Maudites Vacances (5) : Une Glace Italienne.

Un petit mot aux lecteurs : j’ai fait une faute de frappe, mon malheureux cocu s’appelle Nicolas et non Sébastien (ça a son importance pour ceux qui voudraient lire « Les mésaventures d’un hétéro »). Par ailleurs, certains d’entre vous sont déçus et s’impatientent : « Mais bon sang, qu’est-ce qu’il attend pour réagir ? ». J’en suis désolé : c’est vrai que c’est énervant de voir quelqu’un se laisser dominer ainsi, mais l’autorité, l’initiative, la force et la capacité de se venger, ce n’est pas à la portée de tout le monde (je parle par expérience). Dans la vie, il y a des Jonathan qui entreprennent, décident et agissent sans scrupules et il y a des Nicolas qui subissent et endurent, embourbés dans des contradictions insurmontables.
Parmi ces dominés, certains finissent parfois par y trouver leur compte … C’est cette drôle et longue descente aux enfers que j’ai voulu raconter, certes peuplée de souffrance, de honte et de fascination au départ (pas pour tout le monde !), mais qui au bout du compte, mystérieusement, peut aussi déboucher sur une certaine volupté. Peut-être que les candaulistes me comprendront ? Les autres risquent d’être déçus. Ils n’ont qu’à laisser tomber cette histoire ou se mettre dans la peau de Jonathan (pour lui, ça va plutôt bien, non ?) …
(…)
Nous revenons du supermarché. Je suis avec Jonathan et Corinne a préféré rester au bord de la piscine pour parfaire son bronzage. J’ai fini par oser aborder le sujet qui me taraude l’esprit : le fait qu’il me cocufie allègrement.
- Arrête, me raconte pas d’histoires, ça t’excite quand même pas mal de voir ta femme se faire baiser, non ?
- Pas du tout, tu te fais des idées !
- Enfin quoi, ça te file la gaule, tu peux pas le nier.
- C’est plus compliqué que ça. Et de toute façon j’aime pas trop partager, si tu veux vraiment savoir.
- Dis-donc, t’exagères ! Tu l’as dans ton lit toute l’année, et moi je m’amuse juste un peu pendant une semaine, c’est quand même pas le bout du monde, non ?
Incroyable ! Même quand on discute, j’arrive à me faire avoir.

Il me semble que quand on est marié, on n’est pas obligé de partager sa femme avec les copains, non ? Je renonce à discuter. Non seulement j’ai un rôle plus qu’inconfortable dans cette histoire, mais en plus il faudrait que je m’excuse de ne pas offrir ma femme plus souvent à Jonathan : un comble ! De toute façon, il a évidemment décidé de ne pas tenir compte de mes remarques, et je peux craindre le pire pour le reste du séjour. Le voilà qui passe à autre chose :
- Je m’arrête une seconde, il y a un vendeur de glaces Italiennes. Tu en veux une ?
- Non merci.
Il revient deux minutes après avec une gigantesque glace.
- Tu veux bien prendre le volant ?
Je m’exécute sans réticences. C’est vrai que sa bagnole est sympa à conduire, et puis, lui, avec sa glace dans les mains ... Quelques minutes plus tard, nous sommes arrivés à la maison et nous déchargeons les courses du coffre pour alimenter le frigo et le congélo. J’en porte deux fois plus car Jonathan n’en est même pas à la moitié de sa glace. On discute, on range les affaires, puis Corinne, qui nous a entendus, arrive. Quand je la vois entrer dans la cuisine, j’ai un haut le cœur : elle n’a que son string sur elle et elle se présente devant nous le plus naturellement du monde. Certes, il fait chaud, mais quand même ! Et puis Jonathan est un ami, mais de là à se balader presque à poil sous son nez … Cela dit, le pire chez Corinne à cet instant, c’est sa façon d’exhiber fièrement ses formes aptes à réveiller un eunuque : il faut reconnaitre que c’est une vraie bombe, avec ses cuisses sexy, ses hanches prononcées, sa chute de reins vertigineuse et ses seins agressifs. Son visage, encadré par de longs cheveux noirs, ses yeux verts malicieux et ses lèvres sensuelles complètent la touche finale. Quand je la vois ainsi, je ne m’étonne pas qu’un mec ne pense qu’à la sauter. En fait, les hommes qui vivent avec des femmes quelconques ou laides ne connaissent pas leur bonheur : ils n’ont pas besoin de lutter en permanence contre la concurrence, et ils ne sont que rarement cocufiés, donc ils vivent en paix.
Pour moi, la fierté d’avoir une nana super craquante a cédé la place à l’angoisse de la voir se faire baiser. Je regarde Jonathan à la dérobée et, comme je m’y attendais, il la mate sans pudeur. Il a l’air de la découvrir, comme s’il avait oublié qu’il se l’est tapée quatre fois depuis hier ! Corinne s’approche de lui.
- Mmmm … Super, une glace Italienne, tu m’en files ?
(J’ai tous mes voyants qui sont au rouge et, avec mon esprit pessimiste, j’entends : « Tu m’enfiles ? »)
- Peut-être, peut-être, si tu es très gentille …
- Non mais dis-donc, t’es pas gonflé, toi ! Et puis quoi encore ?
Elle s’approche de Jonathan et, de façon naturelle, lui prend la glace, la lèche en le regardant droit dans les yeux avec un petit air coquin, fait des mouvements de lèvres et de langue suggestifs. Immédiatement, l’image d’une fellation sensuelle me saute aux yeux. Elle est comme ça, Corinne, elle est capable d’allumer un mec en une seconde, et c’est le cas en ce moment. Jonathan et moi la regardons manger (ou plutôt sucer) sa glace comme si nous étions en train de mater un film porno avec une bonne bouche de salope en gros plan. Bien que fasciné par le spectacle, Jonathan ne perd pas le nord, il n’est pas du genre à se faire avoir, lui. Il lui reprend la glace des mains.
- Eh ! Oh ! Tu m’en laisses, hein, moi aussi j’ai besoin de fraicheur !
Corinne est face à lui, ses deux seins fièrement pointés en avant sous son nez. Elle continue à se passer la langue sur les lèvres et à le regarder bien dans les yeux. Je connais ça : quand elle a décidé de vamper un type, ce dernier n’a aucune chance car elle est capable de jouer son rôle de salope comme une pro. Vu les capacités d’improvisation de Jonathan, je me demande comment il va réagir. Je ne suis pas déçu : au lieu de manger sa glace et avant que Corinne ait le temps de comprendre ce qu’il a en tête, il lui enduit le bout des seins à toute vitesse avec une bonne dose de glace. La réaction est immédiate.
Elle sursaute, fait un pas en arrière et pousse un cri d’indignation et de surprise.
- Ahhh ! T’es con, c’est pas drôle, c’est froid et dégoûtant !
- Mais tu avais besoin de te rafraîchir, non ? Et puis rassure-toi, je vais te nettoyer ça …
En disant ça, il redonne la glace à Corinne et se penche sur ses seins. Il commence à lécher la glace qu’il a ainsi étalée, passe d’un sein à l’autre, recommence pour peaufiner le travail. Il tient un sein dans chaque main, lèche consciencieusement bien au-delà du nécessaire, revient sur les mamelons, les pince entre ses lèvres. Corinne se laisse faire sans résistance, pousse des petits gloussements évocateurs tout en suçant sa glace.
- Oui, ça va, c’est pas mal, tu peux continuer. Ta langue est fraiche, c’est pas désagréable. Mmmm … Je dirais même plus, c’est vraiment sympa, vas-y. … Non, non, ne t’arrête pas, ce n’est pas encore tout à fait propre … Tu as encore du travail … Ça vaut largement une glace, non ? Oui, encore … Encore un peu, espèce de cochon ! Vas-y, lèche-moi encore …
Bon, moi, j’ai compris. Je ne vois pas comment Jonathan va pouvoir résister à un cinéma pareil. Je recommence à me maudire pour mon incapacité à me sortir de cette situation. Je maudis la terre entière d’ailleurs : moi le cocu dominé, Corinne la salope allumeuse et Jonathan le pervers profiteur. Je maudis cette situation qui m’humilie tout en m’excitant. Je recommence à bander et tout ce que je trouve à faire c’est de me mettre à ranger les courses dans le frigo pour me donner une contenance : tu parles d’un mâle dominant !
- Tiens, lèche encore un peu la glace pour te rafraîchir la langue, c’est mieux …
Corinne tend sa glace à Jonathan qui ne se fait pas prier : obéissant comme un toutou, il fait ce qui est demandé et sort sa langue à fond pour pouvoir bien lécher la glace, puis il repart à l’assaut des seins de Corinne. Je ne sais pas s’il a oublié ne serait-ce qu’un seul centimètre carré. En vraie salope sensuelle, Corinne, appuyée contre la table, se laisse faire en se concentrant sur les sensations que cela lui procure.
Elle ferme les yeux, pousse des soupirs explicites. Moi, je range les pots de yaourt par ordre de date de péremption, mais j’ai un peu de mal à fixer mon attention ...
Je ne peux m’empêcher de penser en ce moment que ce n’est pas vraiment Jonathan qui domine la situation. Ce n’est pas lui qui tient l’autre, c’est évidemment Corinne qui mène le jeu. Cette révélation me ferait presque avoir de la compassion pour ce pauvre Jonathan qui, au bout du compte, est dominé lui aussi à sa manière, obligé de se plier aux caprices de Corinne qui le tient en son pouvoir. J’ai quand même de drôles d’idées dans la tête : je vais bientôt plaindre mon cocufieur de copain !? J’en suis là de mes réflexions quand Corinne change la donne. Elle se redresse un peu, pousse la tête de Jonathan pour qu’il arrête de lui lécher les seins. Ils sont debout face à face. Elle descend sa main vers la bosse qui s’est déjà formée sous le bermuda de Jonathan.
- Je parie que tu es déjà à l’étroit là-dedans …
- Tu veux vérifier ?
- Oui, on va voir …
Elle écarte son bermuda et son slip et jette un coup d’œil, puis pousse un petit sifflement admiratif ou moqueur, c’est selon.
- Pfeeww ! Mon pauvre ami ! Toujours cette crampe insupportable ? Il faudrait te rafraîchir les idées ...
Avant que Jonathan ait compris ce qui allait se passer, elle commence à baisser son bermuda et son slip, libérant sa queue qui est déjà bien tendue vers le plafond. C’est pas possible ! Ce type est une queue sur pattes, à toujours réagir ainsi au quart de tour. Il a l’air tout content de la tournure que prennent les choses et il se laisse faire, fier d’exhiber une magnifique érection en espérant bien concrétiser très bientôt. Mais c’est sans compter sur Corinne qui a l’air d’humeur joueuse aujourd’hui. Elle prend le sexe de Jonathan d’une main, et, avec son autre main, l’enduit copieusement de glace Italienne. L’effet est immédiat, Jonathan sursaute et pousse un cri d’indignation.
- Aaahhh ! Mais ça va pas, non ? C’est super désagréable comme truc !
- Oh, mon pauvre chou, je suis désolé. Tu veux que je te nettoie ça ?
J’ai compris, et Jonathan vient de comprendre aussi, car ses yeux gourmands s’illuminent. Corinne s’agenouille à ses pieds, finit de lui retirer son bermuda et son slip, prend sa queue d’une main (elle tient la glace de l’autre) et commence à lui lécher la queue pour récupérer toute la crème qui est en train de fondre. Elle fait ça avec application, lèche sa tige sur toute la longueur et, quand c’est fini, elle démarre une fellation en bonne et due forme.
- Oh, oui, salope, c’est génial, j’adore … Mmmm … Continue, c’est super … Réchauffe-moi la queue, mais pas trop … Oui, c’est bien, ta langue est toute fraiche, continue comme ça …
Je m’interromps dans mon rangement de frigo, à nouveau fasciné, déstabilisé, paralysé et honteux. Je savais que Corinne était une allumeuse, mais là, je trouve qu’elle y va drôlement fort ! La voilà qui s’interrompt, recommence à sucer la glace avant de reprendre sa fellation.
- Mmmm … délicieuse, cette glace. Et puis, ça me permet de faire d’une pierre deux coups : je n’ai jamais taillé une pipe aussi fraiche et parfumée.
Je bous intérieurement. Je trouvais Jonathan vulgaire, mais j’ai l’impression que Corinne est capable de faire pire, et cette fellation gastronomique en est la preuve. Jonathan, toujours aussi délicat et raffiné, commente la scène au cas où je risquerais de perdre un épisode :
- Oh, oui, … C’est bien, oui, … Continue comme ça, j’adore sentir ta langue toute fraiche sur ma queue … Oh, oui, c’est divin … Tu devrais faire breveter le truc, tu ferais fortune … Suce-moi encore, salope, c’est trop bon …
Je contemple la scène comme un demeuré. C’est ça, mon problème, je suis bloqué, incapable de réagir comme il faut. Mais qui aurait pu prévoir un truc pareil ? Dans la vie, il y a les gens qui savent improviser et prendre des décisions, et il y a les autres dont je fais partie. Tout ce que je trouve à faire, c’est de m’interroger sur ce que va devenir la glace : à force de se faire sucer, elle diminue, donc je m’imagine que mon calvaire va finir avec elle, et au moment où je pense ça je me rends compte que je suis vraiment un abruti.
Pour l’instant, Corinne suce tour à tour sa glace et la queue de Jonathan et se régale des deux côtés. Jonathan est en train de vivre un truc pas possible, car il continue à débiter des obscénités qui ont l’air de motiver Corinne plus que de lui faire peur. Ça dure deux ou trois minutes, ce qui représente une éternité pour ce genre de situation. Jonathan a de plus en plus de mal à se contenir, il n’a peut-être bien jamais connu un truc aussi jouissif. Il doit avoir du mal à ne pas éjaculer dans la bouche de ma femme. Faut dire que cette garce fait tout ce qu’il faut pour le faire craquer. Mais tout a une fin, même les glaces. Corinne arrive au cornet et décide d’abandonner la partie. Elle se lève, se débarrasse du cornet, se recule en s’appuyant contre la table et déclare :
- C’est fini : plus de glace, plus de gâterie !
Bien évidemment, elle fait cette déclaration en mettant sa poitrine en avant. Ses obus encore humides sont dressés avec arrogance sous les yeux lubriques de Jonathan. Ce dernier, au bord de l’apoplexie, venant de subir la fellation la plus diabolique de son existence, le souffle court, le sexe bandé et probablement dur comme du bois, a un moment d’hésitation. Comme si ça ne suffisait pas, Corinne le regarde avec un petit sourire coquin et provocateur en se passant la langue sur les lèvres. Elle met la touche finale en se prenant les seins dans ses mains et en les caressant. Et enfin elle achève le tableau en faisant sa petite moue déçue :
- Quel dommage qu’il faille s’arrêter là ! C’était pas mal, non ?
Dans une situation de ce genre, je pense qu’un mec normal serait terrassé par une crise cardiaque, mais Jonathan réagit exactement comme je le craignais : il retire précipitamment son tee-shirt (ça-y-est, il est à poil), se précipite sur Corinne, lui descend son string (ça-y-est, elle est à poil elle aussi), la prend par la taille et l’assoit sur la table (une bonne table rustique en chêne massif : du solide). Il lui écarte les jambes, guide sa queue dans sa fente, trouve très vite le bon chemin, glisse son gland dans sa chatte, la prend sous les genoux et, alors qu’elle trouve son équilibre en se penchant en arrière et en s’appuyant sur ses bras pour ne pas basculer, il la pénètre d’un coup.
Il parait qu’on peut s’habi à voir sa femme se faire baiser par un autre. C’est possible, mais moi je n’en suis pas à ce stade-là. Je suis terrassé par la jalousie, la rage, la honte. Me voici cocu une fois de plus et je n’arrive décidément pas à m’y faire. Corinne se prend la grosse bite raide de Jonathan bien à fond, elle se cambre (putain, la salope, ça met encore plus ses gros seins en valeur !), rejette sa tête en arrière en fermant les yeux et en poussant le gémissement qui convient (le genre de truc à faire bander un mort) …
- Tiens, salope, ça t’apprendra à jouer les allumeuses, je vais te ramoner comme tu le mérites …
- Mmmm … Des promesses, toujours des promesses …
Corinne continue à le provoquer et à l’encourager alors qu’il a déjà perdu les pédales et lâché les élastiques. La suite ne traîne pas et le scénario se précise : Jonathan est trop excité pour pouvoir faire dans la dentelle et se met à la limer comme un dément, sans retenue. Il semble incapable de se contenir et il la pénètre à une vitesse folle, comme si sa vie en dépendait. Elle encaisse avec bonheur ces coups de reins brutaux, virils, profonds. Elle pousse les cris de la salope qui se fait baiser et qui apprécie. Lui est déjà en train de la bourrer comme un malade en poussant des grognements et en la traitant de tous les noms. C’est pas possible, j’ai l’impression que c’est pire que les autres fois et qu’ils se déchaînent toujours plus !
- Salope, regardes-moi pendant que je te baise, vas-y, gueule encore, j’aime ça, ça m’excite …
- Ahhh … Ohhh … Espèce de gros pervers ! T’as une crampe, c’est ça ? Ouiii … Vas-y, lâche-toi … Ahhh ! Encore ! Plus fort ! C’est mou tout ça ! … Espèce de bite molle !
- Putain, c’est pas possible, tu me cherches, c’est ça ? Je vais t’en donner de la queue, je vais te défoncer ! …
- Ahhhh ! Ohhh ! Ouiii ! T’arrêtes pas ! Oui … Encore ! Ouiii … C’est mieux … Ça vient ! …
Et puis l’un comme l’autre arrêtent de parler et de commenter. Ils sont visiblement tous les deux dominés par leur excitation, et ils partagent un orgasme presque bestial, dans lequel le monde extérieur a disparu. Cris, gémissements, grognements, feulements. Ce sont devenus des bêtes de sexe et moi, avec mon côté poli, discipliné et respectueux, je suis le cocu de service qui n’a rien compris. Je les envie et les admire, mais je ne peux pas dire que j’apprécie. Pas de repos, pas de répit, ça continue ainsi pendant plusieurs dizaines de secondes : autant dire un million d’années. Jonathan a réussi à changer de position : Corinne est allongée à plat dos sur la table, les jambes dressées, posées sur les épaules de Jonathan. Ce dernier a ainsi libéré ses mains pour pouvoir tantôt lui pétrir les seins, tantôt la prendre par les hanches pour la limer plus profondément. Il peut disposer d’elle à sa guise, contempler ses gros seins qui prennent vie sous ses yeux, la regarder jouir, gémir et secouer sa tête à droite et à gauche.
Quand enfin Jonathan se bloque en elle pour éjaculer et qu’il pousse une sorte de hurlement incontrôlé, je suis tellement mal que j’ai la tête qui tourne. Corinne continue de jouir, et Jonathan, qui a arrêté de la bourrer, ne cesse pas de lui stimuler les seins en lui pinçant les tétons, en saisissant ses globes à pleines mains, en lui stimulant le clitoris avec un doigt (bien que la position ne soit pas idéale). Du coup, elle reste ainsi à jouir pendant une éternité, car Jonathan entretient cet orgasme qui n’en finit pas. Il a récupéré son souffle et se remet à commenter :
- Ouais, c’est ça, continue de jouir … T’es vraiment l’affaire du siècle, toi … T’aimes la queue et t’as pas fini de te faire tringler. Mmmm,tu prends ton pied, hein ? … J’aime fouiller ta chatte et te peloter les seins … Ah, salope, t’aimes ça, hein ? …
- Mmmm … Oui … T’es qu’un gros cochon mais ça me va … Mmmm … Oh, oui … oh … Salaud … C’est bon …
On baisse en intensité, mais c’est toujours pas fini. Pendant plusieurs minutes (un autre million d’années pour moi), Jonathan continue de la stimuler, de la caresser. Il entretient son plaisir qui ne diminue que très lentement. C’est incroyable, une nana qui jouit : pas toujours facile à démarrer, mais quand c’est parti, ça peut durer un temps infini. Malgré tout je me rends bien compte qu’il y a une fin à tout, même à un orgasme féminin.Corinne semble épuisée et je crois que Jonathan a compris lui aussi qu’il fallait bientôt s’arrêter. De toute façon, ça fait longtemps maintenant qu’il a éjaculé en elle et qu’il ne fait que de tous petits mouvements dans sa chatte. Progressivement, les gémissements de Corinne baissent d’intensité, les stimulations de Jonathan se font moins insistantes. Le retour au calme est proche. Jonathan se décide enfin à retirer son membre viril. Sa queue n’est plus très vaillante mais conserve un volume respectable. Prévenant, doux et attentionné, Jonathan redresse Corinne, lui fait un long baiser tendre et langoureux avant de récupérer ses affaires.
- Eh ben, même après cette glace, j’ai encore chaud ! Je crois que je vais me piquer une tête dans la piscine. Vous venez tous les deux ?
Merde alors, il est gonflé, quand même ! C’est tout ce qu’il trouve à dire ? Comme si tout ce qui venait de se passer était anecdotique. Moi, je ne réponds pas, je sens que je risque de me ridiculiser encore plus si j’ouvre la bouche. Quant à Corinne, elle semble quand même un peu honteuse (mais seulement un peu), elle évite mon regard et ramasse son string avant de quitter la cuisine pour aller (je suppose) dans la salle de bains. Bref, tout revient dans l’ordre. Je crois que je vais suivre le conseil de Jonathan et me rafraîchir les idées dans la piscine. Oui, je sais, c’est tout sauf glorieux, mais au point où j’en suis ! Maudites vacances …

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