Marie Ma Maîtresse 2Ème Partie

Je suis juste derrière elle et je me pose plein de questions. Lorsque l’on rentre dans sa chambre, grosse surprise pour moi. On est pas seul. Un homme est allongé sur le lit, complètement nu le sexe raide comme un i.

« - Regarde cette belle queue. Lui doit réussir à faire jouir les femmes. Met toi dans le coin là et regarde le me donner du plaisir. »

Elle monte sur le lit, se glisse entre les cuisses de l’inconnu, lui att la bite et la met dans sa bouche. Je sais ce qu’elle est capable de faire avec sa bouche et imagine très bien le plaisir que cet homme va ressentir. Je regarde les lèvres de Marie coulisser sur cette bite. Puis elle arrête la fellation, se tourne vers moi pour me dire :

« - Humm, elle est bonne cette queue. »

Elle retourne aussitôt continuer ce qu’elle a si bien commencé. Dans cette position, sur ses genoux et penché en avant, sa jupe légèrement soulevée, je distingue très bien sa petite chatte. L’homme lui, est confortablement installé, sur le dos, la tête sur les oreillers. Il se laisse faire, ne fait rien, ne bouge pas. Il profite juste de la caresse buccale. Marie est comme une affamée sur ce sexe. Je la regarde avaler cette bite jusqu’aux couilles. Pourtant, je n’arrive pas à bander du spectacle qu’elle m’offre, je repense sans arrêt aux paroles qu’elle m’a dit tout à l’heure.

« - Vient, approche toi. Reste pas dans ce coin. »

Je fais les deux, trois pas qui me sépare du lit.

« - Bouffe moi la chatte. »

Je me penche sur le lit et plonge ma tête sur le sexe de Marie. Elle est complètement trempée, sa cyprine coule sur ses cuisses. Cette femme est un véritable délice. Je commence par titiller son clitoris, avant de donner des grands coups de langue sur sa chatte.

« - Bouffe moi l’anus aussi. »

J’obéis aussitôt. J’écarte légèrement ses fesses de mes deux mains et oriente ma langue sur son œillet.

Timidement au début, le bout de ma langue tournoi autour du petit trou, avant d’y aller plus franchement. Après quelques minutes, elle se met debout sur le lit, se déshabille complètement, vient placer une jambe de chaque côté de l’homme et s'empale sur sa bite dressé, en lui tournant le dos. Accroupie, sexes emboîtés l’un dans l’autre, elle commence ses mouvements de va et vient. Je regarde cette queue coulisser entre les grandes lèvres du sexe féminin. C’est un spectacle magnifique. Moi qui rêvait de voir ma femme baiser avec un autre homme. Alors oui, ce n’est pas ma femme, mais là maintenant, je m’en fiche, c’est comme si elle l’était. Et sa m’excite terriblement. La chatte  est toute brillante de mouille, la cyprine coule à flot. Elle se déchaîne sur cette queue, s’empale à chaque fois sur toute sa longueur. Son regard est rivé sur le mien et elle hurle son plaisir. Simule t’elle ? Ou bien prends elle réellement son pied comme jamais je ne l’ai vu prendre son pied ? Il faut que j’arrête de me poser ce genre de question et que je profite du moment. Facile à dire, mais pas à faire. Surtout quand elle me dit :

« - Regarde comment il me fait jouir. C’est trop bon ce qu’il me fait. Ah oui, quelle bite ! Approche et regarde. »

Je me rapproche, comme elle m’a demandé. Allongé sur le lit, entre les jambes de l’homme, je regarde ce spectacle en gros plan. Mais je conserve trop de distance à son goût :

« - Approche je t’ai dis. »

 J’obéis et me glisse un peu plus entre leurs cuisses. Elle m’att par l’oreille et m’attire sur elle :

« - Lèche moi la chatte pendant qu’il me baise. »

Elle me colle le visage sur son sexe.

« - Allez, lèche moi la chatte. »

Je sors ma langue et titille le clitoris. Elle reprend ses va et vient. J’essaie difficilement de suivre le mouvement, mais je ne peux éviter de toucher le sexe masculin du bout de ma langue.

« - Fait pas ta mijaurée, lèche moi bien.
 »

Je continue de titiller du bout de ma langue le clitoris. J’ai envie d'y aller plus franchement et même de lécher cette bite, mais je n’ose pas. La promiscuité avec cette queue, me fait hésiter dans mes gestes. Elle le devine parfaitement :

« - Lèche lui les couilles. Passé cet obstacle, tu pourras enfin me lécher correctement. »

Elle stop ses va et vient, mais reste empalée sur la queue de son amant et joint les gestes à la parole. Elle pousse sur ma tête pour la guider sur les testicules de l’homme. Je commence à les lécher du bout de la langue. Elle appuie un peu plus sur ma tête pour me coller la bouche aux bourses :

« - Aller, lèche lui bien. Prends ses couilles dans ta bouche. Tu va voir, tu va aimer ça. »

J’aspire et une couille rentre dans ma bouche. Je la fais rouler, la masse entre ma langue et mon palais. Je change de couille, les lèche moins timidement.

« - Voilà, comme ça. Tu vois que tu aimes ça. Maintenant, tu va pouvoir passer de ma chatte à ses couilles sans hésitation. Aller, bouffe nos sexes. »

Elle a raison, j’aime ça. Elle a repris ses va et vient. Ma langue voyage entre le clitoris de Marie et les couilles de l’homme en passant sur la verge, qui coulisse entre les grandes lèvres. Je lape la cyprine qui coule abondamment. Je me régale. Jusqu’où Marie va-t-elle m’emmener ? Elle att la bite de sa main et la sort de sa chatte. Elle me tapote le visage avec, avant de me demander de la sucer. Sans la moindre hésitation, je prends cette tige de chair dans ma bouche. Je suis heureux de ce que je fais. Une barrière vient de se lever. J’avais honte de l’avouer, j’avais peur de sauter le pas, mais j’avais tellement envie de sucer un homme. Alors, je m’applique à sucer cette queue. Je malaxe le gland entre ma langue et mon palais, je le pompe. J’entame des va et vient, avale cette bite jusqu’aux couilles.

« - Et bien, on dirait que tu a fais ça toute ta vie.
Il suce bien ce salop. »

 Je ne prête pas attention aux paroles de Marie. Je continue de faire coulisser cette queue entre mes lèvres.

« - Oh, doucement. Laisse moi en un peu quand même. »

Elle reprend la bite pour se la mettre dans la chatte. L’homme a zéro répit. J’espère pour lui qu’il est endurant. C’est reparti pour une baise infernale. Marie se déchaîne sur la queue. Moi, je lui caresse le clitoris et profite également de caresser les couilles de l’homme. Mais Marie m’ordonne :

« - Retourne dans ton coin et masturbe toi. »

Ah mince, j’étais bien là. Je m’apprêtais même à les lécher de nouveau. Mais je retourne dans le coin ou j’étais pour me masturber. Marie hurle de plaisir sous les coups de butoirs de l’inconnu. Puis, Marie se retire et s’allonge sur le dos. L’homme pivote, se place entre ses cuisses et plante son dard entièrement dans le sexe de Marie. Il entame aussitôt de la baiser sans ménagement. Les mollets de Marie coincés derrière les épaules masculines, il la pénètre bien à fond à chaque mouvements. Moi, je n’en peux plus de ce spectacle. Je suis surexcité et j’ai envie de jouir. Alors, je stop ma masturbation. Aussitôt, Marie me demande :

« - Qui t'a demandé de t’arrêter ?

- Je n’en peux plus, je vais jouir.

- Et alors ? Continue de te branler. »

Tout en regardant leurs entres cuisses, en regardant ces deux sexes l’un dans l’autre, je reprends de me masturber. Je sais que je ne vais pas tenir longtemps. Marie aussi le sait et me dit :

« - Prends le verre sur la commode et jouit dedans. »

J’att le verre juste à temps pour déverser mon plaisir dans le récipient. Une belle dose de mon sperme rempli le fond du verre.

« - Une petite bite et même pas capable de se retenir. Heureusement qu’il y a de vrais hommes pour faire jouir les femme. Boit le verre, avale ton sperme. »

Je n’entend pas sa dernière phrase.
  Les mots qu’elle vient de me dire me font très mal. Petite bite, vrais hommes pour la faire jouir. J’ai pas l’impression qu’elle se plaint de ma bite et du plaisir que je lui donne habituellement.

« - Fait pas ta mijotée.

- Quoi ?

- Boit ton sperme et n'en perd pas une goutte. »

Ah oui, pourquoi pas ! Je viens de sucer un homme, je peux bien avaler mon propre sperme. Je pense toujours à ses paroles blessantes, mais ça fait sûrement partie de la mise en scène qu’elle a organisé pour moi. Je regarde le fond du verre. J’y ai déposé une bonne dose de mon sperme, bien épais. J’aurais pu être moins généreux. Marie est déchaînée sous les coups de reins de son amant. Elle cri son plaisir comme je ne l’ai jamais entendu. Le pubis de l’homme tape le clitoris, les couilles claquent ses fesses et son anus. Quel spectacle. Sans réfléchir, je porte le verre à mes lèvre et fait couler le liquide dans ma bouche. Je conserve mon sperme sur ma langue. Ça n'a pas vraiment de goût. J’avale. Finalement si, ça à un goût quand sa coule dans ma gorge. Plutôt âcre. C’est pas vraiment mauvais mais pas vraiment bon non plus. Le goût âcre reste dans ma gorge, mais c’est pas désagréable. Que dois je faire maintenant ? Les rejoindre ? Rester dans mon coin ? Finalement, je décide de rester dans mon coin à les regarder baiser. L’homme est très endurant. Ça fait un bon moment maintenant que sa queue est mise à rude épreuve. Il continue à limer la chatte, comme s’il venait de commencer. Marie jouit à plusieurs reprises, elle m'a complètement oublié, m’ignore littéralement depuis que j’ai avalé mon sperme. Il baise encore plusieurs  longues minutes, avant que l’homme annonce qu’il va jouir. Marie me demande de me rapprocher. Je viens les rejoindre sur le lit. L’homme souffle de plus en plus fort. Je suis juste à côté d’eux, aux premières loges pour voir le bouquet final. Il se retire et se masturbe juste au-dessus du sexe de Marie. Sa semence s’écoule sans puissance, sans le moindre jets de son méat. Un sperme très épais se dépose sur le pubis et le sexe de Marie. Le liquide blanchâtre et abondant recouvre le bas ventre de ma maîtresse. Je suis impressionné par la quantité de sperme qu’il a déversé. Au moins deux fois plus que la dose que j’avais mis dans le verre, alors que moi moi-même, j’avais été très généreux.

« - Oh oui, que c’était bon. Tu sais vraiment y faire avec les femmes toi. C’est pas le cas de tout le monde ici. »

Ça y est, c’est reparti avec les paroles blessantes. Puis elle s’adresse à moi :

« - Tu a vu comme il m’a fait jouir ? Tu a vu comme il a une belle grosse queue. C’est pas un petit vermisseau. Et tout ce sperme qu’il m’a mis. Un vrai mâle reproducteur. »

A ces paroles, je ne peux m’empêcher de regarder le sexe de l’homme et le bas-ventre de Marie, complètement recouvert de foutre. C’est vrai qu’il est mieux gâté par la nature que moi. D’ailleurs, l'homme se masturbe et n’a pas débandé. Je suppose qu’il veut repartir pour un second round.

« - Tu verras par toi-même, la prochaine fois, il va t'enculer. Toi aussi, il va te faire jouir. Tu va voir ce que c’est qu’une vraie queue. »

Ça y est, je comprends pourquoi il se masturbe. Et je recommence à bander d’excitation.

« - Mais se sera pour une prochaine fois. Pour le moment, vient me nettoyer tout ce sperme. »

Et bah non, pas de sodomie aujourd’hui. Je suis presque déçu. Je vais prendre le paquet de mouchoirs sur la table de nuit.

« - Qu’est-ce que tu fais avec tes kleenex ? Viens me nettoyer avec ta bouche. »

J’ai les battements de mon cœur qui s’accélère dans ma poitrine. Boire mon sperme était une chose, boire celui de cet homme, que je ne connais pas, en est une autre.

« - Allez, fait pas ta mijorée. Nettoie moi tout ça. Et qu’il n’en reste pas une goutte. »

Je me penche sur Marie, approche mon visage de son bas ventre. Je sens l’odeur du sperme. J’hésite. Je touche du bout de ma langue le liquide blanchâtre. Je dois sûrement grimacer. Marie est impatiente

« - Allez, nettoie moi tout ça. »

Elle m’appuie sur la tête. Je ne résiste pas. Mes lèvres touchent sont corps, plongent dans le sperme. J’aspire. La semence est attirée dans ma bouche. Je n’ose pas déglutir. Comme pour le mien, je ne ressens pas de goût dans ma bouche. Je finis par avaler. Moins âcre que le mien. Plutôt salé je dirais. Pas désagréable non plus. Je continue de lécher le pubis pour nettoyer toutes traces de sperme. L’homme continue de se masturber à côté. Puis, je m’attaque à sa chatte. Sperme et cyprine, je lape ce mélange de plaisir. Ma langue s’enroule autour du clitoris, glisse entre les grandes lèvres, s’introduit dans le sexe féminin. Très vite, tout le sperme qui était sur Marie a disparu. Tout est nettoyé, avalé avec gourmandise. Marie, qui n’avait pas lâché ma tête, me force à la tournée sur le côté. J’ai ma joue posée sur son ventre. L’homme se place au-dessus de mon visage et jouit une nouvelle fois. Son sperme s’écoule, comme sa première jouissance, sans le moindre jets. Juste des gros flots de sa semence qui s’échappent de son gland et s’écoulent sur ma joue. Comment peut-il jouir, quasiment deux fois de suite, sans la moindre pause ? Avec ses doigts, Marie dirige le liquide vers ma bouche, qu’elle me demande d’ouvrir. Une nouvelle fois, j’avale la semence masculine et je suis finalement, heureux de le faire. L’homme se rapproche de moi et guide sa bite gluante de sperme dans ma bouche. J’aspire le gland, le pompe avec gourmandise. Marie presse la tige de chair, pour faire sortir les dernières gouttes de sperme en me disant de bien lui nettoyer la queue. Puis, elle sort la bite de ma bouche et la frotte sur mon visage. Après quelques dizaine de secondes, l’homme s’étale, exténué, mais avec un grand sourire, sur le lit. Marie m’ordonne :

« - Rhabille toi et part de chez-moi.

- Quoi ? Je suis abasourdi. Elle ne peut pas me dire de partir comme ça.

- Je t’ai demandé de te rhabiller et de te barrer de chez-moi. »

Penaud, j’obéis sans rien dire. Je quitte la chambre et enfile mes vêtements qui étaient restés dans le salon. Avant de quitter l’appartement, je jette un coup d’œil dans la chambre. J’ai juste le temps de voir Marie, reprendre la bite de l’homme à pleine bouche. Les voilà repartis, pour une partie de baise. Moi, je quitte l’appartement, en espérant avoir, rapidement des nouvelles de ma maîtresse.

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