Ma Copine Et Sa Cousine

Salut ! Nous avons respectivement 23 et 20 ans lorsque tout commence. Nous sommes bien-sûr étudiants l’un et l’autre, et nous fréquentons la même université. Elle s’appelle Lamia. C’est une superbe fille et elle est devenue ma petite copine depuis qu’on s’est rencontré la première fois.

Après notre connaissance, j’ai su que ma copine a une cousine qui habite dans la même ville. Elle s’appelle Nora, 37 ans, mariée, et travaille dans un collège. Un jour, elle me propose de lui rendre visite chez-elle car elle lui manque beaucoup.

Le lendemain, nous avons pris tous les deux le bus pour nous rendre à la cité où habite le couple. Lamia a sonné à la porte d’un appartement dans un bâtiment. La porte s’ouvre sur une charmante femme, ronde et brune. Elle est habillée d’une robe qui moule son corps: épaules larges et rondes; poitrine large avec une paire de seins lourds, hauts perchés et tendus vers l’avant; un ventre plat; une taille moyenne; des hanches étroite; un fessier super cambré et des jambes attirantes. Elle a un merveilleux sourire sur sa grande bouche charnue.

Nora nous invite à entrer et nous propose des boissons (café, jus, lait, thé). Assis face à face, nous discutons des études, de la vie dans les cités, et des problèmes en général. Puis notre hôte nous pose des questions sur notre relation, nos sentiments, et sur nos projets. Comme mon amie et sa cousine ont l’habitude de parler de tout, alors elle lui répond sans être gênée. C’était ainsi que la discussion a tourné vite vers le sexe. Nora nous donne les premières leçons sur la sexualité car elle nomme les choses telles qu’elles sont. Soudain Lamia a mis sa main sur ma cuisse qui a enflammé plus mon excitation car une bosse commence à se former dans mon pantalon. Nora découvre ma « tente » et elle a souri.

Sans hésitation, ma copine a ouvert ma braguette et mon pénis et ses doigts se sont engagé dans une masturbation douce.

Le regard que Nora fixe sur la longueur de mon sexe ne l’a pas laissée silencieuse car elle nous a confié que celle de son mari est presque la moitié de la mienne. Jamais pour moi Lamia n’avait accepté une exhibition de cette nature. Tout change depuis que nous sommes là. Les formes anciennes de pudeur sont abolies, tout est permis, tout peut se montrer. Le plus émouvant est de pouvoir lire sur le visage et dans les yeux de cette Nora, de l’insatisfaction, pour ne pas dire, le manque énorme de sexe. Je suis presque étonné de voir Nora s’agenouiller devant moi, prendre mon oiseau en main, le caresser gentiment, le lécher et le faire entrer entre ses lèvres. C’est un retour en grâce, cela me comble de bonheur. C’est ainsi que Lamia et sa cousine partage mon sexe. Toutes les deux se prêtent à une masturbation divine qui me mit dans un état second. D’ailleurs je bande plus fort.

Ainsi on me couche sur le dos, Nora est chargée de me masturber et de me tailler une pipe pour obtenir un « zob » solide qui doit affronter ce qui l’attend. Elle s’installe sur ma pine et me tourne le dos, se laisse aller en arrière et réclame mes caresses sur ses seins et les attouchements de mon l’index sur son clitoris.

- Baise-moi fort, prends-moi, je suis à toi, oui, iii,! Allez, baise-moi vite !
Après un bon quart d’heure de chevauchements, Nora jouit comme une fontaine ce qui ne tarda pas aussi la mienne. J’ai retiré mon pénis qui commence à gicler du sperme sur la toison noire du vagin de Nora. Quel belle vue !

Depuis ce jour-là, et grâce à ma copine, je suis devenu l’amant infatigable de Nora. Au lit, au salon, à la cuisine, dans le couloir ou dans la salle de bain, on s’empoigne, on se dénude, on s’embrasse, et on se culbute. Nora me tripote, Nora me suce, Nora me chevauche, Nora trait mon sperme, Nora s’envoie en l’air sur ma queue, elle est zélée, attentive, elle est en manque. Nora implore, en redemande, s’écarte au maximum, avale comme une affamée et se contorsionne quand vient la jouissance.