Dans Les Bois

Bonjour je suis Wilson, j’ai 36 ans et l’histoire que je vais vous raconter est une histoire totalement vraie.
Près de chez moi il y a un grand jardin public qui ressemble plus à un champ sauvage avec un étang et une colline en grande partie boisée, avec plein d’allées qui serpentent entre les arbres. Le soir, en afterwork, les cadres des grosses sociétés alentour viennent s’y soulager de leur dure journée avant de rentrer embrasser bobonne et les s… bref du sexe direct, sans blabla, comme j’aime.
Ce soir là je me balade donc dans les allées des sous bois à la recherche d’un peu de plaisir et je remarque un gars qui tranche avec la faune habituelle en costume, il est vêtu d’un short, de baskets et d’un petit sac à dos sur son t-shirt, le genre jogger, sauf que les joggers restent sur les sentiers balisés près de l’étang et que celui-ci ne cours pas. Il m’intrigue un peu car il n’a pas l’air de draguer non plus, je commence à le suivre discrètement, il a un joli cul dans son petit short. Il se ballade sur les allées et j’aurais lâché l’affaire s’il ne me lançait de temps en temps un petit regard en coin, comme pour s’assurer que je le suis toujours, mais il ne s’arrête pas ni ne fait d’autres gestes en ma directions. Ma libido au taquet, je continue à le suivre quand je le vois quitter le sentier et s’enfoncer entre les fougères sous les arbres. J’hésite un instant puis malgré ma peur d’être tombé sur un casseur de PD (ça arrive malheureusement et le coin est un peu connu et parfois mal fréquenté) je décide de le suivre aussi, je m’enfonce dans les sous bois à mon tour mais je ne vois plus que sa casquette au dessus des fougères, qui apparaît par intermittence à cause du sol irrégulier. Je fini par déboucher dans une zone ou les herbes sont basses et j’aperçois mon inconnu debout au bord d’un petit ravin. La main gauche appuyée à un arbre, il me tourne le dos et semble être en train de pisser dans le vide qui s’ouvre sous ses pieds.

Je déboutonne ma braguette et viens me placer à ses coté comme si je voulais pisser moi aussi. Il se secoue la dernière goutte, me regarde d’un air entendu et me dis : « elle te plaît ? » je fais oui de la tête, alors il lève son bras et viens le poser sur mon épaule, le message est clair, je m’agenouille mais il me retiens et m’attire vers lui pour me rouler une pelle, il a de beaux yeux bleus, 40-45 ans et quoique brun il n’est pas très poilu. Sa langue est douce et chaude et virevolte dans ma bouche, j’aime !! Il se recule et appuie doucement sur ma nuque en disant « ok ! ». Je m’agenouille pour de bon cette fois ci et saisi son membre qui commence à prendre de l’ampleur dans mes mains, je lui dégage les couilles encore cachées dans son slip, les soupèse un peu, elle sont moyennement poilues, lourdes et bien pendantes. Je pose mes lèvres sur son gland et m’enivre quelques secondes de l’odeur de mâle qui émane de son entre jambe, cette odeur douce amère de sueur, d’urine et de muqueuse qui a macéré dans un slip un peu serré toute une journée. Cette odeur me rend fou de désir… je gobe son gland puis prend sa queue qui se raidit de plus en plus aussi profond que je peux sans avoir de haut le cœur, ses poils pubiens délicatement parfumés de cette même odeur de mâle me chatouillent les narines et tandis que je commence des vas et viens sur sa bite raide et que je lui décalotte le gland à coup de langue, mes mains se posent sur ses fesses que je devine fermes à travers le tissu de son short. Je glisse mes mains à sa taille et descend le vêtement qui glisse sur ses chevilles dans un soupir d’aise de mon bel inconnu. Je palpe à nouveau ses fesses et glisse mes mains au chaud au contact de sa peau en passant sous les élastiques de son slip, je ne m’étais pas trompé, ses fesses sont incroyablement fermes et pour autant d’une douceur incroyable malgré le léger duvet que je devine sous mes doigts, ce contact dur et doux à la fois, cette peau au toucher satiné, m’évoquent les fesses d’une statue de marbre, j’en veux encore plus et retirant mes mains de son merveilleux petit cul, je saisi l’élastique de son slip à la taille et le descend tandis qu’ils s’enroule sur ses cuisses.
J’ai désormais tout loisir de caresser ces superbes fesses tandis que son sexe parfumé roule sous ma langue. Sa main droite me caresse gentiment la nuque et tandis qu’il soupire de plaisir, son index gauche me caresse la tempe dans un geste d’une grande tendresse. Levant les yeux vers lui, je lis dans les siens le plaisir et la bienveillance, je n’ai rien à craindre de lui, il ne me fera que du bien. Rassuré et de plus en plus excité, j’accélère la cadence sur sa queue et ses soupirs de plaisir laissent bientôt place à de petits gémissements qu’il essaie de contenir. Même si on ne peut pas nous voir nous ne sommes qu’à une cinquantaine de mètre du sentier et on pourrait nous entendre…son bas ventre s’anime bientôt de soubresauts qui traduisent une montée du désir, je ne suis pas en reste même si ma queue est à l’air libre je me sens maintenant à l’étroit dans mes vêtements que je n’ai pas ôtés. Je prend quelques secondes pour baisser pantalon et boxer et un petit courant d’air frais viens stimuler mes fesses devenues très humides tellement ma raie est mouillée de désir. Ce petit intermède à suffit pour qu’il reprenne possession de ses moyens et tandis que je le reprend en bouche et qu’il pousse un soupir plus profond, je sens que malgré un désir intact, sa tension sexuelle est descendue et à repoussée ainsi une fin que ni lui ni moi ne souhaitons trop rapide. Je m’active donc à nouveau sur sa queue et avale la salive que j’y ai déposé et qui s’est imprégnée de son odeur de mâle, c’est un pur régal et mes mains lui massent énergiquement les fesses pour lui signifier mon plaisir, j’insinue aussi un doigt entre ses globes, et si la caresse de sa raie et de son petit orifice lui arrache de nouveaux gémissement et s’accompagne d’un ou deux spasmes du bassin, lorsque j’essaie de m’introduire il se raidit et d’un ton ferme mais neutre, un ton exempt de violence ou de colère, presque bienveillant, il me dit juste « s’il te plaît… non », je n’insiste pas plus et recommence à lui caresser les fesses mais il se retire de ma bouche, plonge son regard azur dans le mien et me demande :
- « Tu aimes ça toi… Derrière ? »
- « Oui… »
- « Tu veux… ? »
- « Si tu veux, toi »
Il me tire alors par les bras pour m’aider à me relever et me demande si j’ai une capote, j’en prend une dans la poche de mon pantalon tirebouchonné sur mes chevilles et tandis que je me retourne et m’agrippe, penché en avant, au tronc d’arbre, pour lui présenter mon trou et lui faciliter la manœuvre, je l’entend déchirer l’emballage et enfiler le préso.
Il pose alors ses mains sur mes hanches de part et d’autre et m’attire vers lui, je sens sa queue sur mes fesses puis se faufiler dans ma raie, il donne quelques coup de bassin et son engin coulisse de bas en haut entre mes fesses, il att son sexe de la main droite et le guide vers mon trou. Je sens son gland qui pousse sur mon orifice tandis qua sa main reprend sa place sur ma hanche et qu’il m’attire vers lui, forçant ainsi son membre à entrer en moi, ça tire un peu alors je pousse sur mon sphincter pour faciliter l’entrée et d’un coup il pousse un grognement tandis qu’il s’enfonce en moi et que son pubis viens se coller à mes fesses. J’adore cette sensation de remplissage, la plénitude que cela procure, le sentiment d’être complet, et je ne peux pas m’empêcher de gémir quand il commence à aller et venir, en m’entendant il s’arrête et me demande :
- « Ca va ? »
- « oui, t’inquiètes, c’est bon, vas y, prend moi ! »

S’agrippant alors à mes hanches un peu plus fort il se met à me donner de grands coups de reins, faisant coulisser sa belle bite dans mes entrailles. Enhardi par mes gémissement (j’ai toujours peur qu’on nous entende mais je ne peux pas me retenir tellement il me fait du bien) il se laisse aller à gémir lui aussi. Ses couilles qui pendaient si bien tout à l’heure viennent claquer les miennes chaque fois q’il s’enfonce et le rythme s’accélère encore. Il me pistonne désormais sans ménagement, laissant échapper entre deux grognement un « putain !! » qui en dit plus long que tout les discours sur le pied qu’il prend à m’enculer ainsi. Coté plaisir je ne suis pas en reste et si je prend un pied d’enfer à être dosé comme ça, contre un arbre, par cet inconnu, ma bite me fait mal tellement elle réclame qu’on s’occupe d’elle, je commence donc à me branler tout en continuant de recevoir le assauts de mon merveilleux amant. Mes caresses décuplent le plaisir qu’il me donne et mon anus se contracte de toute cette jouissance que je reçois, je sens ainsi mieux sa queue qui coulisse et palpite tandis que ses mains se crispent plus fort sur mes hanches.
Soudain dans un grognement plus long et plus puissant que ceux qu’il a donné jusque là je le sens exploser en moi, il s’affale de tout son poids sur mon dos et alors que tous ses muscles se relâchent, ses reins m’envoient encore quelques coups sporadiques. Je sens sur mon dos son cœur qui bat la chamade et son souffle court qui balaie ma nuque. Il reste ainsi quelques secondes puis décule, et cet ultime mouvement de sa queue dans mon tréfonds me fait exploser à mon tour, mon sperme arrose copieusement le bas du tronc auquel je suis toujours appuyé. Je reste ainsi quelques instants savourant l’intense plaisir qui parcours mon corps et je n’ai pas encore repris mes esprit qu’il a remonté son slip, son pantalon, il glisse dans sa poche la capote qu’il a noué et l’emballage qu’il a ramassé, il m’embrasse sur la joue, dans la nuque et murmure à mon oreille : « merci, merci beaucoup…) je lis la sincérité dans ses yeux lorsqu’il me jette un dernier regard avant de tourner les talons et de s’enfoncer dans les fougères en direction du sentier. Et, tandis que le soir tombe sur moi, nu, dégoulinant de sueur et de sperme, je prends conscience de la magie de cet instant. De lui je ne connais ni son nom ni sa vie, ni même si je le reverrai, mais personne ne nous enlèvera cet instant hors du temps où nous nous sommes donnés l’un à l’autre, sans arrière pensée, sans fard ni faux semblant, sans calcul, juste envie de nous abandonner tout entiers au plaisir, là au fond des bois.

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