Julie Subit Le Fucking Anal

J’ai honte, d’avilir mon corps, je ne désirais pas révéler cette soirée, sur le site.
C’est pour moi un opprobre, je ne souhaite, pas tous révéler de cette soirée ; comprenez, que mon honneur, ma dignité, ne sont pas respectés.

Si je le fais, c’est pour confirmer, que personne, ne peut résister, à son désir, le subconscient, gouverne, notre personnalité. J’ai été dominé, sans que je puisse contester, le plaisir, sexuel, la libido, l’extase sexuelle, ne se refoule pas, sans qu’elle contraigne le corps à une soumission.
Je pratique régulièrement la sodomie, mon anus est habitué, à une dilatation, de 4 cm, rarement 5 cm.
Hélène, a voulu me punir, elle savait que je ne pratique pas le, fucking. Anal, ni vaginal.
Les coups de cravache, mon fait jouir, je l’avoue.
Je ne souhaite pas recevoir, une autre main, dans mon anus.




Bonjour

Je voudrais partager avec vous, ce qui a été une punition, cette soirée, fut particulièrement douloureuse cruelle, abjecte.

Je me rendis à ce rendez-vous, avec pour seul habillement, une robe, courte de couleur rouge.
Moulante, mes pointes de seins, visibles pointées, ma croupe, bien marquer, je dus remonter la robe pour m’asseoir dans mon véhicule.
La propriété, un domaine, sur les hauteurs, d’une ville que je ne vais pas nommer.
Je passais la grille, plusieurs véhicules, étaient présents, Hélène, une jeune femme, me présenta.
Les convives étaient plutôt des hommes jeunes, une autre femme était présente, nous étions 3 femmes, pour tous ces mâles.
Hélène, en bas sans culotte, son sexe glabre, l’autre femme avait aussi le sexe glabre.
Totalement nue. Certains hommes étaient encore vêtus.
Elle m’offrit une coupe de champagne.
Les hommes nus caressaient la jeune femme nue, (Sandrine).
Un homme, s’approcha, il dégrafa ma robe, qu’il fit glisser à mes pieds, il regarda, mon corps, posa sa main, sur on sexe velu, se baissant, il hotta mes chaussures.


Me prenant par la main il me dirigea vers une autre pièce, nous descendions, un escalier.
Nous étions, au sous -sol. Une table basse, quelques, godemichés étaient en évidence.
Une armoire, il m’allongea sur un canapé, ouvrir le tiroir, du bureau, sortie, une paire de ciseaux, un peigne, une bombe de mousse, et un rasoir mécanique, Hélène, nous rejoint, je lui précisais que je n’acceptais pas de me faire, raser le pubis.
Sans me répondre, Hélène, ouvrir une bouteille d’eau, muni du peigne et des ciseaux, il commença, par couper les poils du pubis, le plus ras possible, il empoigna le rasoir, Hélène versa de l’eau sur mon sexe, de sa main elle étalait la mousse, le rasoir enlevait le reste de mes poils, à plusieurs reprises, il renouvela le processus.

Mon pubis glabre, mon sexe fut humidifier, est le rasoir, poli ma vulve.
Je passais ma main, sur mon pubis, lisse, elle glissait sur ma vulve, sans mon autorisation, je venais de me faire raser la chatte, je ne suis pas prête pour cela mentalement.
Je ne pouvais pas les arrêter, il me retourna, Hélène, écartait mes fesses, lui me rasa mon cul.
J’étais humiliée, il lubrifia mon anus, Hélène ouvrir mes fesses, il se mit nu sa grosse bite était en érection, i l me sodomisa, sa bite s’enfonça, profondément, son sexe était volumineux.
Ses mains m’agrippaient mes hanches. Hélène, fit descendent les autres invités.
Il jouit dans mon cul, je fus allongée sur le bureau, chacun à leur tour, il me prodiguait, un cunnilingus.
Je transpirerais, cela dura, une partie de la nuit, de temps en temps, Hélène et Sandrine, remplaçaientt, les invités, elles me pénétraient avec un gode ceinture, dans un état second, je jouissais, plusieurs orgasmes, de plus en plus puissant.
Je fus relevé, Hélène, ouvrir l’armoire, on m’attacha les mains, accrocher au plafond, avec deux anneaux.
Mes jambes entravées avec une barre de fer, cuisses ouvertes, Sandrine, Hélène, me cravachait.

Les invités, comptaient les coups, 10, 20,30, 40, de cravache, les 20 premiers coups, me faisait, atrocement, souffrir.
Ensuite, je ressentis une jouissance indicible.
Mon corps marquait, zébrer, pour plusieurs jours.
La flagellation terminée.
Mes bras, furent descendus, je me penchais en avant cambrer ma croupe.
Mes jambes libérées, que j’écartais le plus possible.

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Je fus lubrifiée de nouveau, des plugs de plus en plus gros, étaient introduits dans mon cul.
Hélène, huila sa main, Sandrine écartait mes fesses, devant tous les invités, elle me fist l’anus, doucement elle enfonce, 2 doigts, ensuite 3 doigts, 4 doigts, je souffre , elle tourne ses doigts, enfonce ressort pour enfin , fermement enfonce sa main, elle entre dans mon cul, Sandrine, écarte mes fesses le plus possible, sa main continue, elle enfonce , avec le poigner, elle immobilise sa main, je suis dilatée , comme jamais, j’ai l’ habitudes de pratiquer la sodomie, depuis plusieurs années, ce qui permet le fist, un des invités se positionne face à moi, et pénètre dans ma chatte humide, il jouit en moi. La main d’Hélène, multiplie les sensations, je mouille abondamment.
Elle retire sa main, les entraves enlevées.
Mes bras sont douloureux, d’avoir été suspendu.
Allongée, sur un tapis, Sandrine se fait limer la chatte, à son tour, moi je m’agenouille, à cote de Sandrine.
Suce et reçois, plusieurs éjaculations, je me délecte de leurs spermes.
La soirée terminée, je ressens la dilatation anale 3 jours, mon sphincter, fort ouvert, me procura une jouissance, nonobstant du plaisir.
La main, d’Hélène, est relativement petite, dans cette situation, heureusement, que la main, d’un invité mâle, ne m’a pas fait subir le fucking.

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