En Pleine Nuit

j'ai vécu en concubinage avec une femme durant huit années.A 42 ans et mère de famille, elle n'avait pourtant qu'une idée trés partielle de l'amour physique.Son ex-mari était éjaculateur précoce et s'il lui avait donné de beaux s, c'était au cour d'etreintes trés limitées dans le temps. Aussi, la découverte des multiples préliminaires furent pour elle, une vraie révélation.Malgré son âge, c'était, au lit, une délicieuse novice. Elle s'est révélé une formidable baiseuse car, frustrée par toutes ces années perdues, elle a mis les bouchées doubles. Elle était avide de toutes les diverses positions, des caresses les plus érotiques, les plus osées.
Ce n'était pas vraiment une beauté, quoique mignone:blonde décolorée, je la faisais râler en lui faisant remarquer le noir de geai de sa chatte. Petite poitrine, mais des seins qui tenaient tous seuls et d'une sensibilité extrème.Elle avait surtout un bassin assez large et un cul absolument somptueux. Des fesses rebondies, douces et trés musclées, trés fermes.
Souvent, en pleine nuit, en me retournant, il m'arrivait de me retrouver contre elle. Comme elle bougeait aussi, sa nuisette remontait et dénudait ses fesses. Comme je dors tout nu, mon ventre venait si nicher au creux de ses reins et ses fesses s'écraser contre mon bas-ventre et mon sexe.Je me reveillais en bandant fort et, tout naturellement, plaçais mon sexe entre ses fesses de sorte que le gland venait trés exactement entre les lèvres de sa chatte. Comme elle se mettait souvent en chien de fusil, je me glissais un peu sous elle pour avoir un bon angle.
Ah! quelle merveilleuse sensation! Son corps était brulant et cette douce chaleur au bout de mon sexe était irrésistible.Je la penetrais sans vergogne et me mettais à la baiser avec délice.Elle ne se reveillait pas immédiatement, mais, instinctivement se mettait à bouger du cul et à soupirer d'aise. Je lui titillais alors le bout des seins, ce qui la mettait en transe presqu'immediatement et la réveillait enfin.

Je pouvais alors la baiser encore plus fort. Parfois je la tirais ainsi.Mais le plus souvent je la faisais mettre à quatre pattes et, à genoux derrière elle, la tenant solidement par les hanches, je la prenais en levrette furieusement, les yeux rivés sur cette belle croupe.
Je vous raconterai une autre fois les prouesses de ma chérie.Si des hommes ou des femmes ont connu ces parties de baise en pleine nuit, à moitie endormis, qu'ils n'hésitent pas à m'écrire.

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