Je Lui Fais Plaisir

J'ai fait plaisir à mon mari. Devant lui, juste après le repas du soir je me suis amusée avec la femme de notre amie. Elle s'est laissée faire comme ça pour connaître la suite entre femme. Nos époux nous regardaient ajoutant un motif supplémentaire à l'excitation qui montait en moi et en elle plus tard.
Marie est ce qu'on appelle une belle fille. Une magnifique fille pour moi, plus belle, plus sexy de moi.
C'est sans espoir d'aller au bout que j'ai commencé par lui caresser un genou. Elle me regardait sans rien dire. Comment lui dire que j'avais envie de l'envoyer là bas au pays des jouissances lesbiennes. Ma main passait entre se deux jambes qu'elle ouvrait : elle aussi avait la même envie presque niée.
Son épiderme doux m'incitait à poursuivre mon ascension. J'arrivais tout en haut, là où l'excitation arrive. Sa chaleur intime descendait vers ma main. Je commençais à mouiller par mal.
En sortant de la pièce, je lui faisais un léger signe pour lui demande de venir avec moi.
Ouf, elle me suivait. Nous avons laisser les autres discuter ou faire ce qu'ils voulaient. Nous nous allions dans la chambre que je fermais à clé pour ne pas être dérangées.
D'avance elle savait ce que je voulait, elle le voulait aussi. Nous nous sommes embrassées longuement sur la bouche. Sa salive m'excitait encore plus.
Il me semblait qu'il faisait plus chaud dans ma chambre. Elle était contre moi, nos corps liés par le désir.
C'était la première fois que j'avais envie d'un autre fille. Elle aussi sans doute.
Ni l'une ni l'autre ne savions comment poursuivre notre envie.
Elle cherchait dans mon dos la fermeture de mon soutien gorge. J'avais les seins libres. Je voulais voir les siens. D'elle même elle se déshabillait, me montrant tous ces trésors.
Où poser me mains en priorité. Je ne pouvais rien faire, elle me suçait les tétons : je tendais ma poitrine vers elle. Sa bouche me faisait frisonner, ses mains, dans le dos me caressaient.


J'ai cherché ses lèvres qui se sont jointes aux miennes. Enfin un baiser de filles, plus doux, plus profond sans doute que ceux de mon mari. J'avais envie d'elle, de ses caresses. Nos bouches ne se quittaient pas d'un pouce.
Lorsque sa main s'est posé sur ma chatte, je criais presque mon désir. Qu'elle me caresse, qu'elle me donne du plaisir.
Le jean la gênait. Elle l'a fait tomber. De moi même je levais les pieds. J'étais plus libre quand elle a voulu enlever le string. Elle m' a mise nue en un rien de temps sans que je trouve la chose déplaisante. Quand elle posait à nouveau sa main sur mon sexe, j'étais plus que mouillée. Il me semble qu'on aurait pu entrer en moi n'importe quoi.
Seulement des doigts à elle sont venus me caresser, me masturber. C'était bien meilleur qu'avec lui, même si pour la suite, sa queue pouvait venir en moi. Elle passait des doigts autour de mes lèvres, caressant les bords su sexe.
Je sentais sa main sur le périnée : elle allait plus loin que la normale, vers mes fesses. Enfin je sentais ses doigts sur l'anus. Avec une délicatesse infinie, elle caressait les bords des fesse, puis le bord de l'anus. Je m'ouvrais encore pour lui faire comprendre que je voulais qu'elle me manque de respect.
J'ai cru hurler quand elle m'a mis deux doigt ensembles dans l'anus. Elle les mettait au fond avant de les faire un peu ressortir pour recommencer. La gueuse, elle savait bien comment me donner du plaisir, moi qui supporte à peine une bite dans l'anus.
Elle m'a fait pencher en avant. Sa main n'avait pas quitté mon anus.
Quand elle est venu sous moi, je craignais le pire. Sa langue a réparé ma crainte. Elle me léchait largement et les lèvres et le clitoris. Sa langue et son doigt suivaient la même cadence.
Je sentais l'orgasme arriver . Je ne l'arrêtais pas. Elle devait elle aussi sentir ma jouissance et continuait tranquillement pour me faire encore et encore jouir. Et moi, ma main restant sur elle, par dessus son dos, je continuais aussi à la masturber.

Bien plus tard, mon mari demandait que j'ouvre la porte.
Je l'ai fait sans plus réfléchir que nous étions encore nues, que nous venions de nous faire jouir je ne sais combien de fois.
Son regard s'est éclairé, son désir se manifestait par sa bite qui visiblement bandait. J'arrivais un peu tard, c'est elle qui venait la lui prendre pour la sortir du pantalon. Il me semble qu'il bandait plus fort que d'habitude.
Je me régalais d'avance de la baise qu'il allait me faire. Devant moi, il m'a trompé sans que je lui en veuille. J'avais envie, elle aussi.
Elle a pris la bite dans la bouche. Ses lèvres entouraient totalement la queue de mon mari qui fermait les yeux.
Elle l'a fait sortir pleine de salive. Elle me l'a donné. Et lui se laissait faire. Nous avons partagé sa queue un bon moment, mais à la fin je n'en pouvais plus, je voulais qu'il me baise. Je me suis frottée à lui, ventre ventre. Je sentais bien la pine dure.
Il s'est baissé juste ce qu'il faut. Sa queue est venue sur moi, sur mon sexe mouillé. Elle glissait en moi. Il me faisait du bien, je l'ai senti quand il jetait son sperme en moi. Ça m'a envoyé l'orgasme un autre cette fois sans la fille qui se masturbait sans pudeur devant nous.

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