Nouvelle Vie

Il était là, devant son ordinateur. Il ne me prêtait pas grande attention, mais ne m'ignorait pas non plus. Je l'observais. Assis sur sa chaise, le casque sur les oreilles, je regardais chaque trait de son visage. Le torse nu, les yeux rivés sur l'écran, je ne pouvais empêcher mon regard de dér sur ses épaules, sur son dos musclé. J'avais envie de me lever, de passer mes mains sur son torse et de lui effleurer la nuque de mes lèvres. Il ne me regardait pas. Je voulais son attention, mais il était bien trop occupé. Qu’est-ce qui pourrait être plus important que moi après tout ? Je me sentais un peu mise de côté. J’avais beau le fixer, rien n’y changeait.
Très bien, il l'avait cherché, j'allais l'avoir son attention.

J'attrapai quelques affaires dans ma valise, puis je filai direction la salle de bain.
« - Je vais me doucher ! »
« - Ok. » me répondit-il d'un air complétement détaché.
« - Vas-y, continue de m'ignorer, tu vas voir ! » murmurais-je à voix basse.
J'avais dans cette valise bien des surprises pour lui. J'allais le rendre dingue. Je voulais le voir perdre la raison. A la merci de mon corps.

Je laissai l'eau couler, me déshabillai et entra dans la douche. Je voulais me sentir fraîche et pure, pour qu'il ait la pleine sensation de pouvoir me souiller comme il se doit.
Une fois mon corps submergé par une douce odeur de savon, je me séchais et sortis de la douche.
J'enfilais mes bas pour commencer. Des bas noirs translucides qui épousent bien la forme de mes jambes. Je cachais mes seins avec ma nuisette achetée il y a peu, qui les comprimait et laissait un voile noir quasi transparent recouvrant tout juste mes fesses. Je recouvris mon pubis épilée d'un de mes strings préférés, noir avec un ruban rose bonbon, noué en corset sur le devant.
J'étais sur le point de mettre la touche finale, mes talons vernis noirs, dix centimètres de hauteur affinant parfaitement ma silhouette.


Je me demandais ce qu'il était bien en train de faire. Pensait-il à moi ? Peu importe, j'espère juste qu'il sera en forme.
Après une petite retouche maquillage, je respirai un grand coup et je poussai la porte.

Son regard se posa sur moi. Il me contempla. Je vis ses yeux se plisser, il serrait les dents. « -Alors tu ressembles à ça quand tu as une bouffée de chaleur ? » me dis-je en silence. J'avais confiance en moi, il allait littéralement tomber sous le charme. Je pensais à sa queue qui était en train de durcir, ça me rendait animale. Une hyène, j'avais faim.
Il se leva d'un coup, ce n'était plus son cerveau qui le guidait. Il m'embrassa d'abord sauvagement, posa une main sur mes fesses. Non, je n'allais pas céder maintenant. Il me poussa dans le couloir, la musique tournait encore. J'entendis une porte claquer. Ses excès de violence arrivaient enfin, c'est ce que je voulais. Il me plaqua contre le mur. Parfait, j'attendais que ça, j'aime le voir agressif, brutal, emporté… Il saisit ma mâchoire, et m'embrassa furieusement.
« - Mes lèvres te plaisaient, attends de voir le reste. » me dis-je avec l'esquisse d'un sourire en coin. Je me sentais maligne, j'avais de quoi, il ne me résistait pas.

Sa main brulante se posa sur mon cou, il me retourna d'un coup, mon visage se colla contre le mur, mes mains se clouèrent au-dessus de ma tête. Je sentis son autre main sur mes fesses, il décala mon string, et une chaleur intense me posséda. Son doigt pénétrait mon vagin. Je coulais le long de son avant-bras. Il avait réussi à me rendre folle.
Petit à petit, je devenais sienne…
Un bruit sourd, il laissa tomber la serviette qui lui enveloppait la taille, libérant ainsi sa verge gorgé de sang, raide et dur, qui vint se poser sur mes fesses. Sa queue descendit, je la sentais glisser sur ma peau. Puis une chaleur se fit sentir entre mes cuisses. Il frotta son gland entre mes lèvres, une fois, deux fois. Le bruit de sa queue lubrifiée contre mon sexe me rendait dingue.
J'étais excitée comme jamais. Son sexe se retira. Puis son gland vint s'enfoncer lentement... Je sentis les parois de mon vagin s'écarter à chaque centimètre qu'il m'enfonçait. J'hurlais. Il attrapa mes hanches, encore dressée sur mes talons noirs, et me défonça brutalement. Sa main vint recouvrir mes lèvres pour mes gémissements. Les va-et-vient étaient violents. Je sentais sa queue se planter à l'intérieur de mon corps. Il commença à gémir, les dents serrées. J'étais dingue, j'avais simplement envie qu'il me démonte. Je demandais que ça. J'étais sienne, sa pute, sa chienne, sa soumise, peu importe, il avait ma chatte et faisait ce qu'il voulait de moi.

Il se retira et fit tomber mon string à mes chevilles. Je me retournais. Je voulais voir ses yeux noirs, sa bouche qui se serre et qui s'entre-ouvre pendant qu'il me pilonne. Entreprenant, il souleva une de mes jambes pour me pénétrer. Ca ne lui suffisait pas, il semblait agacé. Il me souleva. Je m'empalais sur sa verge dressée. Je ne pouvais m'arrêter de gémir, je fermais les yeux, c'était vraiment trop bon. Il m'embrassa la nuque avant de me poser délicatement sur le lit. J'étais sur le dos, il avait continué de me prendre, sans se retirer. J'en profitais pour glisser ma langue de son épaule à son oreille, en prenant bien soin de lécher son cou. Il cria. Sa respiration avait triplée, il perdait le contrôle, je ne l'avais jamais vu comme ça. Il me fixait dans les yeux, j'avais du mal à me contenir. Je passais ma langue sur mes lèvres, me les mordais. J'en pouvais plus.
« - Défonce-moi. » Peinais-je à lui glisser à l'oreille.
« - Tu la fermes. » Me répondit-il. Je sentais monter l'orgasme, j'adore qu'il me traite comme sa chienne. Il ralentit, se redressa et toucha mes seins à travers le fin voile qui les effleurait.

Je le chevauchais ensuite. Je crois que c'est ma position préférée. Il a la totale maîtrise de mon corps, même en étant allongé, et j'adore ça. Je me dressais, le dos droit, les seins en avant, j'entrouvris la bouche pour laisser passer un long gémissement.
Je glissais le long de sa verge, je la sentais tellement dure. Je pouvais le regarder dans les yeux, sans le chercher, j'étais juste soumise, voué à mon maître.
Il m'attrapa par les hanches doucement. Puis il m'empoigna les cheveux pour que je me colle à lui. Je sentais son gland toucher le fond, il y allait vraiment fort. J'hurlais de plaisir, je ne pouvais plus m'arrêter, ni même réfléchir.
Après un instant, je sentis qu'il en voulait plus. Il me plaqua contre une vitre froide, la grande baie vitrée contre le lit. Les volets étaient baissés. Mon visage était glacé mais sa main sur ma nuque me réchauffait. Mes seins s'écrasaient contre le vitrage. J'étais à genoux et je l'attendais. J'attendais patiemment mon maître pour me faire prendre. Il écarta mes fesses, et enfonça violement sa queue au plus profond de moi. Mon buste entier vint se plaquer contre la baie. J'hurlai, laissant apparaitre la buée sur la vitre qui peu à peu dessinait mes gémissements. Elle ne cessa de la conquérir, souffle après souffle. Plus il me défonçait, plus la vitre se recouvrait de ce voile brulant.
Il me tenait d'une main les poignets au-dessus de ma tête, et de l'autre m'attrapait les reins.
Je ne pouvais pas bouger. Je me cambrais, lui laissant une superbe vue sur mes fesses.
Je le voulais en forme, je l'avais.

Il n'arrivait pas à se rassasier. J'avais gardé mes talons, et ma nuisette. Il devenait dingue, et je savais qu'il lui en fallait bien davantage pour combler son appétit.

Je me retirai, empoigna sa verge bouillante. Il se laissa faire. Je glissai lentement sa verge le long de mes lèvres puis je le guidai vers mon anus. J'en avais envie, et je sais qu'il aime tout particulièrement ça. J'écartai mes fesses de mes mains pendant qu'il m'enfonçait lentement son gland. Je sentais mon anus se déchirer sous la taille de sa queue. Je ne l'avais jamais vu aussi raide. La tenue lui avait bien plu, plus que ce que je ne le pensais. Petit à petit, il s'enfonça, centimètre par centimètre, son sexe écartait mes parois.
Je suffoquais, mais douleur de la sodomie ne faisait que m'exciter davantage.
Une fois sa verge rentrée entièrement dans mon corps, il m'empoigna les hanches d'une main et m'appuya sur les reins de l'autre.

« - T'es vraiment ma chienne tu sais ? »

Je ne pus que lui répondre « - Oui, Maître. » à voix basse. Je sentis ses mains serrer ardemment mon corps. Il était grand, bien plus grand et plus fort que moi, pourtant il entama de longs et doux va et vient. Sûrement pour bien réaliser quel orifice sa queue pénétrait. Je brulais de l'intérieur, je ne pouvais intérioriser un tel plaisir. Il était mon Maître, j'étais son disciple. Je ne m'étais jamais vu autant excitée.

Il m'attrapa les cheveux qu'il enroula dans sa paume pour une meilleure prise. Une seconde plus tard je refaisais face à la vitre glacée. Il commença à accélérer. Mon orifice me brulait, mais ça ne faisait qu'intensifier mon plaisir. Il continua les vas et viens une bonne dizaine de minutes, rythmés par les gémissements que je ne pouvais retenir.

Il se retira. Il alla se rincer, regagner un peu d'énergie. Plus c'était long, plus il aimait ça. Je voulais que ça soit LA fois qu'il allait retenir. J'avais tout pour, tout en main.

Deux minutes plus tard, il me revînt. La lueur noire et pleine de colère ne s'était pas estompée d'un trait. Il m'agenouilla. Me fit ouvrir la bouche pour y introduire sa queue toujours aussi dure. Il n'a jamais pris la peine de demander ce qu'il voulait, il a toujours agis. Je suis sa chienne, il se sert.
Ma langue caressa son sexe dressé, mes lèvres l'embrassaient. Je voyais ses abdos se crisper, ça le rendait affreusement séduisant. Je donnerai tout pour lui, pour qu'il prenne du plaisir. Il m'attrapa la nuque, et enfonça sa verge dans ma gorge. Il s'arrêta au fond, lorsque mes lèvres effleuraient son pubis. Trois secondes. Pris mes cheveux et me retira violement la tête. Des fils de salive me reliaient encore à son membre, qu'il empressa de faire disparaitre en la renfonçant d'un trait.
Il fit quelques aller-retour, et me libera la gorge.

Il n'allait pas tarder à jouir, je le voyais dans son regard. Une envie de , de tout détruire. Une machine à démonter, voilà ce qu'il devenait. Il avait bientôt mangé à sa faim.
Il me bascula les jambes, m'obligeant à m'allonger sur le dos.
Il vînt se planter de toutes ses forces dans mon vagin encore trempée. Ma bouche s'entrouvrit. Je ne pouvais me concentrer que sur ses yeux, et la sensation que son sexe me procurait. J'aurai été incapable de vous répondre où est-ce que je me trouvais. Il me gifla. Il fit quelques mouvements rapides, et me serra contre lui. Le plaisir était intense, tout était parfait.
Ca y est, ça venait. Malgré son agressivité et son coté animal marqué, il ne pouvait pas s'empêcher de me serrer contre lui pendant l'orgasme. Une façon de me montrer que j'étais à lui, et à personne d'autre.
J'en profitai pour lui gémir à l'oreille, de plus en plus fort. Lui montrer à quel point il me faisait du bien. Il soupira. Il m'attrapa les mâchoires de ses deux mains, plongea son regard dans le mien. Il regarda un instant mon visage crispé, ma bouche entre-ouverte laissant échapper chacun de mes râles.
Je me mordis les lèvres puis lui murmurai à l'oreille de me défoncer. Il accéléra. Ses mains se refermèrent sur mon cou, il hurla. D'un son fort, grave, et animal. Il avait enfoncé sa queue au plus profond de mon corps. Je sentais les palpitations de sa verge contre mes parois. Je laissai échapper un dernier râle.
Son orgasme fut long. Il l'avait préparé longtemps. Il se retira, s'allongea à côté de moi, et me pris dans ses bras. Il enleva les mèches flottantes de mon visage. Puis caressa mon corps. Je souriais, heureuse d'avoir été celle qui a pu partager ça avec lui…

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