Maud 2Ème Partie

Maud venait d’être infidèle et avait couché avec un collègue de son mari. Elle n’éprouvait pas de remords. Elle était heureuse avec Yohann et ça se passait bien côté sexe mais ressentais le besoin de plaire et se dit qu’une aventure par ci par là ne portait pas à conséquence.
Je questionnai Maud :
- A quel moment as-tu su que tu allais coucher avec Thomas.
- Je pense que c’est lorsque j’ai trouvé sa carte dans mon sac, il y avait son numéro de portable.
- Pourquoi tromper Yohann alors que tu dis être heureuse et que côté sexe, ça se passe bien.
- Tu sais Marine, je crois que c’est dans ma nature. Mais ça n’a pas été le seul. Je te raconte.
Le lendemain soir, Yohann m’a dit qu’un client de Thomas cherchait une assistante. Thomas m’avait devancé et avait parlé à Yohann. Je jouais le ton de la surprise.
- Tu devrais me donner ton CV et tes dispos que je les transmette à Thomas.
- Tu crois, chérie, je suis en CDI et si je ne conviens pas on se retrouve avec un salaire de moins.
- Tu sais que je peux assumer pour nous deux.
- Oui je sais, tu me le dis assez souvent, mais j’aime avoir mon indépendance financière.
- Tu ne risques rien. Tu verras bien comment l’entretien se passe.
J’avais l’impression d’entendre Thomas. Il avait bien amené la chose. J’ai donc mis à jour mon CV et l’ai donné à Yohann avec mes dispos.
Quelques jours plus tard, Maud avait rendez-vous avec ce client au prénom original, Marceau. Elle se dit qu’il devait avoir au moins 70 ans. Mais en fait, il frôlait la cinquantaine avec un léger embonpoint, des tempes un peu dégarnies et une fine moustache. Il avait un air un peu rétro. Du coup, son prénom lui allait parfaitement.

Pour une fois, elle avait mis un pantalon en toile et un chemisier très sage. L’entretien se déroula très bien. Le poste était intéressant avec des responsabilités et un salaire une fois et demi supérieur à celui d’aujourd’hui.

Elle devra notamment gérer le planning des commerciaux et assister le patron, notamment lors de ces déplacements sur Paris, Strasbourg, Lyon ou Marseille. Ces voyages se déroulaient la plupart du temps sur 2 au moins 1 fois par mois mais le plus souvent tous les quinze jours.
Elle fit le compte rendu le soir même à Yohann qui était emballé par le salaire et ne voyait pas d’inconvénient à ce qu’elle découche pour son travail. Trois jours plus tard, elle reçut la réponse positive pour son nouveau job. Elle donna sans attendre sa démission mais ne réussit pas à négocier son mois de préavis. Elle avait tout de même réussi à avoir une semaine entre les 2 postes. Yohann l’emmena 3 jours au mont Saint Michel pour qu’elle décompresse avant de prendre ses nouvelles fonctions. Le reste de sa semaine de repos, elle alla passer 2 jours chez ses parents. Durant le dernier week-end, Yohann tenta de la détendre au mieux.

Durant sa première semaine, les commerciaux passant un à un dans son bureau. Le mot avait dû passer entre eux : La nouvelle assistante était canon. Ils avaient surement utilisé le mot « bonne ». De son côté, Maud avait fait un classement des plus beaux commerciaux et en avait repéré un qui était particulièrement à son gout.
Puis, vint le jour de son premier déplacement. Elle accompagnait son boss surtout pour écouter et apprendre. Comme chaque mois, à cette période, elle n’était pas au mieux de sa forme et son séjour Parisien fut difficile. Elle essayait d’oublier la douleur des règles et tentait de se concentrer au mieux. Marceau fut très compréhensif, ayant deviné l’état de Maud, il l’exonéra du dîner traditionnel avec le client. Durant le trajet retour, Marceau fit le point avec Maud qui fut rassuré par son boss. Son mois d’essai touchait à sa fin et Maud fut confirmé à son poste et signait son CDI. Traditionnellement, on organisa un pot de bienvenue à son attention le vendredi après le travail. Entouré de tous ces hommes, elle fut l’attraction et s’en trouvait très gênée.
Elle cacha son trouble en buvant un peu trop de champagne. Deux commerciaux, dont François qui plaisait à Maud, lui proposèrent de la ramener chez elle. Un avec la voiture de Maud et l’autre avec la sienne pour ramener son collègue. Yohann, pour les remercier, leur proposa un verre. Après avoir admiré les jolies jambes de la jeune fille, assise au fond d’un fauteuil, les deux commerciaux prirent congé. Yohann qui connaissait parfaitement sa femme, savait que lorsqu’elle avait bu, elle était très réceptive. Il en profita pour la prendre debout contre l’évier de la cuisine en retroussant simplement sa jupe et en écartant son string. Elle soupirait jusqu’à l’orgasme lorsqu’il éjacula en elle.

Pendant les 2 semaines qui ont suivis, François faisait une cour assidue après de Maud de visu, par téléphone ou par mail. Si bien qu’il obtint un rendez-vous le dernier vendredi après le boulot pour boire un verre. Maud savait ce qu’il voulait et s’était juré de ne pas céder, du moins à la première rencontre. Pourtant, elle s’était habillée un peu plus sexy ce jour-là. Toute au long du rendez-vous, elle ne cessait de dire qu’elle était mariée. François obtint juste un baiser au moment de se quitter mais qui augurait une palpitante prochaine fois. Il pensait qu’il avait de bonnes chances de conclure et ne lâcha pas l’affaire en insistant sur les mails.
Le deuxième voyage était en destination de Lyon. Même en 1ère classe, le voyage était long mais en profitèrent pour préparer le rendez-vous avec le client. Arrivé tard à Lyon, ils se contentèrent de prendre un repas au restaurant de l’hôtel et allèrent se coucher. Cette nuit-là, Maud pensa à son mari mais aussi à François. Elle était fière de lui avoir résistée et ne savait pas si elle le repousserait éternellement.
Le lendemain, la journée fut studieuse. Durant toute la journée, le client n’avait pas cessé de contempler Maud. Son corsage au décolleté provocateur et sa jupe cintrée, dévoilaient les jolies formes de Maud.


Puis vint le traditionnel repas avec le client puisque le voyage retour se ferait que le lendemain matin. Ils étaient installés autour d’une table ronde, Maud entre les deux hommes. Le client la draguer ouvertement allant jusqu’à lui demander de laisser entrevoir ses jolies formes. Maud s’éclipsa aux toilettes et accéda à la demande du client en dégrafant un bouton supplémentaire de son chemisier. Tout en restant pudique, elle laissait entrevoir la dentelle de son soutien-gorge. Elle repoussa gentiment plusieurs fois la main du client de son genou avant d’abandonner. Le client s’aventurait régulièrement sur le genou de Maud et remontait inlassablement sur sa cuisse, au bord de sa jupe. Heureusement, il n’osa pas aller plus loin, restant convenable dans le restaurant. Maud détestait ce genre de vieux beau, coureur de jupon et sure de lui. Toujours aussi prévenant et devinant les pensées de Maud, Marceau refusa le dernier verre proposé par le client prétextant un départ matinal le lendemain. Il avait été surpris de l’audace de son client mais également de l’attitude de Maud qui s’était laissé malgré ses réticences, peloté par cet homme. Dans le taxi, Marceau félicita Maud pour son professionnalisme. Arrivés à la porte de leur chambre qui était côte à côte, il proposa à son tour de prendre un dernier verre. Maud ne se senti pas de refuser. Ils s’installèrent sur le canapé du salon de la suite du patron qui ouvrit une bouteille de champagne trouvé dans le bar mit à sa disposition. Maud sentait l’alcool montait et qui rosissait son visage. Aussi, elle le regarda étonnée lorsqu’il caressa sa cuisse. L’alcool faisait l’effet habituel sur Maud et le laissa faire. Enhardi par cette absence de réaction, il écarta ses cheveux pour lui déposer des baisers dans son cou. Sa main descendit sur un sein puis dégrafa son chemisier afin de pouvoir écarter son soutien-gorge et lui caresser les tétons à même la peau. Maud se surpris à lui maintenir la tête sur son sein. Elle ne le trouvait pas beau et il avait le double de son âge mais l’alcool lui ôte toute conscience.
La main droite de Marceau se faufila sous la jupe aidée par un mouvement de Maud qui lui permit de remonter la jupe au ras de son string. Il titilla son clitoris avant de caresser son vagin et de la faire gémir. Il enfonça deux doigts dans son sexe déjà bien humide. Elle prenait du plaisir et Marceau la trouvait encore plus belle. Pendant qu’il défaisait pantalon et boxer, Maud retira d’elle-même son chemisier et son soutien-gorge. Trop excitée pour reculer, elle se pencha et le suça divinement bien. Il se redressa, lui retira son string et s’enfonça en elle en la regardant dans les yeux. Il l’attrapa sous les fesses, se leva et alla l’allonger dans le lit. Toujours en elle, il allait et venait dans ce sexe si accueillant. Elle entoura ses jambes dans son dos pour le prendre encore plus profondément. Marceau était fier de la voir gémir et accéléra ses mouvements. Il la baisa une bonne dizaine de minutes avant de jouir en elle. Elle se pinça les lèvres mais il vu qu’elle venait de jouir aussi. Elle le nettoya avec sa langue puis sa bouche. Elle reprit ses affaires et alla dormir dans sa chambre. Ils ne s’étaient même pas embrassé. Le lendemain, ils firent comme s’il ne s’était rien passé mais ils avaient tous les deux un sourire radieux.
En retournant au travail le lendemain, elle découvrit plusieurs mails de François. Elle le laissa sans réponse jusqu’au lundi matin. Elle le fit se languir encore quelques jours en lui disant de nouveau qu’elle était mariée et que ce n’était pas raisonnable de se voir en dehors du travail. Pour lui, cela signifiait que s’il réussissait à la convaincre de boire un verre, elle lui céderait. Il dû insister encore une semaine avant qu’elle accepte. Rien qu’en lisant le mail de Maud, il se mit à bander.
Ce jour-là, elle s’habilla d’une robe légère qui se porte sans soutif. Elle alla au rendez-vous en connaissance de cause. Elle savait qu’elle allait céder. Il lui fit directement un bisou sur la bouche. Elle ne s’en offusqua pas et se laisser se faire draguer. Elle avait son sourire ravageur. Il lui caressa la joue en écartant ses cheveux puis il la saisie par le cou et la fit s’approcher. Il déposa un baiser sur sa bouche et elle céda en le laissant prendre sa langue. Il paya les consommations qu’ils avaient à peine entamé et l’entraina en dehors du bar. Il se dirigea vers son appartement. Elle le suit toute excitée. Arrivé chez lui, il la bloqua contre le mur et l’embrassa. Il ne perdit pas de temps en lui caressant les seins et en découvrant sa poitrine. De son côté Maud se saisie de son sexe à travers le pantalon puis dégrafa ceinture et fermeture éclair. Elle s’agenouilla et le suça. Il lui maintenait la tête en appréciant la fellation que lui prodiguait Maud. Sentant son plaisir arrivé, il ne la lâcha pas et jouit dans sa bouche. Elle avala sans rechigner. Il l’amena dans sa chambre se déshabilla en regardant Maud se dévêtir lentement. Couché sur le lit, il lui fit un cunni qui la fit se tordre de plaisir. Comme il avait repris de la vigueur, il s’allongea sur elle et la pénétra. Ses coups de butoir faisaient jouir Maud. Il la retourna et la pris en levrette. Elle aimait cette position et la tête enfouit dans l’oreiller, elle gémissait. Tout en la besognant, il voyait son cul se dilater lentement. Il mouilla un doigt pour l’y introduire. Elle gémissait encore plus bruyamment. Après l’avoir pénétrée d’un deuxième doigt, il sortit du vagin de Maud pour présenter son sexe devant son anus. Maud cessa de gémir et attendait cette pénétration qu’elle apprécie. Il s’y enfonça lentement, marqua une pause une fois bien rentré et commença à coulisser dans son cul. Maud ses cris dans l’oreiller. Maintenant, il la tenait par les hanches et la sodomisait avec énergie. Elle savait quand l’ayant fait jouir dans sa bouche, il serait endurant. Au moment de l’éjaculation, il s’enfonça entièrement et se lâcha dans le cul dilaté de Maud. Il s’écroula à côté d’elle qui posa son épaule contre son torse. Il lui caressa les cheveux en lui disant qu’il n’avait pas imaginé qu’elle serait aussi cochonne. Elle lui confirma en lui prenant son sexe entre les mains. Voyant qu’avec un peu de pratique elle arriverait à le refaire bander, elle le suça. Une fois en forme, elle se mit sur lui et en se faisant caresser les seins, elle coulissait sur ce pieux qui lui faisait beaucoup de bien. Lorsqu’elle sentit qu’il allait jouir, elle le suça mais garda son sperme dans la bouche avant de l’embrasser et partager le liquide avec lui. Ils étaient épuisés mais il fallait qu’elle rentre.
Elle n’avait aucun remord et se montrait plutôt câline lorsqu’elle retrouvait son mari.

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