Je Suis En Pleine Révision !

Hier après midi, il m’est arrivé une drôle d’aventure en rendant visite à Ludo, mon voisin et copain de bahut, j’en ai encore les sens tout retournés, ma minette est encore sensible, si je me touche je pars au quart de tour, je suis fébrile car dans une demie heure j’ai rendez vous avec lui … lui, ce n’est pas mon copain Ludo, MAIS SON PERE …

Lorsque nous n’avons pas cours nous avons l’habitude de nous retrouver pour réviser, en tout bien tout honneur, car Ludo n’est pas mon type de garçon et nous nous connaissons trop pour avoir envie de flirter

Donc, hier, notre prof d’histoire géo étant absent je me rends chez Ludo pour réviser, j’ai l’habitude de passer par le jardin pour ne pas avoir à sonner sur la rue et déranger tout le monde, la porte de la terrasse est ouverte, j’entre en appelant Ludo, personne ne répond, ses parents bossent, il est sûrement dans sa chambre, dans ces cas là j’y vais directement, je me dirige vers l’escalier, des bruits insolites attirent mon attention , ça vient de la chambre des parents , je dois obligatoirement passer devant, plus j’approche plus les bruits deviennent distincts , ce ne sont pas des bruits, mais des voix, ou plutôt des gémissements féminins, ses ‘vieux’ fonts l’amour a cette heure ci ? Ils devraient êtres au travail, c’est bizarre, si leur fils est là ils auraient fermé la porte de leur chambre pour être tranquilles

J’avance a pas de loup, partagée entre faire demi-tour par politesse et la curiosité de voir des gens s’accoupler, évidement c’est la curiosité qui l’emporte, quelque chose s’est déclenché en moi , ma chatte me picote, mes bouts de seins se durcissent, ma respiration devient saccadée, encore un mètre … et là … une surprise m’attend , il y a bien un couple nu qui baise sur le lit, le voisin est a genoux, littéralement accroché a ‘la’ femme a genoux, mais ce n’est pas ‘SA’ femme ! qui subit les formidables coups de reins en mugissant, la voisine est plutôt rondelette et brune, cette femme est fine et blonde
Une verge monstrueuse tape vigoureusement dans un vagin peu poilu, soudain le sixième sens de l’homme a dût fonctionner car il tourne la tête ver moi, a ma vue ses yeux expriment d’abord la surprise, il s’arrête un instant provoquant l’insatisfaction de la blonde qui râle, le voilà qui ressort sa queue, encore gouttante de cyprine, et la brandit comme une arme dans ma direction avant de frapper violement les fesses de sa partenaire avec cette matraque, improvisée, tétanisée je reste a regarder, mes cuisses se serrent, se desserrent, se frottent, ma culotte se souille, il n’avertit pas sa maitresse et pointe son nœud sur le petit trou et d’un coup de reins puissant il s’enfonce sans ménagement dans l’anus encore serré, la femme se plie en deux en hurlant, essayant d’échapper a l’intrusion contre nature, peine perdue elle est bel et bien embrochée, ne tenant pas compte des protestations il continue a la sodomiser de plus belle

Machinalement, une de mes mains part entre mes cuisses et l’autre malaxe mon sein, le voisin approuve de la tête, la situation est trop forte, je réprime avec peine l’orgasme qui traverse mon corps, vite, je m’enfuie de la maison, mon envie n’est pas calmée pour autant, ce que j’ai vu est bien réel, je dois faire quelque chose pour m’apaiser, c'est-à-dire me caresser longuement, mais ou ???.

.... Pourquoi pas là, dans leur grange, entre les bottes de paille ?

Les yeux fermés, je revois la scène… la tête de la femme enfouie dans l’oreiller, le cul en l’air, exposant sans pudeur ses organes génitaux a l’homme qui lui enfile la chatte avec une queue comme je n’en avais jamais vue auparavant, le claquement des corps qui s’entrechoquent résonne encore dans ma tête, je dois quitter ma petite culotte, mi-assise, mi-couchée, les genoux relevés je serais plus a l’aise pour aller chercher ma mouille dans ma vulve pour frictionner mon clitoris avec, mon corsage sorti de ma jupe, il m’est plus facile de faire rouler mon téton bandé…. Haaaaaaaaaaaaa que c’est boooooonnnnnnnnnnnnnn……ma chatte devient une véritable fontaine… soudain, chez moi aussi, le sixième sens m’avertit que je suis observée… ‘Il’ est là ! ma petite culotte collée a ses narines, la queue sortie du pantalon, ‘il’ c’est le voisin

- Chuuuuuuuuuuut ! Ne bouge pas….tu sens bon de la chatte, j’ai beaucoup apprécié ta présence, tu m’as fait décharger prématurément dans le con de cette salope, aussi, je l’ai renvoyée, mais je ne suis pas complètement satisfait …

Tout en parlant il a posé sa main sur ma cuisse, impossible de la resserrer, Il est plus fort que moi, et puis … je n’ai pas envie de la resserrer …au contraire, je m’écarte outrageusement lorsqu’il avance sa bouche vers ma fente, sa langue d’adulte pénètre en moi comme une verge, des gémissements montent, les miens et les siens, il grogne de plaisir, en nettoyant ma moule tellement intarissable que j’en ai honte, je fais pipi dans la bouche d’un homme …mes genoux frottent sur mes seins, jamais je n’ai prise une position aussi obscène, les gros doigts remplacent la langue, l’entrée de ma chatte est sollicité , je me souviens qu’entre copine ont nommaient cet endroit le point G, centre déclencheur la jouissance, encore jamais testé, CA MARCHE !!!!!! …….

- HOOOOOOOUUUUUaaaaaaaaaaaaooooooouuuuuuiiiiiiii !!!!
- Comme salope tu promets ma petite ! je vais te montrer ce qu’est le septième ciel, approche du bord, regarde moi ce boudin … lèche sa grosse larme et ouvre la bouche

Mes deux mains serrées sur ce manche noueux, zébré par de grosses veines bleues, lentement je mets à jour un gland gros comme un œuf, la mâchoire ouverte au maximum, je le laisse envahir mon palais ? Ma langue titille le dessous de la queue, ça plait a l’homme qui donne des à-coups poussant sa verge jusqu'à m’, je branle énergiquement le membre pour le faire cracher au plus vite, encore sensible de ses précédentes éjaculations il ne tarde pas a me gratifier d’une sauce épaisse, malgré ma vaillance je n’avale pas tout, je recrache le trop plein dans la paille

- Veux-tu un p’tit coup de queue dans ta chattoune ?
- Elle ne demande que ça
- Alors vient t’assoir sur mes genoux, si je te prends sur la botte de paille tu n’auras plus de peau dans le dos, accroche toi a moi, tu te laisseras descendre quand je te le dirais

A califourchon sur l’homme qui tient sa queue raide a la verticale, son autre main sous mes fesses pour me maintenir a bonne hauteur, les seins écrasés sur ses pectoraux, le nez dans son cou, j’attends ses ordres, le gland frotte longuement mes lèvres, retroussant au passage le capuchon de mon clito, effleurant mon anus qui réagis en se fermant au maximum de peur d’être perforé

- C’est bon, laisse- toi aller

Je soulève mes pieds, ça fait drôle d’être en équilibre sur un manche qui ouvre la chatte à la craquer, le voisin donne de petits coups pour faire céder ma vulve, petit a petit j’avale le monstre de chair
Chaque millimètre de mon vagin est visité, déployé, frotté, je suis irradiée par le plaisir, il a enlevé sa main qui me tenait en poids et pèse sur mes hanches pour me faire descendre encore, je ne suis pas baisée, je suis fourrée, s’il se retire il m’arrache tout ! Par petits coups je saute sur sa queue, ma chatte commence à s’adapter, ça coulisse de mieux en mieux, avec la mouille qu’elle distille c’est normal !
L’homme me manipule à loisir, j’ai l’impression d’être une main à grandeur humaine qui lui branle la bite, je ne sais plus si je jouis a intervalles réguliers ou si c’est un orgasme continu, même mes seins sont sollicités par ses poils drus, si je ne suis pas une main je suis un clitoris géant
Enfin il se cabre et daigne se vider en moi, les jets innombrables m’apaisent, c’est fini, je suis une vraie loque, le voisin me soulève délicatement, un torrent épais quitte ma chatte, de nouveau allongée, il nettoie doucement mon entre jambe

- Reste un peu ainsi, le temps de récupérer, revient ici demain si tu veux découvrir la sodomie ….

- … a demain …..

Ha ! Le voilà il est a l’heure, excusez moi je dois vous quitter pour ôter ma culotte !!!! Bye-bye !

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