Michèle

Nous faisons pas mal de coups ensemble, avec mon ami Paul. Nous en sommes maintenant à compter les filles à notre palmarès. Pour notre âge ce n’est pas mal: 25 à 28. Il est en avance sur moi. Je me rattrais bien un jour. Je trouve quand même que la plus part sont des boudins. Elles ne me plaisent pas du tout, sauf aujourd’hui. Devant nous une fille habillée d’un blouson en cuir, semble-t-il et d’un longue jupe touchant presque le sol avec des franges des genoux aux pieds. Elle a une allure de déesse. Nous avons envie d’elle rien qu’à la voir de dos.
Nous mettons notre stratégie en place: nous allons l ‘encadrer pour qu’elle marche entre nous deux.
C’est-ce que nous faisons en lui prenant chacun un bras. Avant de réagir, elle nous regarde l’un et l’autre en souriant vers la fin. Ou elle se doute de notre désir ou elle est innocente. En s’arrêtant plusieurs mètres après elle montre ainsi son choix: elle nous accepte sans délais. Dans le petit bistro nous sommes assis de chaque coté je crois bien que c’est Paul qui le premier pose sa main sur elle. Mon bras est autour de ses épaules. Elle nous sourit largement. Pas possible, elle meurt d’une envie de quoi ? Je me lance pour l’embrasser. Sa bouche s’ouvre sous la mienne. Nos langues sont agiles pour caresser l’autre. Je tiens son menton pour mieux profiter de sa bouche. Ses lèvres sensuelles me plaisent encore plus. Je remarque surtout que Paul a réussi à lever le jupe jusqu’à moitié cuisses, me laissant le passage pour aller dans son ile au trésor. Nos mains se rencontre comme par hasard vers sa chatte. Sans rien dire nous partageons les bonnes choses: à lui la chatte, à moi plus bas, son rectum.
- N’arrêtez pas, continuez, vous aller me faire jouir, il y a longtemps qu’un main d’homme n’est venue là.
La fille écarte au maximum ses cuisses. Nous pouvons, Paul la doigter et moi lui mettre deux doigts au cul. Sa tête se renverse pour apprécier les caresses. Nous la sentons jouir.

Elle en voudrait encore. Nous aussi, nous bandons comme des privés de chatte depuis des mois alors que la veille nous avons baisé chacun notre gonzesse.
- Vous voulez me baiser ensemble ?
- Bien sur, nous sommes habitués à ça.
- Venez chez moi. Je me donnerais à vous deux.
Elle dit vrai, elle habite à 5 minutes au premier étage d’une maison cossue. Nous nous regardons étonnés avec Paul. Elle doit faire parti du gratin. A sa porte une plaque:
Michèle,……..
Huissier de justice.
Ainsi cette nana est huissière oui huissier. Elle doit saisir les bites de ses clients. En laissant son études en entrant elle nous fait pénétrer dans son appartement; grand luxe, meuble de valeur.
Bref un appart de standing.
Nous ne perdons pas de temps, dans le salon, elle nous fait assoir sur un divan, nous propose un alcool que je refuse. Paul prend l’armagnac le meilleur. Elle aussi. Passons aux choses sérieuses.
Elle a envie de deux mecs, elle les a sous ses mains et sa bouche.
Je reprends ses lèvres qui ont un gout plus fort grâce à l’alcool. C’est sa langue qui vient dans ma bouche. Pas possible, elle la met où elle veut dans ma bouche. Elle m’en fait bander. Coquine elle le voit: elle pose une main dessus pour me masser sans faire sortir mon mandrin. Elle s’occupe maintenant de la bouche de Paul: elle lui fait le même traitement: sa main est aussi sur la queue de Paul.
Je trouve l’agrafe qui tient sa robe, sous son blouson que j’enlève. Avec quelques difficultés je fais tomber le haut de la robe; elle est les seins nus et quelle paire de loches. Paul commence par caresser le sein près de lui. Je ne caresse pas, j’embrasse surtout les pointes. Je suppose que le bas doit être dans un bel état qui nous permettrais de la baiser rapidement. J’arrive à enlever toute sa robe. Elle est nue, totalement nue, sauf sa fourrure personnelle. Ma main cette fois rejoint sa chatte le premier. Michèle est trempée, son clitoris est même glissant.
J’arrive quand même à mon but la faire jouir. Nous ne sommes plus dans un bistro, mais chez elle: elle fait ce qu’elle veut: jouir en criant.
- Oui, encore, fais moi jouir, envois moi au paradis, j’aime ce que tu fais.
- On te baiseras tous les deux à la fois si tu aime.
- Oui, j’aime, j’aime aussi quand on me met la main entière dans le con.
J’avoue que ça nous ne connaissons pas encore: elle nous l’apprendra après. Je commence à mettre nu, suivi de Paul. Nos bites sont à la verticale. En attendant que nous venions dans son ventre elle nous branle pour le plaisir de nous avoir dans ses mains. Elle nous lèche les deux bites à la fois.
Pourvu que nous puissions tenir pour la finir.
Paul lui met à nouveau sa main dans la chatte. Il déchaine la tempête. Je vais aider à mon tour, je connais son cul, j’y retourne pour lui donner une petite leçon de sodomie. Mes trois doigts y entrent comme dans du beurre.
- Baisez moi maintenant !!!!
Nous ne pouvons plus rien faire pour son désir sinon la satisfaire. Je suis assis sur le divan, elle vient se mettre sur moi, de face, elle entre ma bite dans son vagin. Elle commence les mouvements quand Paul vient lui lécher le cul. Qu’elle baise, elle est déchainée quand elle jouit plusieurs fois autour de mon mandrin.
Michèle prononce des mots sans suite: je crois comprendre qu’elle en veut encore, qu’elle voudrait être branlée par une fille. Je ne comprends pas tout. Elle se retire, me demande de me mettre sur le dos, elle se fait baiser comme un vulgaire pute en missionnaire, elle demande à Paul de venir sans son cul;
Nous voilà en train de lui faire une double. Nos bites se croisent dans son ventre, pendant qu’elle jouit à peu près toutes le 2 minutes. C’est la première femme qui jouit ainsi. Je jouis le premier pour rester dans son con. Paul jouit plus tard: il sort de son cul. Pour l’instant Michèle ne veut rien de plus. Nous oui. Paul la recouche sur le dos, prend sa chatte dans la bouche pour la lécher et la sucer.
Je vais dans sa bouche; elle suce admirablement bien. Je suis sur le point de jouir quand j’entend une voix féminine:
- Madame n’a besoin de rien.
Qu’elle est cette emmerdeuse qui coupe tout ?
- Si déshabille toi, viens baiser.
Sans rien dire, cette nouvelle vient se mêler à nos amusements. Elle est bien fichue, sa poitrine est plus dure que celle de Michèle. Elle remplace la langue de sa patronne pour la fellation.
J’avoue ne rien perdre, au contraire, cette nouvelle venue doit bien baiser.
Michèle nous baiserons toutes les deux, j’ai envie de toi. Tout s’éclaire. Si Michèle n’a pas eu de bite depuis longtemps c’est qu’elle fait l’amour avec sa compagne, sans doute une domestique choisie sur des critères très sexuels.
Quand Michèle jouit, elle demande à son employée de la lécher. Devant nous, Michèle donne son sexe à la bouche d’une autre femme.
Pour nous il ne reste qu’un bouche, celle de Michelle ou le cul d’une inconnue. Paul choisit la bouche à juste titre. Je vais me hasarder à sodomiser la nouvelle. Je passe ma main sur une chatte très mouillée. C’est à croire que cette fille n’est venue là que pour ma bite. Je tartine l’anus avant d’y mettre ma bite. Je dois forcer un peu pour entrer dans l’anus. Elle « oublie » le sexe de sa patronne pour écarter à deux mains ses fesses. Là j’entre parfaitement. Je pousse au maximum mon dard dans ce cul qui se trouve juste à ma taille. Nous faisons les même mouvements ce qui provoque un orgasme long dans le cul. Bien sur je jouis en même temps. Je vois que la bite de Paul sort d’une bouche baveuse; elle lui a prit le sperme qu’elle a avalé. Les deux femmes continuent leurs amours.
- Merci vous deux, revenez quand vous voudrez. Nous seront deux pour vous.
- Demain elle me fistera.
Elle nous donne une carte pour qu’on l’appelle quand nous voudrons. Je suis tenté par le cul de la bonne et le con de sa patronne, c’est sur je reviendrai, pour la baiser et pour la voir le con élargi par une main de femme.

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