Ta Vie Va Devenir Un Enfer 5

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Une semaine et demi s’est écoulé depuis la fameuse branlette dans Le local boîte au lettre.
Depuis, j’ai repris mon travail, J’ai croisé de temps en temps Ingrid, je faisais comme-ci de rien était.
Quand je la vois, je bande à chaque fois. Qu’est ce que j’aimerai de nouveau pouvoir la baiser.

Je n’ai toujours pas eu d’appel du couple de vieux. Peut-être on t’il lâché l’affaire ?
En tout cas, en ce vendredi, la journée est belle. Il est 8h15, Fanny est partie bosser et moi je ne travaille que deux heures aujourd’hui. De 16h30 a 18h30.
J’ai envie de profiter de ma journée. Sport, jeux vidéo et petite branlette.

Je commence par déjeuner, je fais comme d’habitude, chocolat chaud, biscotte et fromage blanc.
A 8h30, je reçois un sms. Je prends mon tel et regarde.

« Ce soir, ta femme et toi on vous baise »

Oh non, moi qui croyait m’être débarrassé d’eux. Un sentiment de peur et de colère m’anime. Je prends mon téléphone, m’assieds sur le canapé et décide de les appeler.
Ça sonne.

_ Allo ? Me dit l’homme au téléphone.
_ C’est quoi ce message que vous m’avez envoyé ? Vous vous prenez pour qui ?
_ Ahahahahah, je me prends pour le mec qui contrôle le jeu. Je vous l’ai dit, si vous ne voulez pas de gros problème, vous avez tout intérêt à obéir.
Il me glace le sang, je suis piégé.
_ Je vous l’ai déjà dit, ma femme n’acceptera jamais ça. Je ne peux pa...
_ Ferme là et écoute bien ! Que ta femme aime ou pas, c’est pas mon problème. Tout ce que je sais, c’est que si ce soir, ma bite n’est pas dans le cul, la chatte et la bouche de ta copine, tu peux dire adieu à ta vie et ton couple. C’est bien clair ?

Je mets un long moment avant de répondre. Ma voix s’adoucit.
_ Mais elle n’ai pas du genre à me tromper et n’aime pas trop le sexe. Ça va être difficile.


_ A toi de trouver une solution.
_ « Très bien », lui dis-je l’air désabusé. « Je vais trouver une solution ».
_ Tu es ou la ?
_ Quoi ?
Je commence à m’inquiéter.
_ Tu es ou ?
_ Chez moi pourquoi ?
_ On arrive !
_ Comment ça ?
_ Nous avons envie de baiser, on veut un avant goût de ce soir !
_ Mais je vais partir travailler et...
_ Tu n’as pas le choix.
Il raccroche. Je fais les cents pas. Putain ce n’est pas possible. Je vais jamais m’en sortir. Fanny ne se laissera jamais toucher par ce vieux deguelasse.

Quelques instants plus tards, on sonne. Je m’approche de l’interphone :
_ Oui ?
_ C’est nous.
Je ne dis pas un mot et j’ouvre la porte. Je vois les deux vieux, sourire aux lèvres, main dans la main se diriger vers mon appart. Ils sont exactement habillé comme hier soir.
_ On peut entrer ? me dit l’homme.
Je ne dis pas un mot et m’écarte de la porte. Je ferme derrière eux. Ils s’assoient sur mon canapé et me fixe.
_ Alors, tu es content de nous voir ? me dit le vieux.
_ Franchement ? Non, je suis honnête désolé.

Je reste devant eux, planter comme un tronc d’arbre. Je suis mal à l’aise et j’ai un peu peur.
_ C’est pas très gentille n’est ce pas Monique ?
_ Oui, on devrait le punir ce vilain garçon . Tu en penses quoi Bruno ?
Je connais enfin leurs prénom: Monique et Bruno.
J’ai peur de la punition.

Bruno se lève d’un coup, se dirige vers moi, me met la main sur mon épaule gauche et me dis à l’oreille.
_ Tu t’es déjà fait enculer ?
Ses mots me glace le sang. Il est hors de question qu un homme me touche.
_ Non et je peux vous garantir que ça n’arrivera pas.
Je les vois sourire tous les deux. Ils se regardent et se font signe de la tête.
_ Relax, Ne t’inquiètes Steph, c’est toi qui va l’enculer.
_ Pardon ?
Il baisse son pantalon devant moi, bite à l’air.
Il est en demi-molle. Il se tourne, pose ses mains sur le canapé et m’ouvre son anus.
_ Vas-y ! Entre en moi ! Dit-il
Je me recule et lui dit:
_ Jamais ! Ce n’est pas mon truc les mecs.
_ Monique, envoie le mail à Ingrid !
_ Oui mon chéri.

Je suis coincé, je n’ai plus le choix.
_ Attendez, ne faites pas ça svp!
_ Alors encule moi ! Maintenant à sec ! Me dit-il froidement.
_ Mais je ne peux...
_Ferme ta gueule et encule moi ! C’est clair petit con ! Me dit Bruno en haussant la voix.

Je baisse mon pantalon, je prends ma bite et commence à me masturber. Une fois le gland bien gonflé, je le dépose sur l’anus poilu de Bruno. C’est très serré mais je pousse doucement et j’entre en lui petit à petit.
Il commence a respirer fort. La sensation est bizarre. Je suis entre l’envie de vomir et le plaisir.
_ Plus fort, vas-y, défonces moi! Me dit Bruno.

Je ferme les yeux et je commence à accélérer, j’essaye de penser à Ingrid pour m’exciter. Mes coups de rein deviennent violent, je ne le touche pas avec mes mains. Ça me dégoûte, mais je n’ai pas le choix.
Monique profites du spectacle.
_ Quand tu as envie de jouir, tu sors et tu viens me voir ! Me dit Monique assise sur le canapé.

Au bout de cinq minutes de sodomie, je sors ma queue du cul de Bruno et m’approche de Monique.
_ Bruno vient aussi, dit-elle.

Elle est assise sur le canapé . Elle prend ma bite dans la main et commence à me branler. Elle fait pareille avec son mari. Elle nous suce en alternant ma queue puis la sienne.
On voit qu’elle est habituée, elle s’y prend drôlement bien.
Bruno finit par ejaculer dans la bouche de Monique. Elle avale son sperme.
Il s’assied à côté d’elle et il ouvre la bouche. Il veut ma semence. Monique me masturbe et je finis par lâcher deux filets de sperme dans la bouche et sur le menton de Bruno, qui se régale avec.
Je me rhabille rapidement, ne disant pas un mot.
Je sens des gouttes de sperme de coller à ma peau dans mon caleçon. En me rhabillant j’ai pu voir des poils du cul de Bruno coincé dans mon prépuce.

Muriel et Bruno se roulent une pelle. L’homme se rhabille, me regarde et me dit:
_ Merci, ce soir je défonce ta petite salope de copine.
_ Pardon ? Tu as dis quoi mec ? Je m’avance vers lui, l’att au col prêt à en découdre.
_ Lache le ! Ou sinon j’envoie tout à Ingrid me dit Muriel.

Je tourne ma tête vers elle, relâchant le col de son mari.
_ Dégagez de chez moi maintenant !
J’ouvre la porte pour qu’ils sortent. L’homme et sa femme se dirigent dehors.
_ Ce soir, nous serons là vers 20h30. Fais ce qu’il faut pour que ta copine soit docile, me dit Muriel.
_ Docile comme une bonne chienne ajoute Bruno.
Je sers les dents et ne dis rien. Je claque la porte derrière eux et je me mets à hurler :
_ Eh MEEEEERDE !
Je tabasse mon canapé pour calmer mes nerfs. Je réfléchis à une situation et surtout comment m’en sortir. De toute façon, à part les éliminer tous les deux, je vais devoir laisser ce vieux porc baiser Fanny.

16h30, j’arrive à mon boulot. Je réfléchis comment faire pour éviter que ma femme se fassent baiser. Je regarde mes nombreuses collègues féminines. Certaines sont très séduisantes. Pourquoi ne pas laisser Melody ou bien Océane prendre la place de ma femme ?
Non impossible, comment emmener l’idée. Je me vois mal leur dire: « salut les filles, une de vous deux veut bien se faire baiser par un vieux porc bien deguelasse ? »

Je n’ai pas d’autre choix que de faire boire Fanny. C’est la seule option.



18h30, je débauche, sur la route, j’appelle Fanny.
_ Allo ?
_ Coucou mon amour ça va ? Lui dis-je .
_ Oui et toi ?
_ Tout va bien, je débauche. Dis moi, ça te dit que l’on se fasse une soirée romantique ce soir ?
Je sers les dents, si elle me dit non, je suis dans une merde noire.

_ Bien sur, tu veux que j’achète quelque chose ?
_ Non non, c’est bon, par contre je veux bien que tu mettes ta petite nuisette sexy, la violette.
_ Par contre mon cœur, on ne pourra pas faire craque-craque, j’ai mes...tu vois ce que je veux dire.

Oh non, pas ça. Là ça va être compliqué.
_ Pas de soucis mon amour, à tout à l’heure. Je t’aime
_ Moi aussi je t’aime.

Je raccroche. « PUTAAAAIN DE MEEEEEDE !! »
Je suis énervé et dépité à la fois. Je décide de ne rien dire à Bruno, tant pis on verra bien.
Je m’arrête sur la route dans un centre commercial. J’achète un pack de bière et une bouteille de rhum.

19h20, je rentre chez moi. Je n’ai plus de temps à perdre.
J’ouvre la porte de chez moi. Fanny est en pyjama, débardeur blanc, jogging cheveux attachés et démaquillée. Je pose rapidement mes affaires.
_ Ça va mon cœur ? lui dis-je. On se boit une bière ?
Elle vient m’embrasser délicatement sur la bouche.
_ Oui je veux bien.
J’ouvre deux bières, lui en passe une. Elle l’a déguste.

Il est 19h40, Bruno et Muriel seront là dans 50 minutes et Fanny déguste toujours sa première bière.
Il faut que je trouve une solution.
_ Chérie ça te dit que l’on fasse un petit jeu d’alcool ?
_ A deux ? C’est pas très drôle.
_ Allez, on va quand même bien s’amuser et puis ça fait longtemps que l’on a pas picolé.
_ Oui mais picoler à deux, ça fait ivrogne.
Je souffle et elle voit que ça m’énerve.
_Comme tu veux ! Lui dis-je.
_ Ok, ok mon cœur, si tu veux.

Ouf je suis sauvé il me reste moins d’une heure pour la rendre quasiment inconsciente.
Le temps défile, elle enchaîne les bières puis à 15 minutes de l’arriver du couple, on ouvre la bouteille de rhum.

20h30, l’arrivée des pervers est imminente. Fanny, est déchirée et de moins en moins consciente.
Ça sonne, Fanny éclate de rire.
Je me dirige vers l’interphone.
_ Oui, c’est pour quoi ? Dis-je
_ C’est nous, me répond Muriel.

J’ouvre la porte avec l’interphone. Le couple arrive, toujours habillé pareille.
Je fais entrer les deux porcs.
_ Vous êtes qui vous ? Dis Fanny déchirée
Bruno sourie et je peu voir qu’il bande un peu.
Muriel part s’asseoir sur le canapé, proche de Fanny.
_ Bonjour mademoiselle dit Muriel.
Fanny la regarde et ne dit rien. Ses yeux son à moitié fermé.
Bruno se dirige à son tour vers le canapé. Il s’assied à côté de Fanny lui aussi.
Ma femme est entouré par ses deux vieux deguelasse.
Je reste là, à coter de la porte.

_ Mais qui sont des gens ? me dit Fanny
Je ne sais pas quoi dire, je balbutie comme quoi ce sont des collègues de travail.
Bruno pose sa main droite sur la cuisse de ma femme qui ne s’en rend pas compte. Muriel, elle, frotte son dos, délicatement.
_ Tu es très jolie toi, lui dit Bruno.
_ C’est vrai qu’elle est appétissante et bien en chair cette jeune femme, réagit à son tour Muriel.

Fanny les regardes, l’un après l’autre, ne comprenant pas ce qu’il se passe.
La main de Bruno remonte jusqu’à l’aine de ma femme, fleurtant avec sa chatte.
_ Tu as déjà fais un plan à 3 ma belle ? lui dit Muriel.

C’est à ce moment-là que je comprends que je ne vais pas participer et que Fanny sera leur victimes.
_ Un plan à 3 ? C’est quoi, un jeu ? Dit Fanny en balbutiant.
_ « Un très bon jeu ou tu vas avoir des orgasmes à répétition », dit Bruno en commençant à frotter son sexe. « Tu veux jouer avec nous ? »
_ Je ... je... ze... ne suis...pas sûr que Steph zoi d’accord ? Dit-elle en ayant beaucoup de mal à parler.
_ Oh si, il est d’accord, c’est même lui qui nous a appelé. N’est ce pas Steph ? Me dit Bruno.
_ Oui mon amour, éclate toi, lui dis-je en ayant envie de pleurer et de fracasser ce couple de cinglé.
_ Bon Ben...ze veux bien jouer alors, dit Fanny.
Muriel, passe sa main sous le débardeur de Fanny. Elle continue à frotter son dos.
Bruno lui, commence a baisser son pantalon pour sortir son sexe.

Je m’interpose car je ne veux pas voir ça. Je veux partir pendant qu’ils nt de ma femme.
_ Bruno, je vous laisse, je vais...
_Hors de question, je veux que tu regardes ce que l’on va lui faire.

La main de Muriel, passe devant et viens frotter les bourrelets de ma femme puis ses gros seins.
Je suis médusé en voyant ça, je suis obligé de rester. Ça va être long et dur pour moi.
Fanny ne réagit pas, Bruno sort son sexe et commence à se branler.
_ Regardes ma belle, tu veux la toucher ? Lui dit l’homme.
Ma copine éclate de rire.
_ Tu as sorti ton zizi devant tous le monde dit-elle en le montrant du doigt.
L’homme saisit sa main violemment et la porte à sa bite en lui disant:
_ Ferme là et branle moi.
Fanny se tait aussitôt et masturbe l’homme. Muriel relève le débardeur de ma femme laissant apparaître ses deux énormes mamelles (110 D). La vieille commence a lui lécher les tétons, goulûment laissant Fanny sans réaction.

Bruno se laisse masturber, il commence à jouer avec sa chatte en la frottant de plus en plus.
Fanny commence à réaliser qu’ils sont là pour la baiser.

Muriel baisse son pantalon et sa culotte laissant apparaître une vieille chatte tres velue assez odorante.
_ Viens me bouffer la chatte Fanny, lui dit la femme.
Ma copine ne répond pas. Bruno se lève et la fait se mettre à genoux, le nez dans la chatte de sa femme.
Muriel appuie sur sa tête et ma copine commence à lécher doucement puis de plus en plus vite. La respiration de Muriel accélère, elle commence a faire du bruit.
_ Vas y Fanny, oh oui oh ouiii c’est bon. Comme ça, encore.

Bruno se régale, il se met derrière Fanny et baisse son jogging.
_ « C’est une blague ? » Dit l’homme. « Steph ? Tu me prends pour un con ? »
_ Quoi ? Qu’est ce que tu as encore ? Lui dis-je
_ Tu aurais pu me prévenir qu’elle avait ses règles. Ça ne sera pas sans conséquences. Crois moi !

Je me retiens et ne dis rien, je ne veux pas aggraver la situation.

Fanny bouffe toujours la chatte de la vieille qui prend son pieds.
Bruno termine de baisser le jogging et la culotte de Fanny. Il voit son anus, sans poil, devant lui. Il commence a le titiller puis il vient le lécher.
Je vois que Fanny se dandine et parfois s’arrête pour gémir.
Elle a l’air d’aimer ça.
Au bout de trois minutes, l’homme se relève, pose son gland sur l’anus de ma femme et commence à la pénétrer sans préservatif assez violemment.
Elle relève la tête et essaye de le repousser. Muriel saisit les deux mains de Fanny pour l’empêcher de bouger.
_ AAAIIIIIIIE ! Ça fait mal, STOOOOOP ! Hurle Fanny.

L’excitation de Bruno lui fait continuer la sodomie. Il finit par entrer dans son cul et commence à La bourré.
_ Oh oui sale petite pute ! C’est tellement bon ça ! Je dois être certainement le premier à t’enculer. Tu aimes voir ta femme se faire baiser comme une chienne Steph ?
Je ne dis rien, regarde la scène avec effroi et horreur.
_ Réponds petite merde ?! Me dit l’homme sur un ton violent.
_ Bien sur que non, sale enculer.
_ Ça m’excite encore plus, je vois que tues énervé. Regarde bien comme je la baise bien ! Son cil est tellement serré à cette grosse dinde !

Il se mord les lèvres et m’humilie.

Fanny pleure de douleur et supplie Bruno à chaque coup d’arrêter.
Muriel arrive de temps en temps à recoller sa chatte sur la bouche de Fanny.
Je peux entendre les bruits de claquement entre le cul et la bite de Bruno.

Au bout de cinq minutes de sodomie intensive, Bruno me regarde sourie et me dis :
_ Je vais bientôt jouir mais d’abord, je veux que tu te branles et que tu jouisses sur ta femme. Je veux la voir inonder de sperme cette salope.
_ Pitié Bruno, c’est trop la...
_ Obéis lui me dit Muriel. Sinon tu sais ce qui arrivera.

Pas le choix, je baisse mon pantalon, je m’astique la bite.
Bruno sort du cul de Fanny. Il lui dit de se mettre à genoux. Il se dirige vers elle, frotte son gland sur son visage et lui dit:
_ Ouvre la bouche !

Elle s’exécute et il pénètre son orifice buccale violemment.

J’avoue que la situation m’excite un poil. Je m’astique fort, me rapprochant de Fanny. Je la regarde sucer l’homme. Elle fait de gros vas et viens et au bout de quelques secondes, je lache une grosse décharge de foutre qui atterrit sur sa joue droite puis sur le front.
La situation excite Bruno qui sort de la bouche de Fanny et ejacule deux gros jets sur son visage recouvrant son menton et son œil gauche.

_ « Aaaaaarg ! Au putain, c’était bon ça ! Je l’ai bien enculé à cette pute », dit le vielle homme en se rhabillant. « Vu que nous l’avons baisé à moitié, samedi soir prochain, vous venez chez nous et on en profiteras à quatre ».
_ Non c’est bon, vous avez eu ce que vous voulez ! Alors ça suffit.
Muriel s’approche de mon visage, elle se trouve à 50 cm de mes lèvres.
_ Non, moi je ne t’ai pas encore vu me lécher et me faire jouir avec ta langue. Bruno n’a pas pu goûter la chatte de ta copine. Puis nous faisons ce que nous voulons de toi. Alors un conseil, obéis nous et tout se passera bien.

Elle me dépose un baiser sur mes lèvres.
_ Passez une bonne nuit les jeunes. A la semaine prochaine.
Bruno claque la porte. Me laissant médusé devant ma femme , allongée à moitié parterre et à moitié sur le canapé recouverte de sperme.
Elle ne dit pas un mot, comme si elle dormait.
Je m’empresse a récupérer de l’essuie tout pour enlever tout ça.
Je la rhabille et la réveille en lui disant d’aller au lit. Elle me répète ses quelques mots difficilement:
_ Pourquoi tu les a laissé faire...
Je ne dis rien, en espérant qu’elle oublie cette épisode et que je réussisse à trouver une solution pour la semaine prochaine.

Je finis par aller me laver, pleurant sous ma douche.

Vers 1h, je pars me coucher.

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