Ma Copine Et Les Chantiers

Ma copine et les chantiers

Bonjour, je m'appelle Hervé. Pour vous parler un peu de moi, je suis de corpulence moyenne, la cinquantaine, de taille moyenne (1,82m). J'ai les yeux marrons et les cheveux noirs et suis en couple avec ma compagne Marianne, 49ans depuis cinq ans. Pour vous la décrire, elle a de longs cheveux blonds qui lui tombent jusqu'aux épaules, les yeux gris, un visage rond. Elle est de taille moyenne (1,65m.), possède quelques rondeurs séduisantes au niveau des hanches et des cuisses ainsi qu'un bon 90D. Ma compagne et moi étions très complices et pouvions tout nous dire l'un à l'autre. Nous avions également pris l'habitude de libéraliser le sujet de la sexualité sans être libertins pour autant. Nous avions, par conséquent, établi une règle très simple lorsqu'il s'agissait d'une conversation à caractère sexuel: parler franchement de chaque fantasme d'un côté comme de l'autre. Le fantasme devait être approuvé par les deux parties pour une éventuelle réalisation. C'est donc de l'une de ces discussions que vient l'histoire que je vais vous raconter.

Un jour que nous avions choisi le sujet "sexualité" comme sujet de conversation, ma compagne m'avoua un fantasme qu'elle me dit avoir depuis quelques mois déjà. Marianne avait le fantasme de se faire prendre sur un chantier de construction par l'entrepreneur dudit chantier en ma présence. Bien naturellement, je ne pouvais supporter l'idée de devoir regarder ma compagne faire l'amour avec un autre homme. Par conséquent, je voulus lui affirmer clairement que je refusais la réalisation de ce fantasme.

Cependant, comme si elle avait lu dans mes pensées, Marianne me spécifia que je participerais à l'acte. Elle nous voyait donc en trio, elle, l'entrepreneur et moi.
«Bon, si je participe aussi, ça peut passer.» me dis-je.
J'acceptai donc de l'aider à réaliser son fantasme. Toute contente, Marianne se jeta à mon cou et me murmura un doux «merci, je t'aime.

» à l'oreille.

Maintenant que nous avions un fantasme à assouvir, il nous fallait réfléchir à une cible et à une approche. Marianne m'affirma qu'elle avait aperçu un grand chantier pas très loin de chez nous dont l'entrepreneur était toujours présent sur le chantier, plans à la main ou dans son bureau. Pour la cible, voilà qui était fait. Quant à l'approche, c'était la partie délicate du problème. Après un long moment de réflexion, je proposai à ma compagne de s'habiller de manière sexy sans être trop provocante et de faire mine de se passionner pour le chantier en construction et au moment opportun, demander à l'entrepreneur ce qu'il était en train de construire, histoire de faire la conversation et de nous mettre un peu à l'aise avant d'attaquer le sujet.

Marianne et moi nous rendîmes dans notre chambre et sélectionnâmes ensemble les vêtements susceptibles d'aguicher l'entrepreneur qu'elle pouvait mettre. Notre choix se porta finalement sur un T-shirt moulant blanc, une jupe rouge lui arrivant à mi-cuisse et des chaussures noirs à talons aiguilles 5cm. Quant à moi, je m'habillai d'une veste en cuir noire et d'un jeans foncé. Je mis des lunettes de soleil afin de faire plus vacancier pour ajouter un petit plus au côté curieux du personnage que j'allais jouer.

Lorsque nous fûmes prêts, Marianne me guida jusqu'au chantier qu'elle avait vu. Effectivement, à en juger par le périmètre délimité par les grillages, il était très grand. Marianne et moi aperçûmes aussitôt l'entrepreneur. Grand, musclé, bronzé, plans à la main et donnant des ordres à tout-va, ce ne pouvait être que lui. Cible repérée. Déclenchement de l'opération. Marianne et moi nous approchâmes le plus près possible du grillage de façon à nous trouver juste dans le dos de l'entrepreneur face à son bureau afin qu'il puisse nous remarquer lorsqu'il y retournerait. Je fis mine d'être impressionné par le chantier. Marianne, elle, surveillait les déplacements de l'entrepreneur.


Tout à coup, elle me donna un petit coup de coude. Notre cible s'était retournée. C'était le moment de mettre notre plan à exécution. J'appelai l'entrepreneur en lui faisant de grands signes pour qu'il vienne vers nous. L'homme mordit à l'hameçon et se dirigea vers nous.
«Oui, monsieur dame?» nous demanda-t-il.
«Bonjour, monsieur. Ma compagne et moi sommes ici en vacances et sommes passionnés d'architecture. Nous avons aperçu votre chantier et nous étions demandé ce que vous étiez en train de construire. » lui répondis-je.
L'entrepreneur sembla sourire en entendant mon texte.
«Nous sommes en train de construire une école, monsieur dame. Voulez-vous visiter, vous qui êtes passionnés d'architecture?»
«Est-ce que nous avons le droit? Nous ne voulons surtout pas causer d'ennuis à qui que ce soit.»
«Normalement, je n'aurais pas le droit de le faire. Mais bon, on peut faire une exception pour deux passionnés comme vous. Venez, suivez-moi.»

L'entrepreneur nous fit faire le tour du chantier en nous détaillant avec fierté chaque étape de la construction et chaque tâche que les ouvriers accomplissaient au fil de l'avancement du projet. Il nous emmena ensuite (enfin) dans son bureau. Il nous expliqua que c'était de cet endroit qu'il dirigeait le chantier et vérifiait les plans qui lui étaient soumis. Durant toute l'explication, Marianne avait fait exprès de prendre des poses de plus en plus provocantes qui avaient l'air de beaucoup exciter notre cible vu le rouge qui lui montait aux joues et la bosse qui déformait son pantalon.

L'homme regarda sa montre et conclut sur ces mots: «J'espère que cette petite visite improvisée vous a plu.»
«Oui, nous avons beaucoup apprécié. «Cependant, il me semble que vous aussi, vous ayez apprécié...»
«Pardon? Que voulez-vous dire par là, monsieur?»
«Il m'a semblé que ma compagne vous faisait pas mal d'effet durant la visite...»
Le rouge et la transpiration commençaient à se voir sur son visage.
J'avais touché un point sensible.
«Ne vous inquiétez pas. Vous pouvez la prendre. Je suis consentant et elle aussi.»
L'entrepreneur sembla se détendre suite à ce que je venais de lui annoncer. Il paraissait moins tendu sur son visage mais son sexe commençait à être à l'étroit dans son pantalon. Sans rien dire, il verrouilla la porte et ferma légèrement les stores afin d'éviter le regard d'éventuels voyeurs. Toutes les précautions prises, l'homme commença à se déshabiller. Très rapidement, l'entrepreneur nous dévoila un sexe d'une taille respectable et un excellent métabolisme. Excités, ma compagne et moi fîmes de même.

Lorsque nous fûmes tous les trois nus, je demandai à Marianne de poser ses mains sur le bureau et de se pencher vers l'avant et expliquai à l'entrepreneur que j'allais aussi participer. Ma compagne nous présentait à présent son cul bien cambré. Sa position me faisait bander comme un fou. Je me mis derrière elle et enfonçai doucement ma queue dans son orifice pendant que notre ami lui donnait sa queue à sucer. Marianne poussa un petit grognement d'aise. Son fantasme s'était réalisé! Elle faisait l'amour avec son mari et un chef de chantier en même temps!

Ma compagne suçait toujours aussi avidement le sexe de l'entrepreneur pendant que je poursuivais mes va et vient dans son anus. D'un commun accord avec l'entrepreneur, nous nous échangeâmes nos positions. Marianne prit ma queue en bouche puis se mit à la sucer avidement jusqu'à la garde tandis que l'entrepreneur lui enfonçait progressivement son sexe dans le cul jusqu'aux couilles. L'entrepreneur commença une série de va et vient qui fit pousser un nouveau grognement de plaisir à ma compagne. Marianne me suçait toujours aussi avidement sous les assauts de notre ami. D'un esprit de concert, nous changeâmes tous les trois de position. Marianne s'allongea sur le sol et leva les jambes vers le ciel. Je m'agenouillai face à elle et la pénétrai, enfonçant tranquillement mon sexe dans son ventre, centimètre par centimètre.
L'entrepreneur, lui, s'était agenouillé juste en face de moi et commençait à frapper le visage de ma compagne avec sa queue qu'il tenait en main.

Mes va et vient se firent de plus en plus puissants et mon sexe plongeait de plus en plus dans l'intimité de Marianne. Ma compagne poussait des petits cris de plaisir qui devinrent peu à peu hurlements de jouissance. Je me retirai de l'intimité de ma compagne puis, d'un accord tacite, l'entrepreneur et moi changeâmes de position. Il se mit à la pénétrer doucement tandis que je commençais à frapper le visage de Marianne avec ma queue. Ma compagne cria à nouveau de plaisir. Notre ami poussait des grognements de plus en plus rauques, signe imminent de sa jouissance. Il se retira du sexe de ma compagne et éjacula sur ses seins. Excité par la vision du sperme d'un autre sur la poitrine de ma compagne, je me mis à frapper le visage de Marianne avec un peu plus de force et finis par éjaculer sur son visage dans un râle de plaisir.

L'entrepreneur alla chercher une serviette et la tendit à Marianne pour qu'elle puisse s'essuyer. Nous nous rhabillâmes ensuite tous les trois puis Marianne et moi sortîmes discrètement du chantier tandis que l'entrepreneur effaçait consciencieusement les preuves de notre ébat. Et c'est ainsi que nous avons réalisé le fantasme de ma compagne et que mon histoire se termine.

Merci de m'avoir lu
Jean-Louis

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