Maudites Vacances (6) : Une Douche Et Du Savon.

Cocufié cinq fois en un peu plus de 24 heures, alors que j’étais aux premières loges à chaque fois ! Qui dit mieux ? Je crois que je détiens une sorte de record, non ? Je pense à ça pendant que j’enchaîne des longueurs de piscine.
L’avantage quand on fait du sport, c’est que même si on n’arrive pas à se changer les idées, on réussit quand même à se fatiguer et ça évite de devenir fou.
J’enrage. Comme un forcené, je fais des allers-retours en crawl ou en dos crawlé. J’ai décidé de nager jusqu’à épuisement et de me faire une « sieste-bronzage » ensuite. Je n’aurai sans doute pas résolu mon problème mais j’aurai survécu à la honte, à l’humiliation, à la colère et surtout … à l’impuissance ! Ma femme me trompe sous mes yeux avec mon copain Jonathan qui nous invite à passer une semaine de vacances chez lui (enfin, dans la villa qu’il a louée), et je suis incapable de l’en empêcher. C’est pas possible, comment ils font, les autres mecs, dans ce genre de situation ?
Je continue de nager pendant longtemps, très longtemps. Je suis essoufflé, j’ai bientôt des crampes, mais tant pis, je nage. Entre deux longueurs j’aperçois Jonathan qui lézarde sur un transat. Il a décidé de parfaire son bronzage pour mieux séduire ma femme ou il récupère après l’avoir bien baisée ? Je m’en fous, je continue, je nage.
Après un bon moment, je vois Corinne qui arrive l’air de rien, avec son mini maillot de salope allumeuse. J’ai la rage, mais je ne m’arrête pas de nager. Elle s’installe aussi sur un transat, pas trop près de Jonathan. Elle doit sentir qu’elle a beaucoup à se faire pardonner, je suppose. Bon, je continue, je nage. C’est tout ce que je sais faire, alors je le fais. Au moins Jonathan et Corinne verront que je ne suis pas n’importe qui dans ce domaine. Pas sûr que ça les épate, mais tant pis ! Je nage. Maudites vacances !
Tout a une fin, même les longueurs en piscine. Quand je m’arrête, je suis complètement cuit, essoufflé, vidé.

Au moment de sortir de la piscine, j’arrive à peine à me tenir debout tellement je me sens à bout de forces. J’y parviens quand même pour faire bonne figure, puis je me sèche un peu et je me dirige vers un transat pour récupérer. Jonathan commente mon exploit :
- Pfew ! Ben mon vieux, t’es une vrai bête ! Tu as du nager en une heure ce que je nage en un an ! Moi, dans ce genre de situation, j’aurais eu dix fois le temps de me noyer.
Je ne réponds pas. D’un côté je suis plutôt satisfait du compliment, mais d’un autre je me dis que ce n’est que de la flatterie pour essayer de me faire passer la pilule. Je ne suis pas encore prêt d’oublier ce qui s’est passé depuis hier après-midi, et il y a ne serait-ce qu’une heure ...
Bon, faut que je récupère. J’étais déjà fatigué avant ces vacances, alors avec la quasi nuit blanche que j’ai passée et mon marathon aquatique … Je ferme les yeux, j’arrive un peu à me détendre et à relativiser les choses. Bon, d’accord, je suis cocu et l’orgueil en prend un sacré coup, mais je suis encore vivant, non ? Et maintenant ? S’ils recommencent tous les deux, je fais quoi ? J’ai beau réfléchir, je n’arrive pas à trouver une issue à cette situation. Je tiens toujours à Corinne et elle m’excite même plus que jamais. Comment peut-on être excité par une femme qui vous fait souffrir ? Je n’y comprends rien !
Je m’assoupis un peu malgré ces questions qui me tourmentent. Jonathan et Corinne discutent de temps en temps mais je suis trop crevé pour rester en éveil. Ils ont l’air sage. Pourvu que ça dure ! …
Ivre de fatigue, je m’endors. Quand je me réveille, il me semble, à les entendre parler, qu’il ne s’est apparemment rien passé pendant mon somme et je me sens soulagé. Je garde les yeux fermés. J’ai dormi combien de temps ? Dix minutes ? Une heure ? Impossible de savoir. J’entends Corinne qui parle tout doucement, comme si elle ne voulait pas me réveiller :
- Bon, moi, j’ai assez lézardé, je vais me prendre une petite douche avant le dîner.
Et puis … comme c’est à mon tour de faire la cuisine, il faut que je me remue.
- Tu veux un coup de main ?
Je garde tous mes sens en éveil. Je me méfie de Jonathan chaque fois qu’il veut aider Corinne.
- Non, non, pas la peine, tu peux rester. Tu auras juste besoin de lancer le barbecue d’ici une heure.
J’essaie d’entrouvrir légèrement les paupières. Corinne ramasse ses affaires et se dirige vers la maison. Jonathan la regarde partir comme à regret, puis jette un coup d’œil dans ma direction et semble réfléchir. Que va-t-il faire ?
Cette hésitation dure quelques dizaines de secondes. Jonathan semble indécis, impatient, fébrile. Il regarde à droite, à gauche. Tout à coup il se décide, se lève en silence, puis se dirige à son tour vers la maison.
Pendant tout ce temps, je suis resté les yeux mi-clos derrière mes lunettes de soleil en me demandant ce qu’il avait derrière la tête. Maintenant je me dis que c’était à la fois une très bonne et une très mauvaise idée.
Une très bonne idée : mon honneur est sauf car tout le monde pense que je dors encore.
Une très mauvaise idée : ça donne le champ libre à Jonathan qui va aller baiser Corinne.
Je me fais peut-être des idées : si ça se trouve il va aux toilettes, ou se changer, ou chercher un bouquin, un verre ou je ne sais quoi. Mais c’est ainsi quand on a peur d’être cocufié : on craint le pire, tout le temps, à chaque fois. Et en plus, les cocus en puissance, ils veulent connaître l’étendue de leur infortune, ils veulent vérifier !
Corinne est partie. Deux minutes après Jonathan l’a suivie. Il va la rejoindre, c’est sûr ! Il faut que j’en aie le cœur net.
Je me lève à mon tour et m’approche de la maison en silence. Personne. Mmm … C’est louche. Je me dirige vers la chambre. Personne à l’intérieur, mais j’entends du bruit dans la salle de bains. L’eau coule. Normal, Corinne est sous la douche. Mais … Où est Jonathan ? Je crains le pire. J’approche tout doucement.
La porte est adossée mais pas fermée. Impossible de voir. Il me semble entendre un bruit de voix. Oui, c’est ça ! Ça discute derrière cette porte. Si je veux en avoir le cœur net, il va falloir que je la pousse d’au moins quelques centimètres pour voir quelque chose.
Au moment de pousser la porte, je sens une montée d’adrénaline. J’ai peur de ce que je vais voir, mais je suis également mal à l’aise de jouer ainsi les voyeurs. Je me sens doublement en position d’infériorité. Je sens bien que je devrais faire demi-tour tout de suite pour éviter de me couvrir de ridicule ou pousser la porte d’un coup et faire cesser cette comédie sur le champ. Oui, mais voilà, bien que je sache que ce n’est pas la meilleure solution, je me cache comme un minable et je pousse cette porte tout doucement, en faisant attention de ne pas me faire remarquer.
Quand je vois suffisamment à travers l’entrebâillement de la porte pour comprendre ce qui se passe dans la salle de bains, toutes mes craintes se confirment. Non seulement Jonathan est bien là, mais il a retiré son maillot de bains et il est avec Corinne. Ma femme est donc en train de prendre sa douche avec lui, et pas besoin d’être voyant pour prévoir la suite !
L’histoire se répète donc comme hier quand ils ont « batifolé » dans la piscine alors que je me cachais derrière les rideaux. Maintenant, c’est probablement pire car je suis tout près d’eux, et j’ai une vue imprenable de « trois-quarts dos » qui me permet de suivre les événements, de voir tous leurs gestes, d’entendre chaque mot de leur conversation :
- Alors comme ça tu veux simplement me rendre service ? Tu veux juste me savonner le dos, c’est ça ? Tu crois que je vais gober ça ?
- Mais enfin, Corinne ! Je n’ai aucune arrière-pensée, je t’assure. Qu’est-ce que tu vas imaginer ?
- Et si tu t’es mis à poil, c’est que tu ne veux pas mouiller ton maillot de bains, c’est ça ?
- Absolument !
Tu parles d’un dialogue ! J’ai compris comment ça va se terminer et eux aussi.
Je suis à nouveau paralysé, et c’est même pire que les autres fois : je sais que je ne vais rien oser faire pour les interrompre, et je suis presque impatient de voir comment ma femme va se faire baiser. Tout va bien : je suis aux premières loges et ils ne peuvent pas me voir (à moins de regarder derrière eux), je n’ai donc rien à craindre de ce côté. Un comble ! Je suis presque satisfait de cette situation sous prétexte que je ne serai pas surpris en train de les regarder baiser. Cocu, voyeur et content de lui !
Pendant ce temps, Jonathan profite de la situation : il savonne les épaules de Corinne, frotte, caresse, masse, fait mousser au maximum. Puis il s’occupe de son dos, étend son massage, va un peu sur le côté, … Corinne est totalement passive, abandonnée à ses mains baladeuses. Elle lui tourne le dos, et, pour mettre un peu de piment, elle se cambre de façon suggestive. La salope ! Même moi je commence à bander, alors j’imagine que pour Jonathan qui a en plus les sensations tactiles de la peau, de l’eau, du savon, …
- Mmmm … Oui, c’est pas mal, tu peux continuer comme ça …
Jonathan s’enhardit, passe sur le côté. Il lui savonne maintenant les flancs et j’ai compris son idée : ça va se finir sur ses seins, c’est évident !
- Mais dis-donc, c’est ça que tu appelles le dos ?
- C’est pour t’éviter de la fatigue. Je me dis que tu es mon invitée, en tant que gentleman, je me dois de t’être agréable … C’est vrai, c’est du travail en plus, mais je t’ai à la bonne et je suis prêt à faire un petit effort !
- Bon, si ça ne te coûte pas trop alors, pourquoi pas ?
Ils sont en train de se faire un sketch ou quoi ? En tout cas, ça évolue régulièrement et inéluctablement : Jonathan s’occupe des flancs et des reins de Corinne, descend, remonte, … Il fait durer, le salaud, il a compris comment chauffer Corinne et il ne s’en prive pas. Je sens qu’il va lui savonner les seins dans pas bien longtemps. Oui, il y vient, il s’en approche, … Non, il repart comme s’il n’était pas intéressé, il revient sur les reins, il remonte à nouveau.
C’est pas possible, ce type est un pervers sadique. Moi, je vais avoir une crise cardiaque, et Corinne va finir par gémir et supplier pour qu’il aille plus loin, c’est couru d’avance !
Pendant des secondes interminables il va, il vient, il approche et il s’éloigne, mais je sais bien qu’il ne pense qu’à ça (ou alors c’est moi qui suis obsédé ?). Quand enfin il atteint le côté de ses seins, qu’il les savonne avec douceur, qu’il refait le coup du « je m’éloigne et je reviens » pour prendre possession des lieux, je suis presque soulagé. J’ai le cœur qui bat à cent à l’heure, et une excitation terrible m’envahit : je bande tellement que je suis obligé d’arranger mon sexe dans mon maillot de bains.
C’est incroyable : je souffre abominablement de voir ma femme aux mains de ce manipulateur lubrique, et pourtant j’ai l’impression que je suis encore plus excité que les autres fois ! À n’y rien comprendre ...
Oui, ça y est, maintenant, comme je m’y attendais, il lui prend les seins à pleines mains, les savonne, les presse, les caresse, les pétrit, … Putain, j’en peux plus, je deviens fou ! La tension monte aussi dans la douche, d’ailleurs :
- Toujours aussi obsédé, à ce que je vois !
- Mais non, mais non, c’est juste pour te rendre service …
- Et qu’est-ce que je sens contre mes fesses ? Tu as encore une crampe ?
Effectivement, Jonathan bande comme un cerf en rut et frotte sa queue contre les fesses de ma femme pour bien lui faire comprendre dans quel état d’esprit il est.
- Mon pauvre ami ! Comme ça doit être inconfortable ! Il va encore falloir que tu te soulages, c’est ça ?
C’est reparti pour de la provocation à haute dose : Corinne remue son cul, le frotte contre la queue de Jonathan pendant que ce dernier a pris possession de ses seins. Tout ça se passe évidemment dans une débauche de savon, de soupirs, ... Autant d’encouragements explicites d’un côté comme de l’autre. En tout cas, Jonathan ne perd pas le nord :
- Ne t’inquiètes pas, je me charge de tout. Laisse-toi aller …
Elle va bientôt passer à la casserole, c’est évident. La bite raide de Jonathan qui se frotte contre les fesses de Corinne, qui passe dans sa raie avec des petits allers retours suggestifs, …
Et puis l’instant fatidique arrive : un petit coup de rinçage, et Jonathan guide sa queue, part à la recherche d’un lubrifiant plus naturel. Il frotte son gland contre la fente de Corinne, appuie sur les épaules de cette dernière, l’installe dans la position adéquate, et enfin enfonce son dard dans la chatte de ma femme avec une délectation affichée.
- Ouais … C’est toujours aussi bon de t’enfiler … J’adore ta chatte douce et chaude … T’es le meilleur coup de l’année, il n’y a pas de doute !
Corinne a encaissé la pénétration en gémissant. Elle est penchée en avant, appuyée contre le mur, cambrée pour mieux offrir sa croupe à Jonathan. Comme une bonne salope en chaleur, elle attend de se faire saillir par le mâle en rut.
- Mmmm … Toujours aussi tendu ? Il faudrait te faire soigner …
- T’inquiète, ça va aller, j’ai trouvé le remède à mon problème. Tu sais que t’es vraiment super bonne, toi ? Et puis c’est encore mieux de te palucher avec du savon !
Jonathan a repris ses « explorations savonnées » : les hanches, les fesses, les flancs, les épaules, et, bien sûr, les seins. Quand Corinne se redresse il lui prend la poitrine à pleines mains, malaxe ses globes et pince ses tétons ; quand elle se penche en avant il s’occupe plutôt de ses hanches et de ses fesses ; parfois il la prend par les épaules et l’attire à lui afin de pouvoir la pénétrer plus profondément. Comme les fois précédentes, il alterne et varie au gré de l’inspiration, accélère ou ralentit le rythme, et, une fois de plus, Corinne monte en pression et gémit comme une bonne salope qui se fait limer, qui prend son pied et qui en redemande.
Je suis mort de jalousie et de honte, mais ça ne m’empêche pas d’avoir une trique monstrueuse. Tout en regardant ma femme se faire grimper par ce salaud de Jonathan, je me surprends à me caresser la queue. C’est vrai que je suis excité, que ça me fait un effet terrible de voir ma femme me cocufier ainsi, alors pourquoi ne pas atténuer mes souffrances en me donnant un peu de plaisir ?
Pendant ce temps, Jonathan ne mollit pas, au contraire. Il est en train de la baiser à toute vitesse en la faisant gémir et crier de plaisir. Visiblement, c’est reparti pour un orgasme dont elle a le secret, et qu’il n’a pas envie d’abréger.
- C’est super de te bourrer comme ça, ma jolie. Tout est bon chez toi, on peut pas s’en lasser !
Tout en disant ça, il se met à lui caresser la croupe de façon indécente. Il passe même dans la raie de ses fesses, s’attarde sur son petit trou qu’il se met à titiller. Corinne a un sursaut au moment où il tourne sur sa rondelle.
- Mmmm … Mais dis-donc, on dirait que t’es drôlement sensible de ce côté-là ?
- Ohhh ! Cochon ! Dégoûtant ! Non ! Je … ça suffit !
- Détends-toi, ma toute belle, détends-toi, c’est les vacances …
Ce salaud est en train d’explorer sa rondelle et il nous refait le coup de « l’approche progressive » : je tourne un peu, je m’éloigne, je reviens avec un peu plus de curiosité, je recommence avec un peu plus d’autorité. Et puis, comme je le craignais, il lui rentre un doigt dans le cul avec assurance et contemple l’effet obtenu. Il faut croire que ce mec est un as de la baise : comme Corinne se fait limer en rythme depuis quelques minutes déjà, elle ne tente rien pour interrompre cette nouvelle intrusion, au contraire.
- Espèce de gros dégoutant ! J’ai pas besoin de savon par là !
- Mais si, mais si, ma chérie, il ne faut rien oublier, et puis, tu vas voir, ça va te faire du bien …
- Cochon ! C’est bon, ça suffit, laisse mon cul tranquille !
Corinne a beau protester, tout dans son comportement incite Jonathan à aller plus loin : des réticences qui ressemblent plutôt à des encouragements, des gémissements qui rappellent davantage le plaisir que le dégoût, des mouvements d’acceptation et non de répulsion, … La salope ! Elle remue du croupion pour mieux se faire limer la chatte et doigter le cul, et, comme si ça ne suffisait pas, elle ajoute la bande son.
- Mmmm … Bon, après tout, pourquoi pas ? Mmmm … Oui, … Oh ! Salopard, c’est vrai que c’est pas si mal …
- T’es vraiment une super bombasse, ma choute. On a pas fini de rigoler, tous les deux !
Ce mec est une ordure : moi, je suis misérablement derrière la porte à me branler, et pendant ce temps il s’occupe de ma femme en lui faisant des trucs pas possibles. Le pire, c’est qu’il obtient de cette salope ce que je n’ai jamais réussi à avoir en trois ans. Il la baise, il la doigte, il la fouille et elle accepte tout, elle prend son pied par tous les bouts, par tous les trous !
J’en ai marre, j’en peux plus, c'est de pire en pire. Pour l’instant, il se contente de la limer et de la doigter, mais ça dure, ça dure et ça monte en puissance. Elle gueule maintenant pour de bon, elle a atteint l’orgasme, ça se voit, ça s’entend.
- Putain, t’es super chaude, ma salope ! C’est trop bon de te bourrer la chatte !
- Ahhh ! Ouiiii … Salaud ! C’est bon, j’aime … Encore ! Ouiii … Plus fort !
Maintenant il est presque en train de la démonter, et en plus il active son doigt dans son cul à une vitesse dingue pour ajouter du piment. J’ai l’impression qu’on n’est pas loin de la fin. Moi-même je ressens tellement de tension que je me dis que, plutôt que de mourir tout de suite, je ferais encore mieux de me branler jusqu’au bout et de me soulager.
J’en suis là de mes réflexions lorsque tout à coup Jonathan ralentit et s’arrête même complètement. Il sort sa bite de la chatte de Corinne, retire son doigt de son cul et se met en position pour la sodomiser. Oh, non ! Jusqu’au bout j’espérais que ça n’arriverait pas, mais maintenant, je comprends que rien ne me sera épargné.
Avec une délectation perverse, il se prépare à enculer ma femme sous mes yeux. Submergée par son orgasme, elle semble incapable de réaction et il le sait. Il guide calmement sa queue dans sa raie, s’attarde sur son petit trou, le titille gentiment, … Il cale son gland sur son anus, prend Corinne par les hanches. L’instant est d’un calme impressionnant. Le temps suspend son vol. Nous avons tous compris ce qui se joue, même Corinne qui semble se réveiller :
- Espèce de salaud ! C’est ça que tu voulais, hein ?
- Oh, oui ! Tout est bon chez toi. Un cul comme le tien, n’importe qui se damnerait pour pouvoir en profiter. Tu sens ma queue ? Je vais te la mettre bien profond dans ton adorable postérieur. Tu vas voir : la sodomie, c’est mieux que tout !
Maintenant que Jonathan a bien annoncé la couleur, il peut se concentrer sur sa tâche. Il tient Corinne par les hanches, l’attire à lui tout en avançant son bassin. Je suis totalement fasciné par cette scène. Ma femme se fait sodomiser sous mes yeux et moi, la gorge sèche et les jambes tremblantes, je ne trouve rien de mieux que de me caresser la queue pour vérifier que j’existe et que je suis encore en vie.
- Ohhh ! Espèce de gros cochon !
- Détends-toi, ma toute belle, détends-toi …
Centimètre par centimètre, il progresse dans le cul de ma femme et prend possession des lieux. Corinne, tremblante, soumise et passive, attend qu’il ait fini de l’emmancher. Elle est courbée en deux afin de lui faciliter cette pénétration inhabituelle pour elle. Je suis bien placé pour savoir que Corinne est peu coutumière de cette pratique. Deux ou trois fois, au début de notre relation, j’ai bien essayé de la sodomiser, mais j’ai rapidement abandonné l’idée. Bien qu’elle ait été séduite par l’idée, la réalité était fort différente : peu de plaisir, beaucoup d’inconfort et un résultat décevant.
Mais aujourd’hui Jonathan semble sur la bonne voie. Corinne est toujours parcourue de frissons de plaisir. Son orgasme n’est pas terminé, et c’est ça qui lui permet d’accueillir la bite de Jonathan sans réticence. Oui, ça y est ! Il lui a enfoncé sa grosse bite dans le cul jusqu’à la garde et maintenant il s’arrête un instant, autant pour qu’elle s’habitue à cette intrusion contre nature que pour profiter lui-même du plaisir de l’avoir une fois de plus –et plus que jamais !- en son pouvoir.
- Ma salope, c’est pas fini, tu vas voir, tu vas adorer. J’ai l’impression que c’est pas tous les jours que tu te fais ramoner le cul. T’es serrée comme une pucelle …
- Ohhh …
Il passe sa main devant pour lui caresser le clitoris et attiser son plaisir. Corinne est immobile, il n’a aucun mal à lui faire ce qu’il veut. Elle gémit aussitôt qu’il la touche, il en profite alors et repart pour un tour : caresse entre ses jambes et sur ses seins, et début de va et vient dans son cul. Tout doucement, presque timidement au début. Je m’aperçois alors que je suis en train de suivre son rythme : je me branle la queue à la même vitesse qu’il encule ma femme. Calmement et voluptueusement au début, mais en augmentant progressivement la vitesse.
- Ouais … C’est bon, c’est bon, salope. J’aime ton cul serré de sainte nitouche. Je vais t’apprendre à jouir par-là aussi, tu vas voir …
- Ohhh … Ohhh … Ahhh !
C’est théoriquement impossible de savoir si elle aime ou si ça lui fait mal, mais à priori, vu comment elle se laisse faire sans protester, je pencherais plutôt pour la première solution. La suite me donne raison :
- Mmmm …
- Oui, c’est ça, j’adore quand tu remues le croupion, je parie que ça te plait de te faire enculer.
- Ohhh … Hhhh … Ohhh …
- Hein que ça te plait de te prendre ma bite dans le cul, ma jolie ?
- Ohhh … Je … Je t’en prie … Ohhh …
- Réponds-moi ? T’aimes la sodomie ?
- Ohh … Je … Oui … Ohhh … C’est bon … !
- Je m’en doutais ! T’es vraiment faite pour la baise, ma toute belle. Dans toutes les positions, à toutes les heures de la journée, par tous les trous ! J’ai pas fini d’en profiter, tu vas voir !
- Oh, oui, salaud ! C’est bon ! J’aime ! …
Apparemment, c’est bien parti : il est en train de l’enculer comme il faut, bien profond, bien régulier et vraiment vite. Plus de problème, ça coulisse en souplesse, Corinne se fait bourrer le cul et exprime sa satisfaction pour le plus grand bonheur de Jonathan … et de moi ! Oui, aussi incroyable que cela puisse paraître, je me branle maintenant à toute vitesse et je suis tellement excité par le spectacle de ma femme en train de se faire sodomiser sous mes yeux que je ne vais pas tarder à juter.
Je jette un coup d’œil inquiet aux alentours. Oui, c’est ça, sur la table de nuit il y a une boîte de mouchoirs. J’en prends un rapidement puis je reviens à mon poste d’observation. J’ai un instant de honte qui m’envahit, mais l’excitation est plus forte que tout : au moins, personne ne peut me voir pendant que je me branle, alors, l’honneur est sauf !
Maintenant, c’est un véritable orgasme à trois qui se prépare : je me cale à nouveau sur le rythme de Jonathan en train d’enculer ma femme. Elle gémit ou feule de façon ininterrompue, et lui grogne comme une bête pendant qu’il la bourre. Encore une baise brutale et bestiale, et moi je me prépare à éjaculer en même temps que lui, pour avoir l’impression que je domine encore quelque chose, pour avoir encore l’impression que ma femme m’appartient un peu.
Quelle salope ! Je n’en reviens pas. Elle m’excite à se laisser baiser et enculer ainsi, à hurler à chaque coup de queue qu’elle prend dans le cul, à manifester bruyamment la satisfaction de la femelle qui jouit, grimpée par un mâle en rut.
J’en peux plus, je vais jouir, je sens le point de non-retour qui s’approche, j’essaie de ralentir, c’est dur … Celui qui n’a jamais vu sa femme jouir sous les assauts d’un autre mec ne peut probablement pas comprendre, mais il n’y a pourtant rien de plus excitant et envoutant comme spectacle, même si la honte et la souffrance sont là …
Jonathan est probablement au bout de sa route lui aussi, car il pistonne ma femme avec frénésie, et il ne pourra pas tenir bien longtemps à ce rythme d’enfer. Corinne a du mal à rester debout, elle s’accroche aux robinets de la douche pour ne pas glisser. Elle continue de crier à chaque coup de boutoir, elle jouit visiblement comme une malade.
- Oui, vas-y, gueule encore, salope ! C’est bon de se faire défoncer le cul, hein ? Oui, c’est ça, continue de gigoter, j’adore … Tiens, prends ça, et ça encore ….
- Ahhhh ! Salaud ! Ahhh ! J’en peux plus ! … Ohhhh, c’est bon ….
- Ahhh ! Salope, tu m’as eu ! Ahhhhhhh ! …
J’ai compris : Jonathan éjacule dans son cul, et du coup c’est pour moi le signal. Je me branle à toute vitesse pour me soulager, et dans l’état d’excitation qui est le mien, il ne me faut que quelques secondes pour arriver à mes fins. D’une main je finis de me masturber, de l’autre j’essaie de recueillir le sperme qui gicle de ma queue pour éviter qu’il ne tomber par terre. Le plus dur est de rester silencieux pendant que le plaisir me submerge. C’est un peu frustrant mais j’y arrive malgré tout. Essoufflé, penaud, honteux mais apaisé, je me décide à me retirer en vitesse en jetant un dernier coup d’œil derrière moi.
Jonathan et Corinne sont calmés, presque immobiles. Je n’ose rester à les regarder reprendre leur souffle, de peur de me faire repérer. Est-ce qu’ils vont recommencer leur douche sensuelle ? Est-ce que Jonathan va continuer à la faire jouir en lui doigtant le cul ou lui caressant le clitoris ? Je ne le saurai sans doute jamais et ce sera ma punition, car je ne suis pas prêt à prendre le risque de rester et de me faire repérer en train de jouer les voyeurs. Je me sauve comme un voleur.
À quand la prochaine humiliation ? J’ai l’impression d’être sous ce toit depuis une éternité et pourtant ça ne fait même pas 48 heures que nous sommes arrivés.
Maudites vacances !

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