Un Coup De Soleil

Il faisait 48 degrés à l’ombre avec une humidité de plus de 90% , tous les phénomènes nécessaires pour chopper un coup de soleil étaient présents et pesaient sur la ville du Caire.
A 07 :00 du matin comme chaque jour je me présentais à la porter du chantier, c’était jour spécial je devais contrôler et m’assurer que les installations étaient conformes aux plans. Je passe toute la journée sous ce soleil de plomb. Ouf ! Enfin 17 :00 , je saute dans ma voiture et 30 minutes plus tard j’ouvre la porte de mon appartement. Je n’ai que seule idée en tête chauffer mon diner, prendre une douche et puis dormir j’avais besoin d’une bonne nuit de sommeil récupérateur.
Manque de peau, la bouteille de LPG étai vide, je prends mon téléphone en commande une, le responsable m’informe qu’elle sera livrée dans 30 minutes. Pour gagner du temps, je change mes plans donc je prends ma douche. Même sans la chauffer, l’eau était chaude. La sonnerie de la porte sonne, le savon couvre mon corps, je roule une serviette autour de ma taille et me lance pour ouvrir la porte. Je ne me sens pas à l’aise, je suis pris d’un malaise, j’ai la tête qui tourne, je fais un effort, j’entrouvre la porte en tenant les deux bouts de la serviette avec une main.
- Qui est-ce ?
- C’est Aly, je vous livre la bouteille de LPG que vous aviez demandé
- Aly, pouvez-vous venir dans une demi-heure, je suis nu et je prends ma douche ?
- Non, c’est impossible vous êtes mon dernier client je dois rentrer, sinon je retournerai demain
- Bon, entrez mais faites vite
- Vous avez de la chance de prendre une douche, il faut très chaud aujourd’hui ; c’est une fournaise. Montrez-moi le chemin s’il vous plait
Cela dit, j’ouvre la porte et l’invite à entrer. Il me détaille de haut en bas et sourit, je marche devant lui, je fais deux pas et la serviette s’échappe de ma main, mettant mes fesses blanches, arrondies, imberbes et nues devant les yeux de Aly.

J’essaye de la rattr mais ce mouvement rapide me déséquilibre, je trébuche et je plonge en avant tête la première. Ma tête cogne fortement les dalles me mettant KO. Je sens une main qui me secoue, et au loin j’entends une voix qui me dit
- Monsieur, monsieur que se passe-t-il ? vous allez bien, dois-je appeler une ambulance ?
- Non, non je vais bien rien de grave.
J’essaye de me lever et en même temps couvrir ma nudité, je suis toujours pris de vertige, je m’appuis contre le mur. Aly posa la bouteille part terre et me laissa dans cette position, il court vers la cuisine pour me chercher un verre d’eau. Toujours nu, je lui demande de m’aider à me débarrasser de la couche de savon qui collait sur ma peau et qui pourrait être la cause principale de mon trébuchement. Je me suis appuyé sur son épaule, il me retient contre son corps, je sens sa main qui traine sur mes fesses imberbes. L’eau de la douche continuait à couler, je lui demande de me mettre sous cette eau pour me rafraîchir et me remettre sur pied.
- Comment vais-je faire pour rentrer chez-moi ? Je suis trempé jusqu’aux os.
- Patiente quelques minute je mettrai ton linge à sécher dans le sèche linge
- Vous avez de la chance d’en profiter avec cette chaleur, je vous envie, comme j’aimerai d’en prendre une douche, bon je vous laisse quelques instants sous la douche, juste le temps de changer la bouteille et je reviens, si vous avez besoin de quoi que ce soit appelez moi!!!
Une minute passe et j’entends la voix d’Aly derrière moi
- J‘espère que vous vous sentez mieux ?
J’avais complètement oublié sa présence, non je ne sens pas bien je suis toujours pris de vertige. J’étais appuyé contre le mur tournant le dos vers la porte de ma salle de bains exposant ainsi mes fesses imberbes à ses aux yeux qu’il n’arrivait pas de s’en détacher. Je sens que je suis au bord d’évanouissement, j’essaye de sortir de la douche mais je trébuche encore une fois, Aly m’att avant que je ne replonge encore une fois vers le sol.

Aly me soulèva comme une plume, je sens ses muscles forts à force de soulever des quantités de bouteilles LPG chaque jour. Il m’emporte vers ma chambre à coucher et me couche sur le lit toujours nu comme un ver. Ma tête tourne.
- Je crois que vous avez passé toute la journée sous ce soleil ardent
- Oui, ma tête tourne je me sens mal
- Avec une journée pareille c’est facile de choper un sacré coup de soleil
- C’est possible
Il m’avait couché sur le dos. Il quitte la chambre, cherche la serviette laissée dans le couloir commence à me sécher le corps puis s’attarde sur ma verge imberbe, dans le brouillard je sens sa main qui s’aventure sur mes couilles puis qui descend et s’attarde sur mon trou. Quelque temps plus tard, Il me renverse gentiment sur le ventre exposant ainsi ma croupe blanche à ses yeux, j’ai pas la force pour couvrir ma nudité, il me force à ouvrir un peu plus mes cuisses sa main traîne sur mes fesses.
- Je dois te mettre de l’eau salée dans tes oreilles, c’est un remède très efficace de grande mère que nous utilisons depuis des siècles dans notre village, il vous remettra sur pieds dans quelques minutes, avez-vous du sel ?
- Oui, tu en trouveras dans la cuisine sur l’étagère
Aly sort de la chambre, je l’entends bricoler dans la cuisine. J’essaye de me lever du lit, impossible je suis à bord d’un lit dans une mer déchainée. Aly revient avec un verre d’eau salée du robinet, une serviette et une boulle de coton. Il met la serviette sur mon oreiller et me demande de rester comme je suis sans bouger. Entre temps, et sans me rendre compte et par habitude j’avais écarté un peu plus mes cuisses!!! Il asperge la boule de coton d’eau salée puis commence à introduire les gouttes d’eau salée dans mon oreille droite. Je sens comme si un poignard de glace s’était introduit dans mon oreille, chose qui prouve que j’avais chopé un coup de soleil. Il me demande alors de garder cette position pour quelques minutes afin que la solution produise son effet miraculeux.
Entre temps, Aly change de position, met sa main libre sur le lit entre mes cuisses grande ouverte comme pour soutenir son poids tout en effleurant mes fesses. Je n’ai point fait attention à ce changement de posture. Deux minutes plus tard, il retire sa main effleurant encore une fois mes fesses et me demandant de changer la position de ma tête et exposer mon oreille gauche. Ce faisant, je sentis un torrent d’eau bouillante se déverser hors de mon oreille droite, sensation incroyable mais vraie. Il met cette fois-ci les goutes d’eau dans mon oreille gauche, de nouveau je ressens le poignard de glace. Quel sentiment ! une oreille qui décharge de l’eau bouillant et l’autre qui accueille de l’eau glacée. Aly fait semblant de remettre sa main entre mes cuisses mais, je sens plutôt une caresse sur mes fesses, ses doigts suivent mon sillon, caresse furtivement mon anus puis son bras s’appuie gentiment contre lui. Deux minutes plus tard, on repart à zéro, Aly répétait chaque fois les actions aquatiques mais pas les actes manuels, ses attouchements évoluaient. Au lieu de retirer sa main directement, sa main chercha ma verge s’attarda sur mes couilles et grimpa lentement cette vallée imberbe qui divise mes fesses, en cherchant à tâtons mon trou. Touchant leur but je senti une petite pression sur ma porte intime. Chaque fois qu’on repartait à zéro les caresses d’Aly devenaient de plus en plus précises, plus sensuelles et de plus en plus longues, son index s’attardait de plus en plus sur ma porte et essayait de s’y enfoncer.
Je commence à me sentir mieux, le remède de grande mère commençait à faire ses effets miraculeux, mais je ne disais mot, chose qu’Aly avait surement interprété comme étant un consentement de ma part !!! Je commençais à prendre plaisir de ses attouchements. Tout le long de ce traitement j’avais gardé mes mains au-dessus de ma tête. Voulant changer leurs positions pour les ramener à mes cotés, ma main rencontra la verge imposante bien tendue d’Aly sous son pantalon humide.
Je laisse ma main y trainer quelques instants puis je la ramène à mes côtés.
Je commence à concentrer mon attention plutôt sur ces attouchements, le plaisir commence à m’envahir. Cette fois à deux mains Aly ouvre encore mes cuisses pour avoir libre cours à mes parties intimes, je le laisse faire, annonçant ainsi mon consentement total. Il prit ma verge dans sa main rugueuse et son pouce reposa délicatement sur mon anus. Il s’y connaissait. Il dessina des cercles avec son pouce et commença à augmenter la pression. Il retira la main et se leva quelques secondes, il prit son courage en mains, trouva ce qu’il cherchait le flacon de crème Nivea qui traînait depuis quelques temps sur ma table de nuit, versa une quantité dans sa paume et la répandit sur mon sillon et mes fesses. Il chercha mon trou qui m’avait donné tant de plaisirs oubliés depuis plusieurs années.
Petit à petit ma verge se solidifie dans sa paume, son autre main rejoignit sa sœur et son doigt commença à titiller ma porte arrière en manque depuis tant de temps et à la recherche d’un nouveau venu. Après une petite pression de la main la porte cède la première phalange rentre et mon anus enlace l’intrus tant recherché.
- Ahhhhhhhhhhhhhh
- Vous vous sentez mieux maintenant n’est ce pas ?
- Ouiiiiiiiiii Ahaaaaaaaaa Ouiiiiiiiiiiii, merci je me sens mieux
- Attend moi ne change pas de posture un instant et je reviens, je n’ai pas fini avec toi
Aly entama un mouvement de vas et viens puis retira son doigt, se leva et reprit sa place à mes côtés mais au lieu de sentir ses habits humides je sentis son corps chaud. Il s’était débarrassé de ses habits. Aly oublia totalement mon coup de soleil et concentra plutôt ses efforts sur mon trou plissé. Il versa une autre quantité de crème dans sa paume et en enduisit sa verge, ce bout de viande solide et chaud d’une longueur de 24 cm et d’un diamètre de 6 cm, bite digne d’un villageois égyptien. Il prit ma main droite et l’enroula autour de son mat flambant dont j’avais de la peine à l’entourer complètement avec ma main. Puis reprit ma pauvre petite verge en main, en comparaison avec ses dimensions, et commença un mouvement de vas et viens en soulevant mon bassin de manière à ce que je repose sur mes genoux. D’une main Il me maintien dans cette posture tandis que l’autre reprend son travail et joue avec ma verge et mes couilles. Son index refrappe à ma porte, il rentre sans problème cette fois, il commence à faire des ronds pour augmenter l’élasticité de mon sphincter.
- Tu aimes n’est ce pas
- Ahhhhhhhh Ouiiiiiiiiiiii
- Tu es en manque
- Enormément ouiiiiiii
- Tu as besoin d’une grosse bite n’est-ce pas
- Ahhhhhhhh Uoiiiiiiiii
- Tu vas goutter à la bite d’un fellah (paysan égyptien)
Je tenais toujours son mat, je me posais la question comment vais-je accueillir ce monstre dans mes entrailles ? Du coup je sens un deuxième doigt qui se faufile dans mes entrailles suivi d’un troisième, je sens que mon sphincter est dilaté à fond. Tout à coup, sans retirer ses doigts de mon cul, Aly me renverse sur le dos et se jette sur ma verge, je n’ai pas le temps de réagir, il l’enfonce dans sa bouche grande ouverte. Il s’y connait dans le domaine. Jamais dans ma vie je n’ai ressenti tant de plaisirs. J’étais sur le seuil de déverser mon sperme dans sa bouche, mais il s’arrête me retourne encore une fois et soulève mon bassin. Il est derrière moi. J’ouvre grand les cuisses, je me prépare à recevoir le monstre de celui qui m’a remis sur pieds et a ouvert les portes de plaisirs oubliés depuis plusieurs d’années. Aly met une quantité de crème sur son monstre et approche de ma porte. Je sens son gland énorme qui s’appuis sur celle-ci une petite poussée et la porte s’ouvre grâce à tant de préparation, mon sphincter est bien dilaté. Il pousse le gland est énorme, j’enfonce ma tête dans mon oreiller, il sait que je souffre, il s’arrête le temps que je m’habitue. Il patiente une minute puis recommence sa poussée. Le gland passe ! Il continue sa poussée, c’est un monstre !! Je m’empale dessus. Va-t-il sortir de ma bouche ? Non enfin, son ventre s’arrête contre mes fesses. Aly me tient par les hanches et commence à me limer de plus belle. Il retire sa bite puis l’enfonce d’un coup, puis sort et se retire totalement. Je sens mon anus ouvert puis il replonge dans mes entrailles. Il continue à jouer son jeu pour une quinzaine de minutes puis commence à jouer avec ma pine ? Quelques minutes plus tard je ne pouvais plus me retenir.
- Non retiens toi, c’est trop tôt, je veux voir ton visage quand je déverse mon foutre dans tes entrailles
Sur ce, Il me retourne sur le dos toujours avec son énorme monstre enfoncé dans mon fondement, il continue ses vas et viens et enfin éclate dans mes entrailles déversant des quantités énormes de spermes et me poussant aussi à une jouissance oubliée.
Nous avons continué notre relation pour une certaine période jusqu’au jour où j’étais obligé de rentrer à Alexandrie.

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