Un Beau Mariage

Un beau mariage

Suite de :- la main baladeuse-
Au repas, nous étions par petites tables et séparés selon nos ages si bien que je me retrouvais loin de ma chère tante, belle cougar pulpeuse.
Mon frère faisait la causette à sa boutonneuse de cavalière, moi on m'avait collé une espèce de grande sauterelle sans intérêt qui ne s’intéressait pas plus à moi que moi à elle. Bref, je m'ennuyais ferme.
A la fin du repas après les jeux stupides qui m'enchantent personnes, les mariés vinrent ouvrir le bal.
La danse est un exercice ou je ne brille pas du tout, mais alors pas du tout. Les couples se formaient et se reformaient, je voyais que Dominique, par contre, prenait un malin plaisir à émoustiller les hommes en se collant à eux d'une façon presque indécente. J'en étais jaloux. Tonton ne se rendait compte de rien, les bouteilles avaient eu raison de lui.

« Alors, mon grand, tu as l'air de t'ennuyer, viens faire cette danse avec moi » me dit-elle
« Tu sais bien que je suis un piètre danseur, mais si tu y tiens »
Elle m’entraîna alors sur la piste.
Bien sûr je lui écrasais les pieds. Ma main alors posée sur son dos descendit plus bas pour lui tâter les fesses et voir sa réaction. Quel ne fût pas ma surprise, sous le tissu de la robe je ne rencontrais aucun obstacle au niveau de l'élastique de sa petite culotte. Ma parole, elle n'en portait pas.
Je me plaquais alors contre elle pour qu'elle n'ignore rien de mon désir.
« Et oui, j'ai suivi ton conseil, je n'ai pas mis de culotte et je sens que tu n'est pas insensible à ce détail, je pense même que tous mes cavaliers ont eu la même réaction que toi. Je ne pensais pas que le fait de ne pas mettre de petit bout de tissu pouvait faire un tel effet aux hommes. Il y a même un vieux saligaud de la famille du marié qui m'a carrément proposé la botte, tu te tends compte il avait au moins 25 ans de plus que moi, et malgré son âge, il bandait ce vieux cochon, je l'ai bien senti » ;
« Dominique, te rends tu comptes que nous avons la même différence d'âge »
« C'est pas pareil, je ne me vois pas avec ce vieux beau.

... »
Je continuais à lui palper le derrière, elle continuait à mener la danse sans broncher.

«  Tu trouves pas qu'il fait chaud ici, je vais prendre l'air »

Elle sortit sur la terrasse, je suivais des yeux son fessier rebondi, je bandais toujours.
Peut être était ce une invitation à la retrouver?

J'arrivais par derrière, elle était accoudée à la balustrade du jardin le cul bien en arrière. C'était trop tentant, je lui troussais la jupe jusqu'à la ceinture: mon Dieu quel cul. !!
Une vision enchanteresse, ces 2 hémisphères dans la nuit, éclairés à la lumière blafarde de la lune, comment résister. Ce ne fut malheureusement qu'une vision furtive.
D'un geste brusque elle fit retomber sa jupe en se retournant.
« Ah, c'est toi. J'ai failli te gifler, je croyais que c'était l'autre vieux vicieux de tout à l'heure. Il n'empêche que ce n'est pas une façon de faire avec les dames, jeune homme ; Vous êtes bien téméraire »
« Tu crois que c'est une façon de faire avec les messieurs que de ne pas porter de culotte ? Je bande comme un cerf, tu ne veux pas me sucer » lui dis je en ouvrant ma braguette.
« T'as vu comment tu me parles, saches qu'une tante ne suce pas son neveu, voilà tout ».
« Ah bon ! Et si je te faisais minette, c'est l'endroit idéal ici, ils sont tous à moitié endormis ils ne n’apercevrons de rien »
Et de me glisser sous sa robe, je me positionnais la tête en arrière, il faisait noir et étouffant la dessous. Il y flottait une odeur intime et sensuelle, j'étais bien. Elle écarta légèrement les cuisses pour me facilité l'accès à sa fente et malgré cette position inconfortable je me fis un devoir de lécher son intimité de l'anus au clito. Le nez dans sa toison je mettais du cœur à l'ouvrage, elle ne restait pas insensible à mes coups de langue.
Je cherchais alors avec cette langue le petit trou du pipi, je m’attardais dessus et lui fis comprendre en insistant sur celui ci que quelques gouttes seraient les bienvenues.

« T'es vraiment pas net, si je te comprends bien, tu veux que je te pisse dessus »
« Oui, c'est ça, »
« Qu'est ce que tu me fais faire. Alors seulement quelques gouttes, petit dégueulasse »
Je positionnais alors ma bouche en entonnoir sous sa féminité.
Me savoir là à attendre son nectar devait la bloquer.
« J'ai bien peur que si je me relâche, je ne pourrais plus m'arrêter, tu es bien sûr de ce que tu veux ? »
Je lui fis comprendre que oui du bout des lèvres.

J'avais quémandé quelques gouttes mais ce fut une tornade qui se déversa sur moi. Je n'arrivai pas à déglutir tout ce liquide ambré. Je toussais, je recrachais. A voir l'ampleur du désastre qui se préparait elle partit d'un fou rire, ce qui eu pour conséquence de dévier le jet d'urine en tous sens .J'étais trempé de la tête aux pieds.
Je ne lui laissais pas le temps de finir pour m'extraire du dessous de ses jupes. A me voir ainsi complètement lessiver elle se mis à rire de plus bel.
« Je t'avais prévenu quand je commence je ne peux plus m'arrêter. T'as vu comme tu es fait »
« J'ai l'air malin, tu l'a fais exprès hein ? et maintenant il va falloir expliquer la situation aux noceurs qui sont toujours présents dans la salle ».

Ils n'étaient plus très nombreux, à moitié endormis, ils finissaient de siroter des alcools forts qui restaient dans les flacons.
J'essayais de me faire le plus transparent possible et sur qui je tombe en premier : ma mère. !!
« D’où tu sors dans cet état ? t'as vu comme t'es fait grand benêt, tu es trempé et en plus qu'est ce que tu peux puer »
Ma tante vint alors à mon secours, elle me devait bien ça, c'était elle la coupable.
« Il a voulu se rafraîchir les idées dans le bassin du parc et la tête a emportée le cul, il a basculé dedans la tête la première »
« Tu n'es vraiment pas doué, mon pauvre Steve, tu me les fera toutes. Tu vas attr la mort, ne reste pas ainsi, vas vite prendre une douche et te coucher.
En plus tu sens je ne sais pas quoi on dirait de la vase ou de l'eau croupie. »
Je quittais, en pestant, la pièce sous les rires des rares invités restant, en effet, j'avais bien chauffé ma tante et ce n'est même pas moi qui allait en profité mais son mari, quelle poisse.
Je me sentais comme ces chevaux dont le rôle est d'échauffer la jument afin que l'étalon puisse la saillir, ces pauvres bêtes restent toujours sur leur faim, j'étais semblable à eux en ce moment.

Pour moi, c'était foutu pour ce soir, alors après la douche, au lit.
On nous avait attribué à mon frère et moi un minuscule réduit avec un seul lit de camp pour nous deux. Mon frère dormait déjà quand je me glissais sous les couvertures après une journée bien remplie et pleine de souvenirs.

C'est la voix de ma tante qui me réveilla, elle était là au dessus de mon lit seulement vêtue d'une nuisette qui ne cachait pratiquement rien. Ce minuscule vêtement était beaucoup plus suggestif que si elle avait été à poil. Penchée au dessus de moi, j'avais sa toison en plein devant les yeux.
« Je vois que tu es en forme » me chuchota-t-elle en voyant mon gourdin du matin.
« J'ai une surprise pour toi, suis moi dans le bosquet du parc »
« Déjà debout de si bonne heure, Tonton n'a pas été à la hauteur quand tu es allée te coucher ? »
« Penses tu, il dormait à poings fermés et pas moyen de le réveiller. J'étais en manque après ta minette et j'ai bien essayé de lui sauté dessus mais il est resté insensible à mes avances »
« Si je comprends bien, tu viens pour que je finisses le travail commencé hier ».
« T'as tout compris viens vite me rejoindre dans le bosquet »

Elle sautillait devant moi en tortillant son panier à crottes, la rosée était glaciale mais qu'importe.
Appuyé sur les avant bras le long d'un arbre elle me présenta son gros cul poilu.
« Pas besoin de caresses, emmanche moi tout de suite » me dit elle en se tortillant ;
Mon boxer fut vite mis à bas et je me présentais à l'entrée de son intimité.
Le gland à peine entré, elle se recula et sans que je ne fasses le moindre geste elle s’emmancha d'elle même sur ma bite.
C'est elle qui pris les commandes en se balançant d'avant en arrière. Dans l'histoire je restais passif, elle se faisait plaisir.
« Tu sais que je n'ai pas pissé depuis ton inondation, ça te dirais, mon petit urophile, si je pissais une fois emmanchée. »
Seulement voilà, une fois son trou boucher par ma queue, impossible d'uriner. Ce n'est qu'en se dégageant un peu de celle ci que le jet trouva le chemin de la sortie. Tout en allant et venant elle pissait par à coup, une vraie fontaine intermittente.
« Tu sais que ça fait du bien de baiser en pissant, la sensation est incroyable »me dit-elle se libérant du bouchon qu'était ma queue tendue afin de terminer sa vidange.
Le soleil se levait et j'avais son cul tel une belle lune en face de moi. Son beau fessier bien rond, bien fendu avec au centre ce beau trou de balle tel le 1000 au centre d'une cible. C'est beau un derrière de femme, certains pensent qu'il serait encore plus beau sans l'orifice qui rompt la symétrie parfaite de cette belle sphère, moi je ne pense pas, ce petit trou plissé qui semble vous faire un clin d’œil en disant -viens je t'attends- quoi de plus fantastique.
Perdu dans ma contemplation de cette merveille de la nature, j'hésitais entre retourner dans son sexe béant ou ce petit trou.
Elle ne me laissa pas le temps de réfléchir, se retournant en s'accroupissant face à moi, elle me dit :
« J'ai envie de te sucer ».
« Tiens, tout à l'heure tu m'as dit que ce n'était pas bien qu'un neveu se fasse sucer par sa tante »
 
Pas de réponse, (on ne peut pas parler la bouche pleine), elle avait déjà englouti mon instrument.
Elle eu un haut le cœur, se retira en toussant, crachant, je croyais qu'elle allait s'.
« Putain, !! je ne pensais pas que tu était monté si long, je m'en étais rendu compte cet après midi tellement tu m'as fait mal au ventre. Dis donc il te faudra faire attention avec tes futures conquêtes »

Elle repris son activité de succion mais en moins profond. D'une langue experte elle s'amusait avec ma queue.
Je ne pus tenir bien longtemps à ce rythme et j'éjaculais de si grandes rasades au fond de sa gorge qu'elle fut dans l'obligation de tout avaler.
« Tu aurais pu me prévenir avant de partir, surtout dans la bouche, imagine que je n'aime pas ça. Tu manque de diplomatie avec les dames. Je ne t'en veux pas , j'ai joui au moment ou tu déchargeais. A l'avenir soit plus attentif avec tes partenaires »

Le soleil commençait à poindre à l'horizon. C'était le premier matin du monde.

« Il nous faut rentrer avant que Daniel ne s’aperçoive de mon absence ».

Elle rentra se coucher auprès de son mari qui, je pense, dormait toujours du sommeil du juste.Bien qu'habitué à contenter ma tante, il ne savait pas ce qu'il perdait.
Moi je me glissais dans le lit de camp près de mon frère qui s'étirait en se réveillant.

« Alors, elle est bonne la tante » me dit-il.
Ce petit cachottier avait tout deviné et tout compris, j'en restais baba.


« Un neveu n'encule pas sa tante » qu'elle disait ma tante, tu parles !
« Une tante ne suce pas son neveu » qu'elle disait ma tante, tu parles !
« Toujours prévenir avant de partir » qu'elle a dit ma tante, encore faut-il en avoir le temps !
« Alors, elle est bonne la tante » qu'il a dit mon frère !!!!







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