Beau Mariage ... Drole De Nuit De Noce ...

- Bonjour Fabrice, ça va ? j’ai une grande nouvelle à t’annoncer, vous êtes
invités toi et Ingrid au mariage de ma petite Aude qui épouse clément que tu as déjà
aperçu
- Félicitations ! ils vont vite en besogne dit donc, elle est jeune non ?
- Hé vingt deux ans mon vieux ils nous poussent vers la tombe ! et puis son
copain vient d’avoir une belle promotion et ils décident de voler de leurs propres
ailes
- Ils ont raison avoir un beau père comme toi sur le dos toute une journée c’est
dur
- Ahahahah ! pauvre couillon ! j’ai un service à te demander, vous habitez tout
prés de la salle des fêtes, votre maison est grande, tu pourrais les recevoir pour la
nuit de noce ? je n’aimerais pas les savoir sur la route après avoir fait la nouba,
personne n’ira les chercher aussi prés !
- Bien sûr voyons, je déposerais même une bouteille de champagne au pied du lit
! et la soupe aux oignons le lendemain matin !
- C’est bon de pouvoir compter sur les copains, vieille fripouille !
C’est comme ça qu’un mois plus tard nous les accompagnons a la mairie, Aude une
brunette aux cheveux courts et aux yeux pétillants est magnifique dans sa robe
blanche, un décolleté savant étudié permet de voir la moitié ses seins, je n’ose
imaginer les dessous affriolants… le marié a l’air très attentionné, une centaine de
gens sont présents, dans la salle des fêtes l’ambiance est au beau fixe, une petite
blonde qui doit être la sœur du marié me tourne autour tout l’après midi sous le
regard assassin de ma femme , j’espère bien la coincer quelque part avant la fin de la
nuit cette petite aluneuse ….
Je profite d’une danse a la ‘queue leu- leu ‘ pour m’éclipser dehors, ma blonde
apparait, elle n’ose s’approcher alors lentement je me dirige vers un coin hors de la
lumière dans une encoignure de mur, j’entends le son des escarpins sur le béton, elle
a un léger sursaut a ma vue
- Bonsoir tu prends le frais ?
- Oui il faut chaud à l’intérieur
- Ton cavalier est partit ?
- Boff c’est un nase ! il ne fait que picoler avec ses copains, vous êtes
parents avec la mariée ?
- Un pote de son père simplement, tu as froid ? je viens de te voir frissonner
- Ce n’est peut être pas a cause du froid ….


Je pose mes deux mains sur ses épaules elle ne résiste pas quand je l’attire a moi
- Tu es belle... tu me plais beaucoup...
- Vous aussi ….
Je lui fais faire un demi-tour et la plaque sur le mur, ma bouche prend possession de
la sienne tandis que ma main n’en finit pas de relever cette maudite longue robe, ses
genoux sont déjà ouvert et pliés en avant elle attend que j’atteigne son entre jambes,
je lui att un poignet pour lui faire sentir l’ampleur de mon érection, sa
respiration s’accélère quand j’écarte le tissu étroit du string, mes doigts fourragent
dans les poils, sa fente dégouline de nectar, elle tire sur le zip de ma fermeture et
engouffre sa menotte dans mon pantalon, mon gland émerge a la taille de mon boxer
Nous poussons à peu prés les mêmes soupirs de satisfaction lorsque nous nous
masturbons mutuellement, son vagin fait des clapotis, ma sève glisse lentement de mon
méat, elle extrait mon membre a l’ait libre et le dirige entre ses cuisses, pour
laisser l’accès j’ôte mes doigts humectés de sa mouille, je pousse au hasard la
laissant s’embrocher seule, enfin je ressens la chaleur intérieure de son ventre, elle
pousse un cri étouffé, je vais pour commencer a limer sa chatte lorsque j’entend un
appel au micro dans la salle , les enchères pour la jarretière de la mariée vont
commencer , merde ! Je ne veux rater ça pour rien au monde, j’ai juré a son père de la
récupérer a n’importe quel prix !
- Excuse moi bébé je dois y aller
- HOOO NOOOOOOOOOOOON !!!! quel goujat !
- Ce n’est que partie remise, je te ferais ton affaire après si tu veux
Je fonce dans la salle
- Ou était tu encore passé toi ?
- Je prenais l’air Ingrid
- Tu as taché ta braguette ?
- Off j’ai dut me pisser dessus ! bon, je vais vers l’estrade pour la
jarretière… tu as picolé toi ?
- Que veux tu que je fasse d’autre, tu me laisse tomber comme une vieille
chaussette
La mariée a posé un pied sur une chaise, sa robe remontée a mi- cuisse juste a la
limite de ses bas blancs ou est fixée la jarretière, les enchères commencent, je sais
que ça va être interminable, le petit objet très convoité monte et descend pendant une
heure, les gens se lassent j’en profite pour porter ‘ l’estocade ‘ je mise gros et
l’animateur m’adjuge la jarretière, j’ai l’immense honneur de la retirer avec les
dents, me voilà a genoux entre les cuisses d’Aude , elle sourie et remonte sa robe a
la limite du string que vu ma position je suis seul a voir, tout le monde applaudit,
ma tête est a dix centimètres de l’entre- jambe, un léger parfum de grande marque ne
camoufle pas les effluvent intimes dues a la sueur de la journée, aux pipis mal
essuyés, et sans doute a l’excitation de l’événement , la petite culotte de soie est
bien renflée ,j’envie le marié qui va s’en donner a cœur joie bientôt ! Des hommes
jaloux sifflent trouvant sans doute que je reste longtemps trop prés du ‘bonheur’ !
J’arrache le trophée et me relève triomphant, ce bout de tissu m’a couté une petite
fortune ! Je rejoins ma femme qui me fait la gueule ! Les heures passent je n’ai pas
revu ma petite blonde, je ne vois plus non plus les mariés, ils se sont éclipsés
discrètement, comme ont dit chez nous : le matin la mariée est en blanc et le soir
‘enfoncée ‘ ……
Soudain Ingrid a la nausée, c’était a prévoir, sa robe est tachée, merde je vais aller
la coucher a la maison, ivre morte je la soutien et l’amène a la salle de bain, j’ai
une petite pensée pour les tourtereaux couchés dans une chambre éloignée a l’étage
pour couvrir les éventuels cris !
- Bon ça va mieux j’ai pris un somnifère je vais me coucher, tu peux revernir
là-bas pour t’amuser avec la petite blonde ….

- Ne dit pas de bêtises ….
Je profite d’être a la maison pour boire un verre d’eau quand soudain des pas dans
l’escalier, c’est Clément le jeune marié qui descend en slip de la chambre nuptiale …
- Tu as besoin de quelque chose Clément?
- Oui du viagra !
- Houlà !que ce passe t il ?
- Je n’y comprends rien, ça ne m’est jamais arrivé
- Tu sais la nuit de noce est rarement mémorable il vaut mieux faire ça la
veille !
- Si je ne fait pas jouir Aude cette nuit elle m’en voudra jusqu'à la fin de
nos jours
- Essaie de la raisonner...
- Dites moi, vous êtes Fabrice le copain de mon beau père ?
- Bien sûr pourquoi ?
- Vous êtes l’idole de ma femme,
- Ah ?
- Je la comprends mieux maintenant, c’est vrai que vous êtes bel homme …
figurez vous qu’un jour sur l’oreiller nous parlions de nos fantasme, elle me
demandait : si tu devais me tromper ce serait avec quelle actrice ? sans hésiter je
lui ai répondu
- Avec Angélina jolie, et toi ?
- Moi ce serait avec Fabrice !
- Fabrice ?
- Oui !
- Fabrice Lucchini ?
- NON ! Fabrice le copain de papa tu ne le connais pas, il est super craquant …
surtout que je l’ai vu nu un jour par pur hasard il en s’en doute même pas, tu verrais
son machin Wouah ! quel manche !
- Elle a dit ça ? Je tombe des nues !
Apparemment la jeune mariée s’impatiente car elle descend a son tour, j’ai un grand
choc, elle a seulement sur elle ses bas et son porte- jarretelles un déshabillé
vaporeux blanc qui n’est même pas noué, le triangle noir qui souligne son entre
cuisses attire le regard ainsi que ses seins fièrement pointés
- Hé bien chéri que fais-tu ? tu ne veux pas réessayer ?
- je crois que c’est foutu pour ce soir mon amour
- Ha ! FABRICE !! vous êtes là ! excusez ma tenue mais je ne vais pas jouer les
effarouchées devant vous qui avez vu mon petit slip il y a peu ! avez-vous passé une
bonne soirée ?
- Très belle ! merveilleusement bien organisée
- Montez donc, nous vous invitons dans notre chambre à déguster une coupe de
champagne
- Je ne veux pas vous déranger.
..
- Pas du tout mon mari est au point mort nous discuterons !
- Alors j’amène un verre
- Laissez, vous boirez dans le mien !
- Je vais connaitre tes pensées ma petite !
- Je crois les deviner Fabrice ….. ne contrariez pas Aude, acceptez notre
invitation …
Mon cœur bat la chamade en suivant les tourtereaux dans la chambre ou aurait dus se
passer les pires obscénités
Complètement décontractée la jeune femme s’assied négligemment sur le lit les jambes
écartées, je ne peux m’empêcher de mater sa fente légèrement ouverte par le désir de
baiser, Clément sert deux coupes, Aude boit une gorgée et me tend le reste
- A vous Fabrice !
Lentement je bois le liquide pétillant
- Alors que pense ma femme ?
- Je … je ne sais pas !
- Hé bien moi je vais vous le dire, elle souhaite jouir avec vous !
- vous êtes fous ?
- Venez-vous assoir prés de moi …. Pose ta main ici …
- Sur tes seins ?
- Ils ne te plaisent pas ?
- Que si !
- Alors pelote- moi, met l’autre entre mes cuisses, touche ma vulve, regarde
comme elle mouille pour toi
Submergé par l’excitation j’obéis, mes doigts entre aisément dans sa moule qui suinte,
d’autres doigts font rouler les tétons, la jeune femme s’abandonne et glisse sur le
dos, Clément prend position de l’autre coté et m’aide à caresser son épouse
- Je crois qu’elle aime... et moi aussi je sens que mon pénis durcit …Fabrice ?
- Oui Clément ?
- Vous bandez, baisez là
- Quoi ?
- Baisez là devant moi, je prendrais sa moule souillée par votre sperme, ne dite
pas non, déshabillez vous vite ! je veux qu’elle se souvienne a jamais de sa nuit de
noce
- Il a raison, baise moi Fabrice j’ai souvent mouillé en pensant a ta queue, je
vais me mettre en levrette tu n’auras pas a affronter mon regard et je vais sucer
Clément en même temps
- Bravo chérie, baisons tous les trois ensembles !!
Je dois rêver.
.. j’ôte mes vêtements a toute vitesse, ma queue bandée me devance, j’ai
sous les yeux l’adorable petit cul cambré ou les jarretelles sont tendues à craquer,
au milieu duquel sa chatte renflée parait prête à exploser, un filet de mouille tombe
lentement du trou béant, cette jeune femelle est prête à être saillie, je mouille mon
gland avec de la salive, Aude a déjà en bouche la queue enfin raide de son mari
Je n’ose pas m’enfoncer dans ce petit paradis …elle ondule du cul en gémissant
d’impatience, je saisi mon membre congestionné, je pousse sur les lèvres qui s’ouvrent
comme une fleur carnivore, l’intérieur irisé brille de cyprine, d’une seule poussée
j’entre jusqu’aux testicules, nous poils se mélangent, Aude feule comme une lionne,
les deux mains a sa taille je l’attire a moi, sa gaine vaginale s’étire sous la
longueur de ma bitte, j’aimerais rentrer les couilles aussi dans ce vagin consentant,
lui exploser la chatte , l’avilir , la défoncer comme un taureau, je lime , je cogne,
je cogne ! Nos chairs claquent sous les yeux écarquillés du mari qui n’en revient pas
J’apprécie ce vagin étroit d’où s’échappe des bruits de plus en plus mouillés, je
pense à l’air dégouté que ma femme aura lorsqu’elle fera la lessive et découvrira
l’état des draps nuptiaux !
Aude donne des signes qui ne trompent pas, ses cuisses sont secouées de tremblements
elle s’arque- boute et explose dans un orgasme interminable, cela suffit à me faire
perdre pied je me colle a son cul tout le temps nécessaire pour que mes couilles se
vident dans le ventre adultère le jour même de ses noces, je me suis retiré lentement,
Clément l’a retournée aussitôt pour plonger sa tête entre ses cuisses, je suis sortis
a pas de loup de la chambre …..
Deux mois plus tard je reçois la visite de mon pote …
- Fabrice ! j’ai une bonne nouvelle à t’apprendre ! la petite Aude va être
maman ! d’après les calculs il a été fabriqué chez toi le jour des noces ! ils m’ont
dit que si c’était un garçon ils l’appelleraient FABRICE !!!!!!
Je me suis assis …………………………

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