Marie-Laure 3

« Allez ! »

« Non, désolée. »

« Mais mes parents ne seront pas là ! »

« J’ai trop de trucs à faire. »

« Tu seras en vacances non ? »

« Oui, mais j’aurais un programme chargé. »

« Une journée. C’est tout ce dont on a besoin ! Tu viens le matin, et tu repars le soir ! »

Marie-Laure me rendait dingue. Elle devait passer en vacances non loin de chez moi, et rechignait à faire un détour par ma maison, le temps d’une journée-baise. Je sentais bien ce qu’il se passait : elle s’amusait de me voir la supplier de venir chez moi, comme elle avait dû faire la dernière fois.

La première fois qu’on s’était rencontrés, j’avais mené Marie-Laure par le bout du nez, et l’avais baisée à ma guise, la dominant totalement. Elle avait plus tard voulu sa revanche, et m’avait supplié de venir chez elle. A cette occasion, c’était cette fois-ci elle qui m’avait dompté, si bien qu’à présent, c’était à moi de la supplier de venir chez moi. Les rôles étaient bel et bien inversés.

« Allez ! En plus, il fera chaud, on sera bien dans ma piscine ! »

« T’as une piscine ? Ca change tout ! Ok, je veux bien venir, c’est vrai que ça me plairait bien de te mâter à nouveau... »

Je grinçai des dents après sa provocation, mais me retins de lui répondre : le fait est, qu’elle m’avait parfaitement maîtrisé la dernière fois. Le meilleur moyen de répondre à ses provocations, c’était de prendre ma revanche au lit.

Plusieurs jours s’écoulèrent, et mes parents étaient partis depuis longtemps, quand enfin, la sonnette de ma maison retentit. J’allai ouvrir, et c’était bien Marie-Laure. Elle était vêtue d’un débardeur gris, au décolleté très large, qui dévoilait largement son impressionnant 95E, d’un mini-short en jean très serré, qui moulait son fessier, et découvrait ses belles jambes. Son beau visage, encadré par ses cheveux mi-longs, lisses et châtains, arborait un large sourire.

On aurait dit qu’avant même que j’ouvre la porte, elle savait que je serais bouche bée devant son sex-appeal.

« Tu vas rester bouche bée ou me faire entrer ? lança-t-elle d’un ton narquois et satisfait. »

« Vas-y entre, miss bombe atomique. »

Elle eut un sourire, et entra dans ma maison, moi sur ses talons. J’avais envie de lui sauter dessus immédiatement, mais me contins. Plus on attendrait, meilleur ça serait. Ses yeux noisettes balayaient ma maison d’un regard attentif.

« C’est sympa chez toi… où elle est ta piscine ? »

« Par là, viens. »

On sortit dehors, pour arriver devant ma piscine.

« Elle est belle. On se baigne ? »

« Tout de suite ? »

« Oui je crève de chaud, pas toi ? »

En disant cela, elle retira son débardeur, révélant un bikini violet, qui mettait son superbe corps en valeur.

« Oh que si, dis-je en sentant mon sexe se raidir. »

Je retirai mon t-shirt, gardant mon short qui faisait maillot de bains. Marie-Laure pendant ce temps retirait son mini-short, tout en se penchant très en avant, me mettant son fessier de rêve bien en vue. C’est donc avec une trique cette fois bien prononcée que je rentrai dans l’eau à côté de cette bombe.

Nous nageâmes un moment, profitant du bien être que la fraîcheur de l’eau nous apportait, par ces temps de canicule. Cependant, elle comme moi nous nous observions du coin de l’oeil, puis de plus en plus ouvertement. J’admirai son corps de rêve, sa poitrine énorme, qui se secouait au moindre de ses mouvements, son ventre plat, sa peau doucement bronzée, et son fessier si rond et ferme. Elle, matait sans vergogne mes muscles, mes pectoraux et abdos. La tension augmentait doucement entre nous, et cela ne fit qu’empirer lorsque Marie-Laure, assise sur le rebord de la piscine, lança, l’air de rien :

« Tu te souviens de la dernière fois qu’on était dans une piscine ensemble ? »

L’évocation de ce souvenir n’arrangea pas mon érection.


« Oh oui, c’était incroyable. »

« Déjà à ce moment là, j’avais fait de toi ce que je voulais… tu te souviens comme tu gémissais, comme une fille pendant que je te baisais sauvagement ? »

Je réagis au quart de tour à cette provocation. Je la saisis par les jambes, et la tirai dans l’eau d’un coup brusque. Elle tomba dans l’eau, et coula. Je m’emparai d’elle, l’enlaçant délicieusement, et la plaquai contre la paroi de la piscine.

« Cette fois, c’est moi qui vais te faire gémir, et toi qui seras soumise. »

Je lui arrachai son bas de bikini, retirai le mien, et la pénétrai vigoureusement, m’enfonçant en elle avec délice. Je commençai des va-et-vient puissants, mais j’eus à peine le temps d’en faire un ou deux, que Marie-Laure enroula ses jambes autour de ma taille, m’obligeant à sacrément réduire le rythme de mes assauts. Puis, elle enroula ses bras autour de ma nuque, pressant sa poitrine contre mon torse, et se mit à donner des coups de reins à son tour. Je frémis d’extase, et Marie-Laure en profita pour se jeter sur moi, et me mordre le menton, avant de me tirer par les cheveux, et de me repousser au milieu de la piscine.

Elle me tint enserré entre ses jambes, et se mit à se déhancher de gauche à droite, puis de droite à gauche, bougeant son corps de déesse à fond, se servant de l’eau pour aller plus vite sur ma queue. Le plaisir me cloua sur place, et Marie-Laure, me surplombant légèrement en profita pour me servir un sourire narquois, et me lancer :

« Alors ? Ca te rappelle des souvenirs de te faire baiser comme ça ? »

Refusant d’abdiquer si vite, je me mis à mon tour à donner des coups reins, allant et venant, tout en me tenant à ses fesses rondes. Elle poussa un gémissement, avant de contre-attaquer, se déchaînant littéralement. Ce qui avait commencé comme une baise, se poursuivait comme une bataille, chacun de nous s’assénait de puissants coups de reins, si bien que l’eau autour de nous ét ait agité de vagues et de remous.
Le plaisir coulait à flot dans nos veines, nos souffles devenaient coups, et nous gémissions de plus en plus.

Marie-Laure était une très bonne nageuse, et savait très bien baise un mec sous l’eau. La dernière fois, elle m’y avait complètement dominé. Cette fois-ci cependant, j’avais un avantage : l’eau était moins profonde, j’avais pied. Si bien, que je ne fus pas complètement ballotté par ses coups de reins, et pus rester fermement en place. Je profitai que Marie-Laure soit dans une position légèrement surélevée par rapport à moi, pour la renverser, et l’étaler dans l’eau, tout en la portant. Je pus ainsi la baiser à ma guise, prenant le contrôle, et lui assénant de puissants coups de reins, tout en la tenant par le dos. Marie-Laure subit un moment mes attaques, avant de brusquement se dégager.

Elle me contourna, nageant avec célérité, et fonça droit sur les marches. Elle cherchait sans doute à quitter la piscine. Bien décidé à poursuivre sur ma lancée je la poursuivis. Je la rattrapai au moment où elle montait sur la première des marches, et la saisis par les hanches. Elle se retourna brusquement, et me tira sur la marche, m’asseyant dessus de force, avant de venir sur moi, un sourire satisfait aux lèvres.

Je venais de tomber dans son piège : m’attirer en terrain favorable, pour qu’elle puisse disposer de moi. Elle s’empala sur ma queue, et commença à me chevaucher sauvagement. Lorsque je tentai de me débattre, je réalisai que, assis sur la marche la plus basse, l’eau était trop profonde pour que je puise bouger efficacement… surtout avec Marie-Laure sur moi, qui allait d’avant en arrière à un rythme effréné en me tenant par le coup. Elle coulissait le long de mon sexe, l’enfonçant loin en elle, tout en le secouant à chacun de ses assauts. Elle accélérait progressivement le rythme, ses hanches s’activant magnifiquement pour me faire défaillir. Le pire, ce fut lorsqu’elle retira son haut de bikini, dévoilant ses seins de rêve, et m’enfonça la tête dedans m’étouffant à moitié, ce qui ne me dérangea aucunement.
Je m’occupai surtout de dévorer sa poitrine de rêve, embrassant et léchant chaque centimètre carré de peau qui passait à proximité de ma bouche. Marie-Laure pendant ce temps continuait de s’activer sur moi. Elle se déchaînait si bien, que même occupé à embrasser ses seins, je ne pus retenir un gémissement de plaisir particulièrement fort. Elle me saisit par les cheveux, et me tira la tête en arrière pour me lancer :

« Tu t’éclates mon soumis ? Tu aimes comme ta maîtresse te baise ? »

A nouveau sa provocation me donna l’envie et la force de reprendre le dessus. Je l’enlaçai, enroulant mes bras autour de son dos, et la soulevai carrément, usant de ma force. Avec un peu de difficulté, je la portai jusqu’à l’extérieur de la piscine, avant de l’étaler sans trop de ménagement sur le carrelage de la terrasse. Je vins au-dessus d’elle, et la pénétrai, avant de la baiser avec force.

« Alors ? Tu es sûre que c’est moi le soumis ? »

Elle eut un sourire narquois, et enroulant ses jambes autour de moi, me renversa d’un coup sec, venant s’installer sur moi.

« Oui, j’en suis sûre. »

Je me redressai aussitôt, bien décidé à la renverser, mais elle me saisit par la gorge, me ralentissant, et se mit à me baiser avec force, sautant sur mon sexe de haut en bas avec force et vélocité, faisant rebondir ses énormes seins. Je tentai bien de me débattre, mais la position était instable, je risquai de tomber. Marie-Laure eut donc tout le loisir de de contrôler la baise, se déhanchant de gauche à droite, allant de plus en plus vite, en me regardant droit dans les yeux en signe de défi. Je tâchai de me contenir, mais le plaisir était trop fort, aussi je ne pus m’empêcher de lâcher un grand gémissement, ce qui tira un sourire satisfait à Marie-Laure. Elle me poussa par les épaules et me plaqua au sol, pour accélérer le rythme de ses assauts allant d’avant en arrière à un rythme élevé. Ses hanches percutaient les miennes avec vigueur, ses seins se secouaient au-dessus de moi, et elle me défiait du regard, avec un sourire narquois aux lèvres. J’aurais voulu réagir, lui faire perdre de sa superbe, mais rien à faire, le plaisir était trop grand, j’en étais paralysé. Totalement maîtresse de la situation, Marie-Laure se mit à se déhancher, dessinant des huit avec son bassin, allant de plus en plus vite, jusqu’à me faire jouir dans une explosion délicieuse.

Elle se releva, l’air comblée, et plongea dans l’eau pour se rafraîchir. Moi je restai étendu sur le sol, sonné par cet intense orgasme. Marie-Laure remit son maillot de bains et fit quelques longueurs. On resta un petit moment éloignés l’un de l’autre, jusqu’à ce que soudainement, elle ressorte de l’eau, et vienne vers moi.Elle se planta devant la chaise longue, m’observant fixement. 

« Je peux t’aider ? demandai-je d’un ton innocent. »

« J’en ai marre de me rafraîchir, je veux faire remonter la température... »

« Ah ! Et ben reste au soleil, tu chaufferas vite. »

« J’ai encore mieux en réserve... »

Elle vint droit sur moi, et me grimpa dessus, s’installant au-dessus de moi, sur la chaise longue. Elle se mit à lentement frotter son cul parfaitement bombé sur mon sexe, toujours à nu qui ne tarda pas à durcir aussitôt. Marie-Laure eut un sourire satisfait en me sentant bander, et passa à la suite. Elle se pencha sur moi, s’allongeant presque, et se mit à lentement embrasser mon cou, faisant courir ses lèvres sur moi, tout en me caressant de partout, et en frottant sa poitrine sur mon torse. J’avais l’impression de cuire littéralement, tant ce qu’elle me faisait était chaud. Je m’activai, et fis courir mes mains le long de son corps de déesse, effleurant ses incroyables courbes, me demandant comment je pouvais avoir la chance de me faire embrasser par un telle bombe atomique. Elle remonta alors son merveilleux visage, un sourire aux lèvres, comme si elle avait lu dans mes pensées. Elle m’embrassa langoureusement, collant son visage contre le mien, me plaquant doucement la tête contre la chaise longue. J’enroulai mes bras autour d’elle, resserrant d’avantage notre étreinte, me filant par la même occasion un sacré coup de chaleur. Marie-Laure rompit ensuite notre baiser, et descendit sur mon torse, qu’elle embrassa avec avidité, dévorant littéralement mes pectoraux, se concentrant sur chaque centimètre de peau. Puis elle descendit sur mon ventre, sortit sa langue, et la passa entre mes abdos, les léchant avec application.

Cela me rendit complètement dingue, et après en avoir bien profité, je la retournai d’un coup, et me mis sur elle. J’avais une érection terrible, et me demandai si j’allais pouvoir tenir encore longtemps avant d’enfin passer à l’acte. Mais l’idée de profiter du corps de Marie-Laure et de pouvoir le lui dévorer à mon tour, m’aida à tenir. Je me penchai sur elle, et effleura ses lèvres avec les miennes. Elle voulut m’embrasser plus franchement, et je reculai ma tête pour éviter son baiser, lui lançant un sourire coquin. Elle voulut à nouveau m’embrasser, et je me reculai encore plus. Elle me saisit par les cheveux et m’entraîna vers elle, avant de m’embrasser très sauvagement, me dévorant à moitié la bouche. Je lui rendis son baiser sur le même ton, et nous nous embrassâmes furieusement pendant un long moment, jusqu’à nous mettre hors d’haleine.

Puis je rompis notre baiser, et me mis à lui embrasser le cou, me réjouissant de l’entendre haleter, puis je descendis sur son buste, goûtant à sa peau finement bronzée. Je lui retirai ensuite son haut de bikini, libérant sa poitrine de rêve, que je me mis à dévorer avec ardeur, enfouissant ma tête dedans, me perdant entre ces deux collines de rêve. Marie-Laure poussa un grand gémissement en sentant ma bouche s’attaquer à sa poitrine, et se démena sous l’effet du plaisir et de l’excitation. Elle souffla mon prénom, et ajouta :

« S’il te plaît… prends moi tout de suite ! »

Sa supplique eut un terrible effet stimulant sur moi, et je m’exécutai aussitôt. Je lui arrachai son bas de bikini, et enfonçai en elle mon sexe ultra-tendu. Elle poussa un gémissement, qui se transforma en une série de petits cris, lorsque je me mis à la « labourer » littéralement, allant et venant à grande allure, l’écrasant contre la chaise longue. J’accélérai progressivement le rythme, la limant si bien qu’elle en devenait folle, se secouant dans toutes les directions, et criant à en perdre la voix. Je maintins ce rythme un bon moment, avant de soudainement ralentir, jouant sur l’effet de frustration. Marie-Laure réagit au quart de tour : elle se redressa et voulut me saisir pour me renverser. Mais je lui attrapai les poignets, et les plaquai contre la chaise longue. Je me mis ensuite à la baiser rapidement et vigoureusement, puis, ralentis soudainement le rythme, allant lentement en elle, la faisant se tortiller de frustration. Je lui lançai un sourire sadique, et continuai ainsi, avant de soudainement ré-accélérer le rythme, ma queue cognant puissamment le fond de son intimité, la culbutant contre la chaise longue. Marie-Laure se mit à gémir, plutôt à crier, vibrant littéralement sous le plaisir que je lui apportais. Je malaxai ses énormes seins, les pétrissant, les pressant l’un contre l’autre, n’en revenant pas comment ils étaient beaux. Pendant que je lui massais les seins, je ne lui tenais plus les mains, et Marie-Laure en profita.

Elle me saisit soudainement par les cheveux, enroula ses jambes autour de moi, et me renversa reprenant le dessus. Elle se mit aussitôt à me baiser comme une furie, assouvissant ses désirs, à l’aide de puissants coups de reins qu’elle m’administra avec violence, me percutant délicieusement. Le plaisir déferla en moi, me clouant sur place, m’arrachant un gémissement pitoyable. Marie-Laure sourit de contentement et accéléra encore, me tenant par le menton pour m’obliger à la regarder dans les yeux, et subir son air dominateur. Bien décidé à enfoncer le clou, elle m’administra une gifle puis une autre. Je voulus aussitôt me rebeller et me redresser, mais elle me saisit par la gorge, et me plaqua contre la chaise longue, accélérant encore plus, me paralysant littéralement. Je poussai à nouveau une série de gémissements, et Marie-Laure, s’amusa à me donner de très puissants coups de reins qui me firent crier à chaque fois, souriant d’un air narquois tout le long. C’était humiliant, mais aussi et surtout très bon, et je ne pouvais rien faire. La belle continua à me baiser ainsi, me violant littéralement. Elle allait si vite, qu’on ne pouvait tenir très longtemps, et nous eûmes tous les deux un délicieux orgasme, qui nous fit crier de contentement.

Nous n’étions pas pour autant rassasiés. Marie-Laure se leva, et plongea à nouveau dans l’eau de ma piscine. Je savais bien qu’elle était douée pour dominer dans l’eau, mais, hypnotisé par le corps de rêve de cette sirène je voulais la suivre. Néanmoins, hors de question d’entrer dans l’eau pour m’y faire baiser comme d’habitude : je pris un bateau gonflable pour piscine, le lançai sur l’eau et m’installai dessus. De cette façon, Marie-Laure ne pourrait pas me dominer aussi facilement. Du moins c’est ce que je pensais.

Elle nagea droit sur moi, et plongea sous le bateau, avant de le cogner par en dessous, me faisant tomber, et m’étaler de tout mon long à l’intérieur du bateau. Rapide comme l’éclair, elle bondit à l’intérieur du bateau, arrivant par derrière moi. Elle était en parfaite position pour s’asseoir sur mon visage, comme en position de 69, et elle ne s’en priva pas.

« Lèche moi, esclave ! m’ordonna-t-elle une fois installée sur ma face. »
Je refusai, et ne ne sortis même pas ma langue. Alors, elle se pencha sur mon sexe, et le prit en bouche, avant de le mordre doucement, puis de plus en plus fort. Le message était clair ! Paniqué, et en proie à une vive douleur, je me mis alors à la lécher furieusement, activant ma langue comme jamais la faisant entrer et tourbillonner en elle. Elle se redressa et poussa un grand cri, puis se déhancha sur mon visage, dansant dessus littéralement, embrasée par le plaisir que ma langue lui procurait. Elle saisit ma bite, et me branla doucement, puis, à mesure que ma langue s’activait en elle, elle accélérait le rythme de sa branlette, me faisant vibrer de plaisir, et me poussant à la lécher avec toujours plus d’ardeur. On resta dans cette situation un bon moment, jusqu’à ce que soudain, Marie-Laure quitte mon visage, pour se retourner, et venir s’empaler sur ma queue, bien décidée à me chevaucher de face.

Elle était incroyablement sexy, mouillée de la tête aux pieds, ruisselante d’eau une lueur sauvage dans les yeux.

Elle se déhancha sur mon sexe de gauche à droite bougeant son corps de rêve magnifiquement, agitant ses énormes seins dans un mouvement hypnotique. Ses coups de reins secouaient mon sexe dans toutes les directions, me faisant trembler de plaisir, et je ne fus pas long à pousser des cris de bien être. Marie-Laure accéléra alors l’allure de son déhanché, bougeant plus vite qu’une danseuse orientale, envoyant valdinguer mon engin à la suite de ses mouvements violents. Tout en me baisant, elle me souriait d’un air narquois, et je compris que je devais reprendre le dessus. Je voulus me redresser, mais Marie-Laure n’eut qu’à bouger un peu plus vite pour me mâter, jouant sur le plaisir qu’elle me procurait, et sur les mouvements aléatoires du bateau, qui n’étaient pas très pratiques pour reprendre le dessus. Elle se mit ensuite à aller d’avant en arrière, me prenant si fortement, que ma tête cogna le bord du bateau gonflable. Elle me tenait par la gorge tout en s’agitant, et de son autre main, elle faisait passer doucement ses ongles sur mon torse, un sourire sauvage aux lèvres. Elle était entrain de faire de mon son jouet, ça ne pouvait plus durer.

Je donnai soudainement un coup contre le rebord du bateau, nous déséquilibrant fortement. Marie-Laure en était la plus gênée, et faillit tomber à l’eau. D’une main, je la poussai sur le côté, et la fis chuter dans la piscine, elle s’enfonça sous la surface, et je plongeai dans l’eau à sa suite. Je la saisis, et la plaquai contre la paroi de la piscine, et me mis à lui administrer de puissants coups de reins, écrasant son corps entre le mien et le bord de la piscine, m’enfonçant loin et rapidement en elle, lui arrachant de grands cris. Marie-Laure ne capitulait pas cependant. Elle me saisit par les cheveux, et tirant dessus, elle me plaqua à mon tour contre la paroi, reprenant le contrôle. Elle me mordit sauvagement le menton, me faisant frissonner d’excitation. Elle se remit alors à me baiser sauvagement, allant et venant d’avant en arrière en me tenant les mains, son corps entrant encore et encore en contact avec le mien dans un va-et-vient amplifié par l’eau. Le plaisir me submergeait, je me tortillai, criai, et pendant ce temps, Marie-Laure allait et venait, me baisant implacablement. Je ne pouvais juste rien faire, seulement subir, ses assauts si bons, si délicieux, frémir à chaque fois que ma bite cognait le fond de son intimité, et subir tant bien que mal son regard de dominatrice triomphante. Elle me saisit par les cheveux et me lança :

« Je suis ta reine, et toi tu seras à jamais mon esclave ! »

Elle fit un mouvement de hanche particulièrement bon, et dans un très grand cri, j’eus un orgasme dévastateur en même temps qu’elle, qui poussa un cri tout aussi fort. Nous nous écroulâmes, épuisés, vidés et comblés. Nous sortîmes de l’eau. Pendant qu’on se rhabillait, mon regard fut attiré par un mouvement, vers la fenêtre de la maison voisine. J’observai mieux, mais ne vis rien. J’avais probablement rêvé.

« On va manger ? lança Marie-Laure. Je meurs de faim. »

« Ok ma belle, allons-y ! »

« T’as aimé comment j’ai fait de toi ma chose ? »

Je serrai les dents, partagé entre l’agacement et l’excitation et lui lançai :

« Je renonce pas. Je vais te faire payer tout ce que tu m’as fait... »

Elle eut un sourire condescendant.

« Arrête d’essayer, tu te fais du mal ! Tu fais un très bon soumis, un délicieux objet à utiliser à ma convenance… ne change rien ! »

Je ne répondis rien, mais restai bien décidé à prendre ma revanche dés que l’occasion se présenterait. Une fois dans le salon, nous nous rhabillâmes, et décidâmes de regarder la télé. On était devant depuis un petit moment, lorsque je vis que Marie-Laure s’agitait sur le canapé.

« Qu’est-ce qui t’arrive ? »

« Je suis mal installée, il est nul ton canap. »

Je haussai les épaules, persuadé qu’elle jouait la comédie. Comme pour me donner raison, elle ajouta :

« Je peux venir sur toi ? Je serais mieux je pense. »

« Vas-y, prends tes aises, lui répondis-je, heureux à l’idée d’avoir son postérieur sur moi. »

Elle eut un petit sourire, et vint s’asseoir sur moi. Elle cala son volumineux postérieur pile sur mon sexe, qui sous mon pantalon et caleçon, devint très vite tout dur. Sadiquement, Marie-Laure s’amusa à se trémousser, frottant son cul contre mon engin, me chauffant à blanc.

« Je suis mal installée, se plaignit-elle, il y a quelque chose de dur qui me gêne... »

« Ah oui ? Mince, tu devrais regarder ce que c’est, et arranger tout ça… Peut être qu’en le prenant en main tu arrangerais les choses. »

« J’en doute, mais pourquoi pas essayer ? »

Elle se leva, et se mit à genoux devant le canapé, et devant moi. Elle me baissa mon pantalon, puis mon caleçon, libérant mon sexe, tendu et gonflé à bloc.

« Ah bah effectivement, je vois pas comment j’aurais pu rester assise sur un machin comme ça ! lança-t-elle d’une voix joyeuse. »

Je lui aurais bien répondu, mais au même moment, elle prit mon sexe en main, et se mit à me branler, d’abord doucement, puis accélérant le rythme. Je frémis de plaisir, et m’installai confortablement, sentant que ça ne faisait que commencer, et que j’allais vivre un grand moment. Marie-Laure me donna raison, en approchant lentement sa bouche de mon sexe, et en sortant sa langue et la faisant courir le long de ma hampe, passant la pointe sur chacune des veines de mon engin, m’arrachant des frissons de plus en plus forts. Elle donna de grands coups de langue juste sous le gland, souriant lorsque je poussai un grand cri. Elle me prit ensuite carrément en bouche, et se mit à me pomper, commençant immédiatement par aller vite et fort, pressant ses lèvres tout le long de ma hampe, accélérant subtilement le rythme au moment où j’en avais le plus envie, tournoyant sa langue en même temps pour maximiser le plaisir.. Elle comblait chacun de mes désirs, à chaque fois que je me disais que ça serait bien qu’elle accélère, ou ralentisse, ou fasse ceci avec ses lèvres, ou cela avec sa langue, elle le faisait, comme si elle lisait dans mes pensées. Elle accélérait progressivement le rythme, jusqu’à aller à une allure très élevée, inondant ma queue de salive, et me faisant un bien fou. Et ce n’était pas fini !

Elle se redressa, et sous mes yeux ravis, elle retira son débardeur, ne gardant qu’un soutif noir. Elle prit mon sexe en main, et le fit entrer dans son imposante poitrine. Tenant ses seins pour qu’ils compriment ma bite, elle se mit à aller et venir, à un rythme de plus en plus élevé, faisant coulisser ma verge entre ses deux collines. C’était la plus délicieuse des branlettes, mon sexe était étroitement comprimé, bien au chaud et disparaissait même au milieu de cette énorme poitrine. A chacun des mouvements que faisait Marie-Laure, mon sexe frétillait et vibrait, et une vague de plaisir me submergeait. Marie-Laure continua de me branler avec sa poitrine pendant de longues et merveilleuses minutes, m’arrachant des cris de plus en plus forts, jusqu’à ce qu’elle décide de s’arrêter.

Elle se leva, un sourire aux lèvres.

« T’as kiffé beau gosse ? »

« Trop ! T’es la reine des préliminaires ! »

« Je sais. Passons à la suite maintenant. »

Elle se dénuda, retirant son jean, son shorty, puis son soutif, me laissant admirer son corps de rêve. Elle sembla hésiter un temps, et me lança :

« C’est à cause de mon cul que ça a commencé, pour le bouquet final tu vas pouvoir l’admirer en pleine action. »

Et sur ce, elle s’empala sur mon sexe, toujours aussi tendu, mais en me tournant le dos. Elle se mit à se déhancher sur moi, de gauche à droite, secouant son corps de rêve, et particulièrement son superbe fessier qu’elle agitait encore et encore dans une danse infernale, qui me fit bouillir de plaisir. La voir se déhancher ainsi était vraiment excitant, et je la saisis par les hanches pour participer au mouvement. Elle me saisit les poignets et me les plaqua contre le canapé, me faisant comprendre qu’elle désirait diriger seul le mouvement. Je me serais bien révolté, mais elle accéléra le rythme, me procurant une brusque montée de plaisir. Ca, ajouté au fait qu’elle était tellement sexy, à secouer son fessier si ferme, et son corps de mannequin, que j’eus envie de me laisser faire. Elle en profita aussitôt pour ralentir soudainement, me frustrant avec des mouvements lents, qui ne faisaient que me donner envie d’avoir plus. Elle tournait régulièrement la tête et me souriait d’un air moqueur. La frustration fut terrible, mais je parvins à me contenter de la vue. J’embrassai sa nuque massai ses fesses, et patientai. Elle se mit ensuite à donner de temps à autre des coups de reins plus amples, et plus marqués, mais assez espacés au début, puis de plus en plus rapprochés, retrouvant un rythme de plus en plus infernal. Je ne tardai pas à être comme électrisé par le plaisir, et à me laisser aller contre le dossier du canapé, pendant que Marie-Laure me baisait avec une intensité retrouvée, et de plus en plus violemment. Je poussai un cri de plaisir, et tournant la tête elle me lança :

« Hmm j’aime t’entendre gémir pendant que je te baise… j’aime faire de toi mon soumis, et je sais que toi aussi tu aimes ça ! Allez avoue que… aaaaah ! »
Ses provocations m’avaient piqué au vif. Soudainement, je l’avais saisie aux hanches, et l’avais renversée à quatre pattes sur le canapé. Bien décidé à prendre ma revanche, je lui administrai tout de suite de puissants coups de reins, la faisant gémir d’une façon qui me satisfit grandement. Enfin j’avais le dessus sur elle, enfin c’était moi qui la baisais et le faisais crier. Je la saisis par les cheveux, et intensifiai mes coups de reins, tout en lui tirant la tête en arrière pour l’amener près de moi, et lui murmurer à l’oreille qu’elle était ma chienne, et que j’allais la dresser. Elle aurait sans doute voulu réagir, mais j’augmentai la cadence de mes coups de reins, et la paralysai complètement par le plaisir. Je lui claquais les fesses de temps à autres, admirant toujours leur fermeté, et accélérai le rythme, faisant hurler Marie-Laure, qui ne pouvait que se tortiller sous mes coups de butoir. Je passai un long moment à la labourer ainsi, profitant du plaisir incomparable qu’on éprouvait à baiser une fille dans cette position si animale. Puis, je la fis se redresser et se mettre à genoux, pour avoir accès à ses énormes seins, que je malaxai avec ferveur, tout en lui donnant de puissants coups de reins par en dessous. Prise ainsi de deux façons, Marie-Laure poussa une série de gémissements, qui s’intensifièrent, tandis que tout son corps se raidissait. J’accélérai l’allure, avant de la remettre à quatre pattes, en appuyant sur sa nuque, mes coups de butoir la poussant en avant. Nous frémîmes de la tête aux pieds, et sentant l’orgasme approcher, j’accélérai une toute dernière fois le rythme, nous faisant exploser de jouissance en même temps, dans un feu d’artifice de plaisir.

Marie-Laure s’écroula sur le canapé, et je m’étalai sur belle, aussi essoufflé et hors d’haleine qu’elle. Il nous fallut un petit moment pour reprendre nos esprits, et lorsque je fus en état, j’en profitai pour la narguer. L’embrassant sur la nuque, je lui soufflai :

« Alors ? Je t’ai bien démontée là… Qu’est-ce qui est arrivé à la fille qui me promettait qu’elle allait faire de moi son esclave ? »

Elle poussa un grognement en guise de réponse, et j’eus un sourire : elle était vexée, c’était clair. On resta un moment à regarder la télé, puis elle me proposa :

« Ça te dit un tour de voiture ? »

Je sus immédiatement ce qui se cachait derrière cette proposition : les deux dernières fois qu’on s’était vus, on avait baisé dans une voiture, et on en avait gardé un souvenir mémorable. Et à chaque fois, c’était elle qui avait mené la danse. Elle espérait sans doute effacer ce qui venait de se passer sur le canapé dans la voiture. Cependant, je répondis :

« Et comment que ça me dit ! C’est moi qui conduis par contre. »

J’avais bien l’intention de la dominer là où elle m’avait si souvent dompté.

Nous roulâmes un bon moment, Marie-Laure assise à côté de moi sur le siège passager. Lorsque je trouvai un parking tranquille, je m’y arrêtai. On se regarda un moment, puis on se jeta l’un sur l’autre. Je bondis sur le siège passager, et venant sur elle, je la plaquai contre le dossier. Elle me saisit par les cheveux, et me renversa, reprenant le dessus et s’installant sur moi. Me plaquant à son tour contre le dossier du siège, elle m’embrassa férocement, collant son corps contre le mien. Elle me retira mon t-shirt, et se penchant sur moi, passa sa langue entre mes muscles, les dégustant avec ferveur. J’adorais ce qu’elle me faisait, mais si je ne voulais pas finir dominé, je devais réagir maintenant.

Je la saisis par les hanches, et la soulevant, la poussai sur la banquette arrière. Je vins aussitôt sur elle, et l’allongeai sur la banquette, l’y plaquant fermement. Je lui retirai son jean, puis son shorty, me débarrassai de mon pantalon et caleçon, avant de la prendre en missionnaire. A genoux sur la banquette, la tenant bien fermement par les fesses, pour la maintenir dans une position pratique, je me mis à lui asséner de puissants coups de reins, d’avant en arrière, la prenant suffisamment fort pour qu’elle se tienne tranquille. Elle ne put en effet que gémir en subissant les assauts de mon sexe, qui la limait avec de plus en plus de force, allant plus loin en elle.

« Déshabille-toi ! lui ordonnai-je. »

Pour mieux appuyer mon ordre, je lui donnai un gros coup de rein qui la fit gémir, et obtempérer. Elle retira son débardeur, puis son soutif, libérant sa poitrine. Je me mis alors à accélérer l’allure, si bien que ses gros seins se mirent à se secouer sous mes yeux, vision ultra excitante qui me rendit fou, et me fit la baiser avec encore plus de sauvagerie. Je l’incendiais littéralement, et lui arrachais des gémissements de plus en plus forts, tout en malaxant ses seins. Le rythme que j’adoptais était si soutenu que ça ne pouvait se finir que d’une seule façon : Marie-Laure eut un orgasme, qui la fit vibrer de la tête aux pieds, et la laissa à moitié sonnée sur la banquette.

N’ayant pas encore joui, je la retournai, et la fis se mettre à quatre pattes. Bien décidé à la mater, je la sodomisai, entrant dans son cul avec force, lui arrachant un cri de douleur. C’était assez méchant, j’en avais conscience, mais pour me venger de tout ce qu’elle m’avait fait, il fallait au moins ça. D’autant que lorsque je me mis à aller et venir en elle, les cris de plaisir prirent très vite le pas sur les cris de douleur. J’accélérai progressivement le rythme, frissonnant de plaisir en sentant mon sexe si délicieusement enserré dans ce cul étroit. Plus j’allai vite, et plus Marie-Laure gémissait, et plus alors j’avais envie d’accélérer. Je finis ainsi par baiser le cul de Marie-Laure, lui arrachant d’énormes cris de plaisir, tandis que moi même, je prenais un tel pied que des étoiles dansaient devant mes yeux. Je la saisis par les cheveux, et lui criai :

« Tu aimes comme je te prends le cul, ma soumise ? Tu aimes ça pas vrai ? Allez crie le ! »

Je lui donnai un nouveau gros coup de rein, et elle hurla :

« Oui ! J’adore comme tu me prends, continue, continue je t’en supplie ! »

Je frissonnai de plaisir en l’entendant crier cela, et me mis à brutalement accélérer le rythme, donnant tout pour le sprint final. Mon sexe passait et repassait entre ses fesses rebondies, le plaisir me submergea en une vague de plus en plus brûlante, tandis que Marie-Laure criait de plus en plus fort, en se secouant de tous côtés. Ce fut bien vite insupportable, nous vibrions de plaisir, gémissions, étions hors d’haleine, et pourtant inlassablement, je continuais d’aller et venir, nous amenant au bord de l’évanouissement. Jusqu’à ce qu’enfin, dans une explosion salvatrice, j’explosai dans un incroyable orgasme, me déversant en elle à grands jets, tandis qu’elle aussi jouissait dans un cri plus aigu que jamais.

Je m’assis un moment sur la banquette, essoufflé, et ivre de plaisir. Je me penchai sur Marie-Laure, et susurrai d’un air moqueur :

« Je rêve ou tu m’as supplié de te sodomiser plus fort ? Je crois que finalement, c’est moi qui te rends docile, non ? »

Elle se redressa lentement, et me regarda droit dans les yeux.

« Rentrons chez toi. Tu vas me payer ça, et au prix fort, tu peux me croire ! »

Elle avait un air déterminé, mais je ne dis que sourire d’un air moqueur devant sa réaction. On se rhabilla, puis je pris le volant, et démarrai, direction ma maison. Pendant tout le trajet, Marie-Laure ne dit pas un mot, le visage toujours marqué par son air déterminé. Je sentais bien, à la voir comme ça, qu’il allait se passer quelque chose de très très chaud…

Une fois arrivés à la maison, je descendis de la voiture, et Marie-Laure en fit autant. Nous rentrâmes dans ma maison, d’abord elle, puis moi. Comme elle était devant moi, je pus l’admirer de dos, mâter son postérieur qui se balançait sous son jean, et son corps de rêve dévoilé par son débardeur. Je fus bien vite excité par cette vision, si bien qu’à la seconde où nous entrâmes dans mon salon, je me jetai sur elle.

Je la saisis par les hanches, et la retournant, je la plaquai contre le mur, avant de l’embrasser avec force. Surprise, elle me saisit par les épaules, et me colla contre elle, tout en répondant à mon baiser avec la même ardeur. Je descendis lentement sur son cou, puis son décolleté, que je léchais, avant de revenir l’embrasser sur la bouche, tout en continuant de me coller contre elle avec force, soudant nos deux corps parfaitement dessinés. Pendant le baiser, Marie-Laure me retira mon jean, et me massa le sexe à travers mon caleçon. Sous l’effet du brusque plaisir qui me saisit alors, je me reculai brusquement et grognai :

« On s’est assez embrassés, allons là haut pour passer à la suite. »

Elle eut un sourire excité qui en disait long sur son accord. Je la saisis par le poignet, et l’entraînai dans l’escalier jusqu’à ma chambre. Pendant le trajet, elle retira son jean, et l’envoya valser dans le couloir menant à ma chambre. Je fis pareil avec mon t-shirt. Une fois dedans je tenais toujours Marie-Laure par la main, et voulus la tirer pour la jeter sur le lit, mais ce fut elle qui tira sur mon bras la première, et m’attira contre elle. Elle enroula un bras autour de mon cou, et m’embrassa langoureusement, d’un baiser si chaud et suave, que j’en perdis le souffle. Mais de son autre main, elle me saisit par mon sexe ultra-tendu à travers mon caleçon, et le serra fort. Je poussai un grognement de douleur, et voulus me débattre, mais elle serra encore plus fort, m’obligeant à rester tranquille.

Elle me poussa ensuite sur le lit, et alors que je m’effondrai dessus, elle sauta sur moi, et s’installa à califourchon sur moi. Elle se mit à frotter son fessier sur mon sexe tendu, ce qui me fit bien sûr, vibrer de plaisir. Je bandais comme un fou, et en plus, je ne portais qu’un caleçon, et elle qu’un shorty, si bien que les sensations étaient décuplées. Elle me branlait ainsi si vite et fort, que si j’avais été moins endurant et expérimenté, j’aurais été au bord de la jouissance. En attendant, elle souriait d’un air narquois et satisfait, ravi qu’elle était de me faire ce qu’elle voulait. Elle avait le dessus sur moi, ça ne devait pas durer. Je me redressai, mais elle me saisit à la gorge, et me plaqua contre le matelas. Je voulus me débattre, et Marie-Laure devait savoir que dans l’épreuve de force, elle ne pourrait pas gagner. Elle glissa donc sa main dans mon caleçon, et me saisit à nouveau le sexe, le branlant énergiquement, tout en le serrant fort, me tenant à sa merci. Elle me retira ensuite mon caleçon, et s’empala sur moi d’un coup. Elle démarra alors de puissants va-et-vient, me donnant de gros coups de reins qui me culbutaient contre le matelas. Je voulus me rebeller, mais elle allait si vite et me maintenait si bien cloué au matelas avec ses bras, que je ne pouvais rien faire. Elle me toisait d’un air sauvage, et ravi, et je sus alors qu’elle exultait de prendre sa revanche.

J’étais bien décidé à ne pas me laisser faire cependant : ne pouvant reprendre le dessus, je me mis à donner de gros coups de reins par en dessous, arrachant des cris à Marie-Laure. Elle répliqua en accélérant le rythme de ses assauts, allant d’avant en arrière encore plus vite, m’obligeant à ralentir. Un sourire moqueur apparut sur ses lèvres, et dans un sursaut d’orgueil, je me ressaisis et lui administrai deux gros coups de reins qui la firent se raidir et pousser un cri de plaisir. Je voulus en profiter pour la renverser, mais elle me recadra d’une gifle, avant d’enchaîner avec une série de coups de reins de gauche à droite, qui malmenèrent ma queue, et me paralysèrent à nouveau de plaisir. Marie-Laure augmenta la cadence, suffisamment longtemps pour me tenir complètement sonné, le tout avec son air de diabolique supériorité. Un sournois sentiment de défaite s’insinua en moi : j’avais beau m’être bien rebellé aujourd’hui, à nouveau je finissais par me retrouver en dessous d’elle à me faire baiser. J’avais beau me débattre, tout essayer, rien n’y faisait, Marie-Laure gardait le contrôle. Je tâchai de tenir le plus longtemps possible, mais elle accélérait progressivement le tempo, et finit par aller à très vive allure, sans jamais mollir, si bien que je ne pus tenir très longtemps et explosai dans un orgasme monstrueux, qui me laissa écroulé et vidé sur le matelas.

Mais Marie-Laure n’en n’avait pas fini avec moi. Pendant que je me remettais de mon orgasme, elle se leva, et fouilla dans son sac qu’elle avait laissé dans ma chambre. Elle en sortit une paire de menottes, qu’elle s’empressa d’attacher autour de mes poignets. Trop sonné pour réagir, je me retrouvai totalement à sa merci.

Marie-Laure s’installa à califourchon sur moi, et susurra :

« Hmm qu’avons nous là ? Un bel Apollon pieds et poings liés… tu es à moi beau gosse. »

« Détache moi, et on verra qui est à qui... »

« Non, trop tard. Tu as voulu te rebeller, et tu as perdu. Maintenant savoure ta défaite... »

Elle se pencha sur moi, et embrassa mon ventre, dégustant mes abdos avec un plaisir évident, avant de remonter sur mes pectoraux, qu’elle mordilla légèrement tout en les embrassant. Elle redescendit ensuite, jusqu’à mon sexe, qu’elle prit lentement en bouche, et me suça avec passion, allant à un rythme lent, histoire de faire monter doucement le plaisir. Elle accéléra progressivement, faisant tournoyer en même temps sa langue le long de ma hampe, puis passa sur mon gland qu’elle pompa et lécha, me faisant trembler de plaisir. Elle reprit ensuite toute ma queue en entier, et accéléra l’allure, avant de brusquement ralentir, puis recommencer à accélérer et ainsi de suite. Elle me faisait danser sur des charbons ardents, j’oscillais entre plaisir et insatisfaction. Elle finit cependant par me sucer à un rythme élevé et régulier, me faisant trembler de tout mon corps et pousser des cris de plaisir.

Quant elle estima m’avoir sucé suffisamment longtemps, elle prit mon sexe, et le cala dans sa grosse poitrine. Comprimant ses seins autour de mon engin, elle se mit à aller et venir, me branlant délicieusement, allant de plus en plus vite, tout en me regardant dans les yeux avec un sourire coquin. Je me trémoussais un peu, histoire de baiser un peu ses seins, et d’augmenter le plaisir que j’en tirais, et Marie-Laure, loin de me repousser, accéléra encore plus l’allure, histoire de rendre cette branlette espagnole encore plus délicieuse. Je ne tardai pas à gémir, et elle aussi, car sa poitrine faisait autant de bien à mon sexe que mon sexe en faisait à sa poitrine. Elle continua à me masser ainsi avec ses énormes obus pendant de longues minutes, puis elle s’interrompit pour passer à la suite.

Elle vint sur moi, et s’empala sur ma queue. Ses yeux brillaient de plaisir, et je compris qu’elle allait savourer sa victoire et me faire vivre un vrai calvaire. Et en effet, elle démarra de lents va-et-vient, qui me faisaient du bien, mais pas assez pour me satisfaire, juste assez pour me frustrer. Et elle continuait comme ça, bougeant doucement son bassin, déhanchant lentement son corps de déesse, tout en me regardant droit dans les yeux d’un air moqueur et dominateur. Je me débattis un petit peu, mais elle me colla tout de suite une gifle pour me recadrer. Attaché comme j’étais, je ne pouvais rien faire. Je devais subir cette baise lente et frustrante, et l’air supérieur de Marie-Laure.

« Hmmm ! Une fois de plus, tu te retrouves soumis à moi, mon beau. Ca fait quel effet de se retrouver à nouveau en mon pouvoir ? »

« Fais pas la maligne, répliquai-je, je t’ai malmenée plus d’une fois aujourd’hui... »

« Mais à la fin, c’est toujours moi qui te soumets… Eh oui ! »

Pour illustrer son propos, elle se mit à accélérer le rythme, me baisant avec une force soudaine, pour ensuite ralentir à nouveau, puis réaccélérer, me rendant complètement fou. Elle me colla une nouvelle gifle et me cria :

« Alors ? Qui a gagné ? Qui ? »

Elle accéléra encore le rythme, et cette fois-ci ne ralentit pas, dansant sur mon sexe, ses énormes seins se secouant devant moi, tandis que des vagues de plaisir me submergeaient. Je poussai des cris de plus en plus forts, et Marie-Laure se joignit à moi, car à chaque aller retour, elle enfonçait mon sexe loin en elle, se procurant un plaisir fou.

« Hmmm ta queue est trop bonne !! C’est tellement booon d’avoir un esclave si bien membré ! »

Entre deux cris, je protestai :

« Je suis pas ton esclave ! »

Elle me saisit par les cheveux, et m’obligea à la regarder, tout en me donnant de puissants coups de reins.

« Si, et tu vas l’admettre tout de suite, sinon je vais te faire mal. »

« Je demande à… aaaargh ! »

Elle s’était mis à me tirer les cheveux, tout en accélérant le rythme sauvagement, me violant littéralement. J’avais vraiment mal à la tête, là où elle me tirait, mais en même temps, elle me faisait tellement de bien ! Je détestais la situation, je détestais être en son pouvoir, et surtout je détestais adorer ce qu’elle était entrain de me faire… Je dus capituler.

« Ok ! Ok, oui je suis ton esclave, je suis désolé ! »

Souriante, elle me lâcha, et je m’écoulai sur l’oreiller. Elle arrêta ses coups de reins, et me demanda :

« Qu’est-ce que tu veux, maintenant ? »

« Que tu me violes, soufflai-je. »

« Comment ? J’ai mal entendu... »

« Que tu me violes ! criai-je. »

« Supplie moi. »

« Je t’en supplie, viole moi ! »

Avec un sourire triomphant, elle se mit à aller et venir d’avant en arrière à fond, me culbutant avec une ardente férocité, ses hanches s’emboîtant dans les miennes avec délice. Elle y allait si fort, que j’en étais ballotté littéralement, secoué dans toutes les directions par ses coups de reins de plus en plus forts, tandis que le plaisir montait et montait en moi, faisant vibrer chaque centimètre de mon corps. J’avais l’impression de brûler littéralement tant ce qu’elle me faisait était bon. Je poussais des cris, Marie-Laure me griffait, me donnait des gifles accélérait le tempo pour me malmener la bite et elle faisait ça sans jamais ralentir ou mollir. Au contraire elle allait de plus en plus vite, me regardant droit dans les yeux d’un air supérieur et dominateur. Je me sentais très soumis, attaché et baisé ainsi, entièrement à sa disposition. Je n’étais plus qu’un jouet dont elle usait à sa guise, elle s’empalait sur mon engin avec de plus en plus de vigueur gémissant de plaisir à chaque coup, tout en pressant ses énormes seins devant mes yeux émerveillés. Avec la vue qu’elle m’offrait, plus le plaisir qu’elle me procurait en me baisant toujours plus fort, je ne pouvais pas tenir plus longtemps. J’explosai de plaisir dans un orgasme qui me fit hurler et fit se soulever mon corps dans un sursaut d’extase. Marie-Laure eut elle aussi un orgasme et s’écroula sur moi, épuisée et comblée.

« Oh la vache, comment je t’ai démonté à la fin ! me lança-t-elle d’un ton moqueur. »

J’eus un sourire faible.

« Je l’admets. Mais toi admets que je t’ai bien malmenée aujourd’hui. »

« Ouais… la prochaine fois je te le ferai payer. »

Elle me détacha, on se rhabilla, et elle partit de chez moi. J’avais hâte de la retrouver pour une prochaine baise.

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