Quentin Kendall Tient Ses Promesses

De retour sur les bancs de la fac, j'explique à Carole mon aventure du week-end, et la promesse faite au tailleur.
- Je connais, dit-elle. J'ai déjà été invitée. Mais définitivement, ces messieurs préfèrent les garçons. Pour ta promesse, pas de problème.
Puis, avec un sourire et un regard malicieux,
- Je vais me faire ton joli mignon ?
Mon joli mignon, c'est comme ça qu'elle appelait mon cul.
- Non seulement toi, mais Alex aussi. Le bonhomme m'a tellement ému que je vais le voir pour monter un scénar !
L'après-midi, je retourne chez le tailleur. Quand il me voit, la tristesse s'affiche sur son visage.
- Je le savais, murmure-t-il, vous ne viendrez pas....
- Pourquoi vous dites ça ? Répliquai-je en posant le bras sur ses épaules. J'ai fait une promesse. Tout à l'heure, Carole et son frère viendront vous voir. Ensemble, vous allez monter un scénario. Je ne veux rien savoir. Vous pouvez tout faire sauf les drogues où la merde ! Les punitions, le fouet....Pas le visage !
- De toute façon, je n'aurais pas voulu abîmer la plus belle chose que j'ai vu depuis longtemps. Rendez-vous Vendredi soir ? A la fermeture ?
- Sans faute !
Vendredi soir, je reviens chez le tailleur. Je tourne le dos au comptoir pour fermer la porte. Une main se pose sur ma bouche tandis qu'un bras se'enroule autour de mon cou. On me traîne dans l'arrière boutique. On me glisse dans la bouche la fameuse boule avec les lacets qui empêche de crier. Le tailleur me prend par la ceinture du pantalon et m'attire derrière la glace. Mes jambes emprisonnées dans les bras d'Alex, le tailleur me débarrasse de mes vêtements. Pour les sous-vêtements, Carole me prends sous les aisselles, et Alex les arrache violemment.

Une fois nu, Carole me plaque contre elle. Elle me fait faire un demi-tour. Dans la glace derrière elle, je nous vois enlacés.
Soudain, un coup de fouet vient cingler mes fesses. Je sursautai et un déluge de coups s'abbattit sur mon cul. Dans la glace, la vue de mes fesses rougies provoqua une érection. Alex passa derrière sa soeur et menotta mes poignets. Il accrocha une chaîne aux menottes. Je fus hissé vers le plafond. J'étais debout, nu, au milieu de la pièce. Le tailleur passa devant moi, tirant Alex, nu lui aussi, par la queue. Il tourna ma tête vers la glace en disant :
- Regardes-toi !
Il se colla à moi. Tenant toujours Alex par la queue, il le fis passer dans mon dos. Il écarta mes fesses, comme s'il m'offrait en victime. Une main sur mon cul, l'autre autour de la queue d'Alex, le tailleur la dirigea vers mon petit trou.
- Vas-y ! Cria le tailleur, défonces-le ! A sec !
Le gros manche d'Alex s'enfonça d'une seule traite dans mon cul, m'arrachant une plainte.
- Allez, dit le tailleur, plus fort, casses lui le cul !
Alex m'avait saisi par les hanches et me pilonnait à grands coups de reins. Le tailleur avait sorti sa pine et se paluchait. Au moment de l'orgasme, Alex sorti de mon cul et cracha son sperme sur mes fesses. Le tailleur l'étala sur mes globes avec sa main.
- Carole, tu peux venir, appela le tailleur.
Elle apparu et vint se montrer devant moi. Elle portait une ceinture gode. Je n'en avait jamais vu des comme ça. La pine était en caoutchouc, hérissée de minuscules pointes metalliques. Carole la frotta contre ma cuisse. C'était ux.
On m'enleva les menottes.
- A genoux ! dit le tailleur.
Carole se présenta face à moi, le gode à la main. Le tailleur dénoua l'engin qui obstruai ma bouche.
- Suces ! dit-il.

J'écartai les lèvres mais le gode était trop gros. Carole posa ses mains sur ma tête et poussa. L'impression était désagréable. C'était comme si j'avais dans la bouche ces instruments qu'on utilise pour laver les bouteilles. Ma langue et mes lèvres me brûlaient.
- Allez, Carole, en place !
Elle s'allongea sur le sol. Le tailleur se saisit du fouet et me prenant par la main, il me guida vers Carole.
- Allez, montes dit-il en me poussant face à elle.
J'enjambai Carole et présentai mon cul à l'engin de . Je descendai lentement le long du braquemard épineux. A ma grande surprise, la pine excita mes sens. Bientôt, je l'ai eu toute entière dans mon cul.
- Allez, remontes ! dit le tailleur en m'administrant un coup de fouet sur les fesses.
Nouveau coup de fouet.
- Redescends !
Encore un coup de fouet.
- Plus vite !
J'accèlérai le mouvement mais le gode commençait à me brûler. Le tailleur se mit à genoux et me prit par les hanches. Il me soulevait et m'empalait à nouveau, de plus en plus vite. Lorsque j'ai crié, il m'a mis sa main sur la bouche et m'a embrassé dans le cou.
- Ma belle petite salope, murmura-t-il à mon oreille. Tu crois que parce tu as un beau cul, tu peux t'en servir sans être puni ? Tu as un bel avenir devant toi. Une place à Harvard ou à Heidelberg et deux films. Tu as beaucoup plu au château.




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