Mariage En L'An Mil

L’an mil passé, avec lui les terreurs de fin du monde. Le chevalier de Montferrier décide de donner suite à la demande du marquis de Prades : lui donner sa fille Ermangarde en mariage. C’est un jeune homme bien, riche, de belle tournure. Il est sur que Giraud la rendra heureuse, ce qui est secondaire, et que il en tirera lui de bons bénéfices pour ses chasses. C’est l’évêque qui procède au mariage fastueux. Ermangarde ne connait pas son futur. Giraud, aimerait continuer ses nuits coquines avec une servante, Marie, une fille grande, un peu débauchée qui aime se faire aimer dans des endroits peu communs : l’écurie, de fenil par exemple. Le château est tellement grand pour se cacher des autres.
La cérémonie terminée, Giraud entraine son épouse chez lui. Marie attend les nouveaux époux : que va-t-elle devenir ? Il lui vient l’idée de faire connaitre à la nouvelle venue, les pires déboires, par exemple toujours sollicité la bite de Giraud. Elle le connait, elle sait qu’il ne résiste jamais quand elle a envie de se donner. Ou alors, passe l’idée dans l’esprit de Marie : se payer l’épouse à sa façon.
La calèche mène les deux époux vers le château. Giraud n’a qu’une idée en tête, baiser cette nouvelle femme. Il l’entraine dans la chambre, elle ne résiste pas : sa maman lui a dit de faire tout ce qu’il lui sera demandé. Elle ne sait pas trop ce qui sera demandé. Elle obéît, c’est le plus simple. Il lui demande de se faire déshabiller par la servante, c’etait normal à l’époque. Marie donc a une certaine occupation mettre nue la nouvelle maîtresse des lieux. Mais mettre nue une femme l’a toujours excitée. Elle va bien voir si Ermangarde l’excitera aussi. Ce serait bien, elle pourra sans doute en profiter.

Giraud profite que sa femme est nouvelle dans le château. Il va aux cuisines se rincer la dalle. Marie déshabille la nouvelle châtelaine en insistant pour caresser les endroits sensibles. Ignorante, Ermangarde se laisse caresser.

Elle trouve un certain bien être ainsi cajolée. Elle tend même ses seins à la recherche de nouvelles sensation. Marie trouve plaisant de faire frémir la nouvelle. Elle va plus loin encore, sous prétexte de la mettre nue, elle passe une main entre les cuisses. Ignorante de ce qu’elle y détient, la nouvelle épousée pense que c’est bien, très bien, même bon. Mari pousse plus loin son avantage en caressant les fesses, puis profite pour passer un doigt dans la raie.

Ermangarde s’étonne un peu de l’intrusion de ce doigt sur son petit trou. C’est sans doute normal. Mais le drôle de plaisir qui en résulte lui mouille sa fente. Ce n’est pas la première fois qu’elle est mouillée à cet endroit mystérieux. Et ce doigt qui après une courte caresse entre dans ce petit trou, ne reste pas immobile : il s’agite un peu dans le ventre. Elle sent venir une sensation inconnue, quelque chose qui la prend au petit trou, ben sur qui s’étend vers l’autre fente pour monter par sa colonne vertébrale jusqu’au cerveau avant de descendre lui donner des contractions, des pressions sur sa chatte. Marie, après avoir mise nue l’épousée se met nue elle aussi. Elle demande que les caresses soient partagées. Ermangarde, toujours obéissante à sa mère accepte ce qui lui semble logique. A son tour maladroitement elle rend ce qu’on lui donne. Bien sur mettre un doigt dans la raie des fesses est facile, trouver le petit trou aussi. Mais de là à le rentrer comme elle l’a subit, il y a un monde qu’elle ne sait encore franchir.
Marie la couche, lui demande de garder les jambes ouvertes. Elle pose sa main sur la chatte ouverte. Marie sait bien comment donner du plaisir aux autres filles. Elle sait et elle aime. C’est facile pour elle de trouver les endroits les plus sensibles. Elle passe deux doigts autour du clitoris. Ermangarde ne tient pas deux minutes avant de jouir encore une fois, plus fort que la première fois. Marie veut la totale, elle vient sur l’autre épousée, lui donne sa fente sur la bouche, et pose sa langue qui écarte les lèvres sur le sexe encor neuf.
Elle provoque encore un orgasme. Elle de son coté est déçue, elle n’est pas bien léchée, elle en jouit quand même.
Giraud revient des cuisines. Il voit ce nouveau spectacle de son épouse se faire reluire pas une autre fille qu’il connait fort bien. Il sent qu’elle n’a pas prit son plaisir normal. Il sort sa queue, il la darde, il la pose sur un cul. Elle est encore vierge, tant pis il encule sa femme. Pour le con se sera plus tard. Et Marie qui voit s’envoler son amant, celui qui l’a ouverte le premier, celui avec qui elle baise si bien.
Rien n’est perdu. Giraud fait revenir Marie. Elle pense que c’est pour un adieu. Il lui donne sa queue, il lui prend le con dans la bouche. Elle déguste cette bite avec tout ce qu’elle apporte de sperme de cyprine d’une autre. Elle déguste aussi avec l’autre bouche la salive, la langue, les petites morsures que lui donne son amant. Elle comprend la suite, enfin.
Dans les contes, on dit qu’ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’s. Eux aussi vécurent heureux en ménage à trois.

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