Leslie La54

Leslie LA54 - Laure, le journal intime - Le routier

Ce jour-là, à la fin de l’été, j'étais à la station-service en fin de journée, rentrant de deux semaines de vacances en camping-car, nous étions parties avec deux copines et après un séjour en Espagne, sur la côte méditerranéenne, dans le parc naturel de la sierra de Irta, je les avaient déposées à Perpignan et elles étaient rentrées chacune de leur côté et je remontais seule à Paris.
Je faisais tranquillement mon plein, sur l’aire de Montélimar sud, avant d’aller me reposer pour la nuit.
Une fois de plus ma présence dans ce genre d’endroit, avec un camping-car, ne passait pas inaperçue, habillée d’une mini-jupe rose et d’un débardeur rouge, moulant parfaitement ma poitrine nue, légèrement maquillée, ma féminité et mes formes étaient largement mises en évidence et attirait nombre de regards.

Voilà, je suis face à mon camping-car et je sens les regards se poser sur moi, je me retourne et je vois mon voisin de pompe me regarder avec des yeux d’envie, étonné certainement de voir une frêle jeune-fille faire le plein d’un tel engin, il faut dire qu’avec le Bürstner ixeo plus it 724 couleur champagne que m’avaient passés mes parents, je ne pouvais guère passée inaperçue.
Mais ce qui m’attire le plus c’est ce camionneur qui sort de la boutique, un mètre soixante-dix, brun et baraqué, les yeux marron, un visage agréable, il me regarde et me sourit en disant :
- Bonsoir, créature de rêve…
Je lui souris également et lui renvoi le bonsoir.
Mon plein terminer, après avoir payé, je remonte dans ma voiture et pars m'installer sur le parking camions, les places sont plus grandes et c’est plus pratique pour y passer la nuit, près des camions.

La conduite de la journée m’avait épuisée, mais la journée était enfin terminée, j’allais pouvoir me mettre à l'aise et prendre une bonne douche dans mes appartements roulants.
J’étais d’humeur coquine ce soir-là, il faut dire qu’avec les copines nous avions bien des deux semaines au soleil.


Une fois garée, j’ai tiré les rideaux sans pour autant les fermer complètement, au milieu de tous ces gros camions je me sentais coquine et espérait qu’un routier en profite pour me regarder.
Je me sentais exciter de montrer mon corps et de ma laisser aller à ce petit côté exhibitionniste, espérant exciter un de ces camionneurs…
Donc, une fois les rideaux tirés, je défait ma mini-jupe et mon débardeur et me retrouve en string dans mon habitacle douillet et cosy, je vaque un peu ainsi allant et venant dans cet espace restreint, me penchant de temps en temps pour chercher des choses dans les placards bas en restant face à l' entrebâillement des rideaux, en espérant qu’un regard indiscret me regarde…

Je suis de plus en plus chaude, j’en rajoute un peu en écartant les jambes et en me baissant à nouveau, exposant ainsi le mieux possible mon anatomie.
Puis je me redresse et face aux fenêtres, je caresse un peu mes seins et joue avec mon string en le remontant un peu plus sur mon ventre, il pénètre entre mes lèvres, j'avoue adorer cette légère sensation de brûlure qui me met dans tous mes états.
Mes tétons sont devenus maintenant érigés et bien durs sous mes caresses, je les roules entre deux doigts en les serrant un peu...
Et puis mon string est de trop je le retire et je me retrouve nue et complètement chaude, et il est temps de passer sous la douche.

Pendant que je prends ma douche, tout en continuant de me caresser, je pense que si quelqu’un me mate, il doit entrevoir ma silhouette au travers des vitres de la douche et se faire son cinéma.
En sortant, après m’avoir sécher, j’ouvre le coffre où je range mes godes et je sors mon gode anal, puis je m'allonge sur mon lit permanent, au fond du camping-car, face au pare-brise du véhicule, ont les rideaux sont aussi entrouverts…

Allongée, nue, je me caresse et très rapidement j’enfonce le gode anal au plus profond de mon antre intime et je commence à prendre du plaisir, lorsque l’on frappe à la porte du camping-car.

Quelqu'un m’aurait-il vu ? Et voudrait profiter de la situation !
J’enfile vite fait une tunique, je tire le rideau et, je vois mon charmant routier de la station à l’extérieur, devant la porte, j’ouvre la fenêtre et toujours avec son petit sourire il me demande :
- Re-bonsoir, tu te souviens de moi ?
- Oui, bien sûr ! Que je lui réponds.
Et il poursuit :
Ça te dirait que l'on mange un morceau ensemble ce soir ? A moins que je te dérange ?
La dernière question me fait sourire, alors je lui réponds :
- Ok, le temps de passer quelque-chose et je te suis.
- Pas de soucis, me répond-il.
Je referme le rideau, il est séduit, ça se sent, rapidement je change de tunique pour une plus jolie et plus décolletée. Je néglige le soutien-gorge pour laisser voir l’érection de mes tétons au travers du tissu de la tunique, pas de string mais, le legging noir pour mouler mes formes et faire sensation, des sandales…Et je sors.
Il m’attendait au pied de la porte, alors je lui lance :
- Ça y est je suis prête !

Nous partons en direction du restaurant, la conversation s'engage dès que nous sommes installés et je sens que mes tétons ne se sont pas calmés. Cet homme me plait beaucoup et j’ai en tête des scénarios dans lesquels il s'intégrerait parfaitement.
De plus j’ai surprit ses yeux sur ma poitrine et mes tétons tout durs, et j’ai comme le sentiment que ça lui a plu.
Pendant le repas nous avons une conversation tout à fait banale, il me parle de son boulot et moi de mes vacances, puis il m’a complimenté sur ma tenue, en ajoutant qu’il faisait des jaloux en étant en ma compagnie, puis il a enchaîné en disant qu’il avait adoré le petit show sur le parking après m’être garée...
Il m'a donc vu !
Je pense que j'ai rougi un peu, mais ça m’a confirmé qu’il n’était pas insensibles à mes charmes et savait que j’étais vicieuse, ça m’a beaucoup excité.
Après le café, je lui ai proposé de venir boire un verre dans mon camping-car, chose qu’il a accepté.


En retournant au camping-car, il m’a prise par la taille et au beau milieu du parking, il m’a retourné vers lui pour m’embrasser à pleine bouche, nos langues se sont mêlées et ses mains sont passées dans mon legging pour caresser mes fesses, je ne me suis pas défendue, lui faisant savoir que j’étais partante…
Dans l’habitacle, assis sur le canapé du salon, moi sur le siège passager retourné, les jambes croisées, il boit tranquille en me complimentant, il adore mes jambes et mes pieds ...
Puis il me demande si je peux retirer mes sandales, alors je m’exécute.
Il vient très vite s'agenouiller près de moi, prend mes pieds pour les dépose sur ses cuisses et les caresse, puis m’écarte doucement les cuisses et plonge la tête entre et commence à embrasser ma vulve au-travers du legging.
Tout en embrassant ma vulve, ses mains caressent mes jambes, puis elles s'attardent sur mes cuisses, tandis que d’un pied je caresse son sexe. Je sens son érection au travers de son pantalon et tout cela me semble prometteur...

Puis, je me lève et retire le legging et me plante devant lui la vulve nue à la hauteur de sa tête, il plonge dessus et sa bouche entre en contact avec mon intimité, et tandis qu’il reprend ses caresses sur mes fesses, j’en profite pour ôter ma tunique, me laissant apparaitre nue à ses yeux.
J’att sa tête et la plaque contre ma vulve pour l’obliger à me fouiller de la langue, il pousse un gémissement de plaisir, puis je sens sa langue s’attarder sur mon clitoris et donner de petits coups, plusieurs fois de suite.
J'ai repoussé sa tête et je me suis retournée, le laissant face à mes fesses, l’invitant en les écartant de mes deux mains à plonger à l’intérieur, me penchant en avant mieux m’offrir.
Sa langue s’est activée sur ma raie, puis sur mon anus, je me laissait aller sous ses coup de langue et empoignais mes seins, puis une fois de plus mes tétons, cette fois je les serrais fort entre mes doigts en tirant dessus.

Sa langue s'est attardée sur mon œillet, il me léchait le trou en écartant maintenant mes fesses de ses mains. Je gémissais sous ces langoureuses caresses anales.
Sa langue tournait autour de mon trou puis tentait de le pénétrer.
Ma chatte se liquéfiait à chaque coup de langue et j’appréciais les yeux fermé.
J’avais envie de son sexe qui demeurait toujours enfermé sous ses vêtements.
Je me suis aperçue que les rideaux n’étaient toujours pas fermés, ce qui a ajouté à mon excitation, je n'ai rien dit car je voulais que nous poursuivions nos ébats sous d’éventuels regards.
Je me suis redressée, il s’est mis debout et je lui ai dit :
- Déshabilles-toi !
Sans répondre il s'est exécuté et j'ai enfin pu découvrir un sexe bien droit, un gland proéminent, rouge et suintant d’envie.
Il s’est allongé sur le lit, les jambes pendantes au bord, et je me suis agenouillée au sol entre ses jambes. D’une main je caressais ses couilles pendantes, en les malaxant fermement et de l’autre main, j’ai dirigé cette queue bien dressée en direction de ma bouche.
J’étais avide de gouter sa queue, j'ai passé le bout de ma langue sur son gland en donnant un léger cou sur ce gland écarlate, sa tête a basculé en arrière, un frisson l’a parcouru et une de ses mains s’est glissée dans mes cheveux, m’intimant fermement de le prendre en bouche.
J’ai absorbé avec plaisir son érection, ma langue s’enroulait autour de sa queue, en même temps de faisais des va et viens pour apprécier l’intégralité de son membre.
Il goûtait aux joies de ma fellation en gémissant doucement.
A genoux entre ses jambes je le faisais frémir en le suçant, ma main tenais fermement son membre en effectuant des mouvements de rotation autour, tout en le branlant, avec ma bouche que excitait son gland.
Tout en gémissant, sa main dans mes cheveux m’imposait le rythme de ma bouche sur son membre, jusqu'à ce qu’il prenne ma tête dans ses mains et me ramène à lui.
Je me suis retrouvée à cheval sur lui et nos lèvres se sont jointes, mais en me reculant légèrement, son sexe est entré en contact avec ma chatte et il m’a pénétrée.
Je me suis complètement redressée sur lui il a attrapé mes seins, je montais et descendais sur son membre dressé et nous gémissions tous deux.
Nous nous regardions dans les yeux et avions certainement le même regard avide, avide de sexe et dans ses yeux, je lisais une envie de me prendre violemment tout aussi forte que la mienne.
Il m’a retourné sur le lit, une première fois pour me chevaucher un peu très traditionnellement mais très profondément aussi, puis, il m’a de nouveau retourné, mais là je me suis retrouvée à quatre pattes et il est venu se placer derrière moi et s' est enfoncé en moi avec force.
Je ne gémissais plus cette fois, je criais et lui demandais d’aller plus fort, plus vite et plus loin. Il a accédé à ma demande en poussant des râles de plaisir, je sentais ses mains agrippées à mes hanches me ramener à lui avec puissance pour me faire sentir ses coups de queue qui allaient me faire jouir.
Mes seins bondissaient à mesure qu’il me baisait comme un forcené, je n’étais plus qu’un pantin de chair au service d’un mâle en rut, il ne manquait plus que quelques mots crus pour que ce soit parfait, mais je n’ai pas eu besoin de lui demander, car l' instant d' après, il me disait :
- Petite pute, t’aime ça les grosses queues !
Il se déchaine dans ma chatte en m’insultant et en continuant :
- T’aime te faire baiser par ma grosse queue, hein, t’aime ça ?
- Ohhh oui, j’aime ça, je suis une pute, une salope, continue de me baiser, je suis ta salope, défonce-moi !
- Tu veux que je te baise, que je te défonce, ma salope, alors je vais te défoncer ton beau petit cul !
- Ohhh, oui défonce moi le cul j’adore ça !
Tout en continuant de me baiser, il enfonce d'abord un doigt dans mon cul et il sent que je suis accueillante, alors il fait quelques va et viens avec son doigt, puis présente sa queue à l’orée de mon œillet.
Il pousse un peu pour entrer lentement en moi et je sens son gros gland m’ouvrir. Après quelques petites poussées pour se frayer un chemin dans mon étroit conduit, il pousse d’un coup et me rentre sa queue de toute sa longueur en me faisant gémir.
Quelques aller retours et il reprend son rythme effréné, mais cette fois je hurle à chaque fois qu’il s’enfonce bien profond en moi.
- T’aime ça salope ? Me lance-t-il.
- Ohhh, oui, continue, c’est bon !
Il s’affaire dans mon anus, ses doigts se crispent sur mes fesses et je sens qu’il va jouir, mais trop heureuse de le sentir en moi, je ne lui demande pas de s’arrêter, mais je lui dis :
- Ohhh, oui, continue de ramoner mon cul de salope.
Sans se faire prier, c’est ce qu’il fait, en se crispant de plus en plus sur mes fesses, ses coup de rein deviennent plus violents jusqu'à ce qu’il se colle à moi en poussant un cri de jouissance digne d’un animal.
Il reste un moment comme ça, le temps de se répandre et me remplir les entrailles de son sperme, dans mon anus ouvert, puis il se retire délicatement et me fait écarter les jambes un peu plus et ouvre mes fesses.
Il regarde mon trou grand ouvert d’où s’échappe son sperme et il me regarde en se souriant et dit :
Toi, t’es une vraie salope !
Nos yeux se sont tournés en même temps vers le pare-brise, il faisait maintenant nuit, les rideaux étaient ouverts et la lumière de la cabine allumée et nous nous sommes aperçu que deux routiers n’avaient rien manqué du spectacle et étaient en train de se branler.
Il est partit sans que je connaisse son prénom, juste son pseudo sur le tableau de bord de son camion : « PAL69 ».

A suivre…

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