Ta Vie Va Devenir Un Enfer 3

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --


Il est 6h00 du matin, je me réveille. J’ai passé une nuit agité, j’ai repensé énormément à ma masturbation chez la voisine et en plus de cela, il a fait extrêmement chaud.
Je me lève, Fanny est à la salle de bain en train de se préparer. Je n’ai qu’une hâte, me mettre dehors et voir tous le voisinage regarder la voiture d’Ingrid.

Je pars dans le salon et ouvre le volet donnant sur le balcon.
L’air frais me caresse le visage et le torse. Quel bonheur de ressentir cette sensation après une nuit horrible.

Je jette un coup d’œil sur le parking et la, à ma stupeur je vois la voiture d’Ingrid, nue d’affiche. Comment est ce possible ? Il sait passer moins de quatre heures entre le moment ou j’ai collé les affiches et maintenant.
Quelqu’un m’aurait vu ? J’espère pas, je me suis pourtant assuré que personne n’étaient présent. C’est pas possible.

_ Qu’est ce que tu fais mon coeur ?
Je panique et balbutie :
_ Hein ? Quoi ?
Mon visage est transpirant, je m’imagine le pire. Ingrid m’aurait elle surprit cette nuit ?

_ Tu es bizarre ce matin ? Tu me caches quelque chose ? Me dit Fanny avec un air soupçonneux.
Vite, il faut que je me reprenne et que j’adopte un comportement normal.
Je m’approche d’elle et la prend dans mes bras.
_ Tout va bien bb, j’ai simplement chaud et l’air me fait le plus grand bien.
Son regard et froid. C’est vrai que d’habitude en me levant je viens toujours la voir dans la salle de bain. Aujourd’hui je n’avais qu’une envie c’est de voir la réaction des voisins.

_ Bon je vais déjeuner. Tu peux t’occuper d’aller jeter les emballages aujourd’hui, s’il te plaît ?
_ Oui oui mon amour, ne t’inquiètes pas j’irai tout à l’heure.
Je sors du balcon et pars en direction de la cuisine également.

Quelques heures plus tard, Fanny est partie au travail.

Je suis toujours aussi inquiet, j’angoisse en permanence mais en y repensant, mon dieu, qu’est ce que c’était bon cette nuit.

Il est 10h45, comme chaque matin, je fais de la musculation pendant 1h30 dans mon salon. Je suis en plein effort quand j’entends une voix venant de dehors.
Étant curieux de nature, je m’aventure discrètement sur le balcon.
Je ne vois pas grand chose mais je distingue deux voix. Un homme et une femme. J’en reconnais rapidement une, c’est ni plus ni moins qu’Ingrid.
Je comprends rapidement que l’homme qui est avec elle doit certainement être son petit ami. Je peux déduire ça au bruit de bouche. Il sont en train de s’embrasser.

Je n’arrive pas à voir où ils sont. Au bout de 15 minutes d’écoute, j’entends l’homme dire à Ingrid:
_ A tout à l’heure.
J’entends à nouveau le bruit d’un baiser. Je reste sur mon balcon.

Qui est il ? Je veux voir à quoi il ressemble.

Moins d’une minute plus tard, il sort. J’ai du mal à le voir mais il m’a l’air assez grand, fin de corps. Il a le crâne rasée. Je peux distingué une légère barbe grisonnante.

Je ressors et j’imagine Ingrid en train de se faire prendre par lui. Mmmmm, mon caleçon commence à s’agrandir. Je pars récupérer son string que j’ai volé chez elle. Je l’ai planqué dans mon sac de travail. Je sais que Fanny ne fouille pas mes affaires de boulot.

Je m’allonge sur le canapé , baisse mon short et mon caleçon. Je sors ma bite , mouille mon gland avec mes doigts et je fais de léger vas et viens.
Je m’astique de plus en plus fort tout en snifant l’odeur de la chatte d’Ingrid qui s’atténue au fur et à mesure.
Au bout de cinq minutes, mon corps se raidit et deux jets de sperme partent sur mon torse. Le premier a failli finir sur mon visage. J’en ai jusque dans le cou.

Je prends l’essuie tout, nettoie le sperme sur moi et je pars me doucher.
Vers 14h, après avoir terminé la vaisselle de midi, je sors de mon bâtiment pour aller à la boîte au lettre qui se trouve à l’entrée de la résidence.

J’ai à peine 300 mètres à faire. J’ouvre ma boite au lettre, je vois un papier plié en quatre, feuille de format A4.
Je l’ouvre, intrigué , je ne peux pas attendre.

Oh n mon, ce n’est pas possible, pas ça.
Il est écrit:

Je vous ai vu cette nuit, collé des affiches sur la voiture de votre voisine. C’est pas bien ça.
A bientôt.

Je tremble, non ce n’est pas possible. Quelqu’un m’a surprit. S’il raconte tout à Fanny, je suis mort. Terminé la vie de couple. C’est sûrement ce type qui a dit enlevé les affiches.

Je rentre chez moi, je transpire, j’imagine tout et n’importe quoi. Comment vais-je faire pour m’en sortir ?
Je m’assieds sur le canapé et me dis qu’il faut que j’arrête ça et que je découvre qui est l’auteur du message.
J’ai envie de pleurer mais je dois me ressaisir et faire en sorte que tout se passe bien pour moi.

TOC TOC TOC

Mon cœur s’emballe et.. si c’était lui, la personne qui m’a laissé ce mot.
Mince, je ne réponds pas, j’ai peur.

TOC TOC TOC

Allez mec, un peu de courage. Ressaisis-toi, lève toi et va ouvrir.
Je décide y aller. J’ouvre la porte et... oh non, pas ça.


Ingrid est la, devant moi, visage fermé. Je vais passer un sale quart d’heure.
_ Oui ? c’est pour quoi ? Dis je timidement comme un qui aurait fait une bêtise.
_ Écoutez, vous et votre copine vous commencez à me gonfler avec le bruit. C’est tous les jours que je vous entends. Il va falloir que ça cesse. Encore ce matin à 6h30. J’en peux plus .

Quelle soulagement, elle me gueule dessus mais j’en suis presque heureux. J’ai un léger rictus qui arrive.

_ En plus ça vous fait rire espèce de demeuré ? Me dit elle méchamment. En plus d’être moche, sale et d’avoir une femme qui est proche de ressembler à une vache, vous êtes deux débiles. Vous avez toutes les tares du monde.

Mon soulagement commence petit à petit à laisser place à de la haine.

_ Tu commences à me gonfler espèce de connasse. La prochaine fois que tu viens nous emmerder et nous insulter ma compagne et moi, ça va mal se passer. Lui dis-je en levant la voix et m’approchant d’elle.

J’ai tellement envie de lui éclater la bouche avec ma queue pour lui faire fermer sa gueule. Je m’imagine tellement la baiser violemment, lui faire mal que je commence à bander petit à petit. Mon excitation pour elle revient de plus belle.
Je vois sa tête et son regard plonger sur mon entre jambes. Ses yeux s’écarquillent.

_ Espèce de gros deguelasse, vous êtes en train de bander. Vous êtes un porc, vous me dégoûter.
Je cache mon sexe comme je peux .
_ Maintenant, hors de la vue, je ne veux plus vous voir chez moi, c’est bien compris.
_ « Je vais vous faire virer d’ici, TOUS LES DEUX » me dit’elle en s’éloignant « Vous entendez, TOUS LES DEUX « 

Je claque la porte, énervé. Je suis furieux mais tellement excité. C’est sur ce soir je retourne chez elle. Ça lui apprendra.

Vers 16h00, je sors de mon appartement et je pars jeter les emballages comme me l’a demandé Fanny.
Il y a deux sacs remplies, je décide d’y aller en voiture même si le container n’est pas trop loin.
En posant les sacs dans le coffre, j’aperçois le mec qui était chez Ingrid ce matin. Il sort du bâtiment, il devait être à nouveau chez elle.
Je le vois se diriger vers moi, l’air déterminé.

_C’est toi le sale pervers qui emmerde ma copine ? Me dit’il.

Il doit avoir entre 45 et 50 ans, mal rasé, les yeux marrons. Grand, tout sec en short et débardeur.
Je dépose mes sacs et me retourne vers lui. Je vois son visage énervé et bronze devenir petit à petit blanc et apeuré. Je pense qu’il ne s’attendait pas à ce que ma carrure soit aussi imposante.

_ »Tu es qui toi ? «  lui dis je en le pointant du doigt. « Ne me casse pas les couilles et dégage de là ».

Il s’approche vers moi et commence à m’agripper par le t’shirt et me dit:
_ Écoute moi bien petit con.
..
Je l’att à mon tour en le saisissant avec ma main droite à la gorge. je le plaque violemment contre ma voiture. Je vois qu’il a peur, il est tout tremblotant.
_ La prochaine fois que tu me touche ou que tu m’adresses la parole, je t’éclates la gueule .
Je le sors de ma voiture et le propulse par terre. Je m’approche de lui et lui dit:
_ DÉGAGE DE LA !
Il se relève et part en direction du parking visiteur en me disant qu’il va porter plainte.

En le poussant, j’ai fais tombé mes clefs de bagnole. Je me baisse pour les ramasser et à ce moment la, j’aperçois un iPhone noir à côté de mon pneu arrière gauche.ce con, il a du le faire tombé quand je l’ai jeté au sol.
Je le ramasse, j’ouvre ma voiture et regarde autour de moi en espérant que personne ne m’ai vue.
J’entre dans mon véhicule et me penche sur ce portable. J’allume l’écran et surprise, pas de code.
J’ouvre les messages et je vois une conversation avec Ingrid. Je regarde un peu l’historique, rien de très intéressant. Il sont ensemble depuis quatre mois.
Plein d’idée me viennent en tête. Pendant quelques temps, avec ce téléphone je peux me faire passer pour son mec.
Je décide de lui envoyer un sms pour voir si elle va me répondre et y croire.
Je lui note:

• Coucou ça va ? Ton abruti de voisin ne t’embêtera plus.

Envoyer.
Je suis très excité. Je démarre mon véhicule et je pars vers les containers.

Me voilà arrivé, je sors de la voiture. J’att les deux sacs et commence à les vider.

VVVV VVVVVVVVV

Un message, c’est Ingrid.

• Merci mon chéri, j’espère que ça va. J’en peux plus de ce couple.

Génial, elle n’y a vu que du feu. Je suis tellement content, l’excitation commence à me refaire bander. Je me dis que cette technique pourrait me servir pour peut être enfin la baiser.
Je range les deux sacs vides, je remonte dans ma bagnole.
Avant de demarrer, je décide de lui répondre.

• Oui oui ça va. Vu que je me suis débarrassé de ton voisin, je mérite une petite récompense non ? En plus de ça, j’ai vraiment très envie la.

Je démarre mon véhicule et rentre chez moi. En sortant de la voiture, Ingrid me répond:

• C’est à dire ?

Elle est complètement tombée dans le panneau, je vais y aller franchement.
Je suis à l’entrée de mon bâtiment et je lui répond :

• J’ai très envie de te faire l’amour comme si, j’étais un inconnu. Tu te bandes les yeux, tu t’allonges sur ton lit en sous vêtement. Tu te mets en cuillère et tu laisses la porte ouverte.
Je te fais l’amour et je repars. Sans un bruit, sans un mot.

Je monte les escaliers , ouvre la porte de mon appartement. Je bande comme un âne.
Le téléphone vibre de nouveau.

• J’aime beaucoup l’idée, ça me plait, c’est très excitant. On fait ça quand ?

Oh putain la salope, elle veut se faire baiser. Il me reste encore 50 minutes avant que Fanny ne soit là. Je frotte mon sexe avec ma main gauche, je suis en train de bander comme un âne et je lui répond:

• Je peux être là dans 10 minutes . C’est ok pour toi ?

Elle me répond instantanément :

• Tu ne devais pas récupérer ta fille ?

Merde, il fait chier ce con. Je lui dis:

• Je vais la prévenir que je suis dans les bouchons et que j’aurai 15-20 minutes de retard, ce n’est pas grave.
Elle ira boire un café à la gare en attendant. Ne t’inquiètes pas.

Elle me répond:

• Ok

Je bande comme un âne, je vais enfin pouvoir baiser cette pute. J’ai quand même, au fond de moi un sentiment de culpabilité. Je n’ai jamais trompé ma copine mais Ingrid m’excite tellement que je passe outre.

Je descend jusqu’à son appartement.
Faisant beaucoup de vélo, j’ai une cagoule pour l’hiver. J’ai pris soin de la prendre. On ne sait jamais si elle ouvre les yeux, cela pourrait me sauver.

Je l’enfile, j’abaisse la poignée de la porte.
Bingo, elle est ouverte.
Je progresse discrètement dans l’appartement. Les pièces sont toutes vide.
J’arrive à sa chambre, elle est comme je lui ai demandé. Allongé en cuillère, les yeux bandés.
Elle porte un soutien gorge blanc à pois bleue marine ainsi qu’une culotte en dentelle blanche.

J’ai la bite toute dur. Je ne perds pas une minute. Je baisse mon pantalon et mon caleçon. Je suis devant Ingrid, la bite à l’air.
Je viens m’allonger derrière elle. Je m’approche et me colle à elle. Ma bite frotte la raie de son cul. Je l’entends gémir et me dire:
_ Je suis contente que tu sois venue mon chéri.

Je ne peux rien dire, sinon elle va me reconnaître.
Je caresse son jolie petit cul avec ma main droite, je fait des vas et viens sur sa chatte et son anus. Elle gémit de plus en plus, se lèche les lèvres. Quelle bonne salope, si elle savait que c’était moi, elle serait dégoûtée.
Je commence à jouer avec ses lèvres inférieur et je finis par y glisser mon doigt.
Son corps part en avant, elle gémit fort.
Ma bite est tellement dure quand je l’entends faire du bruit et se dandiner.
Je glisse un deuxième doigt et je la vois s’étirer à nouveau.

_ Annnnn Ann annnnn aaaah !

Je sors mes doigts et viens les frottées contre ses lèvres, elle me les suces immédiatement.
J’att mon gland, c’est le moment de la pénétrer.
Mon gland vient s’écrase contre ses lèvres inférieures très humide.
J’ai un bras qui l’entoure par dessous et vient s’arrêter sur son sein gauche. L’autre main tient son bassin.
Je m’enfonce tout doucement .

Je lache un soupir de plaisir, elle un crie de joie et de soulagement.
Je commence à faire des vas et viens. Sa chatte est serré, mon gland frotte bien dans son utérus. Je pense que je vais être très rapide.
Mes poils pubien viennent frotter son cul. Je lui lèche le cou et le lobe de son oreille.

_ Ouiiiiiii, ouiiiiii, Annnnnnn, Annnnnnnnn, continue, c’est tellement bon.

Mes mains ont soulevés sont sous tien gorge et je malaxe son sein gauche . De temps en temps je tire sur le téton.

Je mets des coups de plus en plus rapide. Je n’y vais pas trop fort.
Je me régale de baiser cette salope. Elle crie de plus en plus fort.

Le sperme commence à monter. Je sors de sa chatte à temps. J’ejacule sur son cul. 2 gros jets terminent sur sa fesse droite. Je frotte bien mon gland sur son cul pour tout lui laisser.

_ Ça y est mon chéri, tu as deja terminé ? C’était rapide.

J’avais tellement envie que j’ai pas pu résister longtemps.

Je sors vite du lit. Je ne prends pas le temps de me rhabiller. Je prends mon pantalon, caleçon et mes claquettes à la main.
Je pars en courant avant qu’elle ne me voit. J’ouvre et referme la porte. J’ai la bite à l’air dans le couloir. J’enfile vite mes vêtements et rentre chez moi avant que ma femme arrive.

Me voilà chez moi, j’enlève vite mon caleçon car il y a des traces de sperme dessus. Je vais le cacher dans mon sac de travail.
Le téléphone vibre de nouveau:

• Tu m’as bien fait jouir mon chéri, même si je reste sur ma faim.

Je bande comme un porc de nouveau. J’ai tellement envie de la voir me sucer. Je vais essayer de baiser sa bouche ce soir.

• Ce soir, je veux prendre uniquement ta bouche avec ma queue. Toujours les yeux fermés et bandés. Je viens vers 23h30

Elle me répond :

• Ok mais pas plus tard alors. N’oublie pas que je n’aime pas trop sucer, alors je fais un effort pour toi mais tu y vas doucement et tu n’éjacules pas dans ma bouche ou sur mon visage. Je déteste ça.


J’y crois pas, ce soir, je vais enfin pouvoir lui éclater la bouche. J’ai tellement hâte. En plus elle n’aime pas ça. Je vais me régaler.
Je réponds :

• Oui mon amour, on fera doucement et ejaculation par terre.

Je mets le téléphone sur silencieux et le planque également dans mon sac de travail.
Fanny rentre un quart d’heure plus tard et me demande comment c’est passé ma journée. Je lui dit, rien de bien passionnant.

On mange tranquillement, je pars faire la vaisselle, je ne pense qu’à une seule chose, défoncer la bouche de ma voisine.
_Ca va mon cœur ? Mon cœur ? Steph ?!
_Hein quoi ? Tu me parles ?
_ Oui, tu es tout bizarre, tu es tracassé par quelque chose ? Me dit elle en s’approchant de moi.
_ Ne t’inquiètes pas, tout va bien mon cœur.
Elle m’enlace pendant que je frotte une assiette.
Elle m’embrasse dans le cou. Je sens sa main droite descendre sur mon bas ventre, puis sur mon sexe.
Je comprends qu’elle veut faire l’amour.
Je me recule comme pour lui indiquer que je suis fatigué.
_Pas ce soir mon cœur, j’ai pas envie. Lui dis je en posant mon éponge pleine de mousse.

Sans me dire un mot, elle part sur le canapé, vexé.

Je ne peux pas me permettre de jouir à nouveau. J’ai déjà gicler deux fois aujourd’hui. La troisième sera pour la bouche et le visage d’Ingrid.

22h30, Fanny s’endort sur le canapé comme chaque soir. Je la réveille et lui dit de partir au lit. Elle y va sans ronchonner, comme un zombie.

A 23h00 je fais les cents pas. Je récupère discrètement le téléphone.
Pas de message. J’envoie un sms à Ingrid pour lui demander si elle est toujours ok et prête.

VVVVV VVVVVVVVVVV

• Tu peux venir , je suis sur le canapé, assise les yeux bandés. La porte est ouverte.

Je prends mes claquettes discrètement à la main. Je sors, referme la porte tout doucement.
Je descend les escaliers, entre chez Ingrid.
Pas de surprise, elle m’attend sagement les yeux bandés, habillé d’un jogging noir et d’un débardeur noir également.

Je m’approche d’elle, je sors ma queue.
J’ai bien pris soin de ne pas la nettoyer. Il reste encore du sperme et de la cyprine sèche de la baise de cette après midi.
Ma queue sent très fort. Mes 17cm sont en erection. Je la tiens fermement dans la main. Je suis à quelques centimètres du visage d’Ingrid.
Je la vois froncer les sourcils

_ C’est quoi qui pue comme ça Fabrice ? C’est ta queue ?

Alors il s’appelle Fabrice, pendant une bonne dizaine de minutes je serais ton Fabrice.

J’agrippe son pseudo chignon sur la tête avec ma main gauche. Je ne suis pas sûr qu’elle apprécie mais je m’en fou. Je frotte mon gland sale sur son visage. Je le fais passer de sa joue jusqu’à son front en n’oubliant pas ses lèvres, plutôt sèche.

Que c’est bon, ma bite est gorgée de sang. Je lache ma queue est je viens lui caresser les lèvres avec mes doigts. Je finis par lui rentrer deux doigts dans la bouche en lui tirant légèrement la langue. Elle comprend rapidement que je veux la voir la bouche ouverte et la langue tirée.

J’adore ça, elle est totalement soumise à son Fabrice.

Je frotte mon gland sur sa langue, rien qu’avec ça, je sens la sève montée. Il faut que je me calme et que j’en profite plus.
Petit à petit, mon gland pénétrer son orifice buccale. Une main agrippe ses cheveux et l’autre tient l’arrière de sa tête.
Elle rentre sa langue et referme sa bouche en ayant la moitié de ma bite dedans.

Je commence à mettre de léger coup de bassin. Je vois qu’elle subit la situation.
Elle fait beaucoup de bruit de bouche et a du mal à déglutir sa salive. Ça m’excite encore plus. Je vais de plus en plus loin et racle le fond de sa gorge avec mon gland.
Ses mains commencent à essayer de me repousser mes je reste enfoncé en mettant des coups de bassins comme pour essayer d’aller plus loin.
Je ressors d’un coup.

Son corps bascule légèrement en avant, la bouche grande ouverte, la tête en bas. Elle essaye de reprendre son souffle . Énormément de bave coule sur son menton et sur son débardeur noire. Deux énormes filets relie ses lèvres à ma queue qui, elle, est trempée.

_ « HAAAAN IIIIIIIH ! HAAAAN IIIIIIIH ! HAAAAANN IHHH ! Tu es malade « me dit’elle en reprenant son souffle, « j’étais en train de m’ ». Les mains sur les genoux, la bouche grande ouverte, recherchant l’air. « Je t’avais dit d’y aller doucement et que je n’aime pas sucer. »

J’en ai rien à foutre. Je la saisis par les cheveux avec ma main gauche , récupère ma queue avec la droite.

_ AAAAAAIEEEEE ! On va arr...

Je ne la laisse pas finir et je lui enfonce violemment ma queue dans la bouche. Je lui tient l’arrière de la tête avec les deux mains.
Ma bite s’enfonce jusqu’au fond de sa gorge. Je bourre le plus fort possible . Son visage se déforme à chaque fois que mon pubis recouvert de poils frappe celui ci.

Je sens ses deux mains essayer de me repousser mais en vain. Je lui défonce la bouche . Mon gland frotte son palet et je touche presque sa glotte.

Je vais bientôt gicler.
J’ai à peine le temps de ressortir et de viser son visage que mon sperme vient s’écraser sur son visage.
Ingrid comprend la situation et essaye de positionner une main pour éviter que le sperme la touche.

_ NOOOOOOON !! Pas ça Fabrice !

Malgré tous ses efforts, le premier jet est un long filet qui recouvre son nez à son front ainsi qu’une partie du haut de ses cheveux. Le deuxième jet est plus épais et termine sur sa pommette droite. Il est visqueux translucide et le dernier, tout petit recouvre sa lèvre inférieur et le menton.

_ Fabrice, je t’av...

Je ne l’autorise pas à parler et à nouveau je pénètre violemment sa bouche pour nettoyer mon gland.

Je sors rapidement, remonte mon caleçon et pantalon. Je garde une main sur ses cheveux pour éviter qu’elle n’enlève le bandeau. Puis, une fois terminé, je détale en courant jusqu’à chez moi.
J’ai eu le temps de partir sans me faire voir.

Je la laisse la, assise souillé par mon sperme, humiliée

En rentrant, je pars discrètement me coucher comme si de rien était. Je vais faire de merveilleux rêve.

A suivre ...

(Les commentaires me motive à écrire. Merci de faire l’effort de commenter s’il vous plaît.
J’attends vos avis et vos envie pour la suite de cette histoire)

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!