Ta Vie Va Devenir Un Enfer.

Je suis Steph, j'ai 30 ans. Je suis brun, cheveux courts avec une bonne barbe assez épaisse. Je suis très sportif, je mesure 176 cm pour 87 kilos. Je vis avec ma compagne Fanny depuis 6 ans. Elle est belle, plutôt ronde avec une poitrine très généreuse. Ses cheveux sont de couleur auburn avec des jolis yeux marrons. Nous avons une vie plutôt heureuse dans un appartement, proche de la campagne. Nous travaillons tous les deux, voyons nos amis régulièrement ainsi que notre famille. Tout sepasse bien sauf avec notre voisine qui se situe en dessous de nous. C'est une femme d'une trentaine d'années se prénommant Ingrid. Elle est brune, les cheveux longs ondulés, souvent attachés. Je suppose qu'elle doit être infirmière, car je la vois régulièrement revenir avec une blouse blanche. Son comportement est agressif, elle n'hesite pas à insulter ses voisins et voisines. Je n'y faisais pas vraiment attention jusqu'à ce dimanche midi, où j'étais parti faire de l'essence, car Fanny et moi avions décidé de partir à la plage.
À mon retour, je m'aperçois que Fanny est dans la salle de bain. Elle finit de se préparer. Je sens que quelque chose ne va pas. Je m'approche d'elle, lui fait un bisou sur l'épaule gauche et lui dis :

- qu'est-ce qui se passe mon amour ? Ça ne va pas ?

Elle éclate en sanglots.

- j'étais en train de nettoyer la terrasse quand j'ai entendu le volet puis la fenêtre s'ouvrir. La voisine d'en bas a sortie sa tête et s'est mise à hurler sur moi en me disant que l'on faisait tout le temps du bordel.

Je n'en crois pas mes oreilles, la voisine ose hurler sur ma compagne. Ce que me raconte Fanny commence à me mettre en pétard.

- Mais quel espèce de connasse celle-là. Attends que je la croise, je vais...

- NON ! me dit Fanny, ne commence pas, je ne veux pas que l'on se fasse remarquer. Ça suffit de ce matin.

Je sors de la salle de bain furieux, je fais les cent pas en ruminant des injures contre la voisine.



- et toi tu lui as dit quoi ?

Fanny sèche ses larmes, me regarde dans le miroir et me dit:

- je lui ai demandé pourquoi elle hurlait et que si nous faisions trop de bruit, qu'elle pouvait venir frapper à la porte pour nous le dire et ne pas hurlait devant toute la résidence comme ça.

- Et qu'est-ce qu'elle t'a dit cette petasse ?

Je fixe le miroir en regardant Fanny attentivement. Mes yeux sont froncés, la mâchoire serrée.

- Qu'elle n'avait pas à venir, que nous étions des gens mal élevés et qu'elles ne nous aimaient pas. Elle m'a également dit, que dès lundi, elle allait appeler l'agence pour essayer de nous faire partir.

- Putain tu vas voir quand je vais la voir cette pute, je vais lui dire deux mots.

- Arrête s'il te plaît, ça ne sert à rien, me dit Fanny en éteignant la lumière de la salle de bain. On va avoir plus d'ennui si tu t'énerves.

Fanny n'aime pas les conflits, elle est du genre à arrondir les angles. Au bout de quelques heures, ma colère finit par s'atténuer et je ne pense plus au conflit avec la voisine. Nous partons à la plage le reste de la journée.

Quelques jours plus tard...

Aujourd'hui, une semaine et demie s'est ecoulee depuis l'incident entre la voisine et ma compagne. Je ne décolère pas vraiment. J'y pense souvent.

Je suis seul à la maison aujourd'hui. Fanny a repris le travail ce matin et devrait revenir dans moins de deux heures vers 16 h 30.

J'étais en train de ranger mon balcon quand je vois la voisine sortir du bâtiment. Je l'observe attentivement tout en essayant d'être discret. Elle a mis un petit short en jeans bleu clair, bien moulant avec un débardeur orangé assez pétant. Je matte son cul et me dit qu'elle est vraiment bonne cette salope.

Mon short de sport commence à se lever petit à petit. Je m'imaginais en train de la défoncer brutalement. La portière claque, elle est rentrée dans sa voiture, le moteur démarre, la barrière de sécurité de la résidence se lève et la voilà partie.


- mais où elle va cette salope ?

En passant la tête par-dessus mon balcon, j'observe le jardin d'Ingrid. Son départ m'étonne car,une des fenêtres, qui se situe sous notre chambre d'amis et encore ouverte. Et si je m'introduischez elle pour essayer de trouver des choses humiliantes sur elle et venger ma compagne. Une excitation commence à m'envahir. Je regarde attentivement que personne ne me voit. Je vérifie que mon portable est bien dans ma poche et je prends les clefs de l'appartement.

Puis d'un coup, je saute mon balcon et atterris deux mètres plus bas, pieds nus, en short et "Marcel " chez ma voisine que je hais. Je me dirige vers la fenêtre ouverte, regarde que personne n'est présent et me faufile dans la pièce.

Je peux remarquer que c'est sa chambre, le lit deux places, les draps bien tirés à quatre épingles, des vêtements traînant sur le lit. La décoration est assez sommaire, deux tables de chevet comportant chacune une lampe et un bouquin. J'att celui-ci, c'est un livre de philosophie. Je ricane et me dis qu'elle a encore du travail cette pétasse pour faire preuve de philosophie.

Je fais le tour du lit et commence à ouvrir la commode près de la porte. J'ouvre le premier tiroir, il comporte que des ceintures, j'ouvre le second et tombe sur les sous-vêtements. Ils sont très emballant, elle doit être bien excitante cette pute d'Ingrid avec ce petit tanga violet. Mon caleçon devenait de plus en plus serré. Je mets le string dans ma poche droite de mon short, puis sors de la chambre. L'appartement est comme le mien, je ne suis pas perdu. Je me dirige vers la salle de bain qui est aussi petite que chez moi, une baignoire, deux éviers et un grand miroir. Je commence à sentir et regarder ses produits de beauté. Je vois la panière de linge sale et décide de l'ouvrir. Elle n'est pas bien remplie, mais de quoi me faire bander comme un âne. Je la vide par terre, trouve une culotte rouge sale, un "shorty "blanc dentelé et les soutiens-gorge assorties.
Il y a également une jupe noire et une sorte de tunique verte.

J'att le"shorty", le porte à mon visage et pose mon nez délicatement sur la fente qui accueille habituellement sa chatte. Je renifle, une odeur de cyprine et d'urine mélangée. Il ne m'en faut pas plus pour avoir envie de me branler. Je prends le "shorty" ainsi que la tunique verte et pars sur le lit d'Ingrid. Je m'allonge, baisse mon short et sors mon sexe bien dur et gonflé. Je commence à me branler en frottant le "shorty". J'ai envie de laisser une trace de moi à Ingrid, mais le Sperm sur le shorty blanc ne se verra pas assez. Je veux gicler sur sa tunique. Je fais des vas et viens de plus en plus important tout en frottant le "shorty" sur mon gland avec ma main gauche. Mes jambes se tendent, je sens la sève montée. Je mets la tunique sur ma gauche, me décale et me met sur le côté. Je ne peux plus rater ma cible. Mes mouvements s'accélèrent, jusqu'à que l'éjaculation arrive. Deux énormes jets viennent recouvrir la tunique verte d'Ingrid. L'excitation et la colère me permettent de me réjouir de mon action. Je secoue ma bite pour faire tomber les quelques gouttes de Sperm.

Je me lève et pars déposer la tunique recouverte de mon jus chaud, dans la panière de linge sale. Je mets par contre le "shorty" dans ma poche gauche en me disant que ça pourrait me resservir.

Je me mets à fouiller son appartement ala recherche de la moindre chose qui pourrait me servir. Je ne trouverien de compromettant.

En voulant repartir, par la fenêtre, je remarque que je suis pris au piège. La porte d'entrée est fermée à clef et évidemment le balcon est bien trop haut.

- oh non, je suis dans la merde là. Je dois attendre son retour et réussir à choper ses clefs sans qu'elle puisse me voir.

Quelques minutes plus tard, le verrou se fait entendre. Ingrid arrive.

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