Quentin Kendall Recrute Avec Son Cul

Arrivé à L.A., je me suis présenté à la direction.
- Quentin Kendall, je vous ai fait venir parce que vos exploits en groupe sont parvenus jusqu'à moi. Avez- vous déjà regardé la série TV "21 Jump street" ?
- Celle où de jeunes flics se font passer pour des étudiants ?
- C'est exactement ça !
- Quel est le rapport avec moi ? Je ne suis pas policier ! dis-je.
- vous savez que les universités se font concurrence. Hormis, nous-mêmes, la plus grande université se trouve à San Francisco. Vous n'êtes pas sans savoir que c'est la capitale américaine des homosexuels. J'ai immaginé un stratagème pour les attirer chez nous et j'ai besoin de vos services. Vous allez être intègré comme pensionnaire et vous allez organiser des orgies, des partouzes, enfin tout ce que vous voulez pour inciter ces jeunes gens à l'homosexualité. Donnez de votre personne et nous vous récompenseront.
Le soir-même, on m'a indiqué mon lit. Celui du bas, bien entendu. Le lendemain, je me suis pointé en cours, vêtu d'un pantalon rose en velours lisse et d'une chemise blanche à jabot. J'ai visité le dortoir et ai étudié le comportement et les habitudes des autres étudiants. Au coucher, j'ai retiré mon pantalon, sous les yeux des autres internes. Ils ont écarquillé leurs yeux quand ils ont vu que je ne portais pas de slip.
Je me suis couché en chien de fusil, en tirant le drap et la couverture sur mes épaules, prenant bien soin de découvrir mes fesses, afin que les autres puissent voir. Ca n'a pas traîné. Je sais l'effet que mon cul fait sur les autres. Vingt minutes après l'extinction des feux, un mec est venu. Il vit que j'avais les yeux ouverts. Je passai ma langue sur mes lèvres. Il a tiré sur la ceinture de son boxer et m'a collé sa pine sur les dents. J'ai ouvert la bouche et il l'a rentrée. Doucement, il s'est introduit tout entier.

Il a commencé à onduler des hanches. Sa pine glissait sur ma langue et entre mes lèvres qui s'étaient refermées sur le bâton de chair. Il se raidissait de plus en plus. Mes coups de langue sur et autour de son gland lui arrachaient des soupirs. Il se retira et fit le tour du lit. Il flèchit légèrement les genoux et essaya de m'enculer.
- C'est pas bon...Murmura-t-il.
Il me retourna vers lui et écarta les draps. Il me saisit par le poignet et dit, à voix basse :
- Viens !
Je me levai, et me tenant par la main, il m'entraîna, complètement nu vers la salle d'eau. Des têtes se levèrent sur notre passage. Au milieu de la salle, deux rangées de lavabo étaient collées à un muret central. Il me poussa entre deux lavabos. Les mains sur le muret, je me penchai en avant, les fesses en arrière. Le gars posa son gland sur mon trou et me prenant par les hanches, d'un coup de reins, il enfonça sa bite dans mon cul. je me suis cambré encore un peu plus, pour faciliter la progression du membre. J'ai regardé par dessous mon bras et j'ai vu que plusieurs étudiants regardaient. L'un d'entre eux, s'approcha de moi et me fourra sa queue dans la bouche.
- OK, fit une voix, On va faire comme ça. D'abord dans sa bouche ensuite couché et après, à genoux, et à deux dans son cul.
Cette nuit-là, la moitié des étudiants m'ont fait don de leur sperme.
Le week end suivant, ils ont organisé une fête. Des flyers circulaient dans l'enceinte de l'université. Sur un face, l'affiche du film 'Indomptable Angélique" avec en bas, une flèche suivie de la mention "Turn please". De l'autre côté, une photo de moi, vu de dos. J'avais la tête légèrement penchée en avant. On voyait nettement le tatouage au bas de mon dos , et le slip, à mi-cuisses. En haut était écrit "Indomptable Gabriel". Devant moi, quelqu'un à genoux, tenait mon slip sur les côtés, semblant en train de le baisser.
Tout en bas, il était écrit : Le gagnant de la tombola prendra sa place.
Le jour venu, j'étais sur la scène, entouré de deux étudiants déguisés en bourreaux. Après m'avoir dépouillé, tour à tour, de ma chemise, mes chaussures, chaussettes et pantalon, ils m'ont retourné, dos au public. Une voix, dans un micro, a appelé un numéro et un étudiant est monté sur l'estrade. Il s'est mis à genoux devant moi et, saisissant mon slip à deux mains, centmètre par centimètre, il le descendit jusqu'au même endroit que sur la photo.
A l'appel du micro, les étudiants qui le voulaient, sont montés sur la scène pour se faire sucer.
A la rentrée suivante, le nombre des inscriptions avait augmenté de 15 %. Des étudiants arboraient des t-shirt imprimés avec ma photo de ce jour.
Je suis resté trois mois de plus, pour offrir aux nouveaux venus, la preuve de ce qu'ils avaient vu sur le flyer.


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