Marie Ma Maîtresse 1Ère Partie

Je m’appelle Marc, j’ai quarante neuf ans, plutôt petit, je ne fais que, un mètre soixante cinq mais un peu lourd pour ma taille. Foutus gourmandises. Je suis divorcé depuis deux ans et demi. Au début de mon divorce, ça été un peu compliqué. De nature plutôt timide, j’avais du mal à rencontrer des femmes. Du coup, je suis resté quelques mois sans la moindre relation sexuelle. Et puis, je me suis libéré de cette timidité. J’ai compris qu’il fallait que je profite de la vie et que j'ose aller vers les femmes. Je me suis pris des râteaux bien sûr, mais parfois, certains rendez-vous se sont très bien finit. La plupart de mes rencontres, sont sans lendemain et ça me convient très bien. Je ne souhaite pas me remettre en couple pour le moment. Plus de prise de tête et une liberté complète. Je n’ai pas de critères sur mes choix de conquête. Femmes mariées ou célibataires, plus âgées ou plus jeunes que moi, peut importe tant qu’elles me plaisent. Mais cette histoire va raconter ma relation avec l'une d’entre elles. Marie. Ah, Marie !!! C’est elle qui a fait le premier pas et qui est venu se présenter. Marie, jolie brune de trente-deux ans, de la même taille que moi et une silhouette magnifique. Marie est toujours en jupe, bas et talons. Je ne l’ai jamais vu en pantalon ou en chaussures plates. Lors de mon premier regard sur elle, mon cœur c’est emballé. Presqu’un coup de foudre. Je me suis dis à ce moment là, « mon gars, cette  femme est un Chef d’œuvre. Elle n’est pas faite pour toi » En fait, lorsqu’elle m’a abordé, pour elle, j’étais déjà dans son lit. Marie est une femme libre, depuis toujours. Elle ne veut pas s’engager avec qui que se soit. Elle croque la vie comme bon lui semble. Le jour de notre rencontre, elle avait envie de baiser avec un inconnu. C’est tombé sur moi. Au bon endroit au bon moment, comme on dit. On a baisé plusieurs fois ce jour là, on c’est éclaté tous les deux, jusque tard dans la soirée. Je suis parti complètement vide, mais on avait quand même échanger nos zéro six.

Je me suis promis de garder le contact. En fait, c’est elle qui m'a rappelé en premier. Et régulièrement maintenant, quand elle a envie de moi, elle m’appelle. Marie est l’exception à la règle, ce n’est pas un coup sans lendemain. On est sur la même longueur d’onde. On est ensemble depuis six mois environ, mais on est pas en couple. On se voit cinq, six fois par mois, pas plus. Je sais que je suis pas la seule personne de sa vie. Comme elle n’est pas la seule de la mienne. Mais on s’entend bien comme ça, libre de faire ce que l’on veut, sans prise de tête ou jalousie. Un dimanche après-midi, alors qu'on venait de baiser, je lui ai demandé si elle avait des fantasmes.  Je n’ai pas été déçu de sa réponse :

« - Je n'ai pas de fantasmes. Les fantasmes sont des barrières à notre vie. Je réalise toutes mes envies. Un homme,  une femme, un couple, peut importe. J’ai participé à des orgies, des gang bangs, baiser dans les endroits où j’avais envie de baiser. Je fais ce qu’il me plaît, quand ça me plaît et comme ça me plaît. Peut importe ce que l’on peut penser de moi, c’est ma vie.

- Ah c’est cool de vivre comme ça.

- Pourquoi, tu a des fantasmes que tu n'a pas réalisé ?

- Oui et même certains que j’ai jamais avoués.

- Tu a quoi, un plan à trois ? Avec deux femmes je pari ?

- Oui, mais aussi avec une femme et un homme.

- Ah oui !!! Avec un autre homme ?

- Oui. Ça te choque ?

- Non, pas du tout. C’est rare. Et quoi d’autre ?

- J’aurais aimé voir ma femme baiser avec un autre homme.

- Pourquoi vous ne l’avez pas fait ?

- Elle ne voulait pas.

- C’est dommage.

- Oui. Et maintenant que je suis célibataire, ça va être très compliqué à réaliser.

- Peut-être un jour avec une autre femme.

- Oui, peut-être.

- Tu parais dépité de dire ça !

- Non, mais c’est mon plus grand fantasme et je ne le réaliserais sûrement jamais.


- Réalise les autres. Tu a quoi d’autre ?

- Participer à un gang bang.

- Ça, c’est réalisable.

- Avec toi ?

- Ah, ah, petit malin. Avec plaisir si jamais je décide d’en faire un autre. Mais si  tu va dans des clubs échangistes, tu peux éventuellement trouver ton bonheur.

- Ok, je verrais bien.

- N’hésite pas à aller dans ce genre de club. Tu pourras réaliser plein de choses. Tu a d’autres fantasmes ?

- …

- Non ? C’est tout ?

- En fait, j’en ai deux autres. Mais j’en ai jamais parlé à personne.

- Tu veux pas me le dire ? Pas de problème. Tu a le droit de garder ça pour toi.

- Non, non, je veux bien te les dire. En fait, je voudrais baiser avec un homme.

- C’est facile ça. Il y a plein d’hommes qui se ferait un plaisir de te satisfaire. Il faut juste sauter le pas et te lancer. Si tu en a vraiment envie, tu devrais le réaliser celui là. Et le deuxième que tu n'a jamais parlé à personne ?

- J’aimerais être soumis à quelqu’un.

- C’est vague ça. Soumis comment ?

- Être l'esclave sexuel de quelqu’un. Qu’il fasse ce qu’il veut de moi.

- Pourtant, tu est plutôt dominant dans ta vie, notamment professionnelle.

- Oui et c’est pour ça que je voudrais essayer l’inverse dans ma vie sexuelle.

- Et tu voudrais être dominé par un homme, une femme ?

- Peut importe. Je voudrais connaître cette sensation une fois déjà, essayer pour voir si j’apprécie.

- Profite d’être célibataire pour essayer tout ça. En tout cas, vu la gaule que tu te tape, on peut dire que ça t’excite beaucoup. En attendant, moi je vais aller profiter de cette gaule. »

Elle c’est empalé sur ma queue et on a baisé une nouvelle fois.

Lorsque je me pointe chez elle ce samedi, je ne m’attend pas à passer un après-midi aussi mémorable. Trois semaines sont passées depuis cette conversation.
Marie ouvre la porte après que j’ai sonné. Comme à son habitude, elle est habillée très sexy. Une jupe en cuir noir et un top court à bretelles. Je distingue aussitôt les pointes de ses mamelons à travers le tissu, signe qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. J’adore. Elle porte également des chaussures à talons aiguilles mais ses jambes sont nues. La vision de Marie m’excite terriblement, comme à chaque fois.

« - Rentre. »

Accueil froid, que se passe t'il ? Je passe directement dans le salon sans un bisous de bonjour. Elle m’a suivi, je me retourne vers elle.

« - Déshabille toi. »

Ah, je préfère ça.

« - Oui, bien sûr.

- Tais-toi et déshabille toi.

- Ok, je me déshabille.

- Je t'ai dis de te taire. »

Quelle mouche la piquée ? Je cherche pas à savoir et enlèves mes fringues. Je me retrouve en boxer devant elle.

« - Fous-toi à poil.

- Oui, ok.

- Tu me dis oui maîtresse. »

Ça y est, j’ai compris ce qu’il se passe. Marie va réaliser un de mes fantasmes. Cool. J’enlève mon boxer en lui répondant oui maîtresse. Je me retrouve nu comme un vers au milieu du salon. A quelle sauce va-t-elle me mangé ?

« - C’est tout ce que tu propose ?

- Comment ça ?

- Comment ça maîtresse !!!

- Euh oui, pardon. Comment ça, maîtresse ?

- Ta queue ? C’est tout ce que tu propose ?

- Euh, oui maîtresse.

- Et tu a déjà fait jouir une femme avec sa ?

- Ou….. elle me coupe la parole.

- Tais-toi, je ne veux pas le savoir. Mais ça m’étonnerait beaucoup que tu arrive à faire jouir quelqu’un avec ça. »

Parole douloureuse. Moi qui croyais que je lui donnais du plaisir, que je la faisais jouir. Peut-être est-ce vrai ce qu’elle dit ? Ou bien c’est dans le jeu. Je me met à douter.

« - Met toi à quatre pattes.

- Oui maîtresse.
 »

J’obéis aussitôt. Je me met à genoux et pose mes mains sur le sol. Elle va fouiller dans un tiroir et reviens vers moi. Elle me passe un collier de chien autour du cou et y attache une laisse.

« - C’est bien, bon chien. Lèche mes chaussures maintenant. »

Sans réfléchir, je me penche jusqu’à ses pieds et commence à lécher le cuir de ses chaussures. Je repense à ses paroles blessantes sur mon sexe. Est-ce qu’elle simule ses orgasmes à chaque fois qu'on baise tous les deux?

« - Allonge toi sur le dos.

- Oui maîtresse. »

Je me couche sur le carrelage froid. Elle me tient toujours par la laisse. Elle m'enjambe et vient s’accroupir sur mon visage. Elle ne porte pas de culotte sous sa jupe.

« - Lèche moi la chatte. Peut-être est tu capable de faire jouir une femme avec ta bouche. »

A ma cocotte, tu va voir comment je me débrouille avec ma langue. Tu ne va pas résister longtemps. Je lui bouffe la chatte, titille son clitoris. Je balade ma langue entre son sexe et son anus. Elle mouille abondamment, sa cyprine coule sur mon visage.

« - Alors, tu me fais jouir ? »

Je ne comprends pas. Habituellement, elle ne résiste pas longtemps à mes cunnilingus. Je m’applique encore plus. Ma langue fouille son sexe, s’active sur son clitoris. Je l’aspire, le pompe, mais rien n'y fait, elle ne jouit pas. Arrive t’elle à se retenir ou bien, suis-je pas bon dans cette pratique ?

« - Finalement, avec ta langue non plus tu ne fais pas jouir une femme. »

Elle se relève et tire sur la laisse.

« - Remets-toi à quatre pattes. »

Je me redresse aussitôt, honteux. Elle me claque la fesse avec la lanière de la laisse.

« - aller vient, suis moi. »

Tel un chien, elle m’entraîne vers sa chambre.

A suivre

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