Sortir De La Routine (2)

Le lendemain matin, à 6 h., je me réveille en me demandant si j’ai rêvé cette nuit… un coup d’œil sous la couette et je vois la culotte de dentelle de Florence… Immédiatement je sens mon sexe se gonfler ! Que se passe-t’il !!!!
La voix de ma femme résonne encore à mes oreilles, son ton cinglant et moqueur. Les sensations d’hier me reviennent et je décide de garder la culotte sur moi pour partir au travail, en espérant que personne dans mon entreprise ne remarque quoi que ce soit.
Vers 9 h. Je reçois un sms habituel de Florence :
- Coucou, ça va ? Tu penses aux courses ce soir. Bonne journée - Bisous
Je suis presque déçu, la routine revient et la soirée est déjà oubliée…
Ding - Nouveau sms
- Concernant hier soir, je suis désolé, je ne sais pas ce qui m’a pris ! Me dit Florence
- Non, c’était bien, je t’assure
- Ah oui, tu as donc réellement aimé cela, que je sois directive avec toi ?
- …oui, je crois… en fait oui, je t’avoue que j’ai adoré
- donc si je comprends bien cela te fais bander que je te donne des ordres, ou que tu lèche ma culotte souillée ?
- …oui
- tu es vraiment un petit pervers, je suis étonné ! Mais je t’avoue que cela m’intrigue et que je commence presque à être excitée !!!! Tu as gardé ma culotte de dentelle ?
- oui…
- vraiment ! Alors je te laisse 2 minutes pour m’envoyer une photo avec le pantalon baissé, dépêche toi ! Et je veux une photo en pied dans le miroir que je vois ton visage !

Surpris par cet ordre direct, mais de nouveau avec un début d’érection (oui je suis sensible, je vous l’ai déjà dit !) je me précipite aux toilettes mais le miroir chez les hommes est cassé et donc a été enlevé
- Ding ! Ça vient cette photo ?
Pas d’autre solution de d’aller dans les toilettes femmes… je m’exécute et baisse mon pantalon devant le miroir, mon sexe est dressé et déborde de la dentelle, je suis rouge de honte mais je prends la photo et remonte à toute vitesse mon pantalon en entendant du bruit dans le couloir.


Je croise ma collègue de bureau en sortant.
- Salut Gilles, tu va chez les femmes maintenant ?
Confus, je bégaye : oui j’avais un truc dans l’œil et besoin du miroir.
Je l’ai échappée belle mais mon érection est encore plus forte et je suis à la limite de jouir lorsque j’envoie la photo à Florence.
- tu as encore la gaule ! Il t’en faut peu pour être excité mon pauvre chéri. Garde-la cette culotte mais je t’interdis de te branler en cachette, tu as compris ! SI c’est ce que tu veux, on va jouer !
Durant toute la journée, le souvenir d’hier et le frottement de la dentelle, ainsi que le regard de biais de ma collègue Stéphanie me garde dans une excitation que je n’ai jamais connu mais j’aime cela…

De retour à la maison, je dis bonjour aux filles et vais voir ma femme dans la cuisine, elle me plaque contre le placard, appuie sa main sur mes abdos et descend directement dans mon pantalon. Sa main frotte et masse fortement ma queue. Elle me chuchote à l’oreille :
- ça va ! Tu as encore la culotte, c’est bien petit cochon ! Va te doucher, je t’ai mis de quoi te changer dans la salle de bain. Dépêche-toi on va manger.
Intrigué je découvre à coté de la douche, une culotte en dentelle sur les fesses et en soie blanche très fine sur le devant. Je maîtrise difficilement mon érection durant la douche et résiste à l’envie de me soulager. Surprise, la culotte est parfaitement à ma taille et est neuve. Florence a dû l’acheter aujourd’hui même !
Pendant le diner, je sens le pied de ma femme qui monte sur ma jambe, se pose sur mon sexe et presse à me faire mal, je retiens un soupir.
- A propos chéri, tu me dois un massage ce soir pour le cadeau que je t’ai fais hier. Elle me regarde avec un sourire carnassier et mutin.
Ma plus jeune fille demande : un cadeau, quel cadeau ? Tu nous le montres ?
- Oui, vas-y mon chéri, montre-leur, elles vont adorer !
- euh…non non, c’est un nouveau boxer mais il est au linge sale.
Le rouge me monte aux joues mais ma queue se durcit encore et encore, écrasée sous le pied inquisiteur, je n’en peux plus d’excitation.

La soirée télé se déroule devant un navet insipide mais ma tête et mes sens sont ailleurs. Florence est assise en travers sur le canapé d’angle et ses pieds sont posés sur mes cuisses pour que je les masse. A l’insu d’une de mes filles assise à côte, ses pieds remontent de plus en plus sur mon sexe, appuient et une bosse se forme sous mon short. Je retiens un gémissement quand l’appui se fais plus prononcé, avec des petits mouvements. Comme si de rien était, ma femme regarde la télé sans sourciller et enfin les filles vont se coucher. 15 minutes après, d’une voix rauque et sans équivoque Florence m’ordonne :
- allez, baisse ton short, je veux voir ta jolie lingerie mon chéri, ou plutôt ma chérie devrais-je dire. Tu es déjà tout bandé, cela te plait la soie ! Par contre, les poils qui débordent ce n’est pas top, il faut que je m’occupe de cela rapidement.
Son pied gauche masse ma queue, descend sur mes couilles et appuie. Son autre pied remonte sur mes abdos et m’écrase fortement. La sensation est divine, il remonte sur mon torse, joue avec mon téton, le pince a travers le tee-shirt.
Je commence à gémir de plaisir et de satisfaction et instinctivement ma bouche s’ouvre.
- on dirait une petite pucelle, tu veux aussi me lécher le pied, cela t’excites ! Ouvre ta bouche alors, lèche. Tu commences à me faire mouiller, ma petite chatte est humide.
Je vois ses seins qui bandent sous le pyjama pendant que sa main descend entre ses cuisses. Incroyable, je ne l’ai jamais vu faire cela, sa main se glisse dans son pyjama et frotte sur son sexe. Son bassin ondule sous la caresse, elle commence a gémir aussi…
- Allez, suce mon orteil pendant que je masse ta petite queue. Mais tu mouilles aussi !!!!!! Tu coules comme une femelle en chaleur ! Regarde-moi ta culotte.
En effet, ma bite coule et tache la soie fine, la tache est impressionnante.
Je suis moi-même étonné devant tant de liquide mais mon excitation est continue depuis hier soir et je gémis de plus en plus.
Florence en profite et enfonce deux puis trois orteils dans ma bouche, puis son pied entier, elle me baise la bouche avec son pied et j’adore cela. De la salive coule sur mon torse, son autre pied me frotte frénétiquement. Je suis au bord de l’explosion.
- mets moi deux doigts dans la chatte petite salope pendant que je te viole la bouche. Te voir me sucer me fais couler ! Baise moi avec tes doigts, ouiiiiii va-y !! Fais moi jouir. Plus vite, ne t’arrêtes surtout pas…
Elle a un orgasme comme je n’avais jamais vu et à ce moment là son pied glisse dans mon entrejambe, de nouveau sans réfléchir mes cuisses s’ouvrent et dans ses spasmes de plaisir, son orteil frotte contre mon petit trou, appuie dessus, enfonce la dentelle fine et mon cul s’ouvre sous la pression, l’excitation et nos couinements réunis.
C’est en trop pour moi et je lâche de longs jets de sperme dans la culotte, mon cul se contracte sur l’orteil, des fourmillements parcours mon entrejambe. Je râle de plaisir…

Florence me regarde en souriant, ses yeux sont remplis d’un je ne sais-quoi.
- Incroyable, je n’avais jamais joui comme cela ! Me dit-elle. Et cela sans même avoir ta queue en moi. Que se passe-t’il ? D’habitude le sexe ne me fais rien et j’ai du mal à me motiver, mais là depuis hier soir je ne pense qu’à cela ! Ce n’est pas bien du tout !!!
Te voir à mes pieds, soumis à mes désirs et mes ordres me fais couler comme une fontaine.
- Mais oui ma belle, tant mieux si tu découvres enfin les plaisirs charnels, perso j’adore cela…
- oui j’ai bien vu et surtout entendu à tes gémissements que tu aimais cela petit vicieux. On va se calmer quand même, je dois réfléchir… Par contre en attendant, tu vas quand même continuer à porter des culottes de femme et tu va m’envoyer tous les jours deux photos du boulot, dans le miroir des toilettes de femmes.

- je ne peux pas, demain je vais à la salle de sport et il n’y a pas de cabine pour se changer et les douches sont ouvertes.
- Justement ! C’est encore mieux ! Et je t’interdis de mettre une serviette autour de la taille quand tu te changes ! Tu as bien compris ma belle ! Et arrêtes gicler ton sperme dedans, interdit, je ne vais pas nettoyer ton foutre dans des culottes en dentelle !

Et elle m’embrasse, le baiser le plus passionné et intense depuis notre rencontre en me susurrant : je crois que cela ne fais que commencer mon chéri…



Voici mon second texte sur HDS, merci de vos retours pour savoir si je dois continuer ? Dans cette veine femdom soft et mots crus… et si des femmes qui connaissent cela veulent me donner des idées, elles sont les bienvenues. - Merci

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