Une Journée À Serrer Les Fesses

Dominique, 41 ans, ni plus belle ni moins belle qu’une autre, je travaille dans une compagnie d’assurance. Je suis mariée à un gentil mari et nous aimons bien les jeux érotiques uro/scato soft. Voici un aperçu d’une journée mémorable.

J'ai pris le train pour aller travailler , mais j'étais un peu en retard et en arrivant je me suis vite rendu compte que j'allais devoir aller chier au travail au cours de la journée, j’y serais bien allée avant de commencer à bosser , mais j’étais vraiment trop prise par le temps et ça pouvait attendre, ce n’était pas la première fois.
Au cours de la matinée, par contre, ça commençait à se gâter, j’ai dû lutter, en effet difficile de se retenir et de se concentrer quand on a « la taupe qui pousse au trou », j’en avais mal au ventre. Quelques-uns des gars dans le bureau regardaient mon cul moulé dans ma jupe, ils ne se doutaient pas qu'il y avait un énorme étron à l’intérieur attendant d'être libéré !
Je comptais les heures jusqu'à ma pause déjeuner , et c’était plus ou moins agréable d’avoir à serrer des fesses pour éviter le pire.Enfin midi, je suis allée directement aux toilettes , heureusement pour moi la place était libre. En entrant dans la cabine , je remontais ma jupe et laissais tomber ma culotte de dentelle noire sur le sol, les toilettes au travail sont vraiment très bien conçues et accueillantes pour ce qu’on est censé y faire , souvent je m'assieds pour pisser et parfois je laisse tomber quelques petites crottes.
Cependant, pour en revenir à cette envie de chier je me suis affalée sur le siège pensant me libérer au plus vite mais j’ai vraiment dû pousser un monstre brun foncé de mon cul , il devait avoir pas loin de 17 cms de long , il était hors de l' eau , assez drôle , et pourtant après un tel exploit je n'étais pas aussi soulagée que je l’aurais cru , mais néanmoins cette chose était un modèle du genre pas très large mais très long et plusieurs tentatives de lacher d’eau ont été necessaire pour le faire disparaître de la cuvette.


Je suis ensuite aller déjeuner et je suis retournée au boulot. Vers la fin de la journée, je sentais de nouveau un signe des plus familiers : j’en avais encore plein le cul et c’était clair j’avais de nouveau devoir aller chier mais je n’avais toujours pas le temps.
Cette nouvelle envie était différente cependant et j’étais plutôt excitée à l'idée de me soulager de ce qui devait être un bon paquet de merde. Je pensais aller au WC avant de partir mais ai estimé qu'il était plus amusant de me retenir pour mon mari malgré un trajet d’une heure jusqu’à la maison. L’expression « en avoir plein le cul » prenait ici toute sa signification.
Toutefois , en sortant à la gare , je regrettais de ne pas avoir été aux toilettes du bureau, je crevais de me libérer. Dans le train le fait d’être assise bloquait la sortie et remontait le contenu de mon intestin. Pas trop de problème à la descente mais ça devenait urgent et je marchait aussi vite que je pouvais , j’ai laché un prooutt chaud, fort et puissant ,et presqu’à chaque pas vers la maison je ne pouvais retenir de petits pets avant coureur, j’étais de plus en plus désespérée, et l’envie était de plus en plus forte.Enfin l’arrivée à mon domicile et c’était plutôt excitant de penser que j’allais enfin pouvoir poser mon cul sur le siège des toilettes et me soulager . Je ne peux pas croire que j'avais encore besoin de faire caca avec ce que j’avais évacué le matin.
J’ai ouvert ma porte d’entrée précipitamment et je n’eus pas le temps de la refermer, j'ai laissé tomber mon sac sur le sol et me dirigeais vers la salle de bain , en chemin je me débarrassais de ma jupe, je m’entravais dans ma culotte de dentelle noire en la descendant sur mes chevilles , je n'ai pas eu assez de temps pour poser mes chaussures à talons. J’étais fatiguée d’avoir serré des fesses pendant le chemin du retour , ouf, j’ai enfin pu me relâcher et l’étron se présenta à l’entrée (ou la sortie) de mon anus, je n’ai pas pu pisser j'étais trop désespérée et c’est la merde qui est se présenta la première, forçant ainsi l’étroit passage.

Mon mari m’envoya un texto pour me dire qu'il était juste au coin de la rue , mais je ne pouvais vraiment pas tenir plus longtemps maintenant que j’étais assise , j'ai répondu qu'il devait se dépêcher s’il voulait assister au spectacle de ma merde sortant de mon petit trou! mais il était trop tard la pointe de l étron massif a commencé à élargir mon trou du cul avec force , j'aurais probablement pu tenir , mais le plaisir intense de me soulager était plus grand et c’était trop difficile de résister et instinctivement j’ai et un énorme boudin est sorti, il était beaucoup plus conséquent que celui de ce matin, je me sentais plutôt coupable de n’avoir pas pu me retenir pour que mon mari l’apprécie , l'arôme qui remplissait la salle de bain était plutôt torride .
Je ne pouvais pas arrêter mes mains de trembler et l’étron a fait « plop » en tombant .Je n'avais pas ce sentiment de soulagement que l’on attend quand on vient de se liberer après avoir tenu si longtemps , c'est parce que tout de suite une autre énorme crotte presque identique se précipita hors de mes fesses pour rejoindre sa jumelle dans les toilettes, le sentiment était orgasmique ! J'ai tout de suite été soulagé et mon mari est entré dans la salle de bain pour me retrouver sur la cuvette avec ma petite culotte aux pieds . Dommage qu’il ne soit pas arrivé plus tôt pour recevoir l’offrande odorante. La meilleure partie dans tout cela est que c'était une merde propre, pas besoin d' essuyer , mon mari et moi avons été aussi surpris l’un que l’autre à la vue de ces deux énormes choses dans le bol. Je n’en croyais pas mes yeux. Je pense que c’était une des fois ou j’ai eu le plus envie de chier et d’avoir eu un tel soulagement..Je vous passe ce que nous avons fait après avec mon mari, il savait que mon rectum était vide et mon trou de balle propre et encore légèrement ouvert tellement le cylindre merdeux était volumineux, lui était prêt à me remplir depuis un moment déjà et il ne se priva pas de profiter de la situation sachant que je ne pouvais pas lui refuser l’accès à mon anus entrebaillé et accueillant.

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