Nouvelle Vie (3)

Vendredi. Je partais bientôt, et il n’avait toujours pas comblé sa faim. On était chez ses parents, une maison avec un mobilier plutôt bien fourni, disons, mieux que chez lui. De quoi donner pas mal d’imagination.

On regardait la télé tranquillement, je pense même que je m’ennuyais un peu. Mon regard se posa une première fois sur ses lèvres. Je tournais la tête. Mais mes yeux me forcèrent à le fixer. J’étais captivée par ses mâchoires, son cou. J’avais envie de l’embrasser, de lui mordre les lèvres, de passer un doigt sur sa nuque. Je ne mis pas longtemps à réfléchir. Je me levai et je chevauchai. Je me cambrai un petit peu pour que mes seins s’écrasent contre son torse.

Il posa son regard sur mes yeux, puis il glissa ensuite sur mes seins, et sur mes hanches. Il comprit très vite le message. Il m’empoigna les cheveux, et m’embrassa, langoureusement. Il posa une main sur mes fesses, je passai la mienne sur son jeans pour y sentir son sexe se gonfler. Il respira fort. Il ouvrit les yeux, m’attrapa la mâchoire et plongea son regard dans le mien. J’approchai mes lèvres et glissa tendrement ma langue sur les siennes. Je sentis à nouveau son torse se gonfler. Sa main vint de poser sur ma nuque, qu’il serra fort entre ses longs doigts.

Il en voulait plus, j’en voulais plus. Je frottai mon bassin contre le sien. Je massais mon clitoris contre sa verge gonflée que contenait encore son jeans. Je frissonnais. Je me faisais plaisir, mes seins écrasés contre lui. Il laissa sa tête basculer en arrière. Je l’avais pour moi, et rien que pour moi. Ma respiration s’accélérait, mes seins devenaient durs, et je commençais à mouiller.

Il me mit en sous-vêtements, puis retira ses habits. Je pouvais admirer la bosse que cachait son boxer, c’était appétissant comme jamais. Je me permis de faire encore quelques vas-et-viens pour chauffer encore un peu mon corps, mes lèvres s’écartaient pour glisser contre sa verge.

Mon string était trempé.
Il enleva mon soutien-gorge et empoigna mes seins. Il lécha mes tétons du bout de sa langue pour me faire frémir. Je ne pus retenir un gémissement. Une fois mes esprits repris, je me jetai à son cou, et glissai ma langue le long de son pectoral jusqu’à son oreille, il ferma les yeux. Quand il les rouvrit, son regard avait changé. Il était féroce, colérique et brûlant de désir.

Toujours assise sur lui, il fit glisser son boxer à ses chevilles, décala mon string et me pénétra d’un coup. La douleur, le bruit de la mouille lubrifiant son sexe, et le plaisir qu’il venait de me procurer me fit hurler à m’en déchirer la gorge. J’entamai des vas et viens le long de sa queue, me plantant ainsi doucement sur sa verge. Je voulais qu’il entende. Qu’il entende son gland écarter mes parois. Mes seins remuaient aux rythmes de mes mouvements. C’était une des seules fois où il me laissait faire. Ça n’allait pas durer. Il me laissa bouger une minute. Puis attrapa mes hanches, les souleva, et il s’enfonça de tout son long.
Je me redressai, fis cambrer mon dos et passa mes mains par-dessus son épaule droite pour lui offrir une belle vue sur mes fesses, ma colonne cambrée, et mes seins.
Il me pilonna incroyablement fort. Je criais, sans reprendre mon souffle, et les gestes qu’il me dédiait faisaient vibrer le son de mes gémissements. J’avais chaud, mais ses mains glissaient parfaitement sur mon corps, sa peau était lisse. Je le regardais, me mordis les lèvres. Il m’embrassa sans perdre une seconde. Je sentais sa queue me démolir. Petit à petit ma voix se cassait, je n’arrivais plus à me contenir. Je criais, la tête penchée en arrière. Il avait une main entourant mes hanches, et l’autre qui me tirait les cheveux pour courber mon corps.

Il me retourna d’un coup, me propulsant sur le dossier du canapé. C’était d’une telle force, qu’il allait revenir directement à la charge. En effet, il me plaqua les seins contre le cuir froid du canapé, il m’écarta les fesses, et me pénétra.
Il était debout. J’avais les genoux sur l’assise. Il tenait mes poignets vers lui, tirant mes bras en arrière tout en me défonçant la chatte.
Il posa ensuite une main sur ma nuque pour m’écraser la tête dans le canapé. Sa verge était large, je pouvais presque y sentir chaque veine épousant mes parois brulantes et mouillées. Il m’excitait tellement… L’odeur du cuir, le bruit de sa respiration. Je me perdais dans un océan de plaisir. Et je n’arrivais plus à trouver la sortie. Chaque mouvement qu’il faisait, m’éloignait du rivage.
Je repris mes esprits après une légère douleur sur la joue. Il me regifla. Je sentais un picotement sur mon visage, mais elle se fit vite oublier lorsqu’il claqua sa main contre mes fesses. Je l’entendis gueuler. Le plaisir le gagnait petit à petit, il allait bientôt être envahi de bestialité et perdre la raison.

Il se retira, apparemment, il avait décidé de se calmer un peu. Garder le contrôle de soi était primordial chez lui. Même s’il sait très bien, qu’au bout d’un moment, il le perdra.
« - Lève-toi ! » M’ordonna-t-il. Je m’exécutai. Il débarrassa la table à manger de son avant-bras. La moitié des affaires étaient tombés par terre. Cela n’avait pas l’air de le déranger. Il était bien plus concentré sur ce qu’il allait me faire. Il me mit dessus, puis me plaqua sur le ventre. Il m’attrapa la jambe gauche, la replia vers moi. Ma chatte était béante, prête à l’accueillir. J’espérais juste qu’il ne tarde pas trop, j’avais vraiment envie de lui. Il ne pouvait pas continuer à m’admirer comme ça plus longtemps. Je remuai le bassin. Il s’y enfonça aussitôt. Planté entre mes cuisses, il me tringla horriblement fort, d’une violence que j’avais sous-estimée. Il voulait que je paye. Ma joue et mes seins écrasaient la table, il me tenait la cheville gauche, et me giflait les fesses de l’autre. Mes ongles serraient la nappe, je devais me tenir à quelque chose. Mon bassin tapait contre les rebords, mais je ne sentais pas la douleur.
Je n’aurais même pas pu si quoi que ce soit. Je me faisais défoncer, j’étais sa chienne, c’est tout ce que je savais.
Il m’attrapa de son poing les cheveux et me redressa. Il m’embrassa d’une manière torride et saccagée. Il posa une main sur mes seins, qu’il serra, et une qui gardait toujours mes cheveux en arrière. Je me courbais à mon maximum. La cambrure que je lui offre, ne le laissait pas indifférent.

Il allait de plus en plus vite, et de plus en plus fort. Il réussissait avec ses coups de reins à déplacer la table en chêne qui me maintenait. Je sentais qu’il approchait.
Il me retourna, plaqua mon dos contre la table. Mes seins ronds lui faisaient face. Ma bouche entrouverte l’invita à continuer. Je me cambrai, il me saisit les hanches directement. Mais cette fois ci, il enfonça sa queue lentement. Il savait que j’adorais ça. Il m’arracha un hurlement qui m’en fit frissonner.
Sa verge était brulante, et imaginer son gland entré en moi me rendait folle. Je pouvais vraiment sentir chaque millimètre de sa queue, c’était trop bon. Le plaisir monta d’un cran. Il se retirait encore très doucement. Il me regardera me r de désir, immobilisée. Il enfonça ses doigts dans ma bouche, serrant ma mâchoire de l’intérieur. Ma salive venait effleurer ses doigts brulants enfoncés dans ma gorge. Je ne pouvais gémir.
« - Touche-toi. » Un ordre, j’obéis sans réfléchir une seconde. Mon majeure vint se glisser sur mon pubis épilée, je le glissai entre mes lèvres pour bien réaliser que sa queue était plantée en moi. Puis je remontai, sur mon clitoris. J’entrouvris les lèvres.
« - C’est ça, continue. » J’accélérai les mouvements de rotation pour me donner un plaisir intense.
J’allais jouir. Je sentis une chaleur m’envahir les pieds, puis monter petit à petit le long de mes jambes. Je voulais le prévenir que je venais, mais je n’arrivais plus à parler. Il me donna des coups de reins de plus en plus forts. Mes seins remuaient dans tous les sens.
Je gémissais de plus en plus fort, je ne me retenais pas. Les picotements envahissaient maintenant mes cuisses. Une chaleur intense parcouru mon corps sans oublier une seule partie. Mes muscles se figèrent, comme une électrocution, ma bouche resta entrouverte sans pouvoir sortir un son. Puis peu à peu je relâchai la pression au bout de mes doigts, mes muscles purent bouger à nouveau. Il me laissa respirer et reprendre mon souffle quelques secondes.
Lui n’en avait pas fini. Il me pénétra à nouveau. J’avais encore envie de lui, et je voulais encore tout faire pour lui apporter du plaisir. Tant qu’il ne me le dis pas, je suis et reste sa chienne. Il se renfonça donc d’un trait. Ma chatte encore trempée s’écarta. La mouille ruisselait le long de mes cuisses.
Il passa mes jambes sur ses épaules et s’appuya contre mes hanches. Je ne pouvais pas lui être plus dévouée. Il accéléra, se mordit les lèvres pour masquer son plaisir. Ses abdos et ses cuisses s’étiraient. Il attrapa d’une main mes jambes qu’il fit basculer sur une de ses épaules et m’appuya sur le ventre avec l’autre main. Il accéléra, je me faisais littéralement démonter.
Je sentis qu’il allait venir lorsqu’il posa sa main sur mon cou pour me le serrer fort. Ses doigts se resserraient autour de mon cou à mesure son plaisir lui grandissait.
Il me donna trois grands et puissants coups de reins pour me pénétrer au plus profond et resta, sa verge entièrement plantée au fond de mon vagin pour déverser son sperme brulant à l’intérieur de mon corps. Des gémissements brefs, dominants et éraillés envahirent la pièce.

Il mit quelques secondes à me relâcher, posa délicatement mes jambes aux sols. Il me regarda dans les yeux, et afficha un léger sourire en coin, puis il parti me chercher une serviette pour essuyer le sperme qui coulait le long de mes cuisses…

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