Une Journée Pas Comme Les Autres....

Une journée de boulot comme j'aimerai en avoir souvent !

Ce matin je pars au boulot, habillée comme d'habitude c'est-à-dire très banale : jean,
chemise , blouson, mais pas de slip car n'ayant pas baisé depuis plusieurs jours, ma
chatte est prête à démarrer au moindre mail un peu chaud lu sur mon tel, je voulais
sentir la couture du jean sur mon clito.

Vers 10h ma chef, me dit : "on a un problème Philippe ne peut accompagner le chauffeur
à Orléans pour chercher du matériel car il a un problème avec sa fille, est-ce que tu
peux y aller, je préfère que ce soit toi parce que c'est loin et comme tu es célib si
tu es pas là pour 18h je sais que ca te posera pas problème sinon tu me le dis".

Bon moi tout ce qui me sort de la routine me va, donc je lui dis oui, en plus je
connais tous les chauffeurs de cette boite de transport car nous bossons avec eux
depuis 20 ans, donc presque une balade.

11h le chauffeur prévient qu'il est au sous-sol et je le rejoint, quand je le vois je
suis contente parce c'est un de plus sympas, Frédéric un antillais (doit avoir une
cinquantaine d'années mais il les fait pas du tout on lui en donnerait 30). Mais
curieusement il n'a pas son grand sourire habituel, je lui fais la bise et lui demande
étonnée comment il se fait qu'il a un énorme bahut pas en rapport avec le besoin du
jour, il me répond que son boss lui a demander de descendre ce camion à Orléans et
qu'on en remontera un autre, ok pas de souci. Il monte de son côté et moi j'ouvre la
porte du mien : le problème de ces bahuts monstrueux c'est la hauteur des marches, me
voyant pas trop agile, il me demande si il vient m'aider, non ca va c'est bon ! ouf
je m'installe et découvre une spacieuse cabine avec couchette, ca me plait bien j'ai
l'impression de partir en voyage, je lui explique ce qu'on va faire et on sort de
Paris.



On papote de tout et de rien, mais en peu de temps il recoit deux appels et je
comprend que c'est sa femme , ca barde sec, la seconde fois il s'énerve et limite il
gueule, je me fais toute petite, mais quand il raccroche il s'excuse en me disant que
c'est le bordel dans son couple en ce moment à cause du fric. Je le laisse parler et
au fil de la conversation je comprend que c'est pas que le fric, en fait il n'y a plus
grand chose entre eux, il semble soulagé d'en parler et au bout d'un moment on
plaisante, je lui dit qu'il a qu'à divorcer pour prendre une vieille blanche qui a du
fric, du coup ça le déride, et on commence à délirer, il me dit " avec toi au moins,
j'ai pas besoin de faire attention à ce que je dis, tu es pas choquée pour un rien !"
et il me raconte qu'il a une nana en tête, qu'il l'a déjà baisé mais comme c'est
limite divorce avec sa femme , il n'approche plus cette fille pour ne pas se retrouver
en flagrant délit d'adultère, ce qui arrangerait trop bien Madame, mais il me dit
qu'il pense tout le temps à elle que c'est une vrai braise et en disant ça il passe la
main sur son entrejambe. Son histoire commence à me chauffer, je sens mes tétons qui
se dresse sous ma chemise, si j'étais seule au volant de ma voiture , j'aurai déjà la
main dessous pour les caresser comme je le fais souvent mais bon... Il me demande si
je suis célibataire, comme je lui répond par l'affirmative il me dit avec un petit
sourire " tu es sage ?" et je lui répond "pourquoi voudrais-tu que je sois sage
puisque je suis célibataire alors que toi tu es marié et pas sage ? " et on éclate de
rire ! On roule encore un peu, je le vois fréquemment passer sa main sur son
entrejambe, il me dit :
- "on s'arrête au prochain parking, j'ai besoin d'un café"

Il se gare, descend presque en sautant du camion et viens de mon côté, je suis en
train de descendre prudemment la mini-échelle escalier, il pose ses mains sur mes
hanches et me dit n'aie pas peur je suis là.

Hop et me voila a terre avec toujours ses mains sur mes hanches qui mettent quelques
secondes à me lâcher ! Nous entrons dans la cafétaria et nous nous installons cote a
cote sur deux grands tabourets au bar pour boire nos cafés.
Tout à coup je sens sa jambe qui se rapproche et touche la mienne, je ne bouge pas
pour voir si c'est volontaire ou pas, hummm c'est volontaire la jambe se colle un peu
plus, je sens un frisson d'excitation me parcourir.
Alors je veux ranger mon porte-monnaie mais la fermeture de mon sac se coince , voyant
que je n'y arrive pas, il se tourne vers moi, met son genou entre mes jambes, et me
prend le sac des mains, qui se trouve de ce fait posé sur nos genoux à tous les deux.
Mais il n'arrive pas non plus à décoincer cette fichue fermeture, donc j'essaie a
nouveau, lui tout en buvant son café, met sa main sur mon genou, j'ai encore plus de
mal à me débrouiller avec ma fermeture, car ma chatte commence a prendre les commandes
de mon cerveau, discrètement je regarde son entrejambe, ouf ca va la bosse est
suffisamment
importante pour que je me trouve avec une bite acceptable pour moi ! Voyant que je ne
bronche pas il commence à me caresser la cuisse, hummm c'est super bon, mes seins
sont raides sous ma chemise, mes mains fébriles s'énervent sur la fermeture et d'un
coup zou c'est décoincé ! Ne sachant pas quelle attitude adopter et dans une ultime
tentative de ne pas me laisser aller, je lui dit on ferai mieux d'y aller sinon nous
allons rentrer super tard et allant pour me lever je fais tomber mon porte-monnaie que
j'avais oublié sous mon sac, je me penche, et comme c'est un peu haut, manque de
tomber, c'est alors que j'entend :
- "hummm jolie vue !"
je n'avais pas vu qu'il voyait toute ma poitrine de sa position !
- "Tu devrais refaire tomber ton porte-monnaie, j'adore ce que je vois ! "
je lui souris et lui répond :
- "n'exagère pas !
- je peux te poser une question indiscrète ?
- ok va-y !
- c'est du combien ?
- 105c voir D"
- tout ce que j'aime, ma femme à juste un 90b"
et je lui répond très coquine :
"- je te comprend car moi aussi j'aime les femmes avec des gros seins !"

il me regarde interloqué :
- tu couches avec des femmes ?
- héhé ! "
et je sors, arrivée au camion, il me dit :
"- je vais t'aider tu as eu du mal tout à l'heure !"

Il passe devant moi, ouvre la portière, puis me dit de monter et se place derrière
moi, à nouveau je sens ses mains sur mes hanches, j'ai le pied sur la première marche,
mais au lieu de me pousser vers le haut je le sens qu'il se colle à moi me faisant
perdre l'équilibre et remettre le pied à terre, il me tient contre lui, je reste un
instant, sa main vient sur mon sein qu'il pelote, je réalise que nous sommes sur le
parking et je repars à l'assaut de mes marches, cette fois-ci il me pousse et j'arrive
à ma place sans encombre.
Je suis partagée entre l'envie de me faire sauter et un
soupçon de raison qui me dit que je suis au travail que ce n'est pas bien etc.
On roule de nouveau, il plaisante, met un cd des années 80 et nous voila en train de
chanter les tubes oubliés. Je vois sa main qui ne quitte plus son entrejambe, et je ne
peux m'empêcher de regarder de plus en plus fréquemment dans cette direction, une
cinquantaine de kms plus loin, je n'arrive pas à me calmer et la vue de cette main qui
revient dès que possible où je voudrais mettre ma bouche n'a rien pour me calmer, il à
remarqué mon regard et ne parle presque plus , mais ses gestes sont de plus en plus
explicites, maintenant il se caresse la queue a travers son jean, et me regarde aussi
souvent que possible. Je me tourne légèrement vers lui, il me dit :
"- tu sais le fauteuil il pivote"
et m'explique comment le faire tourner, oups c'est génial, je suis maintenant dos à
ma portière, je ne peux plus me retenir et j'écarte malgré moi les jambes, je vois sa
main qui accentue la pression sur sa queue, j'ouvre ma chemise lentement, l'écarte et
commence à titiller mes tétons sur le soutien-gorge, la chienne commence à se
réveiller, lentement je sors mes seins et je reste ainsi à le fixer, le monde à
disparu autour de moi, même un autre poids lourd qui nous double ne me fait pas réagir
alors que je suis quasi à poil tourné dans la direction du chauffeur.
Fred ouvre son jean, sors sa bite qui se dresse libérée de ses entraves, hummm encore
plus belle que ce que je pensais, pas la plus grosse que j'ai eu mais superbe ! voyant
cela ma main prend la direction de ma chatte et entre dans mon jean.
il me dit :
-"enleve ton haut !" d'un ton autoritaire3
je ne bronche pas, m'execute, et remet la main dans le jean, mais très vite je ne peux
résister et je l'ouvre, le baisse et écarte grand mes cuisses, ca y est je suis
partie, prête à tout pour me faire baiser à fond comme une grosse salope que je suis.

il se penche vers moi brusquement, et tend la main pour me toucher la chatte :

- "humm chérie tu es trempée c'est bon, on dirait que tu aimes la queue toi !"

je ne répond pas, il se redresse, je me caresse à nouveau la chatte, mes doigts sont
trempés, je les porte à la bouche en le fixant, et les lèche :

- "je pense que t'es même une salope pas vrai ? dis le que tu es une salope !

- oui j 'avoue suis une salope et même une salope à black !

- de mieux en mieux ! Bon on va se trouver un coin tranquille

- oui fais vite je n'en peux plus"

On roule et on passe devant une aire de repos, mais il ne s'arrête pas car il me dit
que c'est trop fréquenté, puis on s'arrête à la suivante, sur le parking poids lourds,
il y a des camions mais des places libres. On est face a face avec un autre bahut qui
est vide. Fred enlève son jean, se penche vers moi, enlève mes chaussures et mon jean
aussi :

- "t'es vraiment une chaude tu as même pas de slip !"
je ne répond pas me contentant de me caresser les cuisses ouvertes, il s'approche de
moi, il est debout, sa queue est à la bonne hauteur, je me met à la lécher, puis je
lèche ses couilles, il est rasé c'est bon, je prend une couille dans ma bouche tout en
caressant son cul, ses mains se sont emparées de mes seins. je continue et alterne le
gobage des couilles et le léchage, je sens la bite qui durcit et se dresse au maximum,
elle est énorme. Je ne peux plus résister je prend le gland dans ma bouche, mon
intention est
de l'avaler progressivement, mais pas lui, ses mains se posent sur mes tempes et il me
l'enfonce, je kiffe ca, il se met à me baiser la bouche, tout en murmurant :
- "putain t'es bonne, t'es la reine des salopes, comment tu suces !"
sa main lâche ma tête, il se penche un peu et je sens ses doigts entre mes cuisses,
mais la postion n'est pas bonne, il se redresse, et reprend ma tête pour me forcer.

Tout a coup, j'aperçois un petit éclair de lumière, je me dis bizarre c'est quoi ?
puis de nouveau l'éclair et Fred qui dit :
- "hé le collègue il a la belle vue !"
oups ! le chauffeur du bahut en face est revenu et il nous fait des appels de phares
!!!

Le genre de truc qui me rend dingue ! j'accèlère le pompage et le suce bien a fond
tout en caressant ses couilles et je fais des incursions vers sa raie, il écarte les
jambes, puis il retire sa bite, se penche vers moi et me roule une pelle d'enfer,
hummmmm c'est bon, je me lève me colle à lui m'offrant ainsi entière aux yeux du
voyeur, ma langue va et viens, ma chatte se scotche à mon complice, ses doigts sont
entre mes cuisses, puis je sens sa queue qui se fraye un passage entre mes jambes, ses
mains emprisonnent mes fesses m'empêchant de partir en arrière, j'écarte les cuisses,
prête à me faire pénétrer, mais il est grand, il est obligé de plier les genoux, il
m'ordonne :
-"retourne toi !"
je pose les mains sur le siège, et je le sens qui s'introduit sans ménagement, ses
mains att mes épaules, il me prend vigoureusement. A aucun moment nous n'avons
parlé de capotes, je suis aux anges !
Je passe ma main entre mes cuisses pour me branler le clito, et je lui dit :
"- continue , t'arrête pas , je suis ta pute, ton esclave fais de moi ce que tu veux !
- hummm tu me plais toi, je vais faire de toi la reine des chiennes !"

Puis je sens qu'il cherche autre chose, il veut mon cul, je lui dit :
- "non ! pas de sodo j'ai eu deux déchirures
- t'inquiètes je ne vais pas te déchirer."

Il se positionne, commence à forcer mon anus, je me laisse faire j'ai trop envie, la
seule chose que je fais gaffe c'est de ne pas trop tourner la tête vers le voyeur car
j'ai peur qu'il filme avec son portable. Mais j'ai trop mal donc il arrête :
"-retourne toi ! suces moi !"

Je le reprend et à nouveau au bout de quelques minutes il me prend la tête pour s
'enfoncer et me baiser, ses coups sont plus violents, de temps en temps il va trop
loin et j'ai un haut le coeur, mais il recommence :
- "t'es la pire des chiennes que jai eu ! "

ces mots me boostent et je m'applique à le garder en moi pour le satisfaire, ses mains
accentuent la pression et d'un coup je sens ma gorge envahie de liquide, ma chatte
s'inonde en même temps de mouille tellement ça m'exite de savoir qu'il vient de gicler
!
Il s'agenouille entre mes jambes et viens me lécher la chatte, sa langue titille mon
clito, mais j'ai envie de plus, je pose mes mains sur ma tête lui faisant comprendre
qu'il doit descendre, sa langue trouve mon trou et commence à la tourner dedans ! Je
suis pas loin de jouir, mais je me retiens c'est trop bon , je veux que ca dure, je me
fous de l'heure , du travail, de la terre entière, je n'ai qu'une envie me faire
baiser le plus longtemps possible, me faire remplir de jus comme je l'aime tant.
Sa langue ne quitte pas ma chatte alternant entre mon trou et mon clito, puis je sens
son doigt qui glisse dans ma chatte et ressort pour caresser ma raie, instinctivement
mes jambes s'ouvrent en grand, il comprend le message, et ton doigt me pénétre le cul
bien profond, en moins de deux secondes j'explose d'une jouissance super géniale !
Il se redresse, me prend les mains et me dit :
"monte sur la couchette !"
j'exécute, j'adore les ordres ! Il s'agenouille sur moi, me présentant à nouveau sa
bite à lécher, ce que je fais sans hésiter, puis je gobe ses couilles, mes mains à
nouveau sur ses fesses, je me risque à mettre mes doigts dans la raie, il ne bronche
pas mais il me fourre la bite dans la bouche, ce qui est pour moi, un aveu, mon doigt
pénétre son cul, il s'est assis pour l'ouvrir, du coup j'ai du mal à le sucer, il
att son blouson et me le met sous la tête, je continue à le doigter et le sucer,
il m'insulte de plus belle :
- "tu devrais changer de métier, tu es faite pour être baisée à longueur de journée,
c'est pas possible une salope pareil ! quand on te voie personne se douterait de la
grosse truie que tu peux être !"

il sait que je vais chauffer à blanc en entendant cela, il me devine, me comprend. Il
prend appui sur la paroi de la cabine et recommence à me défoncer la bouche, je ne dis
rien me contentant de le fixer. Puis il stop , se positionne et avec un grand coup de
rein me prend la chatte, nous perdons la tête tous les deux, il est en nage, sa sueur
ruisselle sur ma peau, la langue tourne dans ma bouche, puis sa main se pose sur ma
gorge, il serre, je le regarde, il voit mon approbation, continue de me serrer, et
augmente ses coups de butoirs, je sens que je vais partir mais je veux pas louper son
éjaculation sommet de mon plaisir, je me retiens, sa main toujours sur ma gorge, je
sens qu'il va partir, je resserre mes bras autour de son corps, et il part, une grosse
quantité de jus se répand en moi, et je pars aussi, dans une explosion de plaisir, je
suis heureuse, pleine de ce sperme que je voulais tant, limée comme une chienne en
chaleur qui a besoin de son mâle ! Il se relâche, reste couché sur moi, en moi,
j'adore ca, nous restons ainsi une dizaine de minutes, mélant nos langues, sa queue
bien au chaud dans mon antre brûlant, je resterai bien comme cela des heures mais la
réalité est là et nous devons penser à reprendre la route ! Le reste s'est passé assez
chaudement, j'ai continué à me caresser par moments, profitant de l'occasion pour
m'exercer à mes envies d'exhibition même si nous n'avons pas eu d'autres voyeurs, les
deux pauses suivantes, nous nous sommes embrassés et failli refaire un tour de manège
mais nous étions super en retard et nous avons du rentrer !

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