Un Bon Coup

UN BON COUP

Je n'avais jamais fait ça avec un garçon ou un homme mais je n'avais pas peur.
Mes amies aimaient beaucoup raconter leurs aventures et je les écoutais en me jurant
que jamais je ne passerai par là mais les circonstances font parfois que nous ne
faisons pas toujours ce que nous voulons. Il m'a draguée au bal du 14-Juillet. Il
était gentil et sympa et drôle et même beau même s'il ne semblait pas en jouer. Il m'a
offert plusieurs verres et je l'ai suivi chez lui. Quand il a voulu qu'on boive encore
de l'alcool, j'ai refusé. J'avais déjà chaud aux joues et lui était un peu ivre, ce
qui ne l'a pas empêché de me demander de lui montrer ma poitrine. J'ai mis mes mains
de chaque côté de mes seins et je les ai pressés pour les faire gonfler. Je les
serrais et je ne les serrais plus et je les serrais encore et dans ses yeux avinés,
j'ai vu l'envie. Il m'a supplié de les lui montrer et j'ai ouvert mon chemisier puis
j'ai détaché mon soutien-gorge et je l'ai laissé me le retirer.

- Ils sont beaux, a-t-il ajouté avant de coller sa bouche sur mes mamelons.

Il me tétait comme si j'avais du lait et ça faisait des bruits de succion puis
je l'ai écarté. Il m'a alors demandé de lui montrer ma chatte mais j'ai dit non et ça
ne l'a pas empêché de soulever ma jupe et de m'arracher ma culotte mais de voir que
j'étais entièrement épilée lui a coupé la chique. Il est resté sans rien dire.

- Je veux te sucer, lui ai-je alors dit !

J'ai tout d'abord eu l'impression qu'il ne m'avait pas compris mais je me suis
agenouillé devant lui et j'ai détaché la ceinture de son pantalon et j'ai ouvert sa
braguette puis j'ai baissé le pantalon sur ses mollets.

- T'es une pute, m'a-t-il fait ? J'ai pas de sous !

Je ne lui ai même pas répondu. J'avais en tête tout ce qu'avait raconté les
filles, la manière dont elles opéraient et ce qu'il ne fallait pas faire.

J'ai
découvert son gland et je l'ai nettoyé avec le bout de mes doigts puis j'ai englouti
la bite et j'ai compris, quand elle a été tout au fond de ma gorge, ce qu'elles
ressentaient. Rien de comparable à une sucette ou un eskimo. C'était vraiment autre
chose d'avoir cette bite dans la bouche et qui prend tout l'espace et que je pouvais
caresser avec ma langue et j'ai commencé à la branler avec mes dents et mes lèvres.
Mon amant d'un soir ne semblait pas comprendre ce qu'il lui arrivait mais il a posé
ses doigts sur ma tête. Que c'était bon. Je l'ai poussé en arrière et il est tombé sur
le dos et j'en ai profité pour m'empaler sur son pénis. Ça aussi, elles l'avaient
souvent raconté. Faire l'ascenseur, les seins qui vont de haut en bas et qui
amplifient le mouvement.

- T'es une bonne putain, m'a-t-il répété plusieurs fois !

Maintenant, c'était à moi de me mettre en levrette et à lui de me prendre par
derrière, s'enfoncer, serrer mes hanches dans ses doigts, toucher mes seins.

- Tu me prends pour une putain, lui ai-je alors dit ! Tu ne vas pas le
regretter !

Maintenant, j'étais sa chose et je lui appartenais. Il la baisait, sa putain
mais la putain avait envie de jouir et elle lui a arraché un orgasme pendant qu'il
continuait sans s'en apercevoir.

- Elle te plaît, la pute, lui ai-je demandé !

Il a voulu que je me remette sur lui et je me suis empalée à nouveau mais j'en
ai profité pour lui écraser mes seins sur le visage pendant que je me baisais sur sa
bite. L'orgasme, la fatigue, la baise, je ne savais plus où j'en étais.

- Tu la baises la pute, ai-je encore ajouté !

Il la baisait. Dans un dernier sursaut, il m'a repoussée sur le lit et il
s'est assis sur ma poitrine puis il s'est branlé sous mes yeux et si le premier
éjaculat s'est écrasé sur mon nez, tout le reste s'est écoulé dans ma bouche.
Je suis
restée sans pouvoir bouger et j'ai vu voler les billets qu'il m'a lancés puis j'ai vu
dans un rêve crépiter un flash, puis un autre et encore beaucoup d'autres flashs et ce
sont des photos qui ont voleté avant de tomber sur mon corps. J'en ai attrapé une.
C'était moi, seins offerts et cuisses ouvertes et aussi la photo de ma vlve en gros
plan et de ma poitrine et de mon visage couvert de sperme. J'avais avalé la semence.

Il était quatre heures du matin quand je suis sortie de chez lui. J'ai mis du
temps à retrouver le chemin de l'hôtel où j'étais avec mes parents et le lendemain,
j'ai cherché en vain où j'avais passé une partie de la nuit. Maintenant, j'étais
l'égale de mes amies et j'allais pouvoir leur raconter ce qui m'était arrivé.

FIN

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