Le Pompon (2)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

J’entre à la maison mon père est déjà parti à son travail.
Il est de poste de nuit.

— Où étais-tu ?
— Après l’école j’étais chez Pierre.
— Tu sais que je n’aime pas que tu me mentes.
— Pourquoi ?
— Je suis allé faire des cours et je suis passée par ton collège pour te ramener. Pierre m’a dit que tu n’étais pas là de tout l’après-midi.

Je cherche à trouver une explication plausible et je sens qu’il est préférable de lui dire la vérité.

— J’ai passé l’après-midi chez une copine.
— Vous avez enfilé des perles.
— Non j’ai fini dans son lit.
— Elle est jeune ?
— Non elle a 26 ans.
— Tu aimes les femmes d’expérience ?
— Non elle était vierge.
— À 26 ans ?
— Oui elle a préféré étudier que de s’amuser afin d’avoir son CAPES.
— Elle est professeur ?

Je vois que je me suis fait piéger. Je dois lui dire la vérité.

— C’est mon professeur d’Anglais.
— La jolie femme qui dirigeait la réunion des parents d’élèves avec des lunettes noires et un chignon ?
— Oui mon professeur principal !

Je m’aperçois qu’elle a du mal à se si entre me blâmer ou de me féliciter.

— Cela c’est bien passé ?
— Oui très bien !
— Tu n’as pas été brusque, tu sais-nous les femmes somment sensible à la douceur surtout la première fois.
— J’ai réussi à lui faire prendre son plaisir dès la première fois.
— C’est bien mon fils je suis fière de toi. Sinon tu n’as pas eu de problème de tout l’après-midi.
— Si je réfléchis bien quelque chose m’a étonné.
— C’est quoi ?
— Chaque fois qu'elle jouissait, sa chatte éjectait du liquide.
— Ton professeur est une « femme fontaine » et des glandes internes ont la particularité d’envoyer des petits jets hors de sa vulve. Certaines personnes aiment boire ces petits jets.

Moi je n’ai jamais bien apprécié.
— Comment, tu as été avec des femmes !
— Puisque tu as été franc je vais l’être aussi. Avant ton père j’ai vécu deux ans avec une amie d’école. Nous étions amoureuses et lors de nos jeux, presque chaque fois, j’avais droit à une petite douche lorsque je la faisais jouir.
— Tu étais lesbienne ?
— Si tu veux, mais dès que j’ai connu ton père, il m’a fait apprécier les plaisirs que donne une bonne virilité. Je l’ai quitté et elle a déménagé, je ne l'ai jamais revu. Vous-vous revoyez quand ?
— À l’école demain et samedi après midi chez elle !
— Tiens voilà cent francs, apporte-lui un cadeau. Du parfum par exemple, les femmes adorent cela.
— Merci pour ta franchise, je n’aurais jamais pensé que tu avais fait l’amour avec une autre femme !

Je vais me coucher, elle m’a épuisé.
Je monte dans ma chambre et je m’endors immédiatement.

Le lendemain, je suis en classe bien à l’heure. Je suis passé signé ma feuille d’absence.

Nous avons cours avec Malaurie dans la dernière heure de la matinée.
Lorsqu’elle entre en classe deux de mes demandes ont été respectées.
Elle a enlevé ses lunettes et libéré ses cheveux.
Hélas, elle a contourné ma demande si le chignon n’est plus là, elle n’a pas eu le courage de laisser ses cheveux longs et est allez chez le coiffeur.
Il lui a enlevé deux tiers de cette magnifique chevelure que j’ai eu le plaisir de faire tomber en cascade sur ses épaules hier.

Elle a désespérément attendu que je lui marque un peu d’intérêt tout le long du cours.J’ai passé la plus grande partie du temps à lire ostensiblement le livre d’anglais que je n’avais jamais ouvert depuis le début de l’année.

— Christophe, venez au tableau.

Je rejoins l’estrade. Je prends une craie.

— Écrivez vos noms prénoms et trois lignes sur vos goûts en anglais bien sur.

Je commence à écrire, car même si je suis un cancre, l’anglais est la seule matière ou j’obtiens largement la moyenne.


Pour suivre ce que j’écris, elle a tourné sa chaise vers moi. Le bureau cache le bas de son corps à l’ensemble de la classe.
Je finis d’écrire ce qu’elle m’a demandé. Au moment où je pose la craie et que je me retourne, la vision qu’elle me présente fait frémir ma verge !
Sa jupe relevée juste ce qu’il faut me permet de voir sa chatte. En plus de ce fait coupé les cheveux elle s’est fait raser la minette. Elle me présente un abricot bien lisse fort appétissant.
Pour ne pas éveiller les soupçons des autres élèves, je redescends à ma place sans lui jeter le plus petit regard.

Fin du cours. Tous se lèvent et sortent.

— Christophe, veuillez rester, j’ai encore besoin de renseignement.

La porte fermée par le dernier sortant.

— Mon chéri, j’ai respecté tes demandes, j’ai même pris des initiatives, je te plais ?
— Tu verras cela demain, je serais chez toi à 14 heures.
— Je t’attendrais avec impatience mon amour.

Je sors sans lui en dire plus.

Je ne me vois pas rester tout l’après-midi à ne rien faire dans le collège. Je sors et marche tout droit sous le soleil persistant.
Je peux me promener les mains dans les poches car j’ai laissé mon sac à dos sur ma chaise dans la classe. Je le retrouverais bien lundi.

Je ne me savais pas si bon marcheur. J’avale les cinq kilomètres jusqu’au pont de Joinville. Sans m’en rendre compte, je passe devant le salon de coiffure tenu par la belle-mère de Chantal, ma jeune défloreuse.

Pendant cinq ans, je suis allé dans un placement familial dans le Doubs. Nous étions dans une ferme à trois kilomètres du plus proche village. Nous étions 8 s placés là pour reprendre des forces après l’année scolaire en respirant l’air pur.
C’est là que j’ai fait la connaissance d’une jeune fille dont le père habitait à Joinville chez une coiffeuse après son divorce.

Un jour un problème dans son travail l’a obligé à renter chez lui plutôt.
Chantal sa fille était un tout petit bébé. Lorsqu’il est entré, il l’a entendu pleurer. Elle était dans son berceau les fesses maculées et n’ayant pas mangé. Il l’a changé, nourri et a attendu sa femme.

Elle est revenue deux heures plus tard. Elle était vêtue d’une tenue, short ras la moule, petite veste en fourrure synthétique rose. Vous ajoutez, les bas résilles avec des chaussures si hautes que l’on peut se demander comment elle peut tenir debout et surtout un chemisier qui dégage ses seins très peu couverts. Cette tenue ne laisse aucun doute de l’occupation qu’elle pratique pendant tout le temps de son absence.

Lorsqu’il lui a demandé d’où elle venait la réponse a été simple.

— Je viens du bois de Vincennes près du champ de courses ou je fais la pute depuis plusieurs mois. Tu ne crois pas que c’est avec ta paye que tu as pu partir quinze jours à la mer cet été !

Elle a ouvert son petit sac à main et saisi une poignée de billets qu’elle lui envoie au visage.

— Tiens, j’en ai pompé 8 à 50 francs et me suis fait enfiler par trois autres dont un black qui était monté comme un taureau appuyé contre un arbre à 200 francs la saillie. En 4 heures j’en ramène presque autant que toi en un mois. Tu fais ce que tu veux moi je vais me doucher.

Il est parti avec sa fille. Il a eu le droit de la garder lors du jugement au tribunal.
Quelques mois plus tard il a fait la connaissance d’une femme propriétaire d’un salon de coiffure. Ils ont vécu ensemble et elle a élevé Chantal.
Vers ces douze ans, elle jouait dans la pièce attenante au salon. Sa belle-mère ne l’avait pas entendu descendre.

Elle coiffait une cliente et elles discutaient très librement.

— Et avec Chantal tu t’en sors ?
— Elle est gentille mais à l’école elle a du mal.
— Elle te parle de ce qu’elle veut faire ?
— Non, mais je ne me fais pas de bille, elle pourra toujours rejoindre sa mère pour faire la pute au champ de courses !

Elle avait rigolé des bons mots qu’elle venait de prononcer.


— Oui je suis allé à Vincennes par le bois lundi après-midi. Elle était là sur ses hauts talons. Elle a toujours sa petite veste en fausse fourrure rose. Je l’ai même vu monter dans une voiture. Elle devait faire du fric il y avait course ce jour-là.

On peu pensé quel traumatisme a subi la petite en entendant que sa mère faisait la pute à moins de 5 kilomètres d’où elle habitait.
Lorsqu’elle avait posé une question à son père, il lui a été répondu qu’elle était décédée.

Pendant les vacances scolaires qui ont suivi, elle a entendu les pronostique pour les courses qui se couraient l’après-midi à Vincennes.
Sans rien dire, elle a fait le chemin jusqu’au champ de courses. Elle était là dans la tenue décrite par sa belle-mère. Elle est passé près d’elle deux fois mais n’a jamais osé lui dire qu’elle était sa fille.
Elle la même vue acceptait les sollicitations d’un client et montait dans sa voiture.

C’est aux grandes vacances suivantes que j’ai fait sa connaissance.

Comme pour tous les jeunes de mon âge, le sexe commençait à me travailler. Il n’était pas rare le matin qu’une carte de France soit partie dans les draps.
Tous les dimanches, à un croisement à égale distance des deux villages, les jeunes se retrouvaient.
Pour la plupart leur premier flirt a commencé là.
Les plus vieux dépassaient le stade des attouchements et des baisés. Ils s’isolaient une grande partie de l’après-midi.

Lorsque nous essayons de les suivrent, nous recevions des coups de pied aux fesses pour nous faire dégager.

J’avais repéré un couple qui partait systématiquement dans la direction d’un bouquet de noisetiers. Le dimanche suivant, je suis venue me cacher en son centre.
J’avais le nez dans la mousse, quand-ils son arrivés. Dès qu’ils ont été hors de vue du groupe, la fille s’est allongé et à relever sa robe. Pour la première fois de ma vie je voyais une chatte de femme, elle avait oublié de mettre une petite culotte.

Je bandais comme jamais. J’ai saisi ma verge et me suis masturbés.

Son copain s'est placé à genoux, il a commencé à sucer la fente de la fille. Elle donnait l’impression d’aimer car elle lui a crié.

— Vas-y bouffe-moi la chatte. Une semaine que j’attends de sentir tes lèvres sur ma vulve. — Tu veux que je te la mette ?
— Oui, viens, je ruisselle. Enfile-moi !

Le mâle s’est allongé et a directement enfoncé sa verge dans sa femelle.

Par chance, je me trouvais exactement dans l’axe du couple. J’ai pu voir la verge allée et venir dans la minette. Après qu’elle est chantée, non plutôt gueulée son plaisir, il a poussé un cri et a sorti sa verge pour ne pas envoyer son sperme au fond de la grotte.

Ils sont restés dans cette position quelques minutes.
Au bout d’un moment il a basculé sur le côté me montrant la fente de la belle. Elle a sorti un mouchoir de sa poche et l’a passé sur sa toison, qu’elle avait beaucoup fournie, pour essuyer le sperme qui la maculait.
Ils sont restés couchés main dans la main. La fille s’est redressée et a avancé sa bouche vers la pige flasque de son homme. Elle l’a saisi d’une main et l’a pris en bouche.

— Oui pompe-moi, fait moi bander, j’aime tes fellations. Tu as toujours été la meilleure pompeuse de bites de la bande.

La fille arrive rapidement à ses fins, il est vrai que la technique qu’elle emploie est efficace. Je la vois lécher la tête de la verge avec son petit bout de langue rose. Elle le plonge en bouche pour mieux recommencer à sucer la pointe.

— Viens, j’ai trop envie de te poignarder.

La fille enfourche son mâle et j’ai une vision que je ne suis pas prêt d’oublier.
Alors qu’elle est à cheval le long des flancs de son homme, elle lui saisit la tige et la plante au centre de sa chatte.
Manque de chance sa robe retombe sur le magnifique spectacle que je contemplais.
Ouf ! elle doit avoir pitié de moi. Elle relève le bas et le coince dans sa ceinture. Débarrasser des problèmes matériels, elle commence à se relever puis à redescendre sur le pieu qui la cloue. Il passe sa main sur le haut de la robe et fait sortir un de ses seins. Il le malaxe de plus en plus fort au fur et à mesure que son plaisir monte.

— Vas-y arracher le, il aime quand tu le maltraites. Je jouis.
— Sort, je vais partir.

Trop tard, elle est restée plantée sur la verge.

— Mince, j’ai tout pris, tu aurais pu me prévenir plutôt. Coup de chance, j’avais regardé théoriquement je ne suis pas féconde.

Je la vois s’asseoir sur ses fesses, jambes écartées. Elle reprend son mouchoir et le passe à l’intérieur de sa vulve en écartant ses grandes lèvres. Je peux voir le rose de ses muqueuses.

— J’ai presque tout enlevé, çà va aller ?

Lorsque je suis revenu l’an dernier, il l’avait épousé à Noël. Elle avait une robe blanche malgré ses trois mois de grossesse. Le petit est né au printemps.

Lorsque Chantal est arrivée au sein du groupe, 15 jours après nos arrivées, nous ne savions pas pourquoi elle était près de nous.
Pourquoi, la dame qui nous gardait avait accepté de la prendre chez elle ?

Plus tard j’ai appris qu’elle avait été placée dans une ferme. La femme avait surpris son mari au moment où il allait lui planter son dard dans la fente sur la toile cirée de la cuisine.
Le directeur était intervenu et l’avait déplacé dans notre ferme pour éviter un scandale avec la famille.

Lorsque je lui demandais ce qu’elle voulait faire plus tard elle me répondait.

— Soit chanteuse, on dit que j’ai une belle voix, soit coiffeuse comme ma belle-mère ou pute comme ma mère.

C’est dans les jours suivant qu’elle m’a pris mon pucelage.

Après les vacances, rentré à Champigny je savais qu’elle habitait à 3 kilomètres de chez mes parents. Je suis allé au salon de coiffure une ou deux fois mais je n’ai jamais pu m’isoler avec elle et je ne l’ai plus revue.

Au fil du temps, je l’avais oublié. Malaurie m’y a fait repenser.

Après quels mètres, je réalise que mes pas ne m’ont pas conduit là par hasard.Au moment de changer ma vie en entrant dans la Marine Nationale, savoir ce qu’est devenue Chantal la petite qui m’avait donné bien du plaisir !

N’écoutant que mon courage je pousse la porte. Aucune cliente n’est présente ce qui m’évite de paniquer.

— Bonjour madame, vous vous souvenez de moi ?
— Tu as grandi mais tu n’as pas changé, que veux-tu ?
— Pouvez-vous me donner des nouvelles de Chantal ?
— Non, depuis deux ans elle a quitté son père. Voulez-vous son numéro de téléphone.
— Vous pouvez me le donner ?
— Si je le retrouve.

Elle part dans l’arrière salle.

— Tu as de la chance, il était dans un tiroir.

Elle me le tend.

— Merci madame !

Fort de ce numéro, je descends sur les bords de marnes.

Je profite d’une cabine publique pour composer le numéro.
On décroche.

— Allô, qui demandez-vous !
— Puis-je parler à Chantal ?
— Maîtresse Chantal !
— Excusez-moi, Je cherche Chantal !
— C’est moi, qui êtes-vous !
— Christophe ton copain du Doubs !
— Christophe, excuse-moi, j’étais à mille lieues de penser à toi. Que deviens-tu ?
— Je rentre dans la Marine Nationale dans trois mois et une circonstance inattendue m’a permis de penser à toi. J’aimerais bien te revoir ?
— Je suis très occupée maintenant. Quand, es-tu disponible ?
— Demain dans la matinée !
— 9 heures 30. C’est possible pour toi ?
— Aucun problème, j’ai eu ton téléphone mais pas ton adresse.
— 11 boulevards de Strasbourg. Tu sonnes « Société, J’aime tout »
— À demain! Je suis content de te revoir.

Je raccroche et je traîne jusqu'à l’heure à retourner à la maison.

Je passe une nuit agitée, comment vais-je retrouver Chantal ?

Neuf heures, je suis devant un immeuble classique à Paris. Grand porche en bois et haut de cinq étages. J’attends dans un café placé face à la porte. Personne n’entre ou ne sort.
À l'heure prévue, je sonne. Dans l’interphone je donne mon prénom.

— Monte, deuxième porte droite.

Je grimpe en courant. Je n’ai pas le temps de sonner, la porte s’ouvre et un tableau extraordinaire s’offre à moi.
Chantal est là, habillée de cuir avec corset lassé dans le dos. Petit short tellement mini que si elle ne s’épilait pas, les touffes de poils dépasseraient. Vous complétez le tableau avec cuissardes à la d’Artagnan et gants montant plus haut que le coude. Le tout entièrement noir. J’oubliais, dans ses mains elle tient une cravache.

— Entre, tu m’excuses j’ai deux clients qui m’attendent !

Où, suis-je tombé. La pièce où nous sommes ait meublé empire. Fauteuils, commodes et table ronde. Aucune fausse note. Au mur des tableaux qui ne ressemblent pas à des croûtes.

Tu aimes ?
— Il y-en a pour du pognon !
— Tu peux le dire et encore tu n’as rien vu. Suis-moi.

Elle me fait passer derrière un grand rideau rouge qui cache une porte. Nous la franchisons et je me trouve dans une pièce composée de cellules placées côte à côte.

— Ici, tu trouves les vestiaires individuels. Mes clients se préparent avant que je ne m’occupe d’eux.
Elle me fait pénétrer dans l’une d’elles, elle est vide. Une armoire, un fauteuil et une grande glace composent la pièce.
L’armoire attire mon attention, un système de fermeture sécurisé n’a pas été créé par les serruriers d’époque. Une nouvelle porte est placée au fond de la cellule. Encore un système d’ouverture codé.
Elle tape rapidement un code et la porte se déclenchent.

— Viens, à partir de maintenant plus un bruit, mes clients sont là.

Il est trop tard pour lui poser des questions. Dans quelle galère me suis-je fourré !
La pièce où je pénètre est entièrement sous lumière rouge. Mes yeux mettent quelques minutes à s’acclimater.
Ce que je découvre est impossible à décrire.
Je suis dans une salle pour personnes aimant la domination.
Chantal me parle tout bas.

— Tu vois ici je suis Maîtresse Chantal. Attend-il est l’heure de libérer mes deux clients.

Elle détache un homme et le guide jusqu’à sa cellule. Lorsqu’il passe devant moi, je ne vois pas son visage caché par une cagoule intégralement fermée à par une fente pour respirer par la bouche.
Elle sort une femme de l’endroit ou elle l’a installé. Elle aussi à une cagoule mais je peux voir ces yeux. Chantal la tient en laisse attachée à un collier en cuir et clous métalliques. Elle la fait sortir de la pièce à quatre pattes comme un bon toutou bien gentil, des petits coups de cravache la guide vers la cellule.

Les deux clients partis, elle me fait encore franchir une porte. Le décor est complètement différent des autres pièces. Meubles designs, décoration identique.

— Tu es chez moi ! C’est là que je réside.
— Tu es seule ?
— Oui, mon métier limite l’envie des hommes à s’afficher avec moi.
— Pourtant tu es devenu très jolie.
— Parce Qu'avant je ne l’étais pas.

Je la prends par les épaules et la regarde droit dans les yeux.

— Tu es resté dans ma mémoire comme la jeune fille un peu délurée qui m’a donné mes premiers moments de bonheur. Je retrouve une femme capable de faire bander un mort.
La comparaison est impossible.

— Aide-moi à enlever ma tenue de travail.

Alors que j’étais prêt à l’embrasser, prestement elle se retourne et me présente son dos. Le corset est attaché par des agrafes évitant de défaire les lanières.
Elle m’apparaît sein nue. Je les reconnais, je les ai assez sucés, triturés, tirés, mordillés, il y a quelques années. Les gants suivent le même chemin.
Elle s’assied et me demande de lui retirer ses cuissardes.

— Viens !

Elle m’entraîne dans sa salle de bain aussi moderne que le reste du logement. La baignoire ronde au centre de la pièce bouillonne.

— Je l’ai commandé depuis ma salle de travail. Comme cela tout est chaud lorsque j’ai terminé !

Elle me fait entrer et me déshabille. À un détail près dans le Doubs j’étais en pantalon de survêtement. Elle n’avait pas eu de mal à le tirer vers le bas m’enlevant par là même mon slip kangourou. Ici je suis en jeans et elle bataille plus difficilement avec ma ceinture et les boutons de ma braguette.
Pour ne pas lui faciliter la tâche, tout ce que j’ai vu depuis que je suis rentré ajouter à Chantal à moitié nue me fait enfler ma tige qui a du mal à être contenu dans un si petit espace.
J’ai affaire à une experte qui me libère prestement.
Elle fait glisser son mini short et enjambe la baignoire. Sa chatte s’écarte lorsqu’elle lève la jambe et me donne envie d’y glisser mon sexe. Elle est complètement épilée. Elle se glisse dans le bain où je la rejoins.

— Tu m’as dit que tu t’étais engagé dans la Marine ?
— Oui, pour cinq ans je serais mécanicien.
— Bien et tu espères voyager.
— On verra mais ainsi j’aurais une formation.
— Et, les filles ?

Je lui raconte mon aventure avec ma professeur d’anglais. J’évite de lui dire que je dois la voir dans quelques heures.

— J’ai découvert que j’ai à faire à une femme fontaine !
— C’est rare d'en trouver. Et tu me dis qu’elle était vierge à 26 ans.
— Je l’ai défloré comme tu la fais pour moi. Je lui ai aussi enlevé sa rondelle, les deux fois malgré son inexpérience elle a joui. Le plus drôle c’est quand je l’ai claquée aux fesses, elle en redemandait, j’ai arrêté car je ne voulais pas lui donner de mauvais travers.

– Si elle aime être dominée, il faudra me l’amener, je m’en occuperais. Je lui ferais un tarif d’amie.
— Merci, mais je ne suis pas porté sur le sado ou le maso.
— Dommage ! Attends, je vais te faire un cadeau pour elle.

Prestement elle saute de la baignoire et revient avec une boîte.
Elle remonte me faisant voir une nouvelle fois sa fente vierge de tous poils.

— Tout à l’heure met lui cela autour du cou. Voici la laisse qui va avec ce collier.
Tu lui demanderas si elle veut être ton esclave chaque fois que tu attacheras le mousqueton à cet anneau. Si elle accepte, elle devra exécuter tous tes désirs.

— Et toi comment as-tu atterri ici ?
— Tu sais que lorsque j’étais en vacances je te disais toujours que je serais soit chanteuse, soit coiffeuse soit putain. J’ai commencé par essayer d’être chanteuse. J’ai réussi à rencontrer un producteur qui m’a promis un disque si je lui donnais mon cul. Je les fais. J’ai vu sa queue mais je n’ai pas vu mon disque. Il s’est servi de moi dans des soirées où ma chatte l’intéressait plus que ma voix. J’ai fini par admettre que je ne serais jamais chanteuse.

— Passe moi la savonnette !
— Coiffeuse, j’ai immédiatement abandonné lorsque j’ai vu les mains de ma belle-mère surtout au moment des fêtes. Il me restait putain. J’avais retrouvé ma mère qui tapinait vers le champ de courses de Vincennes.

Un jour je suis arrivé en tenue de travail vers elle sans qu’elle sache que j’étais sa fille. J’avais acheté ce qu’il fallait pour aguicher les hommes. J’avais des cuissards du même genre que celle dont je me sers ici qui a fait ma réputation.
Au début, elle ne voulait pas que je travaille vers elle. Elle me donnait des coups de pied pour me faire partir.
Un après-midi je l’ai vu se faire agresser par un homme qui voulait la racketter.
Je suis intervenu avec une bombe aveuglante et je l’ai défendu. Son agresseur a fui sans savoir où il allait.
Elle m’a eu à la bonne et nous avons travaillé en nous protégeant l’une l’autre. Comment n’a-t-elle jamais remarqué que nous nous ressemblions certains de nos clients nous appelaient les deux sœurs !

Un jour un client m’a proposé moyennant une grosse somme qu’il venait de gagner au champ de courses que je l’accompagne dans une boîte échangiste où les hommes seuls ont du mal à entrer.
J’ai été amusé n’étant jamais allée dans ce genre de boîte et les billets qui ont rejoint mon sac m'ont convaincu.
Nous sommes partis directement dans Paris à une adresse qu’il connaissait.
Ma présence lui a ouvert les portes. Une fois entré, il est parti vers les fonds de l’établissement et je ne l’ai juste aperçu avec un homme.

J’étais au bar et plusieurs hommes ont essayé de m’entraîner dans les alcôves. Avec moi, pas de fric pas de baise. Dans ce genre de boîte les putes sont très mal vues voire banni. Je les ai éconduit poliment. En faisant cela j’ai attisé la convoitise d’une femme d’un certain âge. C’était une lesbienne qui m’a fait dû rendre dedans comme aucune femme ne m’en avait fait. Le jeu m’a intéressé. Je suis une belle salope et tu le sais bien. J’ai donc accepté de la suivre.

Pour la première fois, je me retrouvais à honorer une femme.
Bizarrement les ombres qui rôdaient autour de nous me mettaient mal à l’aise.
Martine la sentie et m’a proposé de continuer la soirée chez elle.
J’ai accepté contente de quitter ce lieu qui ne pouvait pas me rapporter un sou. Elle a commandé un taxi et nous nous sommes retrouvées dans cet appartement. J’ai passé le reste de la nuit à la brouter et à me faire brouter.

Pendant deux jours elle m’a gardé sans me dire ce qu’elle faisait. Le troisième jour, elle s’est préparée et je l’ai vu enfiler sa tenue de travail. Nous avons quitté la partie de l’appartement ou nous sommes en ce moment pour nous rendre dans l’autre où elle recevait les personnes adeptes à la domination. Je n’étais pas en tenue, mais j’ai aimé infliger de petits sévices aux clients consentants.

Elle s’était rendu dans ce club échangiste pour trouver une femme susceptible de reprendre sa petite affaire afin de partir dans le midi dans une villa qu’elle a pu s’acheter. Elle y est toujours et je vais la retrouver lorsque le besoin de soleil me démange.
Dans la boîte, aussitôt qu’elle m’a vu, elle a su que j’étais celle qu’elle cherchait.
Elle m’a appris les ficelles du métier. Au bout de deux ans elle m’a passé le relais.
Je lui rachète l’ensemble des deux logements en lui versant une rente tous les mois. J’aurais pu solder ma dette depuis longtemps, mais je préfère lui assurer un revenu qui lui permet de vivre tranquillement.
J’ai fait énormément d’investissement dans la partie professionnelle surtout en ce qui concerne la sécurité de mes clients.
Je n’ai pas oublié mon bien-être et tu vois dans le luxe où je vis.

— Cela te rapporte de bons revenus ?
— Le secret professionnel veut que je ne dise rien sur eux. Je vais un peu déroger à la règle avec toi. L’homme que tu as vu tout à l’heure et qui était recouvert d’un masque intégral est un personnage politique de tout premier plan et dont on parle pour être premier ministrable. Tu peux te douter qu’il souhaite de la discrétion et cela se paye.
— Et ta mère ?
— Merci, dès le début de notre entente j’ai raconté à Martine mon histoire. Elle a tenu que je vais la rencontrer et lui proposer de venir près de nous. J’y suis allé et elle a accepté de venir. En ce moment elle est près de Martine pour les fêtes.

— Tu lui as dit qu’elle est ta mère.
— Non, j’ai peur que si elle l’apprend sa fierté la renvoie vers le trottoir. Lorsque le nombre de clients est trop important elle enfile une tenue et nous travaillons ensemble.

Je sors du bain et suis obligé de m’habiller pour rejoindre Malaurie.

— On se revoit ?

Je ne prends pas de client le dimanche vient dans huit jours. De toute manière tu as mon numéro si tu as des problèmes appelle-moi.
Je la quitte en emmenant son cadeau, contente de l’avoir retrouvée.

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