Sept Ans... Année Fatidique

Ne laissez jamais la routine s’installer, soyez a l’écoute de votre femme, je vais vous raconter comment je suis devenu cocu …. Pour mon plus grand plaisir.
Fan de rugby, je traine dans les stades pour suivre mon équipe préférée, lorsque la distance le permet sinon je me contente du canapé
Je vois bien que cela déplait de plus en plus à Aude, ma femme, mais je suis trop borné pour l’admettre
Ce soir c’est la finale de la coupe, le match se déroule chez nos meilleurs ennemis anglais, donc c’est canapé pour moi ! Après diner Aude débarrasse la table, je vais m’installer sur le canapé, la bière est au frigo tout va bien
Soudain je la vois arriver dans une tenue qui il y a quelques années m’aurais fait bander de suite : top blanc très court sous lequel pointent deux tétines prêtes à défoncer le coton, sa jupette blanche de tennis qui doit cacher son brésilien échancré favori, celui qui a de la peine à border les deux lèvres vaginales et les Dim-up assortis dont la dentelle apparait, il y a quelque année elle ne serait restée habillée ainsi qu’une minute, j’éssaie de contenir mon l’érection naissante car je VEUX voir MON match

- Je te plais Alain chéri ?

Je me doute ce qu’elle mijote, aussi je reste évasif, quasi indifférent

- Oui je sais ….
- Tu sais ? tu sais depuis combien de temps tu ne m’a pas fait l’amour ?
- Huit jours ?
- HUIT JOURS ? tu te fous de moi ? cela fait plus d’un mois, demain je vais avoir mes règles, ça repousse donc de huit jours, il n’est pas question que j’attende jusque là
- Tais-toi, c’est le coup d’envoi…
- Alain, je vais aller me faire baiser ailleurs !
- Fait comme tu veux, mais fous-moi la paix
- Hhhhaaaaaaaa tu le prends comme ça ? bon, tu l’auras voulu
- C’est ça, va te faire baiser par le clodo qui squatte sous le porche !

Elle enfile un imper léger et file vers la porte d’entrée

- Je sais où trouver celui qui va me faire jouir, pauvre con, salut !

La porte claque à faire trembler la cloison, ouff, je peux enfin regarder mon match tranquillement, merde mon équipe a déjà pris un essai transformé en seulement cinq minutes de jeu, quelle malchance… ou peut elle être ?? ….

Une bière va me calmer... Pourquoi pas un whisky ?… je la faisais bien jouir ‘avant’ … putain ! un deuxième essai ! Quelle poisse, entre mon équipe, qui est complètement nase ce soir et ma femme qui fous le camp … quelle soirée, a la mi-temps j’appelle sa copine, elle s’est surement réfugiée chez elle

- Allo ? tu peux me passer Aude s’il te plait ?
- Aude ???? mais elle n’est pas là ? que se passe-t-il Alain?
- Nous nous somment un peut frités ce soir, rien de grave, je te remercie, a plus !
- Elle est peut être au bar du coin ou au ciné ? tient moi au courant

Le reste de la soirée est morne, au coup de sifflet final nous somment battus trente huit a trois ! Les interviews lamentables commencent quand la porte d’entrée s’ouvre sur une Aude qui parait dévastée, les cheveux en bataille, le rimmel qui dégouline, la jupe auréolées de taches blanchâtres

- D’où sors-tu enfin ? Tu as vu ton état ? Tu as eu un accident ?
- Je t’ai prévenu, je viens de me faire tirer comme jamais je ne l’ai été
- Arrête ce n’est pas drôle
- Tu ne me crois pas ? et ça ? c’est de la crème pâtissière peut être ? tu l’as voulu ? je l’ai fais !

Elle soulève sa jupette et écarte son brésilien qui était entré entre les lèvres gonflées, il est de couleur méconnaissable, ainsi que sa toison amidonnée

- Touche ! N’ai pas peur ce n’est que du sperme !
- Mais c’est vrai ? qui t’as fais ça ? ou était tu salope ?
- Au rez-de-chaussée, chez Adrien, le métis qui me drague depuis si longtemps, moi aussi j’ai regardé le match ! trente huit a trois quel désastre ! enfin quand je dis regardé, c’est faux, j’ai seulement vus la fin ! bon, sur ce, je vais me coucher, je suis vannée

‘Mon Aude’ vient de se faire sauter par ce mec métissé ? …. C’est vrai qu’il est bel homme, c’est vrai qu’il la drague ouvertement, mais céder ainsi ? Mon cœur a mal, très mal, je vais la rejoindre au lit …
Elle est couchée nue, coté mur, en chien de fusil, le drap recouvre son corps magnifique, je m’allonge comme elle, et pose timidement ma main sur sa hanche

- Tu dors Aude ?
- Non ….

- Que c’est-il passé ? raconte-moi ….
- J’ai sonné, il m’a ouvert en robe de chambre, mon imper était déboutonné, il a vite compris pourquoi j’étais là, avant de me prendre dans ses bras il m’a demandé si tu étais au courant, je luis ai dis que c’est toi qui m’envoyait, pardonne moi chéri ….
- Je l’ai mérité, c’est bienfait pour moi, je ne regarderais plus jamais le rugby, tu veux me raconter ?
- Tu ne te fâcheras pas ?
- Promis …

Ma queue commence à se tendre vers ses fesses, ma main passe entre ses cuisses qu’elle ne refuse pas d’écarter, mes doigts s’embourbent dans le marécage qu’est devenue sa moule

- Adrien m’a enlacée, embrassée, j’ai répondu a ce baiser tandis que sa main fouillait déjà sous mon string, sa queue sortait entre les pans de la robe de chambre pour buter sur mon ventre, je l’ai attrapée
- Elle est plus grosse que la mienne ?
- Oui, plus longue et plus grosse, mes doigts ne faisaient pas le tour du gland, il m’a entrainée vers sa chambre et m’a déshabillée lentement en embrassant chaque centimètre de peau découverte, chose que tu ne fais plus depuis longtemps …
- Je sais …mais c’est fini ça, combien de fois t’a-t-il …..
- Baisée ? cinq fois
- Cinq fois ?
- Au début il m’a faite allonger et il a fait couler de l’huile d’olive entre les seins avant d’y poser son membre, j’ai pressés mes nichons sur ce manche, il m’a limée, sa queue venait buter sur mon menton il m’a attrapé par les cheveux pour que ma bouche soit accessible … c’est comme ça que j’ai bus son sperme…une quantité incroyable
- Après ?
- Après ? il bandait toujours et s’est allongé, je suis montée sur lui en ouvrant ma chatte avec mes doigts, j’ai fais un véritable rodéo sur son ventre, il me tenait par les hanches afin de ne pas me désarçonner, je tenais mes seins car les secousses me faisaient mal, j’ai pissé sur lui tellement ma chatte était ouverte, il m‘a arrosé copieusement le vagin…je suis tombée tant l’orgasme était violent … tu tient a ce que je continue ? tu ne m’en veux pas ?
- Absolument pas, même si ça fait mal, mais je veux tout savoir
- Prouve-moi que tu m’aime encore …
- Rien de plus facile, ont dit que le sperme est bon pour le teint, je vais me faire un masque de beauté, écarte les cuisses

Aude s’installe confortablement et m’offre son entrejambe, une odeur musquée monte a mes narines, je décolle sa vulve avec mon nez, ma langue sert de racloir, j’avale une bonne quantité de lave épaisse, je redescends jusqu'à l’anus qui en est tapissée, le masque de beauté, je l’ai, j’ai du foutre encore tiède du front au menton Aude pose une main sur ma nuque et m’oblige à rester sur sa chatte

- Continue Alain, je vais jouir ….


Je lape, aspire, plonge ma langue dans les replis de la moule, soudain ses cuisses font un étau sur mes oreilles, une giclée de cyprine finit de tremper mon visage, Aude se détend, repue, je me hisse sur elle, ma queue effleure ses lèvres vaginales

- Alors ? Tu vois bien que je t’aime, sent comme je bande !
- C’est vrai…
- Tu n’es pas convaincue, alors je vais te pénétrer là ou ton amant a déchargé il y a peu
- Engonce toi et ne bouge plus je vais te faire jouir uniquement par mes contractions, ainsi tu seras convaincus qu’il ne m’a pas élargie
- Je t’aime mon amour … je vais te le prouver définitivement en invitant Adrien a la maison
- Pour boire le verre de l’amitié ?
- Pour qu’il te baise devant moi, ainsi les doutes qui subsistent en moi s’estomperont,
- Tu es fou chéri ? ……il va encore me faire mourir de jouissance

Mais voilà, comment m’y prendre pour ne pas passer aux yeux d’Adrien pour un cocu lambda?????

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