J'Ai Sodomisé Une Fille

Je suis surprise par la demande :
• Vous aimez les femmes.
Je pourrais répondre la vérité : un oui est vite dit. Je suis mariée et j’aime les autres femmes. Je réponds d’un signe de tête : oui.
Celle qui a posé la question est de mon âge : la quarantaine. Elle ne me déplait pas du tout. Je ne vais pas faire le premier pas. J’attends une suite.
• Vous me plaisez bien si vous vouliez, si vous acceptiez…J’aime seulement les femmes pour me caresser, en plus je suis très coquine.
Je suis tentée de répondre, de me donner même. Elle me fait envie. Je n’ose rien dire : je tends seulement ma main qu’elle prend dans la sienne. Elle m’entraine je ne sais où, dans un chambre en tout cas. Elle m’embrasse longuement : j’en suis toutes humide. Ses mains empoignent mes fesses. Je réponds de la même façon.
• Oui, continues, caresses moi sous la robe.
• Toi aussi.
Nos mains trouvent vite nos sexes. Si je suis mouillée, elle l’est sans doute encore plus. Je ne sais comment elle fait pour enlever la robe et la culotte. Je suis nue devant elle. Je voudrais la voir aussi. Sans que je le demande elle est nue aussi. Ses seins me narguent tellement ils sont durs, aux tétons pointus. Elle a posé son gros sac juste à coté du lit.
Elle me fait assoir sur le lit, face à elle. Sa tête passe des lèvres aux seins, au nombril, sur ma chatte. Je me laisse aller complètement sur le lit. Elle me lèche rapidement pour m’oublier aussitôt. Sa langue descend encore sur le périnée, puis lentement vers l’anus. Elle lèche délicatement le tour de mon cul. Elle me donne envie de connaitre sa langue dans le cul. Pourtant ce n’est pas ma partie préférée. En remuant les fesses, je lui fais comprendre que si elle la rentre je ne dirais pas non. Je sens son organe se durcir un peu, puis entrer facilement. Elle m’encule, moi une lesbienne pure et je trouve ça exquis. Je ne sais combien elle en met. J’en voudrais plus. Elle me comble quand elle met deux doigts dans le vagin.

Elle les fait coulisser dans mon ventre : c’est bon. C’est meilleur quand elle le pose sur le bouton. Je dois hurler de plaisir. Tout mon sexe et ses environs immédiats sont occupés et moi je commence à jouir : elle le sent bien, je le dis tout haut : elle continue.
• Tu aime bien te faire enculer ?
• C’est ma première fois ave une langue.
• Attends un peu tu connaitras pire tout à l’heure.
Je ne sais c qu’elle veut dire. En attendant je me laisse faire, je la laisse faire ce qu’elle veut. Elle continue puis arrête au prochain orgasme où elle vient sur moi en 69. Elle prend ma chatte en entier dans la bouche. Je lui faire pareil. Ma langue est sortie sur son clitoris. Je ne vois qu’à cet instant qu’elle a un plug énorme dans son cul. Son anus est totalement occupé. Le plug remue au même rythme que mes coups de langue. Il se resserre encore un peu quand je la fais jouir. Ca m’excite encore plus. Je jouis encore une fois.
Elle se couche près de moi, elle a récupéré un gode énorme dans son sac. Je ne pourrais jamais le supporter si elle veut m’enculer avec : je supporte à peine la queue de mon mari alors là ? Elle me le donne sucer. C’est bien pour lui faire plaisir que je le mets dans la bouche.
• Encules moi.
C’est une demande nette. Elle est sur le ventre, ses mains écartent ses fesses. Je voie sa raie. Et au fond, un petit trou sombre fermé par le plug.
• Enlève le plug doucement en le sortant.
C’est là que je dois aller poser le gode. Je crache sur l’anus : la salive s’y installe en mouillant pas mal l’orifice. Je pose le gode, je l’enfonce doucement, j’ai peur de lui faire mal.
• Vas y, enfonce, encule moi profond
Je reste surprise de la facilité de pénétration. Je ne force pratiquement pas. J’encule une femme pour la première fois. J’allais lui faire ce que je me fais quand mon mari honore mes fesses : elle me devance, je vois sa main sur sa chatte, elle se branle.
• Oui, continue, c’est bon je vais jouir, n’arrête surtout pas.

C’est vrai, elle jouit, je le vois en regardant son cul se fermer et s’ouvrir pendant son orgasme. Je n’arrête pas. Elle gémit beaucoup pendant son plaisir. Ma main libre est sur le bouton, le mien. Je me branle en cadence. J’arrive au bout de mes forces. Elle jouit encore un fois.
Elle m’oblige à me mettre sur le dos, les jambes ouvertes. Elle me lèche longuement la chatte et je sens que mon cul est en partie occupé. Elle m’encule aussi. Ce n’est pas le même plaisir qu’avec mon mari, c’est plus doux, plus fin. Pour accroitre mon plaisir elle me lèche également. Je la sens bouger, sans voir ce qu’elle prépare. C’est quand je suis pénétrée dans le vagin cette fois que je comprends ce qu’elle me fait.
Je n’avais jamais connu un tel plaisir avec les deux godes, un dans le con et l’autre dans le cul. Je voulais au début raconter mon aventure à mon mari : je ne cache jamais ce que je fais. Mais là, il risque de me demander d’en faire autant avec lui et un autre souvent.
Je suis lâche, j’ai dit à mon chérie ce que j’ai fait, ce qu’elle m’avait fait. Je ne connais pas la suite.

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