un matin, ma patronne m'a informé que notre principal client souhaitait changé les illustrations de sa plaquette de présentation. Je devais rencontrer le jour même son responsable commercial, pour discuter avec lui des modifications à apporter. J’ai pris rendez-vous avec lui pour l’après-midi à 14 heures.

Ce client est situé dans le même quartier que la boîte où Elsa travaille. Je l'ai appelée pour lui demander de déjeuner ensemble. Elle a accepté, et je devais passer la prendre un peu avant midi. Je suis arrivée un peu trop tôt, et j'ai décidé de monter dans son bureau au lieu d'attendre dans le hall. J'ai pris l'ascenseur jusqu'à son étage. La première personne que j'ai croisé en sortant de l'ascenseur, c’était David. Il m’a souri d’un air suffisant de macho sûr de lui.

"Tu n'étais pas obligée de venir me solliciter jusqu’ici. Tu m’aurais appelé, et je t'aurais rejointe quelque part."

Il a pris mon bras et m'a entraînée dans un bureau. Comme je lui expliquais que je venais rejoindre Elsa pour l’emmener déjeuner, il a verrouillé la porte.

"Pas d’histoires, tu es venue ici pour te faire sauter. Tu aurais pu attendre Elsa dans le hall, si tu es venue jusqu’ici, c’est pour me voir. Ta chatte te démange, tu as besoin d’un bon coup de bite !"

J'ai commencé à lui dire qu'il avait tort, mais il m'a embrassée pour me faire taire. Il m'a enlacée et la surprise m’a laissée bouche ouverte. Nous avons échangé un long baiser langoureux, et j’ai eu le temps de réfléchir qu’il n’avait pas entièrement tort, je n’avais pas besoin de monter ici, j’aurais pu attendre dans le hall. Je me suis libérée de son étreinte, et je lui ai dit :

"Je suis heureuse de te voir, mais je n’ai pas besoin d’un coup de bite. Je dois m’en aller, Elsa m’attend."

Il m’a libérée, m’a ouvert la porte, et avant que je sorte, il m’a dit:

"Au coin de la rue, l’hôtel Martin. J'y serai ce soir vers 18 heures. Attends-moi au bar si tu veux ton coup de bite."

Je me dirigeais vers le bureau d'Elsa. Je n'ai pas mentionné la rencontre à Elsa, mais c’est resté dans mon esprit tout l’après-midi, m’empêchant de me concentrer. J'ai pensé à David qui allait m'attendre et à ce qu’il voulait qu’on fasse.
J’ai pensé à sa bite, et cette pensée mouillait ma chatte. Mais je n'avais aucune intention de lui céder.

Alors pourquoi est-ce que je franchissais la porte de l’hôtel à 18 heures ?

J'aimerais pouvoir blâmer le sort qui s’acharne contre moi, les vents contraires, ou même la terre entière. À 17 heures, mon mari m’a appelée pour me dire qu’il avait un dépannage urgent, qu’il sautait dans sa voiture, et qu’il pensait en avoir pour plusieurs heures. Il a précisé qu’il prendrait une chambre d’hôtel sur place parce que son dépannage était à plus d’une centaine de kilomètres, et qu’il ne voulait pas conduire fatigué.

Je n'avais pas l’intention de rentrer chez moi et de passer la soirée seule. Je savais que j’allais penser à David toute la soirée, et que j’allais déprimer. Alors j'ai appelé mes copines les unes après les autres, Elsa, Cathy, Tina, mais aucune n’était libre ce soir. Je n’ai pas osé appeler Suzy, j’ai eu peur qu’elle ne soit pas suffisamment remise de son gang-bang. Dieu seul sait ce qui se passerait si elle craquait et qu’elle raconte tout à son mari. Le mien serait prévenu aussitôt.

Je me suis résignée à passer ma soirée avec David. Je pensais être assez forte pour lui résister. Je voulais lui prouver que je n’étais pas la salope qu’il croyait. Lorsque j’ai poussé la porte, j’ai été surprise par le faible niveau de lumière.
J’ai fait quelques pas, et j’ai vu David assis à une table. Il n’était pas seul, Henri l’accompagnait. J’aurais dû faire demi-tour et m’enfuir. Mais je ne l'ai pas fait.

Je les ai rejoints et avant même que je m’asseye, David a attaqué:

"Préfère-tu t’asseoir ici, boire un coup en discutant, ou préfère-tu y aller directement ?"

Ils restaient assis là, à me regarder, attendant ma réponse. Je savais ce qu'il voulait dire par «y aller», parce que j'avais décidé de venir les rejoindre à cette table. J’aurais pu m’enfuir, ils ne m’auraient pas couru après. Je les avais vu, tous les deux, et je les avais rejoints. Pas pour faire la causette …

Je n'ai pas perdu mon temps à penser au bien ou au mal, je me suis juste souvenue de ce que je ressentais quand ma chatte et mon cul étaient occupés, et de la force de mes orgasmes. David me regardait ramasser mon sac à main, et j’ai juste dit:

"Allons-y."

En prenant une douche dans la salle de bain chez David, j'ai réfléchi à ce que je venais de faire, et je savais que j'allais vouloir le refaire. Encore, et encore, et encore … David avait raison de me traiter de salope.

J'étais au lit quand mon mari est rentré à la maison. Quand il est entré dans la chambre, il m’a réveillée et je lui ai dit: 

"Dépêche-toi bébé. Je suis chaude comme la braise et j'ai besoin d’un homme."

Alors qu'il entrait en moi, j'ai enfoncé mes ongles dans ses fesses et je l'ai exhorté à me baiser plus fort. Mon plan était de le baiser jusqu'à épuisement aussi souvent que possible. Si je pouvais l’épuiser suffisamment, il ne se demanderait peut-être pas si je le trompais. C'était mon seul espoir, de toute façon.

Souhaitez-moi bonne chance.

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