Leslie La53

Leslie LA53 – Laure, le journal intime – L’auto stoppeuse, suite et fin

Au bout de quelques clichés, Sandrine décida qu’il était temps de passer aux choses sérieuses et c’est la mini-jupe qui y passa en premier. Il lui a suffi de descendre la fermeture de sa mini-jupe, pour que celle-ci se retrouve à ses pieds.
Et là, je pu me rendre compte que je m’étais trompé tout à l’heure en supposant que Sandrine portait une petite culotte, car en fait, c’était un string, un string blanc qui soulignait sa chute de rein à damner le premier venu. De dos, il était difficile de détacher son regard de son cul magnifique qu’elle balançait lascivement avec plaisir devant mes yeux. J’avais vraiment besoin de toute ma volonté pour procéder aux réglages corrects de l’appareil photo.

Et puis arriva le moment où elle décide d’ôter son corsage, et d’une façon incroyablement sexy, elle déboutonna un à un les boutons de celui-ci, découvrant petit à petit sa merveilleuse poitrine. Ses seins étaient parfaits, d’un volume moyen, ils étaient hauts, les aréoles étaient de taille moyenne et de couleur assez foncée, bref, une paire de seins digne des modèles de magazines.
Ils bougeaient doucement au gré des mouvements que Sandrine imprimait à son corps. Je n’en pouvais plus. Quelques instants plus tard, elle fit glisser son string le long de ses longues cuisses, pour se retrouver intégralement nue hormis ses chaussures. Elle était épilée, ce qui donnait une sensation de netteté et de perfection.
Je me retrouvais en compagnie d’une bombe intégralement nue, alors que quelques heures plus tôt, je ne connaissais rien d’elle et que je rentrais avec ma solitude. Elle continua de m’émouvoir en prenant des poses de plus en plus sexy, pour finalement devenir carrément obscènes.
Puis elle me demanda d’immortaliser sa petite chatte qu’elle caressait nonchalamment, alors dans un souffle, complètement hors de moi, je lui dis :
- Je pense qu’on va en rester là, sinon je ne réponds plus de rien, car je vais difficilement pouvoir me retenir de te sauter dessus.


- Mais qu’est-ce que tu attends pour le faire ?

Il ne m’en fallait pas plus pour me lancer, mais Sandrine fut plus rapide, la peur que je ne me dérobe peut-être, mais elle joignit le geste à la parole et m’ôta mon chemisier avant de se lover dans mes bras en me souriant avant de m’embrasser.
Elle embrassait remarquablement bien, jouant de sa langue, mais sans me l’enfoncer entièrement dans ma bouche et je me sentis mouiller abondamment.
Je cru franchement que je n’allais pas pouvoir me retenir et que j’allais vraiment lui sauter dessus sur le champ, je luis ai caressé les fesses, le bas du dos et elle ronronna en se montrant docile.
Puis fixant son regard dans le mien, elle s’agenouilla lentement et détacha mon jeans. Elle me l’ôta et fit glisser mon string le long de mes cuisses pour dévoiler ma chatte frémissante de désirs.
Sa belle bouche pulpeuse était à dix centimètres de mon intimité, et elle attendait...
Je n’en pouvais plus et la suppliais de faire quelque chose, alors, ne lâchant pas mon regard du mien, elle avança doucement son visage et ses lèvres touchèrent mon sexe et elle commença à la vulve du bout de sa langue.
La caresse était délicieuse et à la fois j’avais envie qu’elle aille plus loin. Mon excitation était rene par le fait qu’elle me regardait toujours, puis elle ferma les yeux et enfin enfoui sa tête le plus possible entre mes cuisses et commença à me bouffer la chatte.
Je ne pus, plus longtemps, retenir mes gémissements et m’emparant de sa tête, je l’ai pressé contre mon intimité.
Elle m’a fait jouir de sa bouche, puis se fut à mon tour de lui donner du plaisir, la tête sur ses seins, alors que je commençais à la butiner, elle me dit :
- Doucement. Je suis très sensible.
Je sentais les pointes de ses seins se dresser, devenir énormes et très dures. Je continuais par mouvements circulaires à effleurer ses pointes de la paume de mes mains. J’entrepris alors de descendre une main alors que l’autre s’attardait toujours à sa poitrine.
Je descendis lentement, pour finir par atteindre le pubis. Elle écarta d’elle-même légèrement ses cuisses et je lui massais le sexe. Ensuite, je m’attardais plus particulièrement à son clitoris. Il était très dur lui aussi, je le titillais, le pinçais, le caressais, et elle se mordit les lèvres.
- Oh que c’est bon, dit-elle, vas-y. Ohhh, continue.
- Comme ça ?
- Oui, comme ça. Ohhh oui, encore, je vais jouir.
J’accélérais alors un peu le mouvement de mes doigts et lui pinçais en même temps la pointe d’un sein. C’est à ce moment que tout son corps eu un soubresaut et qu’elle émit un cri étranglé. Elle venait d’avoir son premier orgasme. Il lui fallut près d’une demi-minute avant qu’elle n’ouvre les yeux et alors elle me sourit.
- C’était incroyablement délicieux. Mais je n’ai pas l’intention de te laisser partir comme ça. Maintenant que j’ai trouvé quelqu’un qui sache me caresser et me procurer un bel orgasme, je compte l’utiliser jusqu’au bout.

Je me dis qu’il serait toujours temps de voir ce que signifiait jusqu’au bout dans sa bouche. Nous avons pris une douche et avons regagné la chambre à coucher.
Elle s’allongea sur le lit et je ne me fis pas prier pour venir m’installer à ses côtés. On recommença à s’embrasser avec passion.
- J’ai vraiment encore envie de faire l’amour avec toi.
L’entendre dire ça après l’avoir vue jouir avait provoqué chez moi une montée toute neuve de désir et j’avais bien l’intention de l’en faire profiter.
Pendant une bonne demi-heure, nous passâmes notre temps à nous caresser, à explorer les différentes zones de notre corps.
Puis, j’entrepris de m’attarder plus particulièrement à son entrecuisse, pendant qu’elle continuait à se masser les seins. D’abord, j’utilisais mes doigts, je caressais doucement ses lèvres intimes au travers desquelles je pouvais voir s’écouler une quantité impressionnante de mouille.
Sandrine était complètement inondée, au comble de l’excitation.
J’introduisis alors un doigt à l’entrée de son sexe et je commençais à l’enfoncer très doucement en y ajoutant un mouvement circulaire. Elle sembla beaucoup apprécier cette caresse, car elle se mit à gémir, puis à crier réellement.
Une fois mon doigt au fond, je le ressortis, toujours en le faisant tourner, puis je le renfonçais à nouveau. Mais cette fois, il était accompagné d’un second doigt.
Mon majeur et mon index, maintenant, gigotaient dans son sexe et Sandrine ne tenait plus en place. Je me mis à masser la paroi antérieure de son vagin et elle haleta de plus belle. Je retirais alors mes doigts et approchais ma bouche de son sexe ruisselant. Ma langue caressa doucement ce fruit mûr, offert et onctueux.

Je me régalais des sécrétions abondantes de Sandrine qui prouvaient toute son excitation. Je me rapprochais de son clitoris et lui administrais une caresse par petits cercles de plus en plus centrés sur son bouton de plaisir. Là, elle se mit tout bonnement à hurler de plaisir et j’eu une pensée pour la fenêtre de la chambre qui était restée ouverte. Mais peu importe, je ne pouvais plus m’arrêter la sentant au bord de l’orgasme. Ce dernier ne tarda pas et Sandrine après un hurlement plus intense que les autres jouit intensément, son corps se tendant comme un arc. Elle resta pantelante, mais je ne la laissais pas récupérer et repris mes caresses. Il ne lui fallut pas dix minutes pour qu’elle jouisse à nouveau. Je continuais ainsi un long moment. Sandrine enchaînait orgasme sur orgasme. De plus en plus rapprochés. Jusqu’à ce qu’elle me dise :
- Arrêtes, je t’en supplie, je n’en peux plus, je suis épuisée.

Je l’avais amenée là où je voulais. C’est le moment que je choisis pour enfin la faire profiter du gode-ceinture que j’avais repéré trainant sur sa commode, elle n’attendait certainement que ça, sinon pourquoi laisser un tel objet trainer à la vue de la première venue.
Je m’arnachais et m’allongeais sur elle, puis la pénétrais d’une seule et longue poussée.
Je lui ai enfoncé le gode sans aucune difficulté et quel plaisir que d’enfoncer ce pal dans cette superbe fille, qui avait les traits déjà ravagés par ses précédents orgasmes. Pour elle, ce fût tout aussi extraordinaire, une vague de plaisir sans précédent l’envahit et elle jouit une fois de plus en feulant comme un petit animal blessé.
Son nouvel orgasme me fit jouir et j’ai senti mes cuisses s’humidifier tout de suite.
Une fois un peu calmée, j’ai recommencé à lui faire l’amour par de lents va-et-vient, profond, elle gémissait sans cesse et lorsque j’accélérais le mouvement, elle criait de plus belle, sans pouvoir se contrôler.
- Ohhh, qu’est-ce que c’est bon, je vais mourir de plaisir, j’adore !
A force d’accélérer, je déclenchais un nouvel orgasme, qui fut tellement intense qu’elle perdit connaissance quelques instants. Quand elle revint à elle, je l’embrassais tendrement. Elle entrouvrit les lèvres et sa langue vint à la rencontre de la mienne. Nos salives et ses sécrétions se mélangeaient en un parfum subtil et excitant.

Elle était à bout. Elle se mit sur le ventre et sombra rapidement dans le sommeil. Moi, j’en profitai pour la contempler, une vraie bête de sexe, une amante extraordinaire et d’une beauté.
Mon regard s’attarda à ses fesses et je me mis à les caresser. Elles étaient incroyablement fermes, lisses, parfaites. Je m’attardais alors à son petit trou du cul, qui frémissait lorsqu’on faisait mine de le forcer.
Cela me donna de mauvaises pensées et je commençais à ramener la mouille qui s’écoulait encore de son vagin, vers son anus. Très progressivement, j’enfonçais un doigt dans son cul et elle ne broncha pas, alors je commençais à la dilater lentement attentive à ses réactions…
Voir cette fille qui se laissait doigter le cul sans frémir par une quasi-inconnue me fit rapidement mouiller. Je continuais de la préparer longuement, sans qu’elle ne fasse mine de se réveiller. Maintenant, mon doigt coulissait dans son cul aussi facilement que dans son sexe. Elle dormait toujours, ou faisait semblant, car j’aperçu tout de même que ses fesses faisaient de petits mouvements pour venir à la rencontre de mon doigt.
À mon avis, ce n’était pas la première fois que Sandrine se faisait sodomiser ou le faisait elle-même à l’aide du gode, alors, toujours équipée du gode-ceinture, je m’allongeais doucement sur elle et après quelques aller-retour dans son sexe encore tout dilaté, j’approchais le pal de son anus.
Doucement, mais fermement, je m’enfonçais au plus profond de ses fesses, et là, elle poussa un cri déchirant, alors ne bougeant plus, je lui demandais :
- Tu as mal ?
- Tu plaisantes, je n’ai jamais éprouvé autant de plaisir.
- C’est le genre de chose que tu aimes d’ordinaire ?
- Un peu tard pour me le demander, mais crois-tu que je ce gode est là pour la décoration, non je m’en sers souvent, mais certes tu es la première à l’utiliser sur moi et c’est la première fois aussi que je me fais sodomiser.
Je n’en revenais pas, j’avais l’honneur de prendre le cul de cette splendide fille et j’étais la première.
- On ne te l’a jamais proposé ?
Elle sourit.
- Tous les mecs avec qui j’ai baisé m’ont suppliée d’accepter.
- Ça ne m’étonne pas, tu as un cul qui semble fait pour ça.
- Il y a longtemps que je veux le faire, mais je voulais quelqu’un qui sache s’y prendre, et je pensais bien qu’une femme serait mieux le faire qu’un homme…
- Mais pourquoi moi, tu me connais à peine.
- Parce qu’aucune femme ne m’avait jamais aussi bien fait l’amour et aussi bien fait jouir que toi.
Je me remis doucement à bouger en elle, et elle à hurler son plaisir.
- J’adore. C’est incroyablement bon, mon cul est à toi, sodomises-moi comme une reine !
Comme si les reines se faisaient toutes enculées, enfin…
- Encules-moi. Ohhh, oui. J’adore, j’ad…
Elle se mit à pleurer tant les sensations étaient délicieuses. Je la ramenais bien à quatre pattes et continuais de la sodomiser, longtemps…

Elle jouit peu près en même temps en continuant de pleurer, quelle fille incroyable, Sandrine s’était révélée être une affolante amante, sous ses airs de bonne famille.
On reprit ses esprits dans les bras l’une de l’autre.
La pendule du salon sonna les coups de dix-huit heures et Sandrine sembla retomber sur terre.
- Oh déjà ! Vite, il faut que tu partes.
- Pourquoi si vite ?mes parents.
- Tes parents ?
- Oui, ceux de la photo.
Elle se pinça les lèvres.
- En fait, ils viennent me rendre visite souvent, tu ne m’en veux pas de te renvoyer ainsi ?
- Non, mais j’avais envie de prolonger le moment avec toi.
- J’avais envie de sexe, ça m’arrive parfois, alors je fais du stop, mais comme je suis lesbienne, je refuse les hommes, les mecs qui sont d’accord pour me baiser, ce n’est qu’au cas où je ne trouve pas de femmes, mais mes parents me pensent encore vierge…
En fait elle était encore plus vicieuse que je ne le pensais, elle a rajouter :
- Reviens demain, mon cul te le demande !
- Alors à demain !
Elle m’embrassa tendrement et nous nous quittâmes.

Je suis retournée la voir le lendemain et plusieurs jours de suite, maintenant quand elle veut me voir elle vient à Paris.

A suivre…

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