Jolie Soirée Avec Une Jolie Fille

Mon histoire prend place au début de l’été, quand la chaleur aidait encore les jolies filles à se découvrir un peu. Jeune femme de 23 ans moi-même, je commençais aussi à porter des shorts de plus en plus courts et des camisoles de plus en plus décolletées. Mes seins bien fermes étaient donc de plus en plus découverts. Du haut de mon 36DD, j’attirais bien des regards d’hommes, jeunes et vieux, ayant envie d’y aventurer leurs mains. J’étais, pour ma part, bien plus intéressée par la jolie brunette de l’épicerie du coin. Bien qu’elle ait affirmé à plusieurs reprises n’être intéressée que par les hommes, je sentais ses regards insistants sur mes fesses rebondies. Je l’avais même vue se mordiller la lèvre en lorgnant mes cuisses, un jour où je portais un short particulièrement court.
Un soir, après une longue journée de travail, je proposai à Sophie, la jolie brunette, de me raccompagner chez moi, pour une soirée tranquille. Je lui promis de bons cocktails, de la bonne musique ainsi qu’une place où dormir, si elle le désirait. Sophie finit par accepter, après quelques minutes de réflexion.
Je l’amenai donc vers ma voiture. Je la trouvais toutefois beaucoup trop habillée pour la situation. Je déclenchai donc le chauffage dans la voiture. Mon plan fonctionna et Sophie retira sa veste. Elle ne portait maintenant qu’un t-shirt, une petite camisole et des shorts très courts. Je montai le chauffage un petit peu plus, ce qui la poussa à retirer son t-shirt. Elle s’excusa de se découvrir autant, mais je la rassurai rapidement. Je pouvais maintenant admirer la forme de sa petite poitrine. Je pouvais deviner qu’elle ne portait pas de soutien-gorge, En tournant rapidement à une intersection, je dû freiner rapidement pour éviter une voiture. Par réflexe, je plaçai ma main sur elle pour la retenir. Accidentellement, j’empoignai de son sein. Je la senti frissonner. Je me dépêchai à la ramener à mon appartement. En arrivant, je lui demandai de se mettre à l’aise et l’avertit que je voulais mettre mon pyjama, pour être le plus confortable possible.

Elle cria rapidement à l’injustice, disant que je serais plus confortable qu’elle. Je l’amenai donc dans ma chambre et retirai mon soutien-gorge et mon short. Je ne portais maintenant qu’un string et une camisole transparente. J’invitai ma copine à faire de même, par souci de justice. Après un petit peu d’hésitation, elle finit par accepter. Je lui offris un cocktail pour la détendre. Je m’assurai toutefois d’y verser une bonne quantité de rhum.
Plus la soirée avançait, plus Sophie d’approchait de moi. Elle posait ses mains sur mes cuisses, dans mes cheveux et dans mon cou. Je la laissai timidement explorer ses parties de mon corps, puis guidai sa main vers l’intérieur de ma cuisse. Pendant que la mienne s’aventurait sous sa camisole. Elle me regarda avec des yeux suppliants et j’empoignai ses seins à pleines mains. Je pris le temps de m’attarder sur ses mamelons et l’écoutai soupirer. Je lui retirai son chandail et elle me demanda de retirer le mien aussi. Elle prit le temps de s’extasier devant mes seins, en disant qu’elle rêvait de les voir depuis longtemps. Elle commença à les toucher, puis approcha sa bouche, commençant à mordiller mes seins et à les sucer. Je l’attrapai par les cheveux pour la ramener vers moi et l’embrasser à pleine bouche. Je sentais ses hanches se coller vers moi et ses fesses se pousser contre mes mains. Je passai donc ma main sous sa culotte, pour mieux caresser ses fesses. Je les lui retirai et me mis à embrasser son cou, en descendant de plus en plus vers son bas ventre. Je la laisser profiter de ma respiration qui se rapprochait de plus en plus de son clitoris. Je me mis à la lécher, à explorer son jardin secret de ma langue et écoutant sa respiration s’accélérer. Elle s’accrochait à mes cheveux, pour plaquer mon visage encore plus près de son entre-jambe. L’entendre gémir me faisait mouiller et j’avais envie de la baiser plus fort qu’elle ne l’avait jamais été. J’insérai donc un doigt à l’intérieur d’elle. Elle me supplia d’aller plus fort.
J’insérai donc deux doigts supplémentaires et la couchai sur le ventre. Mes allées et venues étaient de plus en plus énergiques et je la sentais se déhancher de plus en plus fort. J’embrassai son dos, ses fesses, les mordillant au passage pour finir par poser ma langue à l’entrée de ses fesses. Ses gémissements se faisait entendre de plus en plus forts. Elle me supplia de continuer, me disant qu’elle allait bientôt jouir. Je sentis les soubresauts parcourir son corps et sa cyprine se répandre partout sur mes doigts. Je l’embrassai tendrement et l’invitai à rester pour la nuit. Elle refusa gentiment, disant qu’elle avait besoin de repos pour sa journée de travail du lendemain.
Lorsque je la croisai le lendemain, elle me sourit timidement et m’invita chez elle le soir même.
À suivre…

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