Au Mariage

Au mariage

J'avais reçu une invitation pour le mariage d'un cousin lointain que je n'avais jamais vu. Il m'invitait pour un buffet durant la soirée. Curieux de nature, j'aime bien la fête et cela sera l'ocassion pour moi de croiser un beau mec ou l'autre. Je pris une douche enfilai de beaux habits légers et colorés car la météo annonce une soirée douce.
Quelle n'est fut pas ma surprise lorsque j'arrive à l'adresse indiquée. Une immense propriété à la campagne au centre de laquelle se trouve une magnifique grosse maison de style. Sans me tracasser, je me mélange aux invités. Je déguste de merveilleux mets et rencontres des gens de cette famille dont je n'avais jamais entendu parler. Au loin, j'aperçois le couple de jeunes mariés, un superbe garçon à l'allure assez timide et une resplendissante jeune fille au caractère visiblement autoritaire, c'est elle qui doit porter la culotte.
Tout d'un coup, j'aperçois un dieu, un garçon de mon âge qui irradie. Vêtu d'un costume somptueux, il semble faire parti de la maisonnée et je n'ai plus d'yeux que pour lui. De suite, je sens une agitation intérieure et un délicieux gonflement. Je le suis à distance dans ses déplacements, admirant de plus en plus sa beauté, sa souplesse, son aisance, sa prestance. Après m'être renseigné discrètement, j'apprends qu'il est le témoin du marié. Progressivement, discrètement, je m'approche de plus en plus de lui. Je le désire mais je n'oserais jamais le lui dire directement.
Je suis dans les parages lorsqu'il renverse un morceau de gâteau. C'est tout juste si je ne bouscule pas quelques invités pour me précipiter et l'aider. Presqu'instinctivement, je me mets sur un genou et récupère le morceau de gâteau sur le sol. Ensuite je sors le mouchoir de ma poche, prêt à nettoyer les tâches sur son costume lorsque je prends conscience de la situation dans laquelle je me suis mis. Je suis à genoux au pied d'un dieu, un garçon que je désire et je sens une chaleur intense rougir mon visage.

Je sens les yeux de tous les invités fixés sur moi, un sourire aux lèvres tandis que les miens sont écarquillés, figés sur l'entrejambe de l'homme de mes rêves.
Je relève la tête, ses yeux croisent les miens. Je n'y vois aucune colère, rien qu'un amusement. Un regard sur le côté me rassure, aucun des invités ne semble prêter attention à ma situation. Une main subite sur mon épaule me rappelle la présence de cet homme, elle est ferme et douce à la fois. Une voix autoritaire me dit de continuer mon travail. Avec mon mouchoir, toujours à genoux, je nettoie tendrement les traces de gâteau sur le pantalon et la veste. Je crois aussi distinguer un gonflement entre les pans de la veste, peut-être est-ce mon imagination.
La ferme main sur mon épaule m'amène à me relever. Debout devant lui, penaud avec le reste de gâteau dans une main et mon mouchoir souillé dans l'autre, je vois et je sens son regard amusé, mais pas moqueur.
"Allons nettoyer tout cela," annonce-t-il tout simplement tandis qu'il déplace sa main de mon épaule vers mon bras durant un court instant. Sous cette impulsion, je le suis vers la maison qu'il semble bien connaître puisqu'il se dirige directement vers l'étage et une salle de bain. À ma grande surprise, il me fait entrer et s'appuie contre la porte qu'il maintient ouverte.
Je croyais pouvoir le voir se déshabiller pour nettoyer les tâches. Mais il n'en est rien.
"Déshabille-toi." Ces seuls mots me contrecarrent, me paniquent et je reste figé, complètement perdu. D'un ton un peu plus sec, il répète l'ordre. Je ne peux qu'obéir. Lentement, je commence à retirer ma chemise. Je peux voir la satisfaction sur son visage. Je retire mes chaussures et mes chaussettes et je le regarde pour une confirmation. Un acquiescement et je continue mon déshabillage. Je sens mon corps rougir de plus en plus, le sang martèle dans mes tempes. Je tourne mon dos vers lui tandis que je baisse mon pantalon, honteux et ravi en même temps. J'entends un ricanement, je perçois un soupir qui montre son appréciation.
Je ne sais plus quoi faire, la bosse à l'avant de mon slip montre mon envie, mon désir. Mais ma tête refuse d'aller plus loin, je ne dois pas, je ne peux pas…
Je garde mon dos tourné vers lui, voûté, et mes mains couvrant mon entrejambe. Mes pensées sont confuses.
"J'attends!"
Je ne peux pas faire marche arrière. Mon dos toujours tourné vers lui, je baisse timidement mon slip qui rejoint la pile de vêtements à mes pieds.
"Approche!"
Le moment est décisif. Mes mains restent d'elles-mêmes verrouillées par-dessus mon sexe tendu et humide.
Après quelques pas maladroits un "Stop!" me fait arrêter au centre de la salle de bain.
"Redresse-toi! Les mains sur la tête! Les jambes écartées! La tête haute! Le regard droit devant!" Autant d'ordres que j'exécute presqu'instinctivement, sans réfléchir comme s'ils étaient la logique de la situation présente. Avant que je ne leur réalise, je présente mon corps nu à cet étranger, je m'offre à ce superbe homme. Je sens tous mes muscles crispés, tous mes nerfs attisés, mon cœur s'emballe et j'aime cela. Je me sens bien dans cette offrande pour l'homme que je désire servir.
Pierre (j'ai appris son prénom bien plus tard) tourne lentement autour de moi pour évaluer sa nouvelle conquête. Il sort de mon champ de vision comme je garde ma tête droite devant comme ordonné. Je peux sentir sa présence rassurante tandis qu'il me contourne, s'approchant de temps en temps mais sans jamais me toucher.
Un bruit dans le corridor. Je réalise que la porte est toujours ouverte et je sens une nouvelle panique m'envahir, mais je n'ose pas bouger. Ma hampe toujours bien gonflée voit les choses autrement, elle palpite et dégouline. Pierre réapparaît devant moi et, sans me prêter aucune attention, il se dirige dans le corridor. J'entends une discussion, un échange entre deux hommes et je reste immobile, correctement soumis. Pierre apparaît furtivement dans la porte, "Ne bouge pas!"
Pierre vient d'assurer son autorité sur moi, il vient de signaler ma présence devant cet autre homme.
Je ne peux qu'obéir, je ne veux qu'obéir malgré mon inquiétude. Le bruit de la discussion soutenue s'approche, mon cœur bat de plus en plus, il va éclater. Sans arrêter son échange verbal, Pierre réapparaît devant moi et je crains de voir l'autre homme et je désire voir l'autre homme, je désire profondément que l'autre homme me voit, qu'il voit ma soumission totale. Il n'en est rien.
"Écarte plus tes jambes! Et fléchis-les légèrement!"Ces ordres appuient son autorité sur moi. Je m'exécute maintenant conscient de ma position divulguée. Je suis devenu officiellement son serviteur, son soumis. Je souhaite tant l'avoir près de moi, je désire tant sentir ses mains sur moi. Les deux hommes s'éloignent et puis c'est le silence. Je me sens abandonné, nu, dans une position qui peut sembler si ridicule, mais le sexe toujours bien dressé et dégoulinant.
Après quelques instants qui me semble une éternité, Pierre réapparaît. Il tient une chaînette dans la main."Ton cul est-il propre?" Cette question me frappe de plein fouet. Je ne sais que répondre tellement je suis choqué. La répétition plus soutenue me force à sortir de mon état.
"Oui."
"Oui qui? Une phrase complète!"
"Oui… heu… Monsieur. Oui, mon cul est propre."
"Bien!" Tandis que Monsieur Pierre recule pour venir s'appuyer de nouveau contre la porte, je peux voir la chaînette se tendre avec de plus en plus de résistance pour finalement révéler… un sexe d'homme enfermé dans une cage de chasteté en plastique. La vue m'hypnotise et me fait frémir. Elle me ramène à tant de fantasmes dans ma vie. Je n'ai d'yeux que pour cette cage, jalousant presque le porteur qui n'est toujours pas visible. J'ai la chair de poule, mais ce n'est pas de froid. Monsieur Pierre donne un coup sec sur la chaînette et je dois cligner plusieurs fois pour croire la vue qui m'est offerte. Le jeune marié est devant moi, toujours vêtu de son somptueux costume si ce n'est cette cage émergeant du pantalon et reliée à la chaînette tenue par Monsieur Pierre.
Ce Maître est un vrai et cela chamboule tout en moi. Je suis ému et admiratif, je sens une puissante sorte d'amour. J'ai devant moi deux superbes créatures, deux hommes magnifiques et l'un d'eux me permet de le servir.
Monsieur Pierre laisse tomber la chaînette et dit, "Va!" Après un court moment d'hésitation, le marié pivote vers moi. Plus il avance, plus son visage devient rouge. Je peux admirer les doux traits sur son visage, mais je peux voir aussi son anxiété. À ma grande surprise, le garçon s'agenouille et je ne peux que sursauter lorsqu'il enfourne immédiatement mon sexe tendu dans sa bouche. Mes jambes tremblent et je dois me concentrer pour maintenir ma position.
"Bien sûr, tu ne peux pas juter!" Cet ordre est une évidence mais je suis soulagé qu'il m'ait été donné. Je tremble de plus en plus sous l'action experte du jeune marié. Je suis fortement surpris, il n'en est pas à son premier essai, sans doute. Je suis au bord des larmes comme je dois me retenir et mon soulagement fut grand lorsque la bouche se retire pour se diriger plus bas et enrober mon sac lorsque Monsieur Pierre annonce, "Phase deux!" Le plaisir reste intense et cette divine requiert toute mon énergie pour moi me contrôler.
"Face trois!" Comme un robot bien entraîné, le garçon se traîne à genoux derrière moi. Il empoigne délicatement mes fesses, les écarte largement et vient titiller mon trou. Je sens sa langue creuser mon orifice, il est vraiment bien entraîné. Je suis au bord de l'orgasme. C'est un vrai calvaire, horrible mais extraordinaire. Je ne sais plus comment me retenir. Perdu dans mes sensations, je n'aperçois pas Monsieur Pierre approcher. Une double claque sur ma hampe dressée vers le plafond me fait grimacer. "Merci Monsieur!" Les mots sortent instinctivement. Malgré la forte douleur, je lui suis profondément reconnaissant. Il est un bon maître, il connaît son affaire. Cette intervention me permet apprécier mieux le travail expert du jeune marié.
Monsieur Pierre est toujours devant moi. Je peux enfin sentir ses mains, sur mon corps. Elles ébouriffent mes cheveux, caressent tendrement mes oreilles. Une me serre la gorge tandis que l'autre vient plonger fermement dans ma bouche. Je l'accueille tendrement, chaleureusement. Elles quittent mon visage, voyagent par-dessus mon torse et titillent les pointes de mes seins dressés par l'excitation. Elles descendent lentement mais fermement le long de mes abdominaux puis remonte doucement sur mes côtés jusqu'à mes aisselles. Monsieur Pierre teste ma sensibilité et je m'agite sous ses doigts experts. La combinaison des actions de ces deux hommes me rend fou. Je me retrouve rapidement au bord de la jouissance et je sers tous mes muscles, je crispe mon visage pour retenir ce flot de plaisir qui demande à sortir. Je perds le contact des mains de Monsieur Pierre et je m'apprête à recevoir des claques sur ma tige qui palpite. Mais rien ne vient. Une puissante prise de mes testicules me fait sursauter, une forte traction anéantie mon plaisir et je le remercie sincèrement. Cet homme est un maître inné.
"C'est assez pour le moment!" La merveilleuse langue se retire. Le jeune marié attend, moi aussi, les ordres suivants du Maître. Je prends alors pleinement conscience de la situation. Deux jeunes hommes pleinement soumis à un maître. Le plaisir est de retour en moi et je suis impatient de subir la suite. Notre maître rappelle le jeune marié, Luc, à ses pieds. Il récupère la laisse et le hisse sur ces ses pieds. Il m'appelle près de lui et agrippe mes couilles.
Monsieur Pierre nous entraîne ainsi le long du couloir, moi complètement nu, les mains sur la tête, le sexe érigé et les testicules enfermés dans le poing d'un autre homme et Luc, le jeune marié, en grand costume, le sexe enfermé dans une cage et tenu en laisse par ce même homme. Ce voyage est aussi terrible qu'excitant, être promené ainsi dans une maison inconnue est si humiliant.
Monsieur Pierre nous mène jusqu'à une grande chambre où il nous fait déplacer quelques meubles avant d'installer une table juste devant le grand lit. Tandis que nous sommes au travail, concentrés dans nos déménagements, je bondis d'horreur lorsque j'entends une voix féminine derrière moi. Par réflexe, je cache immédiatement mon sexe tendu et toujours dégoulinant avant de me retourner pour apercevoir la jeune mariée. Toujours vêtue de sa robe blanche, elle a une mine ravie et ne semble pas du tout surprise. Cela n'inquiète. Monsieur Pierre nous rappelle à l'ordre pour les préparatifs de je ne sais pas quoi, mais tout à l'air d'être prévu.
Monsieur Pierre ordonne au jeune marié de se dépouiller. Le garçon s'exécute sans broncher, visiblement habitué à ce traitement. Je me prépare à assister éventuellement à leur nuit de noce. Mais il n'en est rien. Monsieur Pierre m'ordonne de ligoter Luc sur la table. Le garçon s'est déjà placé de lui-même, debout sur le coté de la table, penché par-dessus et les bras étirés de l'autre coté, face au lit. Je n'ai plus qu'à encorder ses chevilles, puis ses poignets sous l'œil attentif de mon maître. Monsieur Pierre vérifie les liens et demande mon aide pour rectifier la position de la table et l'aligner parfaitement avec le lit.
Tandis que Monsieur Pierre m'aide à sortir une grosse boîte de l'armoire, je peux apercevoir la jeune mariée en sous-vêtements en train de lubrifier le cul de son mari. Je sens une inquiétude et une excitation monter en moi. Monsieur Pierre ne fait placer la lourde caisse dans l'alignement de la table, à un mètre derrière le postérieur offert et maintenant bien graissé. Je ne comprends pas bien la situation et mon imagination débordante me fait de plus en plus frémir d'excitation.
La jeune mariée s'est maintenant installée sur le lit. Elle observe les mouvements et se caresse tendrement sous l'œil attentif de son jeune époux. Je peux sentir la frustration et le plaisir du mari soumis. Monsieur Pierre me place juste derrière cet homme résigné. Il agrippe fermement mon sexe et le glisse progressivement entre les fesses de Luc. Une fois le trou ouvert, Monsieur Pierre m'impose de rester dans cette position. Ensuite, je sens mes chevilles fixées à celles de l'homme qui m'est offert. Je me prépare ainsi à assister à un merveilleux ébat de deux amants mais Monsieur Pierre me bande les yeux, il couche mon corps sur celui du futur mari cocufié et ligote mes poignets aux siens. Cette situation est imprévue pour moi mais je me délecte déjà de cette belle enculade.
Le bruit autour de moi me faire reprendre conscience de cette étrange caisse. Plus le temps passe, plus une inquiétude s'installe. Je sens les mains de Monsieur Pierre presser fermement mon corps. Quelques puissantes fessées, puis je peux sentir ses doigts travailler mon cul et le graisser. Je ne sais pas à quoi m'attendre mais je reste concentré pour garder mon gland à l'entrée du portillon de Luc. J'entends un doux ronronnement, puis je sens une présence contre ma rosace. Je réalise que ce contact n'est pas très humain et je comprends que je vais me faire pénétrer longuement par une machine, me voici pris en sandwich.
L'attente est infernale. Finalement, je peux distinguer des caresses, des embrassades, des baisers venant directement en face de moi depuis le lit. Je peux sentir la rage dans le corps en dessous de moi. Chacun de ces moindres mouvements amène mon sexe à entrer en lui comme je ne peux pas reculer au risque de me retrouver pénétré moi-même. Les bruits s'intensifient et je sens un mouvement presqu'imperceptible contre mon anus. Chaque fois que je veux m'y dérober, j'envoie mon dard vers l'avant et je sens l'anneau du jeune marié refuser l'entrée. Cette contre-réaction m'amène à me reculer et, dès lors, je me fais moi-même violé par cette mécanique intraitable. Cette succession d'actions et de réactions provoquent un mouvement de va-et-vient non souhaité pour chacun de nous deux.
Comme les bruits sur le lit s'intensifient, je peux sentir la nette progression, la puissante avancée de la machine derrière moi. Plus elle avance en moi, plus j'avance en Luc et plus il me repousse, plus je me recule sur cette solide tige artificielle. Mon cul est dilaté et j'estime, maintenant, ma queue à moitié dans le chaud canal du mari maintenant cocufié. Complètement aveuglé, je maudis cette situation, incapable de jouir du spectacle, refusé de servir Monsieur Pierre. Il ne me reste qu'à imaginer la scène; la jeune mariée partageant son lit pour une nuit de noce avec un divin amant qui la comble démesurément, un mari soumis et résigné qui est obligé d'assister à la chaude scène juste sous ses yeux, incapable de réagir, obligé de l'accepter pour son plaisir ou pas et, pire encore, tandis que sa virilité est anéantie dans une cage, il est enculé par un étranger, peut-être pour la première fois. Et moi, commandé par un appétit sexuel insatiable, dirigé par un sexe jamais satisfait, aveuglé par la recherche de beaux hommes pour me soumettre à leurs fantasmes, à mes fantasmes, je me retrouve ligoté, impuissant, subjugué sous le charme d'un dieu, obligé d'enculer un pauvre homme et de me faire moi-même violer par une machine. Je suis en rage, mais tout aussi excité et cette puissante stimulation incontrôlable prend rapidement le dessus comme je force le mouvement au-delà du raisonnable, pénétrant violemment le cul de la victime et m'empalant tout aussi violemment sur cette machine insatiable. La force des ébats amoureux me contamine. Je deviens fou, affamé de sexe, assoiffé de plaisir pervers.
Sur le lit, les mouvements s'intensifient, les gémissements grandissent, l'apogée approche, la mienne aussi. Ma nature soumise attend le signe pour la jouissance. De puissants cris non étouffés me disent que l'orgasme est atteint et que je suis permis de gicler ma charge dans ce trou peut-être vierge. Mon plaisir est intense comme, jets après jets, je remplis ce soyeux canal de ma chaude semence.
Épuisé, je m'effondre sur ce corps résigné, attendant d'être rapidement libéré de mes entraves. Mais la délivrance ne vient pas. J'entends les amoureux sortir du lit et s'éloigner. Je les entends prendre une douche ensemble avec un amour et une tendresse continue. Le plaisir fait place à la douleur, la douleur dans ma hampe qui, devenu super sensible, est toujours la prise de cet orifice crispé, la douleur encore plus intense dans mon trou impitoyablement pilonné par une machine. Je veux crier, je veux hurler ma colère mais rien ne sort. En fait, je suis tout aussi soumis que l'homme que j'ai pénétré. Malgré cette humiliation, l'intense douleur actuelle, l'image de ce divin amant qui ne fut pas le mien ramène le calme et la paix à l'intérieur de moi et je lui en suis reconnaissant. Je l'admire pour ce qu'il est, pour ce qu'il a fait de moi et j'aimerais tant le servir encore.
Il est un vrai maître et je voudrais être son vrai serviteur. Je me sens prêt à tout pour lui, mais voudra-t-il de moi? Cette effroyable dans mon cul, cul qui pourrait être sien et cette intense douleur dans ma queue, queue qui pourrait être sienne, sont des offrandes pour un espoir d'avenir avec lui, pour lui. Mais rien ne sert de me tracasser, c'est à lui seul de décider.

Alain

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