Leslie La57

Leslie LA57 – Laure, le journal intime - Périple et aventures en train, de Toulouse à Nice, l’inconnu, suite et fin

Il s’est approché un peu, oh pas beaucoup car c’est vraiment tout petit un compartiment-couchette… J’étais toujours assise, le soutien-gorge baissé et le string à mi-cuisses, dans la position où j’étais et là où il était placé j’ai compris son attente.
J’ai défais sa ceinture, défais le bouton et baissé sa braguette, son pantalon est tombé à ses pieds découvrant un joli slip taille basse que je me suis empressée de baisser et à son tour il s’est retrouvé le slip à mi-cuisse…
J’ai découvert son sexe, exactement comme mes fesses me l’avaient décrit. Pas très long, mais épais et en pleine érection. Je l’ai pris dans mes mains et je l’ai décalotté, découvrant le gland gorgé de sang.
J’ai commencé à le masturber, les yeux dans les yeux jusqu’à ce qu’il les ferme, s’abandonnant à son tour au plaisir que j’avais envie de lui donner. Ses mains sont venues se poser sur ma nuque, et j’ai commencé à parcourir son sexe avec ma langue, m’attardant sur son gland avec la pointe de ma langue. Je suis doucement descendue sur la hampe, la couvrant de doux baisers. J’ai pris ses testicules tour à tour dans ma bouche et je suis remontée sur la hampe mais cette fois en la parcourant de ma langue.
Revenu au gland, je l’ai couvert de salive avant de le prendre entièrement dans ma bouche. Pendant ce temps, j’avais glissé ma main entre ses cuisses et je titillais son anus avec mon majeur. J’ai pris son sexe entièrement dans ma bouche et j’ai commencé à aller et venir. J’ai levé les yeux pour croiser de nouveau son regard, mais ses yeux étaient fermés et j’ai senti qu’il s’abandonnait entièrement à ma caresse.
J’ai continué, poussant son sexe de plus en plus loin dans ma gorge, j’avais envie de le sentir loin en moi, j’avais envie de lui rendre le plaisir qu’il m’avait donné en me caressant.

J’ai mouillé mon majeur avec la cyprine qui continuait à couler de mon sexe et doucement, j’ai commencé à pénétrer son anus, après une petite résistance, il s’est laissé aller.

J’ai alors senti son sexe se durcir encore et j’ai su qu’il allait bientôt éjaculer.
J’ai continué à pénétrer son anus, son membre maintenant planté tout au fond de ma gorge et j’ai senti qu’il venait, ses mains ont appuyé plus fort sur ma nuque mais pour rien au monde je n’aurai voulu qu’il éjacule autre part qu’au fond de ma gorge. Je voulais sentir son sperme inonder ma luette et boire sa liqueur jusqu’à la dernière goutte.
Et je l’ai senti s’épancher en moi, loin dans ma gorge, son sexe palpitait, et j’ai eu l’impression qu’il n’en finissait pas de jouir. Je sentais son sphincter se serrer et se desserrer autour de mon doigt en même temps que les jets de sperme arrivaient dans ma gorge.
J’ai moi aussi joui en même temps que lui, cuisses largement ouvertes, son sexe encore dans ma bouche et mon doigt toujours planté en lui.

Il s’est de nouveau appuyé de dos contre la porte, le souffle court, le regard hagard, le pantalon toujours baissé sur ses chevilles. Je me suis levée et je suis venue me coller contre lui. De nouveau son regard, de nouveau son sourire…
J’ai pris sa tête dans mes mains et je l’ai embrassé à pleine bouche, passionnément et il m’a rendu mon baiser avec la même fougue. Son sexe un instant fatigué a repris de la vigueur et je l’ai senti remonter entre mes jambes.
Nous avons fait un brin de toilette et nous nous sommes habillés de façon légère pour aller boire un verre au wagon restaurant, le voyage ne faisait que commencer et la nuit allait certainement être longue…
De retour une petite demi-heure plus tard dans notre compartiment, il m’a plaqué contre la porte, m’a débarrassé de ma jupe puis de la veste de mon tailleur, mon chemiser et mon soutien-gorge ont suivi. En string devant lui, il s’est baissé pour l’enlever complètement et en se relevant, il a déposé des baisers sur mon pubis glabre. J’étais maintenant quasiment nue devant lui, n’ayant plus que mes dim'up et mes chaussures à talon, il s’est un peu reculé et m’a regardé et m’a dit :
- Vous êtes vraiment belle et j’ai envie de vous, je vais vous prendre !
- Moi aussi, j’ai envie que vous me preniez, de vous sentir en moi !
Il s’est déshabillé et alors que nous étions tous les deux nus dans ce petit espace, il est revenu se plaquer contre moi, j’étais toujours dos à la porte.
Il m’a pris par la taille et sa main droite s’est posée à l’intérieur de ma cuisse remontant vers ma vulve.

J’étais toujours aussi trempée, une vraie fontaine et ses doigts n’ont rencontré aucune difficulté pour envahir ma grotte. Il m’a caressé un peu le clitoris, j’avais noué mes mains dans son dos et je le maintenais serré contre moi. Il a alors passé son bras sous ma jambe gauche et l’a soulevé puis il a plié les genoux et j’ai senti son sexe battre à l’entrée du mien.
C’est d’une seule poussée qu’il m’a pénétrée, loin, j’ai senti son gland atteindre ma matrice. Il remplissait bien ma grotte, il était vraiment bien proportionné à mon sexe.
Une fois bien plantée sur son sexe, j’ai commencé à lever ma jambe droite pour la nouer avec l’autre dans son dos. Il était vraiment très fort et avait glissé ses deux bras derrière mon dos, toujours appuyé contre la porte, pour me soutenir. Dans la petite glace, je voyais maintenant ses larges épaules, mes jambes gainées de nylon et mes chaussures à talon dans son dos.
Je me sentais comme un insecte épinglé sur une planche. Je sentais qu’il me soulevait sans effort, et il est resté un moment sans bouger avant d’entamer un lent va-et-vient à coup de reins puissants.
J’aime ces pénétrations lentes où je sens bien le frottement du sexe de mon partenaire sur mes muqueuses, j’aime être possédée de cette façon. Et lentement, le plaisir est de nouveau monté en moi, m’envahissant, me faisant frissonner.
Il a senti que j’étais au bord de l’explosion et il a encore ralenti ses pénétrations allant de plus en plus loin dans mon sexe consentant et ressortant presque complètement avant de revenir encore plus loin.
J’étais écartelée par ce sexe que je désirais et qui allait me faire jouir et le plaisir est arrivé, fort, très fort, je n’ai pas pu me retenir de crier et mon corps s’est mis à trembler.

J’ai fini par dénouer mes jambes du dos de mon partenaire, pour les reposer par terre et il s’est retiré, le sexe toujours en érection.
Je tremblais de partout et s’il ne m’avait pas retenue, je crois que je serais tombée. Mais je savais qu’il n’avait pas joui se retenant peut-être pour me donner un maximum de plaisir, d’ailleurs j’en ai eu la confirmation quand il a dit :
- Je me suis retenu, pour votre plaisir, mais maintenant je vais vous prendre par derrière si vous êtes d’accord.
- Oui, j’en ai envie.
Je me suis libérée de ses bras et je me suis appuyée des deux mains sur la couchette, ainsi je lui présentais ma croupe avec toujours les dim'up et les chaussures à talons, je savais que dans cette position, j’étais infiniment désirable, mais aussi terriblement provocante.
Il est venu derrière moi et j’ai senti son sexe se lover contre mes fesses et il a empoigné mes seins de ses deux mains, me faisant frémir. Alors j’ai pris son sexe en main et j’ai commencé à l’introduire dans mon vagin. Il est entré doucement mais bien au fond et il s’est arrêté de bouger.
J’ai tourné la tête pour voir ce qu’il faisait et il m’a dit de sa voix envoûtante :
- Vous êtes merveilleuse !

Aussitôt, j’ai senti sa main qui recherchait ma cyprine sur mes cuisses puis son pouce venir masser doucement mon petit trou, il a recommencé l’opération plusieurs fois jusqu’à ce que mon anus soit bien lubrifié et il a commencé à me pénétrer avec son majeur, son sexe toujours fiché au fond du mien.
Son doigt est entré lentement mais sûrement, je sentais son sexe et son doigt à l’intérieur de moi, sensation voluptueuse s’il en est. Et j’ai senti dans mon fondement que son doigt faisait de petits mouvements de rotation pour assouplir mon sphincter.
Il a ressorti son majeur pour le remplacer par deux doigts, certainement le majeur et l’index. Je ne bougeais pas, tout entière à cette sensation d’être prise par mes deux trous à la fois, mais je sentais mon anus maintenant très distendu.
Il a retiré ses doigts de mon cul et s’est collé à mon dos, a repris mes seins dans ses mains et m’a dit dans l’oreille :
- Maintenant, belle inconnue, je vais vous sodomiser car vous n’attendez que ça !
- Ohhh, oui, sodomisez moi à votre aise car j’ai envie de vous sentir dans mon cul, et inondez-le de votre jouissance !

Il s’est alors retiré, lentement, comme il m’avait pénétré et c’est avec un léger bruit de succion que nos sexes se sont séparés.
Tout de suite après, j’ai senti son gland appuyer sur ma rondelle et y pénétrer d’une seule petite poussée. Il est resté comme ça sans bouger avec seulement le gland engagé.
- Vous aimez ?
- Oui, venez doucement, pénétrez-moi et prenez votre temps à me posséder de cette façon.
Il a alors recommencé à pousser et petit à petit son sexe est entré à fond en moi. J’ai senti ses testicules tout contre mes grandes lèvres. J’étais bien, un sentiment de plénitude m’a envahie, je sentais les mains puissantes de mon partenaire sur mes hanches.
J’étais maintenant sa chose, son objet de plaisir, j’étais heureuse d’être prise par derrière, sodomisée comme une chienne par derrière, d’être sa petite enculée.
J’avais les jambes écartées, le sexe trempé qui dégoulinait entre mes jambes et le cul écartelé par cet homme qui allait jouir en moi.
Il a alors commencé à aller et venir, ressortant complètement pour mieux pénétrer au fond de mes entrailles par des poussées puissantes. Je sentais son sexe dur, gonflé, frotter à l’intérieur de moi et je me suis mise à gémir tellement c’était bon.
Mes jambes tremblaient et à chaque coup de boutoir, je répondais en tendant mes fesses et en creusant les reins pour qu’il puisse aller le plus loin possible chercher son plaisir. J’ai senti son sexe gonfler encore et j’ai senti que son plaisir était tout proche.
J’ai contracté mon sphincter le plus possible afin de l’enserrer et il a dit :
- Ohhh, vous êtes une belle vicieuse et vous savez vous servir de votre cul !
- Venez, venez encore plus loin, prenez-moi comme une femelle !

Et je l’ai senti se répandre dans mon cul. J’ai senti les longs jets de sperme m’inonder. Cela a déclenché un orgasme extraordinaire. J’ai été prise de tremblements de tout mon corps et j’ai hurlé mon plaisir sans retenue. Un orgasme puissant, comme un ouragan qui emporte tout sur son passage. Je ne savais plus où j’étais, j’étais prise comme dans un étau par mon partenaire enfoncé au plus profond de moi, ses mains puissantes sur mes hanches. J’ai senti les derniers soubresauts de son sexe qui finissait de se répandre en moi. Puis il s’est couché sur mon dos et a commencé à m’embrasser doucement dans le cou, à la limite des petits cheveux puis sur mes épaules.
Il s’est retiré doucement, je me suis redressée, à nouveau, il m’a prise dans ses bras et nous nous sommes embrassés passionnément.
- Vous êtes une femme vraiment extraordinaire, vous m’avez donné un plaisir infini.
- Et vous êtes un amant merveilleux, je ne compte pas le nombre d’orgasmes que vous m’avez donnés.
Nous nous sommes endormis, nus, l’un contre l’autre, mais dans la nuit, il m’a une nouvelle fois sodomisée.

Au petit matin, nous n’avions que peu dormis, trop occupés à nos plaisirs et nos corps en ressentaient les effets.
- Il va falloir nous séparer, le temps passe si vite, rhabillons-nous, me dit l’homme dont je ne connaissais même pas le prénom.
- Oui, il va être temps.
- Restons des inconnus d’une relation d’un moment unique, dans le secret de nos mémoires, et n’essayons pas de nous revoir, gardons un souvenir qui restera exceptionnel puisque unique et ne le gâchons pas par la routine comme des amants transis…
- Vous avez raison, mais ce n’est pas sans un pincement de cœur que je vais vous quitter.
J’ai commencé à me rhabiller mais au moment de remettre mon string, il a arrêté mon geste en disant :
- Si vous permettez, je souhaiterais la garder en souvenir.
- Mais bien volontiers !
Et je la lui ai donné, il l’a mise dans la poche de sa veste, et une fois habillés nous nous sommes embrassés une dernière fois, fort, serrés l’un contre l’autre et nous sommes sortis du compartiment.

Le train venait de s’immobiliser et nous sommes descendus sur le quai où nous nous sommes séparés. Très vite, il n’est plus resté de cette merveilleuse aventure qu’un costume gris qui s’éloignait au milieu de la foule, alors j’ai marché sur le quai, la tête baissée.
Entre mes pensées et le vide de l’instant, seul le léger courant d’air sur mon pubis nu, me rappela cette rencontre.
Mon amie sur le quai est venue à ma rencontre et j’ai failli ne pas le voir.
- Ça va, tu as fait bon voyage ?
- Très bon, merci.
- Tu as l’air fatiguée
- Oui, le voyage est fatiguant et j’ai peu dormi !

Si elle savait ce que j’ai fait durant ce voyage !
Mais pourquoi vouloir toujours tout expliquer, les secrets ne doivent jamais être dévoilés, sinon ce ne serait plus des secrets.

A suivre…

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