Mariage Titanic

Le mariage, quelle belle chose, on en rêve, on l’imagine, il vous hante dans vos rêves, comment cela sera, quelle fête surement, et son homme, l’avoir pour soi, être toujours avec lui, on va s’aimer toutela vie, on aura plein d’s. Stop !!! On rembobine retour à la case départ.

J’ai voulu me marier un peu contre l’avis de maman qui me disait tu es trop jeune, profite de la vie avant. Ne te marie pas installez vous tous les deux et vous verrez comme ça se passe. Maman tu ne lirasjamais ce que j’écris, j'espère sinon je ne serais plus ta fille c’est certain et tu aurais honte de moi.


Toute heureuse, et fière de mes 18 ans tout neufs, quand j’ai annoncé mon intention de me marier avec Stéphane, mon fiancé depuis un peu moins d’un an, j'ai été déçue par l’attitude de ma mère qui a tout fait pour me dissuader de me marier. Pourtant à ce moment mes parents étaient mariés depuis 40 ans, ma mère avait 17 ans et elle était enceinte de mon grand frère quand ils se sont dit oui. Maman m’a dit oui mais c’était une autre époque. Elle a sans doute raison , une époque où il y avait de vrais hommes je pense.

Comme tous les s je n’ai pas écouté les conseils et j’ai épousé Stéphane. Il est beau garçon un peu style le brun ténébreux comme le héros de la série Lucifer si vous voyez. J’étais follement amoureuse, j'avais hâte de me marier pour qu’on soit toujours ensembles, pour qu’il soit le soir dans notre lit, pour qu’on soit un couple bêtement. Le mariage c’est super bien passé, belle fête, belle robe que j’ai brûlée depuis assez peu de temps d’ailleurs. En même temps que des photos et divers papiers qui me reliait encore trop à tout çà. J'aurais dû me méfier je m’attendais à une nuit de noces en apothéose faire l’amour jusqu’au petit matin je ne sais pas faire des folies.
Non ce fut agréable comme habituellement quand nous faisions l’amour avant le mariage .
Certes ces grandes réunions sont fatiguantes, j'étais moi aussi fatiguée, j’ai mis ça sur le compte de tout ce chamboulement.

Lune de miel au Seychelles offerte par mes parents. Une semaine de rêve c’est vrai Stéphane pour une fois ne parlait ni de son job, ni de football.
Il a été adorable, aux petits soins rien à lui reprocher on a fait l’amour tous les soirs, je crois que cela ne s'est jamais reproduit ensuite.

J’admet que dans mes préocuppation et mes besoins le sexe est important, je ne sais pas vivre sans.
Quand j’ai découvert les premiers plaisirs j’en ai usé et abusé. Au point que je n’ai pas été déflorée par un petit copain, j’ai fait ça accidentellement toute seule. Avec le manche rond d’une brosse à cheveux dans la salle de bain chez mes parents. OOps je ne suis laissée emporter par ma hardiesse et la brosse à été un peu loin. Cela ne m’a pas traumatisé j’avais à peine 14 ans. Alors je m’étais fait un film sur la vie de couple sur ce plan. Surtout que j’entendais très souvent mes parents, très bruyants le soir je pensais que ce serait comme ça pour moi aussi.
Stephane avait un bon job moi je continuais pour décrocher mon master en management.
( j’avais eu mon bac très en avance). Nous avions donc beaucoup de travail et Stéphane en directeur des ventes dans une grosse entreprise avait beaucoup de responsabilités et de pression aussi.

Une fois rentrés dans la vie courante, la routine s'est installée rapidement.
Mais disons que durant 2 ans nous avons eu une vie agréable quand même.
Mais je suis toujours insatisfaite au lit. J’essayais de l’aiguiller sur des choses qui sortiraient de la routine. Déjà Stephane n’a jamais voulu que je lui fasse une fellation jusqu’au bout, j’avais eu un petit copain avec lequel ça arrivait j’ai adoré çà dès la première fois. Mon mari dès qu’il était en forme me pénétrait presque sans préliminaires, une petite lèche sur la chatte pour me mouiller et pas se rayer le casque sans doute et hop. J’ai dû réclamer pour avoir quelques fois des sodomies. Pour lui c’était toujours des trucs vicieux ou des trucs de malades. Il disait que j’étais nymphomane., j’avais et j’ai sans aucun doute des besoins au dessus de la moyenne des femmes et un esprit ouvert à ces choses mais je ne me considère absolument pas comme nymphomane.

Résultat au bout de deux ans j’ai mis un coup de canif dans le contrat avec le voisin de la maison de droite dans notre lotissement. Imaginez 20 ans en couple déjà propriétaires de la maison, ça fait rêver nombre de filles. Ah j’ai oublié de dire que du moment où l'on a été marié Stéphane me demandait de faire un bébé. Je veux au moins 1 mais je veux vivre avant. J’ai refusé, est ce pour çà qu’il me négligeait, je ne crois pas il est comme çà. Et il ne parlait que de son job, ses résultats, ses objectifs combien il allait toucher d’intéressement sur les ventes. Il y avait aussi son foot. Bon je comprends qu’on soit passionné par un sport mais c’était trop, pas question de baiser s' il y a un match même si c’était un samedi soir, le jour ou il me baisait.
J’étais arrivée rapidement à me doter de vibromasseurs et gods que j’utilisais les jours de match bien sûr et quand j’en avais envie tout simplement. Quand il arrivait qu’il me tombe dessus, il aurait pu se dire j’en profite, hé bien non il me faisait une réflexion désagréable et me laissais finir seule.
Donc mon premier amant fut le voisin, un homme de 45 ans qui m’a fait voir des étoiles, il baisait bien s’occupait de tout mon corps. Enfin j’avais ce que je voulais, mais cette proximité qui avait de nombreux avantages étaient aussi dangereuse, je rencontrais sa femme, elle et moi nous parlions. Nous n’étions pas amies, mais voisines et elle avait tendance à faire des confidences, me disant qu’elle pensait que son mari la trompait. J’étais un peu au courant çà me mettait mal à l’aise. J’ai donc cessé de voir ce charmant monsieur.

Bien sûr internet était aussi une source de plaisirs, je suis très contemplative, voyeuse je l'admets. Les vidéos pornos sont légions et j’ai assidûment pioché dans ce monde pour savoir qu’on trouve ce qui nous fait plaisir ou que l’on découvre des choses parfois surprenantes. Je me suis découverte des penchants étranges. Tout ce qui concerne les animaux, chiens, chevaux, pas les verres de terre ou les anguilles et poulpes de quelques films japonais çà c’est beurk. Mais les autres ont sur moi un effet hypnotique et font grimper mon excitation au plus haut point. Je crois que je tenterais l’expérience si je n’avais pas peur des chiens ( un doberman m’a un peu croqué une fois) et les chevaux me font peur . Donc ça ne risque pas d’arriver. Peut être que sachant cela je me laisse influencer par ce fantasme en sachant que c’est impossible. Quand mon mari était plongé dans ses rapports ou dans un match de foot, j’étais sur l’ordinateur en règle générale avec un vibromasseur à portée de main. C’était si souvent que la chaise que j’utilisais portait les stigmates sur le bord avant de toute l’humidité que j’y déposais à force de séances de cinéma cochon. La première fois que Stéphane m’a attrapée dans cette activité, j’ai eu droit à une scène terrible. C’est la première fois qu’on m’a traitée de salope. Il n’avait pas tort, je suis bien une salope, je n’y vois aucun sens péjoratif. Je suis une femme qui aime le sexe c’est tout. Et il ne m’en donnait pas ou chichement.

Après mon voisin il y eut d’autres hommes, des rapides et furtifs qui me donnaient rendez-vous dans un café et que je baisais dans les toilettes par exemple. Ou ceux qui m’emmenaient en voiture dans un coin tranquille.
Bien sûr il y a ceux que je laisse en plan car ils ne m'inspirent pas confiance, c’est rarement une question de physique chez moi je ne cherche pas le bel homme absolument j’ai connu des hommes quelconques physiquement qui étaient capable de me faire monter au Ciel. Je n’ai pas tenu le compte exact de mes incartades au mariage. Honnêtement j’ai dû avoir plus de 50 amants d’un jour ou de quelques jours. Mais je dois bien dire que j’étais peu satisfaite au fond, à part quelques hommes intéressants, la grande majorité prenaient leur plaisir sans trop se préoccuper du mien.
Combien de fois j’ai dû me faire jouir après soit que tout avait été trop rapide (fréquent) soit les conditions abrégeant nos ébats le plaisir s’envolait. J’ai même eu le plaisir de devoir dire adieu a mon orgasme naissant, pour me prendre un pv par les flics.

Puis un jour j’ai accepté un rendez vous avec une femme.
Je vous raconterai ça en détail plus tard