Sept Ans... Année Fatidique 2/2

Je veux que ma femme se fasse à nouveau baiser par le voisin, sous mes yeux cette fois, mais voilà, comment m’y prendre pour ne pas passer aux yeux d’Adrien pour un cocu lambda…
Celui-ci allait me tendre la perche, deux jours plus tard il arrive en face de moi, l’air gaillard, chez moi boule au ventre se forme immédiatement, je dois être rouge cramoisi.

- Bonjour Alain, justement je voulais vous voir
- Ça tombe bien moi aussi !
- Ha … j’espère que vous ne m’en voulez pas pour ce qui c’est passé avec votre épouse ? elle est sublime, vous avez une chance immense de la posséder !

Une chance de cocu ? Je dois répondre quelque chose de cohérant….

- Merci, je sais qu’elle est merveilleuse, je ne vous en veux absolument pas, sinon je ne vous l’aurai pas envoyée ! ceci faisait partie d’un vieux fantasme inassouvi
- Haaaa bon ? vous me voyez soulagé, on n’est jamais sûr de rien avec les femmes ! pourquoi ne viendriez pas boire un verre chez moi, en tout bien tout honneur cette fois !
- Les grands esprits se rencontrent, je voulais justement vous inviter samedi soir
- Alors dans ce cas, je suis d’accord, j’amènerais une bonne bouteille et des fleurs pour madame

Ragaillardis, je rentre a la maison en sifflotant, Aude m’accueille ravie de ma bonne humeur, elle doit penser que son aventure est oubliée

- Je suis heureuse de te voir ainsi Alain, plus de nuages à l’horizon ?
- Que du bonheur a l’horizon chérie, Adrien vient nous rendre visite samedi soir !
- Samedi soir ? pourquoi pas le midi vite fait ?
- Parce que nous n’aurons pas assez de la nuit pour t’honorer !
- … Il vient pour me baiser ?
- Il ne le sait pas encore, mais tu le décideras sans peine
- Comment vais-je m’habiller ?
- Je te fais confiance….l’ambiance fera le reste

Trois jours nous séparaient du rendez vous, elle devenait de plus en plus anxieuse, excitée, rêveuse ….


L’après midi du samedi elle a passé son temps à se préparer physiquement et mentalement, elle a choisi de porter une mini robe entièrement boutonnée devant... Aude se tord les doigts quand le carillon tinte, je suis allé réceptionner l’homme, la bouteille et les fleurs

- Bonjour Adrien, Aude vous attend au salon, portez lui les fleurs, je vais mettre la bouteille au frais
- Bien ….

De la porte de la cuisine j’observe la retrouvaille… Adrien l’embrasse sur les joues et la ceinture aussitôt par la taille, Aude a mis ses avant bras entre eux deux, par protection ?
Ils échangent un long regard, des images de leur soirée doivent revenir, Adrien approche son visage, Aude ne recule pas, les mains de l’homme descendent sur les fesses tandis que leurs lèvres s’unissent, ils sont collés l’un a l’autre, je tousse avant de pénétrer dans le salon, surpris, les deux amants se séparent

- Ne vous gênez pas pour moi continuez je vous en prie….
- Excusez moi Alain je n’ai pus m’empêcher d’étreindre votre femme
- Vous allez faire plus que l’étreindre Adrien, je veux que vous la baisiez devant moi comme vous l’avez fait l’autre soir
- Vous êtes d’accord Aude ?

Dans un souffle quasi inaudible elle répond un long ‘oouuuuuuuiiiiiiiiiiii’, Adrien se place face a ma femme qui finit par baisser sa garde, il commence à défaire les boutons comme s’il déballait un cadeau précieux, les seins nus apparaissent entre les pans du vêtement, l’homme se penche pour les honorer de la bouche, tout en continuant à déboutonner le vêtement, il découvre le ventre plat, le nombril orné d’un piercing, et voilà le pubis fraichement taillé en forme de cœur, qui dépasse au dessus du mini triangle de soie a moitié mangé par la chatte, qu’Adrien connait déjà, il s’agenouille devant la trace humide de la culotte et hume son parfum , Aude me lance un regarde de biche apeurée
Mon sourire la rassure, de toute façon il est trop tard pour reculer, le slip glisse sur les hanches étroites et tombe sur le sol, le nez de l’homme s’engouffre entre les cuisses, il l’attire a lui en lui posant les mains sur les fesses, Aude lui tend son ventre les genoux fléchis et ouverts, elle pousse un cri lorsque la langue sépare ses lèvres et bouscule le clitoris, la tête baissée elle caresse les cheveux de son amant

Je bande comme un turc dans mon slip qui plie ma queue en deux, Adrien doit être pressé de la posséder car il se relève et pose une main de ma femme sur la bosse qui tend son pantalon, elle tire sur la ceinture, l’homme l’aide a quitter le pantalon, une queue phénoménale fouette l’air et se balance lourdement entre ses cuisses, c’est au tour de ma femme de se baisser, les deux mains sur la bite géante, elle avale le gland encore recouvert par le prépuce, sa fellation est lente, elle savoure les yeux fermés, elle aussi doit avoir envie de se fourrer cette queue dans le ventre car elle arrête de sucer, tous deux se tournent vers moi l’air interrogateurs

- Vous voulez faire ‘ça’ où ?
- J’aimerais la prendre sur la table pour commencer
- Je peux assister ?
- Bien sûr, même participer, ça ne me dérange pas

Aude, sans répondre va se poster devant la table, les deux jambes droites, elle pose son torse et une joue sur la nappe, s’accroche des deux mains sur l’autre bord, et écarte les pieds au maximum, sa poitrine est écrasée, elle nous offre une vue sublime de sa chatte aux lèvres renflées, rouges, fendues et suintantes comme une blessure récente ainsi que son anus qui se contracte comme une mini bouche, Adrien et moi contemplons en silence, sans gênes

- je crois qu’elle vous attend
- je sais, il faut la laisser s’exciter le temps que je me déshabille …

J’admire son membre qui se balance tel un cobra prêt à bondir, il graisse abondement de salive son nœud et la fente entrouverte, je me tiens au plus prés, j’écarte même les deux lobes charnus de ma femme

- Il va te pénétrer chérie, je suis là
- Je t’aime mon amour ….
Pardonne-moi si tu m’entends hurler de joie
- Lâche-toi, crie autant que tu veux

Adrien tient son braquemard d’une main et le pointe sur la chatte, ma femme tend son cul impatiente de se faire bourrer, il repousse les lèvres de part et d’autre avec le gland couleur prune et pousse en avant, la vulve est entrainée vers l’intérieur du ventre, l’anus se fripe dans un réflexe de protection, les muscles des cuisses d’Aude se tendent, elle glapit lorsque sa moule avale cinq centimètres de chair d’un coup, Adrien lâche sa bite maintenant bien plantée et pose ses deux mains sur les hanches de ma femme
Ce que je ressens est aussi mortifiant qu’excitant, je suis cocu…. et heureux de l’être ! mes yeux ne peuvent se détacher de ce membre sombre qui disparait peu à peu dans le vagin rose, Aude geint tout le temps de la pénétration, les poils crépus de l’homme s’écrasent bientôt sur les fesses de sa maitresse, il reste quasiment immobile, ne donnant que de petits coups de reins secs, pour accen sa présence dans le vagin dilaté, puis il alterne douceur et virilité

- Chéri ? Où est tu ? Je suis remplie par sa bite ! Vient ici …donne moi la tienne à sucer
- Tout de suite chérie…tu la sens bien sa queue ?
- C’est comme si je j’étais empalée sur un tronc d’arbre
- Ça te faisait la même chose l’autre jour ?
- Hoooo Ouuuuuiiiiii, il prenait moins de précaution pour m’enfiler en levrette, je sentais ses couilles taper sur ma moule
- Avale ma queue chérie … et vous Adrien baisez là comme s’il s’agissait d’une poupée gonflable
- Comme vous voudrez …. Han! Han! Han! Han! Han! Haannnnnnn!
- Hou! Hou! Hou! Hou! Hou! Hoooouuuuuuuuuuuuuu!

A-t-elle crié autant lorsqu’il l’a baisée chez lui ? Ma verge s’enfonce dans la gorge à chaque coup de bite, Adrien reprend une vitesse plus raisonnable car il lui titille l’anus en même temps, un filet de salive sur la rondelle et il lui enfonce un pouce dans le boyau, pas de doute, il veut l’enculer, va-t-elle accepter ? Subitement j’ai envie de voir son cul défoncé par ce membre

- Mon amour ? J’aimerais qu’Adrien te sodomise …vous ne l’avez pas fait l’autre soir ?

Elle recrache aussitôt ma bite

- T’es fou ? il est trop gros !
- Ne me dit pas que ça ne te tente pas ?
- Beeeeennnnnn ….
.si tu aide et que tu regarde, je veux bien
- Ok ! je vais chercher le lubrifiant !
- J’ai mis deux doigts, son œillet et très souple, ça va aller !

J’enfonce carrément l’embout du tube entre ses fesse, puis j’appuie, le froid du liquide qui pénètre dans son rectum la fait sursauter, Adrien s’en tartine la queue, a nouveau j’écarte les fesses, l’anus est dilaté, il palpite a intervalles réguliers

- Détendez vous Aude, ne vous crispez pas, au contraire poussez….
- ‘ Ne vous crispez pas ‘ ? facile a dire ! je voudrais bien vous y voir ! recevoir une lance a incendie dans les fesses, ce n’est pas banal !
- Il va être doux et attentif
- Une fois le gland entré j’attendrais votre accord pour pousser
- Çà va …..

Le bourrelet de l’anus disparait lors-qu’Adrien force, il y va millimètre par millimètre, même le bas de la vulve est aspiré, ma femme pousse de petits cris d’appréhension

- T’as mal chérie ?
- Non... çà va …continue Adrien ….

Voilà qu’elle le tutoie à présent ? Le cul par une pression continue cède, le membre progresse, je ne vois plus le gland, l’homme arrête sa poussée

- J’attends ton signal Aude
- Ça brule un peu … enfonce encore pour voir ?

Cette fois le manche s’enfonce en continu, cinq centimètres …. Dix centimètres …il se retire pour mieux repartir en avant, Aude pousse un hurlement

- Wooooooouuuuuuuaaaaaaaaahhhhhhhh VA-YYYYYYYYYYYY !!!!!!! encule-moi !

Le piston de chair commence son travail de sape, toujours plus loin, toujours plus fort, bientôt son ventre claque sur le cul de ma femme, elle tire sur la nappe en secouant la tête, des cris hystériques fusent, j’entends des mots que je ne lui connaissais pas sortir de sa bouche
Sa chatte doit dégouliner car l’intérieur de ses cuisses se tapissent d’un jus épais, elle rugit lorsque son amant se bloque enfin sur elle, il gronde tout le temps que son sperme déferle dans ma femme
Ils restent unis le temps que leur respiration se calme, pendant ce temps je me suis foutus a poil j’attends qu’ils se séparent pour prendre ma femme encore toute chaude de son amant

- Chérie ? Tu vas t’assoir sur le bord de la table, j’ai trop envie de toi
- Je vais vous laisser en amoureux, je me sauve, merci a vous deux pour cet intermède !
- Merci à vous Adrien, désormais je sais à qui confier ma femme lorsque j’irais au rugby

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