Satine Et La Sororité « Beta, Zêta, Gamma » 2

Satine et la sororité « Beta, zêta, gamma ».


Nous obtempérons et jetons un œil pour évaluer la marchandise qui est à notre disposition et celles des voisins proches. Je suis agréablement surprise en découvrant de belles grosses bites dans mon champ de vision, étonnée aussi de voir la tête du binoclard de service au torse aussi malingre que celui de mon frère Patrice, l’heureux propriétaire de la grosse queue qui vient de quitter ma bouche. Il me sourit toujours les yeux bandés comme gêné de me décevoir. J’avais fantasmée, espérant découvrir un Adonis mais l’encourage en retour, essayant de ne pas paraître déçue et le réconforte :
- Tu as une très belle teub mon salaud, il faut se méfier de l’eau qui dort.
- Merci, et toi, tu es une sacrée suceuse.
Je réalise soudain que cette université était aussi celle de mon frère, complètement affolée. Je suis soudainement très inquiète. Est-ce qu’il se trouve parmi les dix dernières bites sur lesquelles j’ai abondamment salivé ? Il y a peu de risque mais… J'écoute les nouvelles instructions d'Audrey.

Suite :
-Maintenant les filles, vous allez aider votre mâle à s’asseoir sur l’une des dix dernières chaises puis vous allez lui tourner le dos et faire des petits pas chassés vers la gauche. Au coup de sifflet vous devrez vous asseoir sur les genoux les plus proches.
Je me doute un peu de la suite, les pipes et branlettes vont se transformées en baise, mais vu l’assortiment de belles teubs, ma fois… J’en ai l’eau qui me coule de la bouche et la mouille de la chatte. Nous commençons à nous déplacer, je fantasme sur les belles queues entrevues qui étaient toutes dures et prêtes à l'action. Il faut bien le reconnaître, j'aime le sexe..., et pour moi, la taille du pénis a son importance.
Malgré que nous leurs tournions le dos, j’aperçois du coin de l’œil dans un tour de chauffe les dix chibres bandés, je suis impressionnée par quatre d’entre eux, deux noirs et deux blancs.

On sait la réputation des grosses queues de black, mais là malgré de très beaux engins, ils sont supplantés par celle d’un blanc gaulé comme mon binoclard mais avec une matraque digne d’un CRS. Leurs visages sont toujours cachés par des passe-montagnes avec en plus un bandeau. Audrey nous annonce la suite :
-Vous êtes gâtées cette année les filles. A mon coup de sifflet, vous vous retournerez et branlerez la bite la plus proche, mais attention, il y en a une de moins que de filles.

A son top sonore, nous nous retournons et nous précipitons sur le pic le plus proche. J’ai de la chance car j’ai devant moi trois belles teubs dont deux dépassent allégrement les vingt centimètres. Je dois dire que j'ai rarement expérimenté de tels engins. Je suis surprise par le coup de sifflet et doit me battre avec une autre fille pour saisir la dernière bite libre. J’ai tellement paniqué que je me saisis avec force de son chibre comme une noyée s’agrippe à sa bouée de sauvetage.
Son propriétaire gueule sous l’attaque. Je m'excuse, aussi bien pour ma brusquerie que vis-à vis de l’autre fille bouleversée et de ce fait éliminée.
-Ça a été chaud, hein Satine ! Commente Audrey. Sophie, prends ton numéro et rejoins les perdantes et attends ton gage ! Et toi Satine, qu’est ce que tu attends pour t’occuper de ton mâle ?
Je branle et m’applique à ma fellation en jetant un coup d'œil à mes voisines à gauche et à droite. Je ne suis pas la plus mal servi. Mais je me pose toujours la question : Est-ce que mon frère est là ?
Mais Audrey me ramène à la réalité :
-Lâchez ce que vous tenez et relevez-vous les bizutes ! Toi, le garçon qui n’a pas pu te retenir, tu es aussi éliminé.

C’est mon gringalet binoclard qui vient d’y passer. J’ai le temps de détailler les garçons restants et l’un d’entre eux m’interpelle. Malgré le passe-montagne, ça pourrait bien être mon frère Patrice. Mais ce n’est pas possible car ce gars a la plus épaisse pine que je n’ai jamais vue, ça doit être le « poney ».
Je sais bien que je n’ai jamais vu Patrice tout nu en pleine érection, mais ça ne peut pas être lui. Comment aurais-je pu ne pas m’en apercevoir plus tôt ?
Le jeu des chaises musicales reprend après les nouvelles instructions d’Audrey :
-Celles qui réussiront à faire des gorges profondes à leur mec auront un bonus. Bien sûr, nous tiendrons quand même compte de la taille et du diamètre du morceau choisi.
Certaines filles protestent. Elles ont tout accepté jusque là, mais argumentent que les organes de certains des garçons sont vraiment trop gros. Moi-même, j’aime assez gober une bite sur toute sa longueur, mais je ne sais pas si je serai capable de le faire pour les deux blacks, et encore moins sur le « poney ». Ce n’est pas qu’il ait une verge plus longue qu’eux, mais son diamètre est vraiment spectaculaire.
Si je veux aller le plus loin dans ce jeu, ment à un moment, je vais être confronté à un tel défi.
Par trois fois, je viens de réussir mes « gorge-profonde » et ai marqué de gros point. Décompte d’Audrey :
-Vous n’êtes plus que six les filles, mais cette fois vous ne quitterez votre mâle que si vous réussissez à le faire jouir. L’une de vous a de la chance, elle va hériter de « l’homme-fontaine » qui est, je vous le précise aussi le « poney ». L’élue va souffrir, mais la récompense est à la hauteur du challenge.

Dernier coup de sifflet. Ce qui devait arriver est là, je suis entre cette poutre énorme, la plus grosse de toutes et celle plus « normale » de son voisin. Si je réussis avec lui, je suis sûre de gagner avec cette teub extraordinairement épaisse complètement rasée ce qui en fait ressortir encore plus l’énorme veine qui court dessus. Ma voisine se précipite sur le mâle Lambda et engloutit comme une morte de faim son chibre avec des bruits bizarres ne me laissant pas le choix. Je me mets à genoux devant l'énorme queue. Je le prends en bouche, les mâchoires écartées au maximum, son gland est en train de me chatouiller les amygdales.
Un nouvel ordre d’Audrey claque:
-Pour le final, je demande à mes aides de retirer leur bandeau aux derniers garçons.
Je m’applique au mieux sur ce pic qu’en j’entends « mon poney » s’exprimer et je suis comme tétanisée quand il me nargue :
-Alors sœurette ! Je ne te connaissais pas sous cet angle, tu es une vraie experte on dirait !

Mon pire cauchemar est arrivé. Non seulement mon frère était de la partie et bien entendu, je suis tombée dessus, mais c’est lui le « Poney » ! Que dois-je faire ? Pour résoudre ce problème, j’ai deux options : Déclarer forfait ou bien commettre un e pour gagner. Si je l’avais su au départ, j’aurais peut-être dit non, mais il est un peu tard car ma bouche et sa verge formidable ont déjà fait connaissance. Et je dois admettre que pour rien au monde je ne voudrais abandonner un tel pal. Oh mon Dieu, je suis une vraie trainée ! Mais il n’est pas mieux que moi car il ne me repousse pas mais pose sa main droite sur ma tête pour rythmer ma fellation à son bon plaisir.
Le problème est donc résolu sans que j'aie à résoudre ce dilemme... Mon amour propre est supplanté par mon désir de gagner. Des borborygmes et des bruits d's résonnent dans la pièce. Je ne suis pas mieux, respirant par le nez pendant qu’une grande partie de la hampe de mon frère a disparue dans ma bouche. J’ai beau me concentrer et vouloir réussir ma gorge-profonde mais c’est matériellement pas faisable avec une telle poutre, son diamètre est vraiment trop imposant pour passer ma glotte.
J'ai la verge de mon frère entre mes lèvres, son énorme épi dans ma bouche. C’est une véritable poutre fortement veinée qui gonfle mes joues et cherche toujours à aller plus loin. Ma culotte est trempée car ma chatte me trahit et laisse échapper une cyprine abondante. Je suis chaude/bouillante à sucer l'énorme bite de mon frère Patrice. Bordel de merde !
Une à une, mes concurrentes arrivent à faire jouir leur binôme, il ne reste plus que nous deux, tous les regards sont tournés vers nous.
Patrice me prévient en retirant sa lance prête à cracher de mes lèvres et je me concentre pour ne pas m' en me reculant ni le blesser avec mes dents.
-Aaahhh ! Je vais jouir ! Gare devant !

Mes yeux noyés de larmes sous l’effort fourni, mon regard croise celui de mon frère qui avec une expression de victoire et de honte mêlées me sourit d’un air complice...
Je ne me souviens que trop tard de l’information d’Audrey : c’est un homme-fontaine… il se branle avec vigueur et des jets d’une puissance folle très rapprochés s’expulsent copieusement de ce braquemard avec cadence. Les spectateurs comptent : 1 ; 2 ; 3…7 ; 8 ; 9. Il lui a fallu un temps fou pour se vider une deuxième fois les burnes. J’ai la tête et les cheveux couverts d’un sperme épais. Ceux et celles qui s’étaient approchés trop près ont aussi profité de la manne ainsi que le sol.
-C’est pas humain ça ! S’écrit une fille. Putain de bordel de merde ! Vaut mieux pas avoir de la moquette chez soi sinon il faut la changer à chaque fois qu’il vient te baiser !

A suivre…


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