Isa

Les beaux jours qui se faisaient attendre depuis si longtemps étant revenus, Isa décida de joindre l’utile à l’agréable en ce vendredi. Dès son lever les idées affluèrent à son esprit (son corps, lui, savait ce dont il avait besoin). Elle opta pour une petite robe noire aux fines bretelles, décolletée (rien en dessous, liberté totale !) dessous, juste une petite culotte blanche, des sandales à talons. C’est tout. Sa robe était assez courte quoique décente, derrière, toutefois, elle était fendue assez haut en son centre ce qui était du plus bel effet. Isa avait envie d’être regardée, même à son insu.
Parvenue à son bureau, elle remarqua les regards de ses collègues et des clients qui attendaient déjà dans la salle d’attente. Elle ne put s’empêcher des regards coquins sur les braguettes des hommes, testant dans sa tête, par ses regards ce qu’elles recouvraient. Ses regards insistants ne manquaient pas d’intriguer certains hommes qui appréciaient ses formes et, en retour, la déshabillaient des yeux. Le premier client entre dans son bureau. Un type pas très jeune mais séduisant. Elle analyse ses papiers, fait son travail. Sa poitrine ne laisse pas indifférent le type ; (Elle adore que les regards fouillent ses décolletés).
Une idée lui passe par la tête. Une bonne idée - si ce qui se passe entre ses cuisses ne ment pas !
Elle se lève et là, par une maladresse provoquée, elle laisse tomber ses papiers. Elle s’empresse de les rassembler, se penchant de telle façon que le « client » a vue non seulement sur ses jambes, ses cuisses mais aussi sa petite culotte bien logée dans sa fente.
Elle s’excuse de sa maladresse. Et le client suivant arrive. Il ne lui plait pas. Un troisième, un quatrième se pointe. Ah, elle se dit en elle-même ; « je tiens le bon ! »
Jeux de regards. Elle refait la même chose qu’avec le premier. Elle laisse tomber un grosse liasse de papiers qui se dispersent. Là elle s’accroupit, ouvre les jambes.

Il mate. Elle se lève et se baisse de façon indécente. Il aura eu un spectacle « intégral ». Elle se sent mouiller, couler. Elle remarque, lui rendant ses papiers une bosse du côté e sa braguette ! Ca l’excite comme une folle. Il lui demande où sont les toilettes. Elle lui indique le lieu. Elle sait qu’il va se branler.
Il lui aura laissé avant de partir son numéro de téléphone sur son bureau.
Elle en fera usage !
La journée de travail se termine. Elle n’a pas envie de rentrer tout de suite, d’autant que son ami est absent. Elle a envie de profiter.
Elle se rend à la terrasse d’un grand café, commande un verre, rêvasse, regarde et, la robe un peu relevée, joue des jambes.
Un homme la mate. Elle sent qu’elle a envie qu’il la baise.
Elle a envie, une envie qui lui déchire le bas-ventre. Elle n’en peut plus de mouiller.
Un petit signe discret. Elle file aux toilettes. Elles sont propres et spacieuses. Il la rejoint. Ils s’embrassent follement. Il la caresse. Elle lui ouvre la braguette, sort son sexe dressé.
Elle se retourne. Il commence à la lécher, sans limites ni tabous.
Elle se retourne. Il lape son sexe trempé de mouille, mordille son clito turgescent, dressé. Elle jouit.
C’est tout ce qu’il lui fait. Elle est déçue. Elle veut se faire baiser….

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Isa parle à la première personne.

Oui, je comprends, F. est un bon lécheur, certes et je compte me servir de lui. Mais, moi, j’aime les bites qui savent me défoncer, me faire crier.
Je remercie donc mon lécheur de F. et lui demande de m’attendre dans un autre café où je compte bien parvenir à mes fins.
Même scène de drague. Un type me mate, il ne me plaît pas trop, je m’en fous, j’ai envie de me faire baiser.
Petit jeu de regards, d’exhibe. Ca marche. Je vais aux toilettes. Il me suit. Ca marche !
Je lui offre mon cul, comme une salope.
Il écarte ma culotte (il a pris soin de mettre le préservatif que je lui ai tendu). Il me fout, me défonce. J’en veux plus encore. Il jouit.
Je suis insatisfaite. Il me reste F. qui me rejoint. Nous filons aux chiottes. Sa bouche et sa langue me soulagent. Il est heureux, il bande, je le caresse, le suce.
Mais il m’en faut encore une belle.
Je propose à F. une petite ballade dans les rues sombres. Il accepte. Je lui dis que je cherche un type, un baiseur, une bite, rien d’autre. Il est d’accord. Nous avisons un petit bistro, un peu glauque. Je lui dis de m’attendre à l’extérieur, de ne pas intervenir, de me surveiller et de me mater. Il est d’accord.
Je vais dans le troquet. Commande un verre. On me regarde. J’avise un type, jeune, relativement, qui me lance des regards explicites.
On sort ensemble.
Il m’enlace, passe sa main sous ma robe, la soulève, caresse mes fesses sans vergogne. Mon cul est visible à qui le désire. Cela ne me déplaît pas. Je me laisse faire. Il me glisse à l’oreille des mots vulgaires. J’accepte. Je suis aussi vulgaire. Je lui dis : « je veux ta bite ! Fous-moi ! »
On trouve un petit coin bien caché. Je le touche, lui sors le vit. Enorme ! Je lui donne un préservatif. Il l’enfile et m’enfile… dans le cul. Je hurle, ne peux m’empêcher tant la déchirure est forte. Je jouis. Il jouit.
« Encore ! » J’en veux encore dans ma chatte assoiffée.
Nous nous rendons dans un autre troquet. On boit un verre. Il est excité, moi, je dois l’être plus encore. Ma vulve est ouverte, coulante, mon clito tout mignon, sauvage, bande, me fait mal, le tyrannique !
Puis, nous finissons dans les chiottes, comment appeler ce lieu assez sordide. Il enfile une capote (j’y tiens !) et me baise comme un sauvage, m’éclate les chairs qui crient famine. Je jouis dans un hurlement que je ne peux retenir.
On se quitte.
Je rejoins F. qui m’attend. Je lui raconte tout. Il bande, le pauvre !
Nous allons dans des toilettes et là il m’apaise avec sa bouche et sa langue expertes.

Je rentre chez moi, épuisée.

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