Je Vous Laisse Choisir

Toutes les nuits, je faisais le même rêve érotique et le matin, je me réveillais, frustré et la queue raide.
Dimanche dernier, j'ai décidé d'assouvir mon fantasme. J'ai enfilé un pantalon confortable et un t-shirt court. Je me suis rendu dans un cinéma pour adultes. Je l'ai fréquenté à maintes reprises. Je m'y suis fait branlé ou sucé plusieurs fois. J'ai même failli me faire enculer, mais j'y ai renoncé parce que le gars ne voulait pas mettre de capote. L'apparition du sida a retardé le passage à l'acte.
Fort de ces expériences, je sais comment attirer un mec.
Comme d'habitude, la salle reste dans le noir. Sur l'écran, un film porno insipide. Les choses ne changent pas. Je monte vers le fond de la salle et arrivé aux trois-quarts, je choisis un siège près de l'allée. Je m'installe là pour permettre au mec de s'asseoir à côté de moi. Je me retourne vers le fonds pour me montrer puis vers l'écran. Pour exécuter mon plan, je n'ai pas mis de slip.
Je défais la ceinture de mon pantalon qui tombe sur mes chaussures. Le t-shirt court laisse voir mes fesses. Je me retourne de nouveau vers le fonds et je m'attarde un peu, le cul à l'air, pour bien montrer que je suis disponible, puis je m'assois. Je commence à me branler en jetant des coups d'œil dans tous les sens pour guetter l'amateur.
Cette entrée en matière m'a été dictée par des tentatives infructueuses soldées par de piteux retours chez moi. Pas cette fois-ci.
le gars s'est assis et tout de suite, peut-être de peur de rater la fin, il a posé sa main sur la mienne, pour arrêter la branlette. Il s'est penché vers moi et a embouché ma bite. Après deux ou trois aller-retour le long du membre, il s'est relevé, a empoigné ma queue pour finir le travail.
Pendant qu'il m'astiquait, je me suis penché sur son oreille.
- Je te propose un truc....lui glissais-je.
- Quoi ?
- Je te donne ma bouche et mon cul, mais, à deux conditions !
- Lesquelles ?
- Un, tu mets une capote.

..
- Pas de problème ! dit-il, avec empressement.
- Deux, tu fais exactement comme je te dis !
Et, je lui explique mon plan. Ses lèvres s'ouvrent sur un sourire carnassier tandis que ses yeux s'illuminent. Il se lève et descend dans l'entrée pour acheter la capote exigée. Pendant ce temps-là, je remonte la coursive, vers le fonds de la salle. Adossé au mur, j'attends.
Au bout de quelques minutes, le gars est de retour. Il passe deux fois puis s'arrête devant moi, comme s'il me voyait pour la première fois. Il fait semblant de m'étudier, puis s'avance. Il passe ses mains sur mes bras puis sur mon torse. Je ne bouge pas. Il passe alors les mains sous le t-shirt et me caresse la poitrine. Comme je ne réagis toujours pas, il se colle contre moi, pose ses mains sur mes fesses, et tout en les pétrissant, il m'embrasse dans le cou.
Les autres mecs commencent à nous regarder. Le mien se relève, soulève mon t-shirt et le relève jusqu'à mon visage. Il me lève les bras et m'enlève le vêtement. Dans le noir, la blancheur de ma peau attire les regards et j'entends les autres qui murmurent. Maintenant, il s'attaque à mon pantalon. Il défait la ceinture et le laisse tomber à mes pieds. Comme je ne porte toujours pas de slip, je suis à poil. Les autres mecs font maintenant cercle autour de nous. Mon complice pose ses mains sur mes épaules et me fait mettre à genoux. Il ouvre sa braguette et sort son engin. De sa poche, il sort une capote qu'il déchire avec ses dents. Il l'enfile sur son membre, et, prenant ma tête dans ses mains, sur un ton autoritaire, il dit :
- Suces !
A genoux, le dos collé au mur, j'ouvre la bouche. Le gars tiens sa grosse bite à pleine main. Elle dépasse d'au moins dix centimètres. Il l'approche de mes lèvres et l'introduit doucement. Le gland est à peine entré qu'il se retire.
- Lèches ! Dit-il.

Ma langue court le long de ce membre imposant, passant sur les couilles poilues et remontant à plusieurs reprises vers le gland. Je lèche le sillon puis la petite fente, avant de le prendre dans la bouche. Le gars pose une main sur mon front et plaque ma tête contre le mur. Sa bite dans ma bouche, il commence à jouer des hanches. Son sexe glisse entre mes lèvres. A chaque mouvement, il s'enfonce plus loin et plus vite. Au comble de l'excitation, il prend ma tête dans ses mains et enfonce entièrement sa queue dans ma bouche. Je sens ses poils sur mes lèvres et sa bite s'enfonce dans ma gorge. J'ai envie de vomir. Ses couilles s'écrasent sur mon menton et je sens les soubresauts de son membre qui jouit dans ma bouche. Les murmures s'enflent.
Mon gars se retire et enlève la capote. Je suis essoufflé. Il me relève. Il est en train de mettre une nouvelle protection. Il me retourne vers le mur et relève mes bras. Le sien autour de ma taille, il me penche vers le mur. Des mains me touchent. Le dos, puis les fesses. Un mec vient près de moi et saisit ma queue. Il me branle. J'entends :
- Il va l'enculer !
Ma queue se durcit dans la main du spectateur. Quand mon suborneur fait glisser son gland le long de ma raie, je sursaute. On écarte mes fesses et une langue vient humecter mon petit trou. J'ai senti le plastique de la capote sur ma peau. C'est donc avec un peu moins d'appréhension que je me prépare à l'acte suprême. Le gars qui me branle s'assoit. Je sens le gland se poser sur mon trou. Le mec assis prend ma queue dans sa bouche. Au même instant, la grosse queue s'enfonce dans mon cul. Instantanément, je jouis dans la bouche de celui qui me suce. Le mec derrière moi s'active. Il accélère. Dans ma tête, je vois l'image d'un cochon qui rôtit sur une broche. J'ai l'impression qu'il va me déchirer. A mesure qu'il me pilonne, mon cul s'élargit et le plaisir commence à monter. Je me penche un peu plus en avant, ouvrant davantage mon cul au gros membre.
Je sens les couilles qui s'écrasent sur mes fesses. Ma queue est tendue à éclater. Je jouis une seconde fois.
Quand il se retire de moi, mon assaillant m'aide à m'asseoir. Les autres gars s'approchent pour me regarder. Certains me caressent sur tout le corps. Je vois les regards respectueux et admiratifs. Ils m'aident à me rhabiller et quelques uns qui disent :
- C'était beau !
- Tu reviendras, hein ?

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