Samia - 43 Le Journal De Julien.

« Ma vie dans les toilettes » par Julien
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Ma vie est beaucoup plus simple depuis que je connais Samia. Parfois, c’est dur, mais à d’autres moments, je suis au paradis. Je ne bois plus que lorsqu’elle me le permet, je ne prends plus de coke et je n’ai plus d’idées suicidaires.
J’accomplis soigneusement le travail qu’elle m’a dit de faire. Je dois avouer que je n’ai pas été brillant dans les différents postes que mon père m’a confiés. Donc mon travail actuel est mérité. Samia a donné tous pouvoirs à Lisa pour m’obliger à m’appliquer.
Aïe ! Samia est venue lire au-dessus de mon épaule. Elle me recadre :
— Pas d’états d’âme, des faits.
— Oui Samia...
— Explique à quel point ça te fait plaisir de te sacrifier pour moi, et ce qui se passe d’intéressant dans les toilettes.
— Oui S...
— Écris !! Qui est Lisa ? Et puis ta journée d’hier.
Lisa est ma chef. C’est une petite femme d’une quarantaine d’années assez forte. Elle est énergique et sévère. Elle m’apprend à m’appliquer. Les toilettes dont j’ai la charge doivent être impeccables.
Le matin, je me lève à 5 h 30. Je dors sur un matelas près de la porte de la chambre pour ne pas réveiller Samia. Je vais dans la cuisine, je prépare tout pour son petit déjeuner, sauf le café. Je déjeune, je prends une douche et je m’habille.
Pour me rendre à l’usine, Samia m’a acheté un vélo. Elle a besoin de la voiture, donc je ne peux plus l'utiliser.
L’après-midi, mon travail se termine à 15 h. Je vais faire les courses... à vélo, puis je rentre faire les corvées que Samia a décidées. Il n’y a donc plus personne pour s’occuper des toilettes à partir de 15 h. C’est impossible d’interdire aux ouvriers d’y aller. Le délégué syndical, Monsieur Desallié, nous menacerait d’une grève illimitée, comme dit Samia.
Le matin, vers 7 h, je commence à m’occuper des toilettes qui en ont bien besoin. Les hommes qui pissent à côté, ça peut paraître normal, mais les femmes comment elles font pour pisser à côté ? Il y a même parfois des gens qui vomissent dans la cuvette.

Quand ça tombe à côté, c’est pénible à nettoyer.
À 8 h du matin, les toilettes sont impeccables, mais c’est l’heure où les ouvriers arrivent. On pourrait croire que certains n’ont pas de toilettes chez eux, tellement ils sont nombreux à faire leurs besoins à l’usine. Lisa arrive à 9 h et vient vérifier. Je suis passé avec ma serpillière derrière tous les hommes et toutes les femmes qui sont entrés ce matin. S’il y a la moindre trace ou la moindre tache, ça se passe comme ça. Elle crie :
— Julien !
— Oui Madame Lisa.
— Viens ici... Qu’est-ce que c’est, ça ?
Ça, c’est une petite flaque d’un homme qui a mal dirigé son jet. Si elle est de bonne humeur, je dois me mettre à genoux et elle frotte mon nez dedans. Elle me dit presque chaque fois :
— C’est ce qu’on fait avec un petit animal malpropre. C’est ce que tu es, puisque tu n’as pas nettoyé.
— Pardon Madame Lisa, mais il y en a beaucoup qui viennent déjà à 8 heures.
— M’en fous, faut que ce soit impeccable, tu n’as qu’à te dépêcher.
Si elle est mal lunée, ça se passe de la même façon, sauf qu’elle m’oblige à lécher la flaque au lieu de mettre mon nez dedans ! Et... ce n’est pas très hygiénique. En plus d’être humiliant, puisqu’elle fait ça devant les personnes qui sont dans les toilettes. Les ouvriers sont ravis de voir le fils du patron être traité de cette façon. Je crois qu’ils s’amusent à pisser à côté exprès !
À 9 h 30, c’est le meilleur moment de la journée, car Samia me rend visite. Je vais avec elle dans les toilettes pour handicapés. Elle s’assied sur un des w.c. et elle... fait. Lorsque c’est fini, elle utilise une seule feuille de papier. Pas plus, parce qu’elle ne veut pas qu’on déboise des forêts pour se torcher. Ensuite, elle se penche et je dois la lécher pour que ce soit impeccable.
Hélas, elle ne reste pas longtemps...
Il lui arrive pourtant de revenir. Par exemple, il y a quelques jours, elle est venue avec un homme. Bien sûr, ce n’est pas facile pour moi de voir ma femme chérie avec un autre homme, mais je suis lucide.
Je sais bien qu’avec mon sexe, je ne peux pas la satisfaire, or elle a droit au plaisir. Elle m’a bien expliqué que si je l’aime, inutile d’essayer de lui proposer un sexe qui ferait honte à un de 8 ans... Je n’ai qu’à m’en servir de ma langue.
Il y a une dizaine de jours, je nettoyais, quand Samia est arrivée avec un homme que je connais : c’est un des chauffeurs de camion. Il a une quarantaine d’années et il est plutôt séduisant, dans le genre viril et tatoué. Je connais même son surnom : « Diesel » ! Un jour, mon père m’a chargé de lui dire de mieux garer son camion. Il m’a envoyé me faire voir ! Depuis lors... je ne l’aime pas beaucoup. Il me regarde avec un grand sourire qui fait étinceler deux prémolaires en or. Samia me dit :
— Fais-nous les honneurs de la chiotte VIP.
— Oui Samia.
C’est comme ça qu’elle appelle la toilette pour handicapés. On entre, Diesel s’assied sur un w.c. et prend Samia sur ses genoux. Elle me dit :
— Figure-toi qu’une méchante envie de baiser m’est tombée dessus à l’improviste. Alors je me suis promenée dans l’usine et dans la cour. Et là, Diesel m’appelle pour me dit : « J’ai rêvé de vot' cul cette nuit, Madame de Préville, et je lui faisais sa fête. » Tu me connais, ce genre de phrase dite par un bel homme viril, je ne peux pas résister. Normal, non ?
— Oui Samia.
À ce moment-là, Diesel a déjà déboutonné son chemisier pour lui caresser les seins... Elle continue en gémissant un peu :
— Mais je suis une femme fidèle. Enfin, presque. Donc je ne sais pas avec qui je vais assouvir cette envie de baiser, lui ou toi ? Disons à celui qui a la plus grosse bite. Allez, baisse ton froc.
Samia aime bien jouer... et comme elle n’a pas beaucoup de patience, j’ouvre mon pantalon pour le descendre jusqu’à mes genoux. En dessous, j’ai une culotte « Petit Bateau »... Une vraie, qui monte jusqu’à la taille et qui a une ouverture pour sortir le sexe. Diesel commence par rigoler, puis il me dit :
— T’es à la mode de 1935 ?
Samia répond à ma place :
— Tu vas voir pourquoi je lui fais porter ça.

Puis à moi :
— Baisse-le !
Je le descends et là Diesel éclate de rire. Après s’être calmé, il dit :
— On va mesurer.
Il baisse aussi son jean, son slip et exhibe un énorme sexe qui bande à moitié. Il vient le mettre contre le mien. Samia me demande :
— Qu’est-ce que tu en penses ?
— Il... il a gagné.
— Tu es sûr ? Regarde bien. Mets-toi à genoux.
J’obéis et je me trouve nez à nez la grosse bite. Samia ajoute :
— Monsieur Diesel voulait faire un brin de toilette avant de me baiser et je lui ai dit que tu avais tout ce qu’il faut dans ta bouche pour le laver.
Je tire quand même sur la peau pour dégager le gland. Ouch ! Il sent fort ! Il me dit :
— Commence par me lécher les couilles.
Je fais ce qu'il demande.
Rapidement, il me met son gland contre la bouche. Je le lèche avec difficulté tellement l’extrémité est grosse. Au début, le goût est écœurant.... Je lèche soigneusement pour qu’il soit impeccable quand il va pénétrer Samia. Diesel me caresse la tête en disant :
— Tu fais ça super bien, petit... Tu devrais ouvrir une station de lavage de bites.
Ils rigolent tous les deux. Samia enlève sa robe. En dessous, elle est nue. Diesel me dit :
— Je crois que ta femme a envie que je mette ma bite bien au chaud dans sa chatte. Elle est parfaitement propre ?
— Oui Monsieur.
— Alors c’est toi qui vas avoir l’honneur de l’enfoncer dans le sexe de ton épouse.
Dès qu’il s’agit de Samia, je passe du dégoût de lécher la bite de Diesel au plaisir de l’introduire dans la délicieuse chatte de Samia... Elle m’a appris comment faire... Je frotte le gros gland le long des lèvres mouillées... Il me dit :
— Pousse-toi !
Il la prend par les hanches et s’enfonce en elle d’un grand coup de reins. Elle pousse un cri de plaisir.
Tandis qu’il va et vient en elle, quelqu'un frappe à la porte et j’entends Lisa dire :
— Tu es là Samia ? Je dois te parler.

Samia me dit d’une voix un peu hachée :
— Ouvre la porte.
Je lui obéis, Lisa s’exclame en entrant :
— Oh ! Pardon, je ne savais pas que tu étais occupée. Bonjour Diesel.
— Bonjour Lisa.
Samia, toujours occupée à se faire limer, lui demande :
— Qu’est-ce que tu veux ?
— Il y a ton beau-père qui te cherche partout. Il veut nous parler à toutes les deux.
— Il n’a qu’à attendre un peu... Reste, on a presque fini. Hein mon chéri ?
C’est à Diesel qu’elle s’adresse... Il lui donne une claque sur les fesses en disant :
— Arrête de parler, ça me fait débander.
— Pose un pied sur le bidet, Julien va te ranimer.
Oh non...! Enfin, je veux dire, si c’est pour le plaisir de Samia... Elle me dit :
— Lèche-lui le cul. S’il ne bande pas dans cinq minutes, tu seras puni.
Aussitôt, je me mets à genoux face au gros derrière musclé de Diesel. Je pose une main sur chacune de ses fesses et enfonce ma langue dans un anus entouré d’une forêt de poils noirs. Puisque c’est pour Samia... je lèche énergiquement. Lisa commence par rigoler en voyant ça, puis elle dit :
— Quel lèche-cul, ce Julien !
Heureusement, Diesel rebande vite. Il donne un coup de reins pour que j’arrête, puis va s’enfoncer de nouveau dans la chatte de ma femme. Il se remet à la baiser énergiquement. Samia lui dit :
— Oh putain, c’est bon...
Il accélère encore un peu et elle jouit bruyamment. Quelques instants plus tard, il éjacule en elle. Je connais la suite sur le bout des doigts ou plutôt de la langue. Je me couche sur le sol et elle s’accroupit au-dessus de ma bouche, mais pas tout contre. Elle leur explique :
— Julien, son truc, c’est le nettoyage.
Elle pousse et une grosse bulle d’un mélange de sperme et de ses sécrétions sort de son vagin comme un petit globe de verre sortirait de la canne d’un verrier de Murano ! Diesel et Lisa sont très intéressés par le spectacle. Après deux autres bulles, Samia pose sa chatte sur mon visage pour achever le travail en se frottant à moi... Diesel lui dit en riant :
— Putain, j’adore te voir t’essuyer la chatte sur son visage !
Samia se relève, moi aussi. Diesel me dit en rigolant :
— Merci de m'avoir prêté ta femme, petit.
— Avec... plaisir, Monsieur Diesel.
Comme Samia me jette un regard, j’ajoute :
— Et merci d’avoir aussi bien baisé ma femme, Monsieur Diesel.
— Ce fut un plaisir, petit, je recommence quand elle veut.
Hé oui, je fais des mondanités dans les toilettes, avec un homme qui vient de baiser ma femme adorée... Il prend Samia contre lui et l’embrasse sur la bouche. Elle répond à son baiser, puis le repousse en disant :
— Diesel, attention, mon mari pourrait nous voir !
Ils rient tous les trois... Moi aussi. Un peu... Ils s’en vont.
Entendons-nous, j’ai détesté lécher ce type, mais grâce à ça, j’ai pu avoir... un peu d’intimité et de complicité avec Samia.
Je prends ma raclette, ma serpillière et je sors...
***
Depuis lors, Samia vient deux fois le matin. D’abord pour... se soulager. Ce qui me permet de lécher son adorable anus, ensuite elle revient avec Diesel.
Aïe ! Samia est revenue lire ce que j’écris !
— Raconte ce qui s’est passé hier midi, allez !
Oui, euh... Hier midi, Lisa est arrivée avec un ouvrier que je connais de vue et de mauvaise réputation. Il a déjà eu des problèmes de bagarre. Mon père le garde parce qu’on fait appel à lui en cas de coup dur. Il me dit en se marrant :
— Il paraît que ta femme se couche et écarte les cuisses quand on lui dit de s’asseoir.
— Mais...
— Cette salope est déjà partie et j’ai une méchante envie de me faire sucer la bite... Lisa m’a dit que tu la remplaçais. Quant à elle, je l’enfilerai demain.
Il ouvre son jean et exhibe un très gros sexe à moitié dressé. Lisa ouvre la porte d’une des toilettes en disant :
— Vous serez mieux ici.

À suivre.

Si vous voulez me joindre, je suis ici : mia.michael@hotmail.fr

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