Maudites Vacances (2) : La Piscine.

Je suis sous la douche, j’essaie de mettre de l’ordre dans mes idées. Mon copain Jonathan vient de baiser ma femme sous mes yeux, et non seulement je n’ai rien pu empêcher, mais j’ai cédé à ses caprices en me branlant devant lui ! J’ai tellement honte que je voudrais disparaître sous terre. Comment vais-je affronter les regards de Jonathan et Corinne maintenant ? Aucune idée …
Je crois que j’ai besoin de faire le vide. Je finis de me rincer, me sèche, m’habille et décide d’aller faire un tour. Juste avant de sortir, je crie par la fenêtre, de loin, avec mon air le plus naturel possible :
- Je vais faire un tour dans les environs, à tout à l’heure !
Je ne vérifie pas où ils sont, ni ce qu’ils font, ni s’ils ont entendu, ni s’ils me répondent quelque chose. Je sors précipitamment de la maison et m’éloigne au plus vite de cette maison maudite. Tu parles d’un début de vacances !
Je n’arrive pas à me détendre ni à profiter du paysage. Être cocu, ce n’est facile pour personne, mais quand ça arrive sous vos yeux et que vous laissez faire, la pilule est difficile à avaler. Je suis en train de réfléchir à ce qui va se passer si ça se reproduit : serais-je capable d’y mettre fin ? Pas sûr … D’autres questions me traversent la tête : Est-ce que je tiens vraiment à ma femme ? Est-ce que je peux supporter qu’elle se fasse sauter par un autre et l’aimer encore ? Le truc classique de tous les maris trompés, je suppose.
Je me promène une petite heure ainsi, et, même si je ne trouve aucune réponse à mes questions, j’arrive malgré tout à me détendre un peu et à profiter du paysage. J’essaie de positiver, de relativiser et de me dire que tout va bien, que je suis en vacances. J’ai fait un grand tour et je suis maintenant revenu à la maison. Du coup, l’angoisse remonte et mes inquiétudes reviennent. Que font Corinne et Jonathan ? Comment vont-ils me recevoir ? En se moquant de moi ? En faisant comme si de rien n’était ? En minimisant ce qui s’est passé ?
Je décide de m’approcher en silence pour voir ce qui se passe.

Je rentre dans la maison, personne. J’entends des bruits dehors, ils sont apparemment restés au bord de la piscine. Non, ils sont en train de se baigner. Je regarde discrètement, caché derrière un rideau. Ils sont dans l’eau. Je mets un certain temps avant de savoir s’ils ont ou non leurs maillots de bains. Je finis par remarquer que c’est le cas pour Jonathan, mais Corinne n’a que son string et est seins nus. Ça ne me plait pas particulièrement, mais vu ce qui s’est passé tout à l’heure, on ne peut pas dire non plus que c’est catastrophique. Je me sens vraiment idiot, à me cacher comme ça sans oser me présenter devant eux, mais d’un autre côté, j’ai vraiment envie de retarder autant que possible mon retour. Je me sens humilié d’avoir été cocufié avec tous les détails qui me reviennent en mémoire. Du coup, je reste planqué derrière les rideaux à les observer et à me demander comment je vais réussir à retrouver un comportement normal.
Corinne continue apparemment d’allumer Jonathan, puisqu’elle est seins nus. Ils s’amusent dans l’eau, chahutent et rigolent. Je suis exaspéré par cette complicité dont je suis exclu, mais je reste quand même à les observer. À un moment Jonathan demande à Corinne de nager sur le dos.
- Mais pourquoi ?
- À ton avis ? Je suis sûr que ça va mettre tes seins en valeur.
- Espèce de gros cochon ! Tu ne penses donc qu’à ça ?
- Allez, s’il te plait, …
- Tu n’en as pas eu assez tout à l’heure ?
- Tu plaisantes ? On ne peut pas se lasser de tes seins. Allez, j’essaierai d’être sage, je te promets …
- Bon, monsieur le voyeur, tu peux mater un peu, mais on ne touche pas, cette fois …
Corinne se décide donc à faire un dos crawlé pour faire plaisir à Jonathan. Le spectacle est effectivement fascinant et je m’y laisse prendre moi aussi. Voir les gros seins appétissants de Corinne sortir de l’eau, prendre vie en allant de gauche à droite, onduler ainsi voluptueusement, avec leurs pointes que l’on devine déjà dures, c’est presque insoutenable.
Jonathan est aux premières loges, il n’en perd pas une miette. Corinne passe et repasse juste devant lui et il est comme hypnotisé. Mais tout a une fin, et Corinne s’arrête finalement après être passée deux ou trois fois devant lui.
- Bon, ça suffit maintenant, le spectacle est terminé !
- Non, je t’en supplie, encore un peu, c’est trop beau, c’est trop bon. Tiens, regarde l’effet que ça me fait !
Jonathan joint le geste à la parole, se met debout dans le petit bain et baisse son maillot. Son sexe se dresse fièrement devant lui. Corinne le regarde alors sans pudeur, avec un petit air coquin et amusé.
- Mmmm … Mais dis-donc, ce sont mes seins qui te font autant d’effet ?
- Oui, je t’en prie, allez, encore quelques longueurs, je t’en supplie !
- T’es vraiment un obsédé, toi ! Bon, d’accord, mais après c’est vraiment fini !
Je crois que cette histoire va encore mal finir, mais je ne sais absolument pas comment réagir. Au moins là, caché derrière les rideaux, je n’aurai pas la honte de tout à l’heure …
Pendant ce temps, avec un petit rire amusé, Corinne a recommencé ses longueurs sous les regards lubriques de Jonathan. Comme il fait mine de cacher sous l’eau son érection monstrueuse, Corinne proteste :
- Ah, non ! Si tu veux jouer les voyeurs, c’est donnant-donnant : essaie d’assumer et laisse donc ta jolie queue à l’air libre, espèce de cochon lubrique !
Jonathan a l’air ravi de ce petit jeu et se met debout, sa queue raide fièrement tendue vers l’avant. Corinne passe et repasse devant lui en faisant onduler ses seins tout en regardant le sexe dressé qui s’offre à sa vue. Il faut reconnaître que Jonathan a un sacré braquemard, une queue bien raide de taille plus qu’honorable (en tout cas plus longue et plus épaisse que la mienne), et Corinne s’amuse à le tenir ainsi en son pouvoir, à savoir qu’il bande comme un cerf rien qu’en regardant ses seins, et ce à peine plus d’une heure après l’avoir baisée. Alors que, pour la cinquième ou sixième fois, Corinne passe devant Jonathan, celui-ci lui dit :
- S’il te plait, tu veux m’aider à réaliser un fantasme ?
- Oh, je ne sais pas, ça dépend …
- Tu veux bien prendre ma queue entre tes seins ?
- Décidément, c’est carrément du fétichisme !
- Allez, je t’en prie, j’en rêve depuis que les ai vus …
Corinne répond par un petit rire puis s’arrête de nager et se met debout à son tour, ses seins fièrement dressés.
Elle s’approche de Jonathan qui est comme pétrifié, avec sa queue toujours aussi raide qui pointe vers le ciel.
- Bon, on va voir ce qu’on peut faire …
Elle s’agenouille devant Jonathan puis se redresse en se frottant contre lui. Au passage, elle emprisonne sa queue entre ses deux énormes seins et commence à monter et descendre en rythme, très doucement, en le regardant d’un air aguicheur.
- Alors, c’est ça ton fantasme ?
- Oh, oui, c’est bon, c’est super, continue, j’adore …
C’est donc parti pour une branlette espagnole : Corinne masturbe la queue de Jonathan avec ses gros seins humides : elle en rajoute sur la lenteur et la sensualité tout en jetant des regards provocateurs. Jonathan est au septième ciel : il se concentre sur le plaisir que lui procurent ces deux merveilleux globes de chair qui lui caressent et lui compriment le sexe.
Ils se regardent bien dans les yeux, elle plus salope que jamais, se passant la langue sur les lèvres, jouant avec ses seins et la queue de Jonathan, et lui subjugué, ne voulant rien perdre du spectacle.
Ce manège dure quelques minutes pendant lesquelles ils semblent prendre leur pied tous les deux : Corinne s’amuse à jouer son rôle comme si elle devait passer un casting dans un film porno, et Jonathan profite de chaque seconde comme si c’était la dernière de sa vie. Je m’attends déjà à une accélération puis à une éjaculation quand tout à coup Corinne arrête brutalement, puis se redresse.
- Voilà, monsieur le cochon lubrique, satisfait ?
- Oh, non, tu ne peux pas t’arrêter ainsi !
- Oh, mais si ! Un peu de frustration de temps en temps n’a jamais fait de mal à personne.
Pendant quelques instants, Jonathan reste immobile, incrédule. Il ne s’attendait visiblement pas à ça et semble très déçu. Moi non plus je ne m’attendais pas à ça, mais je suis plutôt content. Malheureusement, je dois vite déchanter car, tout à coup, alors que Corinne fait mine de s’éloigner, Jonathan la rejoint, plonge sous l’eau, la déséquilibre et la fait tomber.
Suit une petite bagarre sous forme de jeu. Jonathan a saisi les jambes de Corinne, et du coup elle est d’abord obligée de faire la planche pour ne pas couler, puis elle s’accroche au bord de la piscine. Les cris, les protestations et les rires accompagnent la scène. Maintenant Corinne est sur le dos, s’agrippe au bord de la piscine pendant que Jonathan lui tient les jambes. Elle est ainsi prisonnière et ne peut plus bouger sous peine de glisser sous l’eau et de boire la tasse.
- Bon, c’est fini, oui !? Je ne suis pas ton objet sexuel.
- T’as pas le droit de m’allumer ainsi et de me laisser en plan !
- Non mais, je fais ce que je veux de mes seins, et tu en as déjà eu assez comme ça. Lâche-moi !
- Jamais de la vie !
J’en suis à me demander si le moment n’est pas bien choisi pour que je vienne prêter main forte à Corinne lorsque Jonathan réussit à lui écarter les jambes et à mettre sa tête entre ses cuisses. Elle se débat et proteste, mais il a sa tête coincée au niveau de son sexe, la tient fermement par les hanches et je devine son intention : il veut lui faire un cunnilingus. La suite me donne raison puisqu’elle sursaute tout à coup, mollit un peu, se débat et crie :
- Non, pas ça ! Espèce de gros dégoûtant, retire ta langue de là, je ne veux pas !
Jonathan n’a pas l’air de vouloir lui obéir car il garde la position et, visiblement, il obtient ce qu’il veut : Corinne proteste de moins en moins violemment.
- S’il te plait, non ! Arrête, arrête, ça suffit … Ohhh …. Je t’en prie, … Ohhh …. Espèce de cochon, obsédé, … Aaahhhh …. Je … Je t’en prie … Ohhhh, non …
Plus les secondes passent, plus Corinne semble vaincue par le traitement que lui fait subir Jonathan. Ses protestations se font soupirs, gémissements. Elle ne se débat plus.
- T’es vraiment un salaud, toi. Ohhh … T’es un obsédé, hein ? C’est bon, gros dégoutant, vas-y puisque tu ne penses qu’à ça. Tu veux me faire jouir, hein ?
Jonathan ne répond pas puisqu’il a la bouche occupée, mais il s’applique à sa tâche et commence à utiliser ses mains qui glissent des hanches au buste de Corinne. C’est reparti pour lui peloter les seins.
- Espèce de salaud lubrique, c’est bon, vas-y, caresse-moi les seins puisque tu ne peux pas t’en empêcher. Mmm …. Ohhhh … cochon … Ce … C’est bon … Oui … Oh … Continue … Ouiii, comme ça … J’aime !
La langue et les mains de plus en plus actives, Jonathan a repris le dessus et je sens que je vais être cocufié une fois de plus. Il prend son temps et s’occupe de la chatte et des seins de Corinne avec application et méthode. Ça marche drôlement bien, d’ailleurs, car maintenant elle est parcourue de frissons, gémit continuellement et pousse de petits cris quand il lui pince le bout des seins ou lui agace le clitoris avec un peu plus d’audace.
- Espèce de salopard, tu sais y faire, hein ? Oui, ouiiiii … Mmmm … Ohhhh ! Encore, encore ! Ouiii …
Elle s’abandonne totalement maintenant, et je crains bien qu’il ne compte pas en rester là. Il veut casser toute velléité de résistance, et c’est un succès total car Corinne prend son pied, il n’y a pas de doute. Moi, je ne pense plus, je suis sur une autre planète, je me retrouve encore une fois plongé en plein cauchemar, paralysé, subjugué, incapable de la moindre réaction et excité par cette scène malgré la nausée que cela m’inspire : je bande à nouveau, ce qui me convainc de rester caché, car je ne veux surtout pas me retrouver comme tout à l’heure, obligé de me branler alors que ma femme se fait sauter par un autre.
Pendant ce temps, pas de répit : les gémissements de Corinne se font petits cris de plaisir. Et ça dure ! C’est à devenir fou, mais je ne peux rien faire d’autre que de rester à regarder, complètement hypnotisé. Et puis, comme je le craignais, Jonathan, estimant que Corinne est mûre pour son projet, cesse son cunnilingus, se redresse, se place entre ses jambes, puis lui relève le bassin hors de l’eau et la pénètre tout simplement, comme tout à l’heure sur le transat, en lui tenant les jambes sous les genoux.
- Ahhhh ! Salaud ! Tu ne penses qu’à ça, hein ?
- Oh, oui, ma chérie. T’es vraiment trop bonne, ce serait un crime de ne pas en profiter. J’ai toujours rêvé de me taper une bombasse comme toi. Je vais te faire gueuler à chaque coup de queue, tu vas voir …
Jonathan s’immobilise un peu et contemple son œuvre : une fois de plus Corinne est à sa merci, obligée de s’accrocher au bord de la piscine pour ne pas couler, les jambes saisies et immobilisées, la poitrine offerte à sa vue. La grosse queue de Jonathan plantée dans sa chatte, elle est livrée aux regards concupiscents qu’il lui jette. Il est fier de son coup et savoure l’instant, le salaud ! Et puis, inéluctablement, il se met en marche, comme une machine infernale, une machine à baiser. Il la pénètre bien profondément jusqu’à la garde, s’arrête un instant, la tient serrée contre lui, vérifie qu’elle encaisse bien le coup, la tête renversée en arrière, puis fait mine de se retirer entièrement et, alors que son gland est presque sorti de sa chatte, recommence à la pénétrer à fond et reprend ce petit jeu. Comme si ça ne suffisait pas, il commente :
- Hummmm …. C’est trop bon de te baiser … Regarde-moi pendant que je te lime.
Corinne s’exécute, ouvre les yeux, comme vaincue et soumise.
- Ohhhh … T’es vraiment un chien, un obsédé. »
- Et toi t’es une super salope, je vais te tringler du matin au soir pendant tout ton séjour, t’es trop bonne, t’es vraiment trop bonne …
Corinne ne répond pas, referme les yeux. Mais Jonathan n’en reste pas là. Il recommence un coup de queue bien profond qui lui tire un gémissement. Elle ouvre à nouveau les yeux.
- Ta chatte est douce et chaude, t’es vraiment faite pour ma queue. Hein que t’es une salope ? Hein que t’aimes ça ?
Comme Corinne ne répond pas, il recommence : un coup de queue bien profond et il se bloque au fond de sa chatte. Elle le regarde droit dans les yeux avec un air à la fois furieux et soumis :
- C’est bon, oui, vas-y, baise-moi puisque tu ne penses qu’à ça …
Apparemment, ça ne lui suffit pas, il recommence avec un rythme très lent : un coup de queue toutes les cinq ou dix secondes, mais très ample, très profond, comme pour la mettre sur le gril. Dix fois, vingt fois il recommence ce petit jeu. À chaque fois Corinne sursaute, gémit et soupire. Il est en train de la baiser au ralenti et à ce rythme-là, ça peut durer des heures. Et puis finalement il se décide à accélérer. Ses coups de queue, ses va et vient dans sa chatte restent toujours aussi profonds mais de plus en plus rapides. L’effet est presque immédiat. Corinne, chauffée depuis plusieurs minutes, remonte en pression. Très vite elle se trouve emportée à nouveau par un orgasme ravageur. Elle gémit ou pousse des cris de façon presque ininterrompue alors que Jonathan la ramone toujours plus brutalement.
- Salope, t’es vraiment trop bonne. Je vais te limer jusqu’à épuisement. Je vais te baiser du matin au soir, tu vas voir … Tu vas la sentir passer, ma queue …
Maintenant Corinne a de plus en plus de mal à s’accrocher au rebord de la piscine tant les coups de queue de Jonathan sont violents. Ses seins vont et viennent en rythme, l’eau éclabousse de tous côtés, mais il continue à la pilonner. Quant à Corinne, secouée comme elle l’est, elle risque à tout instant de lâcher prise.
- Arrête ! J’en peux plus, je vais tomber dans l’eau …
Jonathan ralentit, puis s’arrête complètement. Il se penche sur elle, la prend derrière le dos et l’attire à lui sans pour autant sortir sa queue de sa chatte. Il est à présent debout, et, maintenant qu’elle a lâché le bord de la piscine, elle se trouve empalée sur sa queue, accrochée à ses épaules pour ne pas tomber, blottie contre lui, ses gros seins appuyés contre le torse de Jonathan et ses jambes l’entourant. Il se met ainsi à marcher doucement dans l’eau avec ma femme enfilée sur son dard. L’image est à la fois très « sexe » et très tendre, ce qui ne me plait ni d’un côté ni de l’autre.
Jonathan marche ainsi quelques mètres jusqu’à rejoindre un matelas pneumatique qui flotte sur l’eau. Il installe précautionneusement Corinne sur le matelas, l’allonge de tout son long sur le dos, le tout sans retirer sa queue de sa chatte. Elle se laisse faire, comme si elle dormait à moitié. Toujours avec des gestes très lents et très doux, il lui saisit les jambes et les pose sur ses épaules à lui, se dirige avec cet assemblage mi flottant, mi marchant vers une zone de profondeur adaptée.
Je crois que j’ai compris : il va remettre ça avec un confort maximum. Maintenant il est prêt et peut mener à bien son projet : ses mains libérées, il recommence comme tout à l’heure sur le transat : des caresses sur tout le corps, avec une préférence pour ses seins et toutes les variantes qui vont avec. C’est comme s’il jouait du piano, sauf que c’est ma femme qui est son jouet, et ses cris de plaisir et ses gémissements qui forment la musique.
Nous voilà repartis pour une longue, très longue séance de caresses, de pincements, de pelotage et de pétrissage accompagnés par des coups de queue réguliers et de plus en plus rapides. Mais ça ne s’arrêtera donc jamais ? Depuis combien de temps suis-je en train de contempler ma femme me cocufier ? Impossible à dire, mais nous allons vers un record d’endurance, et Corinne a l’air de sacrément y prendre goût.
Rongé par la jalousie, je me sens vraiment nul, ridicule et misérable à jouer les spectateurs de mon copain qui baise ma femme, la baise et la rebaise encore. On croit avoir touché le fond et on s’aperçoit qu’il y a toujours pire : Corinne jouit et jouit encore, elle en est à je ne sais combien d’orgasmes, ça doit faire bientôt une demi-heure qu’elle se fait limer. Pendant tout ce temps Jonathan la caresse, la pelote, la pince, la masse, la pétrit comme si elle était sa chose et qu’il avait tous les droits sur elle, et d’ailleurs il a bien raison puisque tout ce qu’elle est capable de faire est de gémir, de crier et de subir tous les assauts, toutes les caresses avec complaisance et soumission.
Et puis finalement, un nouveau ralentissement, une nouvelle accalmie. Jonathan s’immobilise, reste avec sa bite plantée dans le vagin de ma femme, lui prend une jambe qu’il fait passer par-dessus sa tête, la bascule sur le côté, puis sur le ventre, et la prend enfin sous les cuisses. Maintenant il lui fait le coup de « la brouette ». Je pensais que ce genre de position n’existait que dans les gravures du Kama Soutra, mais je vais avoir droit à une séance spéciale avec variante. Grâce au matelas pneumatique sur lequel elle est allongée, il peut sans problème mener son projet à exécution : il lui écarte les jambes et recommence à la baiser dans cette nouvelle position, et sans fatigue.
Voilà, c’est fait, tout le monde est en place et on repart pour un impitoyable va-et-vient accompagné par son cortège de soupirs, de gémissements et cris de plaisirs qui me font tant souffrir. Il a vraiment réussi à la soumettre car il en fait ce qu’il veut, toujours avec le même principe : la baiser confortablement pour ne pas fatiguer et longtemps pour la faire jouir au maximum.
Ce que je contemple est une réalité insoutenable, et pourtant, je reste, les yeux écarquillés, incrédule. Est-ce vraiment ma femme qui se fait mettre dans toutes les positions ? Est-ce bien mon copain qui l’enfile, la baise et la tringle ainsi ? Et ces cris de plaisir de la femelle qui subit, ces grognement du mâle qui la bourre ? Par moments il reprend son souffle et ralentit, puis accélère à nouveau pour atteindre un rythme d’enfer. Il alterne et elle aussi : soupirs et gémissements voluptueux, cris et supplications de la femme qui jouit et n’en peut plus (ou qui en veut encore ?).
J’aurais dû regarder ma montre, car ça doit faire trois quarts d’heure qu’il est en train de s’occuper d’elle et de la faire jouir avec sa langue ou avec sa queue. De temps en temps elle essaie de prononcer quelques mots incohérents :
- Ahh … Je t’en prie … arrête, j’en peux plus …
Finalement, il ralentit, la laisse « refroidir » un peu. Il change encore de position, lui lâche les cuisses qui retombent dans l’eau, mais garde sa bite enfoncée. Elle est toujours allongée sur le matelas, il lui caresse et lui pétrit les fesses, puis la reprend par les hanches. Visiblement il prend un plaisir pervers à varier les positions, et ça repart à chaque fois :
- Mmmm … T’es vraiment trop bonne. J’aime ta chatte, tes seins, ton cul …Mmmm … c’est super … Oh, non, c’est pas possible, c’est trop bon, faut encore que je te baise, j’aime te limer et t’entendre crier.
- Salaud, …Ohhhh ! Je … Je t’en prie … Oh, oui, … salaud, c’est bon, oui …
- Dis-donc, t’as l’air d’aimer la queue, hein ? C’est un vrai bonheur de te baiser …
-Ohhh … je … arrête … arrête … je t’en prie …
- J’arrêterai de te baiser quand tu arrêteras de jouir … Mmm … T’es vraiment trop bonne, t’es une vrai bombe, toi !
- Ohhh … mon Dieu, j’en peux plus … Ohhhhhh … Ouiiiiii … Ahhhh !
Comment peut-il la faire jouir aussi fort et aussi longtemps ? C’est incroyable. Lorsque Jonathan lâche ses dernières forces et se met à la bourrer à une vitesse folle, je me rends compte qu’il ne pourra pas tenir longtemps. Corinne hurle de façon continue, et lui est en nage.
- Salope ! J’en peux plus, je te nique, je vais te remplir, ça vient … Aaahhhhh !
Il se bloque alors contre elle, tout contre elle, pour mieux éjaculer au plus profond de son vagin en poussant un long cri rauque, comme s’il se vidait de toute son énergie, et s’écroule sur elle. Corinne est elle aussi anéantie, ses cris se terminent en un long gémissement qui va en diminuant.
Après tant de fureur, la redescente et le calme qui suivent sont presque surprenants. Tous deux retrouvent une respiration régulière, puis, lentement, calmement, essaient de réintégrer le monde réel, comme s’ils se réveillaient. Quelques gestes doux et tendres de la part de Jonathan qui se sépare de Corinne. Sa queue perd de sa rigidité, mais reste malgré tout impressionnante.
Je commence à me dire que je vais avoir du mal à récupérer ma place dominante tant que ce baiseur sera dans les environs. Je me retire moi aussi, déstabilisé, angoissé, humilié, mais quand même rassuré : je suis provisoirement sorti de l’enfer. Je quitte la maison en me disant que je vais revenir dans quelques minutes, en ayant l’air de rien et en faisant comme si je n’avais pas assisté à cette scène. Mais … ensuite ? Maudites vacances !

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