Je Ne Suis Plus Seule

Depuis qu'ils m'ont quitté je pourrai avoir le blues. Ce n'est pas le
cas: je me satisfais par des masturbations, j'ai toujours aimé me
branler. mes doigts sur mon sexe savent toujours me donner les
bonheurs des orgasmes, des jouissances matinées de mes rêves.
Je me vois souvent avec eux tous, ou en couple. Je me met toujours
deux doigts dans le cul pour me souvenir des moments merveilleux
que j'ai connu. Je suis sans doute un brin rêveuse en pensant que
tout va reprendre comme avant.
Je suis hospitalisée depuis plusieurs mois J'ai ce qu'on appelle une
longue maladie. il n'empêche que j'ai souvent le même creux dans
mon ventre. Je le passe en me masturbant. la maladie de m'a pas
encore enlevé mes envies, heureusement.
Cette nuit, je m'étais réveillée avec toujours ce sacré creux et je
commençais à me branler: pour celà comme d'habitude je me suis
mise sur la couverture, ma nuisette relevée pour être le plus nue
possible. Mes jambes bien ouvertes, je me caresse d'abord les
seins et ensuite une main descend la bas, vers mon clitoris. Je
commence comme d'habitude à me branler doucement. Je ferme
les yeux. Seule une petite veilleuse éclaire chichement la chambre.
Je commence à ressentir mon plaisir monter. Soudain je sens une
main sur la mienne. J'ouvre les yeux et je vois la coupable:
l'infirmière de nuit qui en faisant sa tournée passait dans ma
chambre et m'avait vue. Elle se penchait sur moi et je sentais ses
lèvres sur les miennes. Sa langue sans tarder vient chercher la
mienne. Les souvenirs pas très lointains ou j'étais la proie facile des
hommes ou des femmes ont fait que j'acceptais cette langue qui me
fouille maintenant le palais. Je réponds avec plaisir: il y a si
longtemps qu'une fille ne m'a pas touchée. Sa main remplace la
mienne et me branle à me faire mourir de plaisir.

Sa bouche vient se
poser sur un sein et une autre main vient sur l'autre. Je ferme les
yeux, me contracte pour ne pas jouir vite.
Malgré moi je sens arriver la jouissance. L'infirmière me laisse un
moment, juste le temps pour elle de se déshabiller et je vois son
corps magnifique, avec ses seins hauts placés qui semble narguer
la pesanteur. Si elle est nue, c'est qu'elle aussi veux jouir. je me
prépare pour lui donner le plus de plaisir que je puisse faire. Elle
vient se coucher entre mes jambes que j'écarte et vient poser sa
langue sur mon sexe. Il y a longtemps qu'une autre femme ne m'a
fait la même chose. Elle doit être coutumière du fait, elle me suce
avec une grande douceur le clitoris, me doigte le con et rentre deux
doigts dans mon cul. C'est l'ange de l'amour qui l'a envoyé. Je
gémis sans arrêt et lui dit oui, encore.
Pourtant elle cesse et vient près de moi, m'embrasse encore: je
sens le goût que je connais bien, celui de ma cyprine. Elle se
retourne et ouvre ses jambes sur ma bouche: j'att son bouton et
le lèche comme j'aime bien le faire. Sa tête se met juste à l'entrée
de mes cuisses et sa langue vient me lécher encore. J'ai mis deux
doigts dans son cul comme elle me le fait. nous jouissons presque
ensemble. Elle reste toujours près de moi. Nous nous caressons:
elle me donne ses seins que je suce en me régalant. Dans mon
esprit passent tous les seins que j'ai déjà sucés: ils sont nombreux.
Elle m'a mis une mains sur les fesses que j'ouvre: elle cherche
encore mon anus. Elle se doute que j'aime bien me faire mettre par
la. J'aime la sodomie avec une queue bien bandée de préférence.
pour l'instant je me contente de ses doigts. Le lit est totalement
défait: pas grave elle le retape comme elle peut. Les aides
soignantes le referont comme il faut le matin. Elle s'en va sans rien
dire, elle est à moitié nue.
Je suis presque jalouse: et si elle allait
baiser une autre malade ?

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