Le Pompon (4)

En sortant de chez Samy et Ophélie, je traverse la marne pour aller chez mes parents. En temps normal, le matin je parcours les quais en faisant mon jogging. Mes chaussures m’obligent à marcher mais d’un pas rapide la distance est courte.

Mon père dort après sa nuit lorsque nous arrivons. Ma mère est dans la cuisine et fait ses éternelles réussites du début de matinée.

— As-tu passé une bonne soirée ?
— Oui, Malaurie avait réservé une table Chez gégène où nous avons rencontré un couple qui habite juste en face de l’autre côté de la Marne et chez qui nous avons fini la nuit.
— Vous avez dormi chez eux ?
— Dormi c’est un grand mot, nous avons dansé et nous nous sommes endormis dans les fauteuils.
— Ta copine est rentrée de son coté ?
— Non, notre copain l’a raccompagné !
— Tu n’as pas peur qu’il devienne entreprenant ?
— D’abord je ne suis pas jaloux. Il est clair entre Malaurie et moi que je pars en mars et que notre couple n’est pas fait pour être éternelles.

J’ai beau être complice avec elle, je ne vais pas lui raconter que j’ai poussé Malaurie à se prosti avec notre copine dans le bois de Vincennes et que j’ai fini la nuit en enculant la femme que nous venions de rencontrer quelques heures plus tôt devant son mari, pendant qu’il besognait mon amie !

— Je me douche et je me change. Je prends quelques affaires car il est possible que je reste dormir chez Malaurie. Je te téléphonerais.
— Quand tu seras près, je t’emmènerais, ton père n’a pas rentré la voiture et j’ai des courses à faire.
— Je me dépêche. Dix minutes et elle me dépose au pied de l’immeuble de ma maîtresse. Maîtresse dans tous les sens du terme.
— Tu vois maman Malaurie habiter au deuxième étage.

Je descends et je la regarde partir.

De retour dans la chambre Malaurie est dénudé, elle me dénude et m’entraîne sous la douche.
L’eau qui ruisselle sur nous me sort de la torpeur.


Une bouche sur ma queue me revigore définitivement, elle s’est accroupie devant moi et commence à me lécher tout le long de mon membre.
J’aime de plus en plus bander à la limite de la jouissance sans jamais l’atteindre. Je suis de plus en plus le maître de ma bite. La répétition des moments où elle bande et les moments de repos augmentent ma jouissance lorsque je décide de donner à ma partenaire la totalité de mon foutre accumulée dans mes bourses.
J’atteins ce point et je relève ma belle salope. L’eau fermée, je la laisse essuyer nos corps. Elle s’attarde sur l’objet de ses envies qui repart à la hausse.

Elle m’entraîne dans la chambre, se glisse sur le lit en appuie sur les coudes, jambes impudiquement écartées elle me tend les bras.

— Viens me baiser mon petit coq.

Fidèle à mon principe au lieu de lui planter mon pieu, je viens à genoux à la hauteur de sa fourche.
En la regardant dans les yeux je lui caresse la fente qui me donne tellement de plaisirs. Je martyrise son bouton qui malgré les légers pincements infligés approuve.
Je n’ai pas quitté ses yeux. Elle ne cherche même pas à lutter avec moi, entièrement acquise à mes gestes surtout lorsqu’ils lui procurent son plaisir.
Ils se troublent surtout lorsque je la pénètre avec un quatrième doigt. Seul mon pouce est en dehors de sa chatte. Je leur fais coulisser de plus en plus rapidement de plus en plus de liquide sort de Malaurie. D’un coup son corps ouvre les vannes, des jets sont éjectés autour de ma main. Elle est trempée ainsi que les draps qui une fois de plus vont être à changer. Mon petit chaton jouit tellement intensément qu’en plus des râles de plaisirs ses bras ne la soutiennent plus et elle s’écroule sur le lit.
Un temps de repos et insatiable, elle revient à la charge sur ma bite.

— Je veux que tu me prennes, ma chatte a soif de ta bite. J’aime tellement quand tu me là mets.

Elle se met en levrette et me demande de venir.

Je viens derrière elle et au lieu de la saillir, je lui applique une grande claque sur son séant qui immédiatement rougi.
Seul un « Oh ! » De surprise sorti de sa bouche.
La fesse droite a reçu ma visite, d’un revers, j’égalise sur la fesse gauche.
Un « Oh ! Oh ! » Arrive à mes oreilles. Je m’arrête là. Plus, serait pernicieux et je tiens à rester dans une certaine mesure maître de mes gestes.

— Vas-y fesse-moi, j’ai été une vilaine fille qui s'est prostituée cette nuit et qui a sucé des bites.
— Non, mon cœur, je ne serais pas ton tortionnaire. J’ai l’impression que j’y prends goût !
— Tu n’es qu’un impuissant, tu ne veux même pas me donner du plaisir !
— Un impuissant, tu vas la sentir passer.

Sans aucune préparation préalable, je l’encule d’un seul mouvement et je la besogne comme jamais je ne l’ai fait. Elle jouit par le cul et exprime son plaisir par des cris qui doivent réveiller les voisins en ce dimanche matin.

Nous nous écroulons et nous reprenons quelques forces, je pense bien mériter.
Nous passons l’après-midi à baisoter et à manger directement dans le lit.
Au matin ayant bien récupéré, je me réveille à cause de croûtes de pain qui ont glissé sous mon postérieur. Je me prépare et je laisse dormir Malaurie, elle n’a couru qu’à 10 heures.

Arrivé au collège, le pion me demande d’aller chez le proviseur. Je frappe et il me fait entrer.

— Où étiez-vous vendredi après midi ?
— Même si cela n’est pas vrai. Chez ma maîtresse, monsieur !
— Ne vous fichez pas de moi.
— Vous êtes jaloux ?

Je rêve un moment de lui dire que ma maîtresse est la prof d’anglais du collège.
Par respect pour Malaurie afin de lui éviter des problèmes à celle qui m’a donné en quelques jours plus qu’une femme ne l’a fait même Chantal, j’arrête là notre confrontation.

— Petit impertinent, pour la peine, je vous inflige trois jours de mise à pied à partir de demain.
J’en aviserais vos parents, vos professeurs et principalement votre professeur d’Anglais qui est votre prof principal. Je ne veux plus vous voir jusqu'à lundi !

Une fraction de seconde j’ai envie d’ajouter « prof principal qui s’est prostituée pour mon seul plaisir et que j’ai baisé de toutes les façons la journée d’hier »
Bien sûr je ne proteste pas, je fais profil bas, ne souhaitant pas m’éterniser dans ce bureau.
Dès que je sors, je quitte le collège. Le pion m’interpelle à la porte de sortie

— Où allez-vous ?
— Chez moi, j’ai oublié un cahier !

Je suis dehors, ils ne veulent pas de moi pendant trois jours, je ne veux pas d’eux aujourd’hui.
Une journée a glandé, que faire. Je décide de prendre le bus. Je monte au centre commercial de Champigny.
Le bus me dépose et j’entre dans mes allées ou de nombreux commerçants ont des boutiques.
Je bois un café mais rapidement l’ennuie me gagne. Je décide d’allée faire un tour ailleurs.
Sur le parking, j’aperçois une femme de couleur qui pousse difficilement son caddy très plein d’une main, tenant son bébé sur sa poitrine plantureuse de l’autre au risque de le faire tomber. Elle porte un vêtement traditionnel noué sous ses seins et qui lui cache tout le corps.

Chevaleresque, je lui propose de l’aider.
Un instant réticente, le bébé manque de lui échapper. Elle accepte.
Mon acte de bravoure est de courte durée, sa voiture n’est qu’à 20 mètres.
Je lui prends les clefs et ouvre le coffre. Je range les cabas pendant qu’elle place le bébé dans un couffin sous le siège arrière.

— Vous voulez que je vous accompagne pour vous aider à décharger votre voiture à votre domicile ?
— Vous êtes gentil, mais je ne voudrais pas vous déranger !
— Je n’ai strictement rien à faire de ma journée, je n’ai qu’à me balader.
— Vous ne travaillez pas ?
— Je me suis engagé dans la marine et je pars à Toulon en mars.

— Vous irez peu être dans mon pays ?
— J’espère que je voyagerais. Vous êtes d’où ?
— De Dakar au Sénégal où j’ai toujours de la famille, principalement ma maman et ma sœur. Il y a dix ans mon père est décédé.
— Monter, je vous remercie de m’aider. Ce n’est pas facile avec le bébé. Il faut que je me dépêche, c’est l’heure de la téter de Diarra ma fille.
— Je m’appelle Christophe et vous ?
— Fatou !
Nous prenons la route vers le bois-l’Abbé quartier cosmopolite de Chennevières principalement construit de tours.
Elle habite dans un immeuble de 8 étages.

— J’habite au 5ème, je monte changer ma fille, elle doit être mouillée à la façon dont elle pleure.
— Allez-y, je vous monte vos paquets.

Deux voyages et tout sont montés. Je mets tout dans la cuisine et entre dans la salle.

— Entre Christophe, je donne le sein à Diarra maintenant que je l’ai changé et après l’avoir couché, je te ferais un café. Mets-toi là !

Elle me montre la place libre sur le canapé à ses côtés. Elle a dénoué son vêtement et ses seins magnifique et plantureux m’apparaissent dans leur intégralité. Le sein que tête la petite de mon côté est gorgée de lait maternel quelle aspire goulûment.
Fatou la change de sein et je suis obnubilé par les gouttes de lait qui continuent à couler de ce sein abandonné.
Elle s’aperçoit que mon regard ne décolle pas de sa mamelle qui laisse perler ces gouttes de lait fabriquées par la maman pour son bébé.

— Tu veux goûter ?

Sans me poser de questions, je penche la tête et je prends en bouche ce mamelon qui m’attire tant. Je le suce, je devrais dire, je l’aspire espérant récolter le nectar que le bébé n’a pas ingurgité.

—Tire plus doucement, tu vas me l’arracher.

Dans le même temps, avec sa main libre, elle appuie sur son sein pour m’envoyer en bouche des petits jets qui vient caresser ma glotte avant de descendre dans mon estomac. Ce que je bois est bien différent du lait de vache que je bois rarement il est vrai.
Plus épais, plus onctueux mais un tantinet fade, il doit bien rassasier Diarra.
Le bébé est rassasié, sa maman doit lui faire-faire son rôt.
Je libère ce sein que j’aimais tant pour qu’elle prenne la petite sur son épaule.
Les mêmes gouttes perlent sur la deuxième mamelle.
Dommage, je ne peux pas y accéder !

Son rôt fait, Fatou se lève et tient sa tunique à hauteur de ses seins.
Elle l’emmène dans sa chambre où elle doit la coucher.
Je me suis levé et j’ai rejoint la cuisine où elle va certainement ranger ses courses. Elle arrive et se rajuste. Je l’aide en lui passant les différentes denrées pour les mettre soit au frigo, soit dans le placard.
Alors que je lui passe le dernier paquet de gâteaux, il m’échappe et en essayant de le rattr, nos têtes se percutent. Je passe ma main dessus et une trace de sang apparaît sur mes doigts.

— Viens, je vais te soigner !

Elle m’emmène dans la salle et me fait reprendre place sur le canapé. Elle part certainement dans la salle de bain d’où elle ramène du coton et du liquide dans un flacon.
Elle se place ses jambes contre mes jambes pour dominer mon crâne. Ses seins sont à la hauteur de mon visage à quelques centimètres.

— Attention ça va piquer !

Malgré quelque m’ait prévenu la brûlure de l’alcool me fait faire un geste brusque.

— Mon boubou !

Comment et par qui, ce que j’apprends à été un boubou tombe se détache et me présente sur un plateau ses magnifiques seins. Ma bouche ne tarde pas à en engamer le plus proche. C’est celui que je n’ai pas encore tété.

— Oh ! Qu’est-ce que tu fais ?
— Je n’ai pas encore eux l’honneur de goûter celui-là !

Profitant du léger avantage que je viens de marquer, je tire légèrement sur le tissu qui tombe au sol. Fatou m’apparaît intégralement nue, aucun slip ne recouvre les mèches bouclées qui couvrent sa chatte.
Je la prends par les reins et alors que je lui suce le sein, je plonge mes doigts dans sa chatte. Elle ruisselle d’envie.

— Qu’est-ce que tu me fais, je suis mariée !
— Moi aussi ma poule, j’ai une amie mais tu es si belle que ce serait une honte de ne pas t’honorer.

Je l’écarte de moi et en me relevant, je lui prends ses lèvres très épaisses.
Celle qu’il y a encore une seconde criait presque au viol de la femme mariée me rends rapidement m'ont baisés. Sa langue, comme ses lèvres, tourne rapidement dans ma bouche comme si elle voulait nettoyer la mienne.
Sa main descend le long de mon corps et viens empoigner ma verge à travers mon pantalon. Je quitte sa bouche et j’appuie légèrement sur son épaule.
Elle comprend le signal et en s’accroupissant détache mon jean, sort ma verge et la place directement où il y quelques secondes j’y mettais ma langue. Sa bouche est si grande, qu’elle n’a aucun mal à m’aspirer jusqu’aux couilles.
Elle me pompe aussi bien que lorsque je le faisais sur son sein. Contrairement à elle, je ne me plains pas du traitement qu’elle m’inflige. Au contraire j’en redemande.

— Oui ma salope, avale ma belle bitte.

Elle la fait entrer et sortir, viens lécher mon prépuce pour la reprendre en bouche.
Malaurie est une bonne suceuse mais elle a encore du chemin à faire pour égaler Fatou.
Dans les jours prochains il faudra que je lui amène pour qu’elle lui donne des cours. Une fois de plus, il faut assumer et ne pas remplir la cavité de la femelle. Je me retire entraînant un râle de désapprobation de ma nouvelle amie.
Je la pousse doucement à hauteur de la table de la salle à manger. Je la place, jambes écartées poitrine sur le plateau. Je me place derrière elle comme elle mouillait assez pour me recevoir, je la plante directement au fond de son vagin.

— Au Christophe, merci, depuis la naissance de Diarra, mon mec ne m’a pas baisé bien que rien ne nous en empêche.
— Profite, ta chatte est chaude, ma bite est très à l’aise dedans.

Je la pilonne jusqu’à ce qu’elle prenne son plaisir. Les petits sons qu’elle émet son assez étonnant lorsque l’on voit la femme bien charpentée qu’elle est.

Fidèle à mon principe et jugeant que je peux tirer encore d’autres plaisirs de cette femme plantureuse. Surtout lorsque je vois le cul généreux que j’ai au-dessus de ma verge, je me retire entraînant un mouvement de regret.

— Viens ! Je la relève et l’entraîne dans la chambre au fond du couloir.
— Non, pas là !
— Si, ma cochonne lorsque l’on trompe son mari, il faut assumer jusqu’au bout et faire cela dans les draps où il dormira ce soir. Il n’avait qu’à t’honorer, tu ne m’aurais pas cédé à mes envies si facilement. Lorsqu’il s’allongera près de toi, je te demande de penser à celui qui t’a comblé. Je le pense de la manière dont tu as jappé sur la table de la salle.

Le temps que je lui dise cela, nous sommes arrivés, je tire le couvrent lit et la couverture. Je la pousse sur les draps ou elle atterrit la vulve offerte. Je plonge dedans ma langue prête à la bataille.

— Tu me fouilles bien, mon mari refusé de me manger ma chatoune, il trouve que c’est dégradant pour un homme.

Je la libère un instant.

— Il accepte que tu lui suces la queue ?
— Il adorait avant la naissance, j’ai essayé l’autre nuit lorsqu’il dormait, il m’a repoussé et je me suis retournée frustrée.
— Il a bien fait, c’est moi qui vais en profiter.
— Oui venge-moi, fais le cocu jusqu’au bout. Tu vois, mon cul est là où il dort, j’espère qu’il sentira l’odeur de notre jouissance.

En disant ces mots, elle me prend la nuque et me remet la bouche sur son envie.
Ses lèvres intimes correspondent aux lèvres de sa bouche. Je les écarte avec mes doigts et je découvre son clitoris bien caché à l’intérieur mais qui ressemble plus à un petit sexe d’homme que d’un simple bouton.
Je l’aspire entre mes lèvres et il est assez proéminent pour que je le happe avec mes dents. Je les fais rouler dessus lui arrachant des petits cris et surtout des gros gémissements.
Ma queue demande à entrer dans un réceptacle. J’attends le cri de plaisir qu’elle me lance et je la rejoins sur la couche conjugale. Il est facile de la manœuvrer pour la placer dans la position que je souhaite lui voir prendre.
En quelques secondes, elle est positionnée en levrette les fesses bien hautes, le dos bien cambré et la tête dans les bras repliés sur l’oreiller du cocu.

— Oui, reprends-moi, ma chatte est en feu. Sa chatte n’est pas mon objectif, je me dirige plus vers sa rondelle. J’introduis un doigt, puis deux au centre de ma cible.
— Tu ne vas pas me prendre comme cela, je lui ai toujours refusé depuis qu’il me baise même avant notre mariage.
— Tu veux être une vraie pute qui se fait prendre par la première queue qui te le demande. J’att mon jean que j’ai enlevé lorsque je suis entré et récupère les 100 francs donnés par ma mère pour faire un cadeau à Malaurie.
— Tiens voilà 100 francs. Une salope doublée d’une pute se fait payer mais n’a plus rien à refuser à son client.
— Alors, mets-la-moi !
— Je lui place le billet dans la main qu’elle glisse sous l’oreiller de son mari.

L’argent qu’elle prend m’ouvre les portes de son cul si généreux pour mes mains. Je lui assène quelques claques aussi appuyés qu’à Malaurie sur son joufflu. Il est si ferme que ma main rebondie sur sa surface. Rapidement Fatou émet les mêmes petits cris de plaisir que précédemment. Je me surprends à accélérer la cadence comme si je voulais la punir de tromper son mâle même s’il refuse de la baiser.

Fait attention mec, j’ai l’impression que je prends goût à ces fessées.

— J’en ai reçu par mon père lorsque je n’étais pas sage, mais la rouste que tu m’a mis me fait mouiller. Mais tes doigts tu vas voir !

Il ne faut jamais refuser à une femme une chose qu’elle vous demande surtout si c’est sexuel. Je passe ma main sous son ventre et plonge directement la pointe de mes cinq doigts dans son vagin. La dame est si ouverte et sa fente si mouillée que je les introduis aux trois quarts à l’intérieur. À cette pénétration, elle creuse ses reins ce qui fait pénétrer mon gland dans son fondement.

L'Oh ! De surprise de la dame ne s’attendant pas à cette pénétration me vient aux oreilles. Le plus gros morceau est passé, je pousse mon avantage et en pénètre sa chatte de quelques centimètres supplémentaires.
Un coup sec et la totalité de ma verge sont absorbés par son cul. Elle se trémousse tellement sur cette intrusion, qu’il me suffit de l’empêcher de me désarçonner pour la faire démarrer dans les plaisirs qu’elle s’est toujours refusée à pratiquer. Son mâle habituel même s’il est devenu un cocu aura gagné une femelle qui lui demandera elle-même de la sodomiser.
Je sors de son cul et j’attends sa réaction.

— Pourquoi tu t’enlèves, j’allais jouir ?
— Je te la remets à une seule condition ?
— Mets-moi là, je suis d’accord !

Je réintroduis mon prépuce dans sa rondelle. Elle recule pour gagner du chemin.

— Je finis de te l’introduire à une seule condition.
— Laquelle ?
— À quelles heures ton mari rentré ce soir ?
— Dix-neuf heures !
— Tu l’attendras sur le derrière la porte nue, en position de levrette et tu lui diras « Chéri, je suis prête encule-moi »
— S’il refuse de me sodomiser !
— Demain tu prends ta gosse une valise et tu le quittes. S’il te prend, je viendrais t’honorer mercredi matin et si tu es là c’est que tu auras gagné. Un homme normalement constitué ne peut pas refuser ton derrière il est tellement somptueux !

Maintenant que j’ai donné mes directives, je peux finir le travail commencé. J’entre jusqu’aux couilles dans son séant et je la lime jusqu’à ce que son bas-ventre explose.
Je la sens plier sur ses jambes, je quitte son cul et je présente ma bite à sa bouche. Elle recommence à me sucer avec application. Elle a bien gagné mon divin jus que je lui envoie au plus profond de ses entrailles.
Épuisée-elle tombe sur le côté et je vois ses yeux clos pour récupérer.

Prestement, je saisis l’oreiller ou monsieur posera sa tête ce soir. J’y essuie ma queue avant de reprendre mon pantalon pour lui donner du repos bien mérité.

Des pleurs réveillent Fanou. Diara fait savoir à sa mère qu’elle a à nouveau faim. J’embrasse ma nouvelle maîtresse et la quitte en lui promettant mon retour pour mercredi matin. Elle a passé de si bons moments avec moi, que ses yeux me disent de revenir le plus vite possible et que tout son corps me sera offert.

Je reprends le bus pour retrouver la mairie et l’appartement de Malaurie.
Je passe devant une parfumerie. D’un coup, je me souviens que j’ai glissé les 1000 francs gagnés par Ophélie et ma petite pute préférée dans mon portefeuille.

J’entre et je choisis un flacon de parfum. La vendeuse me conseille du 5 de Chanel !
Elle me fait un paquet cadeau pour une facture de 560 francs.
Je passe dans la charcuterie près de chez ma puce et j’achète de quoi préparer un repas en amoureux ce soir. J’entre dans une boutique de décoration pour la table. J’achète tout ce qu’il faut pour lui préparer un souper aux chandelles.
Les comptes sont vite faits, sur les 1000 francs qu’elles ont gagnés, il me reste 5 francs 30.

J’entre dans la gare du R.E.R. Je les mets dans la sébile d’un vieil homme qui fait la manche. Je l’avais vu quand j’étais venu surveiller l’arrivée de celle qui n’était encore que mon professeur d’anglais.

Je monte dans le logement qui est vide, elle ne doit pas revenir avant dix-neuf, vingt heures après un conseil des professeurs. Je prends ma douche et je m’allonge sur le lit pour recharger mes batteries.

Une impression étrange me fait relever le dessus-de-lit. Sur les draps, Malaurie a placé une alèse en plastique. Elle doit prévoir pour nos jeux prochains de ne plus avoir à changer les draps après ses éjaculations vaginales.

Vers 18 heures, je commence à préparer la table. J’ai mis la bouteille de champagne que j’ai achetée à la charcuterie au frigo et j’ai préparé les plats. Repas entièrement froid comme me la proposait la charcutière afin de n’avoir qu’à amener les plats sur la table sans avoir à perdre de temps à s’occuper de la cuisson.

Je surveille par la fenêtre l’arrivée de ma belle. Elle approche d’un pas rapide. Elle lève les yeux vers l’appartement voulant certainement s’assurer que je suis là. Je me recule rapidement et je pense qu’elle ne m’a pas vu, la pièce étant dans le noir.
Il ne me reste sur le corps que mon caleçon que j’enlève afin de la recevoir nu. J’allume les bougies, que j’ai disséminées dans la pièce dont deux avec la lettre de nos prénoms sur la table.
Au moment où elle ouvre la porte, j’ai juste le temps de me cacher derrière le long rideau de la fenêtre.

— Christophe mon cœur où es-tu ?

Je la vois aller dans la cuisine, je l’entends dans la salle de bain elle ouvre même l’armoire de la chambre pour revenir dans la salle. Un léger fou rire m’échappe ce qui lui permet de me découvrir. Je la prends dans mes bras et lui plaque un baiser à réchauffer la pièce malgré les radiateurs. Comme je suis nu, elle place sa main sur mon sexe qui a ce contact relève la tête et demande à la saillir.

Tout en m’embrasse, elle retire son chemisier. Elle a respecté notre convention et n’a rien pour entravée sa jolie poitrine. En entrant dans la chambre elle a remis son collier d’esclave. Je tire sa jupe vers le bas et son abricot s’offre à ma vue. Je me baisse et je pénètre sa chatte avec ma langue.

Qu’elle est belle ma jolie conquête nue dans mes bras !

Je l’amène vers ma chaise en la soulevant comme un sac de plume, je m’assoie et je dépose sa fente sur mon vit. Je la lâche et elle vient s’ajuster autour de ma bite.
Nous sommes face à face ce qui nous permet de nous embrasser amoureusement. Je prends un de ces seins dans ma main.
Elle me la saisit et en me regardant dans les yeux, elle me tourne le poignet m’obligeant à lui vriller le mamelon.
Plus je résiste et plus avec ses yeux elle me défie. Plus elle tourne ma main et plus la douleur doit être forte dans son corps. J’ai tellement mal pour elle que pour la première fois de ma vie je détourne les yeux.
Comme une petite-fille contente d’avoir vaincu le grand méchant loup, lèvre contre lèvre dans un souffle.

— Je t’ai eu ! Pour la punir d’avoir voulu me défier, je la soulève et lui fait sortir ma verge de sa chatoune pour la faire retomber sur sa rosette qui explose de joie à cette pénétration.

Dans le même temps, je lui claque fortement les fesses qui la font chanter de plus belle.
J’attends qu’elle jouisse du fondement pour la faire ressortir.

— Mon cœur, j’en ai marre, il ne m’est plus possible de te punir. Plus je te propose de te soumettre plus je te fais plaisir. Ton collier est un cadeau qui se retourne contre moi. Je crois que je vais me le mettre. Tu pourras ainsi me dominer et m’apprendre à te faire du mal qui pour toi ressemble à du bien.
— Je ne vais pas te dire que je n’aime pas alors que j’aime bien.
— Non mon cœur gardons les choses comme tu as voulu qu’elle soit. La seule chose que je te demande c’est de ne pas te freiner lorsque tu me corriges car bien souvent je l’ai mérité.

Je l’embrasse et je la repose au sol.

— À table, je t’ai préparé un repas pour fêter ta promotion au rang de prostitué du bois de Vincennes, j’ai tout acheté avec les 1000 francs que vous avez gagnés et j’ai donné le solde à un SDF qui vit dans la gare du RER.
— J’adore ton idée, que nous as-tu achetée ?

Je vais chercher le champagne accompagné de salé à apéritif froid.

— Tu veux me saouler ?
— Comment supportes-tu l’alcool ?
— Tu verras bien surprise pour toi.

Je la sers et reprends ma place, elle soulève la serviette de fête que j’ai placée sur son cadeau qu’elle n’a toujours pas vu.
Elle aperçoit le paquet l’ouvre et découvre le flacon de 5 de Chanel.
Elle se lève et me saute au cou.

— Je ne le mérite pas.
— Si mon amour, ils m’ont dit à la parfumerie qu’avec ce parfum sur ton corps tu pouvais rester nue. Tu n’auras qu’à en mettre demain et aller nue au collège.— Tu veux que je déclenche une émeute.

Je la fais asseoir et je sers la demi-langouste que j’ai prise par personne.

— J’adore la langouste, tu me gattes.
— Non c’est toi si tu n’avais pas fait la pute et sucé ces hommes, je n’aurais pas eu l’argent pour t’offrir ce festin.
— Tu veux que j’y retourne ce soir ?
— Surtout pas, te voir suivre des inconnus pour les satisfaire m’a suffi une fois dans ma vie. Je préfère te donner une jolie fessée même si je dois me forcer plutôt que de te partager avec des inconnus.

Elle se lève, viens se placer le ventre sur mes genoux et les fesses légèrement lever.

— Pas de promesse fesse moi.

Je la repousse et la laisse tomber à terre.

— Tu es vraiment insatiable, tu veux que je te mette la laisse et que je t’attache toute la nuit au radiateur.
— Tu me mettras une couverture par terre ?
— Non, tu resteras à même le sol.
— Comme une petite chienne ? Alors je vais être sage tout le reste de la soirée.

J’amène la forêt noire et je lui ressers du champagne. Je prends de la crème sur mon doigt et lui badigeonne son bout de nez.

— Tu ressembles à un clown ma chérie avec ton bout de nez blanc.
— Chéri vient sur le lit et allonges-toi. Attends, j’enlève la couverture et le drap. J’ai mis une alèse étanche pour ne pas laver les draps chaque fois que tu me baises.

Je m’allonge, elle me rejoint avec la forêt noire et le champagne. Elle me suce la tige pour qu’elle durcisse et me badigeonne le bas du ventre avec la crème du gâteau. Ses yeux brillent, l’alcool commence à faire de l’effet.

— J’ai soif !

Elle lève la bouteille et bois une grande rasade.

— J’ai faim !

Elle plonge sur ma bite pour lécher le gâteau.

— Je veux que tu me baises. Elle me présente sa chatte à hauteur de ma verge et s’empale carrément dessus.

En même temps qu’elle monte et qu'elle descend le long de ma tige, elle ingurgite des rasades de champagne.

— Mon petit taureau chéri qui me baise bien, ma chatte a trop chaud, je vais la refroidir. Elle prend le restant de la bouteille et la verse sur nos intimités.

Elle retourne la bouteille.

— Il y en a plus. J’ai tout bu. Maintenant on peut baiser comme des bêtes mon amour.

Cette phrase terminée, elle bascule sur le côté quitte ma verge et instantanément dort.

Je me dégage, la fait pivoter pour la placer sur le lit, je la soulève légèrement et je retire l’alèse. Je la recouvre du drap et de la couverture et je la laisse dormir en éteignant la lumière.
Je commence à prendre une douche et je range l’appartement. Lorsque je me couche, elle émet des petits ronflements de femme repus.

Au matin, Malaurie me présente sa tête d’un lendemain de beuverie. Aspirine et café noir la remettent un peu sur pied.

À neuf heures elle part au boulot. L’œil vide.

— Je crois que je vais leur faire une interrogation aujourd’hui. Juré, c’est la dernière fois de ma vie que je bois.

Je l’embrasse et la laisse partir.

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