Les Brebis De Dom

J'ai trouvé un bois au nord de la ville, un bois charmant, tranquille. Je me suis assis un jour, las de la voiture. Le talus du chemin est bien pour une minute, pas plus. Je trouve une vielle souche d'arbre hospitalière. J'y repasse souvent. L'autre jour je suis gênée par des sonnailles de moutons. Mais c'est la nature, je ne dis rien. Par contre je réagit en voyant de conducteur des ovins. Il a, disons 25 ans, des yeux bleus clairs, une taille fine, des jambes longues dans un short très court. Je ne peux pas exprimer quelque chose de négatif : elle est trop mignonne, trop délicieuse, céleste presque. Sans gêne elle vient s'asseoir près de moi. Son sourire me désarme.
Alors moi, vieux bougon de 40 ans, je me laisse faire par une jeune bergère ? Qui en plus pourrait être ma fille ? On aura tout vu sur cette terre. Mais son visage est si beau, si affectueux, si cajoleur. Son compagnon arrive, la longue langue dehors, laissant fuiter des gouttelettes de salive. Joli chien aussi qui la surveille comme le lait sur le feu. J'ai même l'impression qu'il ne faudrait pas que je m'approche trop de la bergère.
C'est elle qui commence :
-Je vous ai vu plusieurs fois par ici.
Oui, c'est vrai, j'aime cet endroit calme.
Seuls les moutons font du bruit. Même moi je ne l'aime pas trop. Je préfère ma ville.
Votre ville ?
Oui, je fait médecine à Rangueil à Toulouse quoi (elle me prend en plus pour un demeuré). Je suis en vacance chez moi à la maison, je donne un petit coup de main.
Le temps passe, je suis obligé de partir. Comme ça, parce que ça ce fait,t je lui dit
A demain matin.
Je me traite d'imbécile, qu'elle idée j'ai eu, polie mais idiote idée. Mais, basta, demain est un autre jour. Elle m'attend. Vue de loin elle est plus belle, désirable, un cadeau du ciel pour moi célibataire endurci antiféministe convaincu. Elle doit me narguer en faisant de loin de signe de bienvenue.
Tant pis pour le temps perdu, je stoppe.

Le chien même vient vers moi avec sa queue tourbillonnante. Je tends la main pour la saluer, elle simple pose ses lèvres sur ma joue. Un tendre baiser pas sexuel pour un sou. Elle me prend par la main me traîne sur la souche. Elle commence à parler de ses affaires, des miennes, du temps, de la guerre là bas, du monde, de ses études, de mon travail, bref elle cause et moi j'écoute patiemment, presque étonné qu’une femme parle si intelligemment d'un peu de tout. Finalement je connais même son nom : Dom
Elle parle tant que je reste un peu abasourdi. Il faut quand même que je reparte. Mais le lendemain quelque chose me dit qu'il faut absolument que je le revois. Fidèle à ses brebis, elle est là, me sourit largement. Nous sommes à peine assis que j'ai une envie présente : j'ai besoin de sa bouche.
Je déclenche un cataclysme qui dure encore. Comme dans les dessins animés nos lèvres doivent déclencher un éclair. Nos langues si livrent une bataille atroce dans nos bouches. Je n'ai pas embrassé grand monde depuis quelque temps, mais je ne connais aucune bouche si voluptueuse que la sienne. Je prends son menton, Dom passe ses bras autour de mes épaules. Le chien nous regarde puis se couche en attendant une suite que nous ne connaissons pas. De la bouche je passe au cou, aux épaules, je baisse le vague corsage. J'ai envie d'elle. Je n'ai jamais eu envie d'une femme comme maintenant. Je sens même que le bande. A mon âge, bander pour un simple baiser prolongé. Et elle, elle ne peut pas arrêter sa langue qui me cherche dans des endroits pas possibles. C'est bien une femme qui cherche à déstabiliser l'homme. Elle le fait en réalité ou c'est moi qui perds l'équilibre : je glisse doucement sur le sol en l’entraînant. Bien sur elle s'arrange pour être juste sur moi pour me faire sentir ses seins. Ils sont durs, doux et durs à la fois. Nos bouches ne se quittent pas , je suis même trahi par mes lèvres. Je pose une main sur ce que je peux, c'est une fesse, et alors, elle est douce là aussi.

Par contre je ne sais pas pourquoi je m'obstine à chercher les boutons de son chemisier, elle l'a ouvert déjà en pensant sans doute que j'allais y mettre une main. Pas du tout ce sont deux mains qui fouillent. Elle doit le faire exprès d'être si gentille avec moi.
Elle sent contre son ventre la grosseur de mon sexe: elle me fait bander, et se demande pourquoi ! Elle ouvre ma braguette, fait sortir ma queue. D'accord elle mériterait un coup de savon. Sa main entoure la bite. Elle me branle parfaitement. Je ne vais pas la laisser faire, je réagis à enlevant la petite culotte magnifique rempart de sa féminité. Je ne me plains plus, Dom est si jolie de ce coté avec une fente bien tracée, sans reliquat qui en sorte. Et son petit endroit fripé digne d'un tableau canaille. Elle est coquine quand même : elle sait arrêter ses caresses avant que je parte.
Je n'en peux plus, elle me cherche des noises, je vais les rendre : je glisse doucement une main de ses fesses vers son ventre. Elle s'y attendait en me donnant l'orée de son sexe. Dom y est trempée : je touche à peine, je caresse doucement comme si elle était une vierge du temple. Décidément je croyais avoir affaire à ne néophyte, tu parles elle doit en savoir plus que moi.
Je vais sur elle, décidé à me soulager en elle. Pas question, je n'ai pas de préservatif. Et puis son plaisir aussi.
Elle me fait tourner, me présente son bas ventre, en venant sur moi. Elle me donne son sexe sur la bouche. Ainsi à son âge elle connaît ces caresses particulières qu'on se donne avec la langue. Pour moi, elle serait la plus jeune qui me donnerai sa chatte. Je ne refuse pas ce genre de cadeau, au contraire. Je sois être en retard dans les mœurs. Je lèche doucement en goûtant son odeur discrète. Elle m'a pris presque toute la queue dans la bouche. Sa langue sait exactement ce qu'il faut faire. J'ai beau me tendre, je ne tiens pas longtemps. J'éjacule tout ce que j'ai dans sa bouche sans même penser à l'en avertir.

Je m'attend à un geste de refus : elle avale le tout en souriant encore.
Ben tu en avais dans tes couilles.
Excuses moi !
De quoi, d'avoir joui, j'ai fais ce qu'il fallait non?A ton tour, lèche moi.
Je n'ai rien à dire, je fais ce qu'elle veut. Ma langue passe partout, je me souviens des recoins, des méandres d'un corps de fille. Elle en gémit presque d'une façon vulgaire. Elle cri même sa jouissance, au point que le chien lève la tête en reniflant
Elle se rhabille convenablement, réunit ses animaux pour partir. Je reste à moitié nu. Elle me dit simplement

Salut, à demain.
On recommencera ?
Bien sur.
J'en suis moins sur. Pourtant le lendemain j’obéis à mes sens. Je reviens la voir, la voir ou la baiser ? Nous baisons comme si le monde en dépendait.
Arrive le jour fatidique, elle doit partir pour sa dernière année de spécialisation en interne à Toulouse.
-J'ai tes coordonnées, je t'appelle avant de venir. On baisera encore
-Sans préservatif, j'ai horreur de ça.
Fais un analyse dans un labo, c'est gratis. Après comme tu seras sain, te me la mettra sans rien, je préfère aussi.
Et si je vais de voir un soir ?
Pas chez moi, à la citéU, à ton hôtel.
Les jours sombre passent jusqu'au moment où je peux aller à Toulouse. Je réserve une chambre splendide rien que pour elle. Nous passons deux jours merveilleux, elle me fait la baiser comme jamais, elle est dingue de ma queue de mes mains, de ma langue. Elle me donne tout, jusqu'à son petit trou qu'elle refusait
Arrive le jour où elle me demande de rester chez moi. C'est elle qui vient. Nous baisons à la va vite, elle me traîne chez elle.
Son père est d'accord. Nous nous marions dès la fin des études. Je la mènerais à l’hôtel de monsieur le curé avec une belle pine au cul, s'il le faut. Ah, elle veut des s.

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