Les Bras De Marie Laure

Il me tarde de retourner chez ma grand mère. Elle est du genre à tout permettre, surtout quand nous sommes avec ma cousine/amante. Je me doute qu'elle aussi a du connaître les mêmes oublis dans les bras d'une autre avant de se ranger. La chambre est prête à me recevoir. Pour ne pas laisser voir à d'autres nos amours, elle fait comme si rien n'était. Sauf le matin au petit déjeuner quand elle nous demande d'un air coquin si notre nuit a été assez courte. A croire qu'elle ne nous a pas entendues cette nuit.
Nous aimons bien nous rencontrer comme la première fois dans la même chambre, dans le même lit, collées l'une à l'autre, peau contre peau, comme avant que nous soyons mariées elle et moi. Surtout quand il fait froid.
Marie Laure est coquine, je le suis aussi. Je sais que je ne suis pas la seule pour elle. Quand nous sommes à peine couchées, elle me raconte ses aventures avec d'autre femmes. Ces derniers temps c'est avec la mère d'un qu'elle amène à l'école. Elle est tombée sur une femme plus que sensuelle, qui outre son mari a un amant, à part Marie Laure.
Pour elle c'est l'orgasme qui mène le monde.
Marie Laure aime commencer par me caresser les seins en entier, puis le ventre, le bas ventre, en passant par dessus ma fourrure pour aller flatter mes jambes en entier. J'attends la suite avec impatience, en commençant à être mouillée. Et enfin elle passe sur la chatte, sur mes lèvres qu'elle écarte eu peu, pas trop au début. Elle n'attend que je soit noyée dans ma cyprine. Elle sait que je la désire. Alors d'une main sure, elle caresse les lèvres, les écartent en grand, fait ressortir le petit clitoris. Elle le caresse pendant que sa bouche prend une pointe de mes seins. Elle fait comme si elle me tétait. Et sa main qui reste collée sur mon sexe.
Elle entame une masturbation, c'est meilleur qu'avec mes mains. Je la laisse me faire du bien. C'est bon de se faire branler par elle.
Toujours bien aventureuse, elle descend sa bouche vers mon sexe.

Je le lui laisse. Sa langue me fouille. Elle lèche le bouton longuement : elle me donne du plaisir qui monte, monte sans cesse jusqu'à la libération première. Elle revient m'embrasser : sa langue sent et a goût de ma chatte. C'est sale, c'est bon. Elle remet à nouveau sa langue sur ma fente. Cette fois elle descend encore sa langue, cherche le petit trou. Je ne sais où elle a appris à faire ce qu'elle me donne, c'est délicieusement bon. Elle me lèche l'anus longuement. Malgré moi je m'ouvre et enfin sa langue entre dans mon cul.
Je sens sa respiration sur mes fesses. Sa langue est durcie quand elle l'enfile en moi. Je suis incapable de savoir combien elle en met. Par contre alliés à sa langue deux doigts entrent dans mon sexe.
Ses jambes entourent ma tête.
Je lève à peine ma bouche pour rendre ce qu'elle me fait. C'est aussi bon de la lécher que de me faire lécher. Je me laisse aller là où elle me conduit : j'ai plusieurs orgasmes consécutifs. Je jouis plusieurs fois sur sa bouche.
Je rends ce que je peux, mais le soleil fait son apparition. Bientôt notre grand mère va se lever, faire du bruit. Elle nous poseras encore la même question. Cet après midi, pendant qu'elle fera sa sieste, nous recommencerons nos jeux si spéciaux.
Ce soir, pas question de recommencer : Pierre, mon mari vient lui aussi pour quelques jours de vacances.
Le soir il me demande comment va Marie Laure :
Pourquoi ?
Vous avez du faire les lesbiennes ?
Oui, un peu.
Tu sais que j'aimerais vous voir toutes les deux.
Et tu nous baiserais aussi.
Si tu le veux, pourquoi pas. Elle sait baiser Marie Laure ?
Je pense, moi, en tout cas oui.
Le lendemain, ma grand mère fait sa sieste, mon chéri est à la pêche. Marie Laure ne fait rien, sauf quelle vient me voir ! Elle m'embrasse, je succombe. Nous sommes vite nues, mon mari oublié. Un orgasme pris, une autre en préparation, presque là. Mon mari aussi. Nous ne l'avons pas vu.
Nous recommençons nos amours particulières. Je suis sous elle, elle me lèche le sexe, je le lui rend. Nous prenons notre pied. Ma bouche est sur sa chatte, la langue dans son sexe. J'ouvre un peu les yeux : la pine de mon chéri est là, prête à servir. Il n'a pas besoin de moi pour mettre sa queue là où il le veut. Je la vois se poser sur l'anus de Marie Laure. Son cul s'écarte facilement sous la faible poussée. Je vois toute la bite de mon chéri entrer dans le cul de celle que je suce.
Marie Laure me laisse la sucer pendant que mon mari l'encule. Elle jouit trop vite. Elle fait sortir la pine de mon mari pour qu'il me la mette aussi devant elle.
Mais lui ne m'encule jamais. Il ne fais que me baiser. Soit disant que mon cul est trop serré. Mais je le voudrais moi aussi dans mon anus.
Nous n’avons pas arrêté le 69. Marie Laure se tourne, elle expose mes fesses à mon chéri. Là il ne peut m'obéir. Je le sens venir dans ma raie. Enfin il va m'encu....Oui il me la met derrière. Il entre à fond, il me défonce le bijou. Je gémis, j'en oublie le con de mon amie. Elle n'oublie pas le mien. Quel plaisir d'être léchée et enculée.

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